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Commentaires de livres faits par ChristieFO

Extraits de livres par ChristieFO

Commentaires de livres appréciés par ChristieFO

Extraits de livres appréciés par ChristieFO

Ce livre est plutôt impressionnant. Je ne m’attendais pas à une histoire aussi glauque, remplie de morts, de sang, de haine. Mais attention contrairement à ce que je semble dire, j’ai ADORE ! C’est incroyable. L’auteur nous emmène en plein coeur d’une société régie par des gens à peine humains, qui se pensent supérieurs et qui estiment qu’une partie de la population doit être esclave. On plonge dans un univers où la violence semble être le commun de tous et pourtant on arrive à apprécier l’univers. Des thèmes graves sont abordés comme l’esclavage et le viol. Les personnages subissent toutes sortes d’horreurs, l’auteur tient des marionnettes qu’elle agite comme bon lui semble. C’est elle qui décide quand couper les fils et elle le réussit avec brio, attaquant un personnage au moment le plus opportun et rendant l’histoire encore plus captivante. Elle réussit à rendre les émotions de ses personnages crédibles à tel point que l’on s’y croirait. J’avais l’impression d’être dans le livre, de subir ce qu’ils subissaient et de ressentir leurs peines et leur peur.
[...]
En conclusion ce livre est vraiment bien. Les tournures de phrases sont superbes et l’auteur est vraiment douée. Vous pouvez vous lancer dans ce livre sans hésitation mais je tiens tout de même à prévenir qu’il ne conviendra pas forcément à tout le monde du fait de certains passages violents.

La critique complète ---> https://www.christiefo.com/2017/04/13/une-braise-sous-la-cendre/
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Ce livre est à la première personne du singulier. Pas mes livres préférés j’ai tendance à aimer avec un point de vue omniscient. (Question de goûts ) Néanmoins à peine commencé le livre que l’on peut déjà s’apercevoir que l’auteur sait y faire avec les phrases. Tout est poétiquement formulé.
[...]
Point positif : L’auteur nous met directe dans le bain. On sait ce que l’on a savoir et on a envie de démarrer le chapitre 1.
Point un peu négatif : il faut assimiler beaucoup d’information d’un coup. Et ça fait un peu lourd !
[...]
J’ai trouvé le premier dialogue du chapitre 1 maladroit. Les réactions m’ont semblé surjouées mais toujours très poétique. ^^ Ils s’agit d’une dispute qui n’a pas vraiment d’explication à mes yeux et la réconciliation 2 pages plus loin non plus. La suite du livre est restée poétique dans l’ensemble -ce qui doit être le style de l’auteur- sauf pour ce qui est des scènes érotiques.
[...]
Honnêtement j’aime bien ce livre. J’ai préférer les passages avec les personnages secondaires mais l’histoire est original. Les extra-terrestres, les humains, une cohabitation. Vraiment j’aime beaucoup. L’érotisme.. Moins. ^^
Les deux personnages principaux ne m’ont pas plu. Ça je ne peux rien y faire je ne les ai pas aimé mais c’est facile de faire abstraction des défauts grâce au style d’écriture de l’auteur. Pour ceux comme moi qui adore les phrases poétiques vous allez être servis. C’est superbe ces comparaisons, ces métaphores, la tournure des phrases. J’adore.
Un bon livre, pas mon style de lecture mais il plaira au amateur du genre aucun doute.

La critique complète ---> https://www.christiefo.com/2017/08/03/un-nouveau-monde-tome-1-sp/
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date : 24-12-2018
L’histoire nous parle de Caïn, un jeune garçon qui vit dans un centre, entre Hôpital pour enfant et centre aéré. Il est doté d’une grande intelligence, et sa curiosité va l’amener à découvrir l’effroyable secret de sa présence et de celles de tous ses camarades au centre.

[...]

Les différents personnages ne m’ont pas plus intéressée que ça. Certains m’ont mise en colère (avec une pointe de tristesse) mais je n’ai pas réussi à m’attacher. Je ne ressentais pas leur peur, leur tristesse, je suivais leur aventure mais sans plus, ce qui leur arrivait me laissait assez indifférente.

Ce qui m’a accroché à ce livre ce n’est donc pas les personnages mais l’univers dystopique et l’histoire ( totalement le genre d’histoire que j’apprécie) . Ce futur que nous ne connaissons pas est assez intéressant et j’aurais adoré qu’ils soit plus exploré. Quant à l’histoire, j’ai retrouvé un petit aspect de “The Island” (Film que j’avais réellement adoré) accompagné d’une plume qui dévoile ses secrets lentement mais sûrement. Au compte goutte comme j’aime le dire.

[...]

Conclusion : C’est un livre assez intéressant, original et bien mené à part pour les personnages mais ça ce n’est que mon avis, bien sûr. Il n’empêche que j’ai passé de bons moments en le lisant et que je le recommande vivement !
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#TousavecJensiledisparu

Oui je reviens avec ce hashtag ! Mais on en reparle après ^^

(Je précise que cette critique n’a été écrite que plusieurs mois après la lecture et peut donc en être affectée ^^)

Dans ce nouvel opus de GDCP, Sophie rejoint enfin le cygne noir. C’est un plaisir d’avoir enfin un peu de nouveauté dans l’histoire ! Ces changements de lieux et de considération apportent une toute nouvelle approche à la lecture et c’est très agréable. Avec ces changements viennent les nouveaux personnages mais commençons par les anciens :

J’ai encore une fois eu un désintérêt pour Biana et Dex, oui je sais, je suis désolée mais je n’y peux rien. Ce n’est même pas que je ne les aime pas, au contraire, juste les passages avec eux m’indiffèrent.

Fitz… Non toujours pas désolée, lui, je ne peux pas le voir malgré des changements que je considère positifs dans son attitude générale.

Keefe ? Toujours mon préféré malgré une légère envie de le tuer en fin de lecture ^^

Une nouvelle vision de Della (la mère de Fitz et Bianna) dans ce tome-ci avec une véritable implication de sa part. Plutôt intéressant, je crois que je l’aime bien elle.

Sophie… Honnêtement parfois je l’aime parfois elle m’agace mais dans ce tome-ci je la trouve mûrie et un peu plus sûre d’elle.

Pour les personnages moins présents comme Marella on ressent une séparation, un éloignement. Déjà que dans le tome précédent ce n’était pas terrible alors là. Mais le pire oubli de personnage revient à Jensi, qui n’est toujours pas de retour #TousavecJensiledisparu.

Maintenant ! : Des nouveaux personnages dans ce livre, ça il y en a ! Du côté du Cygne noir avec l’arrivée de Médoc, Toison et Boobrie ? Boobree ? (Je sais plus) mais aussi dans un autre registre avec l’arrivée de nos héros à Exilium. L’école des rebuts de la société. Font alors leur apparition, des instructeurs mas aussi des élèves : Tam et Lynh. Des jumeaux au passé terrible.

Ce tome 4 nous empêche de passer à autre chose. Je me souviens avoir terminé ce livre en pleine nuit et ne pas avoir réussi à m’endormir après l’avoir fini. Bien trop choquée par cette incroyable fin qui promet beaucoup pour le suivant.

Conclusion : Shannon Messenger ne m’a pas déçue, ce livre est une nouvelle pépite et cette saga me passionne à chaque nouveau livre, un peu plus. Le seul travail à faire serait sur les personnages secondaires qui me manquent cruellement.

http://www.christiefo.com/2019/12/28/gardiens-des-cites-perdues-tome-4/
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Bon… Ayant bien apprécié le premier on peut dire que j’espérais quelque chose de bien mieux de ce que j’ai lu dans ce tome 2…

Le style d’écriture est sans évolution mais encore ça, ce n’est pas particulièrement grave, ce qui l’est plus c’est que l’histoire n’évolue pas du tout ! Une stagnation totale ! Moi qui avais pardonné au premier tome son manque d’action vu que j’imaginais que l’histoire se mettait en place, et bien dans cette suite… Rien ne bouge non plus ! Quant à la romance, elle n’avance pas plus. En fin de premier tome, America se décide à passer aux choses sérieuses avec Aspen et est plus motivée que jamais, et bien rien. Nada !

Les personnages : Aspen me fatigue, Maxon me fatigue, America me fatigue… En bref tous les personnages me fatiguent. Aucun ne change, rien ne bouge, tout m’agace !

Les quelques événements “mondains” rattrapent un peu les choses, et la fin également mais là, on est loin, très loin d’avoir un livre qu’on ne peut pas lâcher.

Conclusion :

Rien d’incroyable dans cette suite qui m’a plutôt déçue. À voir pour le troisième tome.

http://www.christiefo.com/2019/10/20/la-selection-tome-2/
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date : 05-03-2022
« Les Eaux Noires » nous plonge dans le cauchemar de tous les parents (ou presque). Celui de perdre son enfant, celui que l’on chérit. Josefa découvre en rentrant de son travail, que le corps de sa fille, Suzy, âgée de 17 ans vient d’être retrouvé dans la baie où elle habite.

Voici le début de la plus longue des descentes aux enfers pour cette mère dévouée.

Dans ce roman, pas le temps d’attendre. Les premiers chapitres plantent le décor avec un réalisme inattendu.

[...]

Des personnages avec des caractères attachants, antipathiques et même répugnants pour certains dont les vies s’entremêlent avec l’assassinat de l’adolescente.

Dans ce roman, mes émotions ont été mises à rude épreuve face à l’adversité dans la vie de cette mère éplorée. Sa souffrance est dépeinte avec un tel réalisme, ses sentiments si bien décrits, le regard des autres si tranchant que la douleur en est palpable.

C’est le parcours d’une mère brisée, dépressive qui doit désormais survivre pour trouver le meurtrier de sa fille unique.
Un manque d’humanité flagrant qui ne me choque même pas mais qui donne un énorme sentiment de malaise et de colère qui augmente à chaque nouvelle page tournée et qui maintient la tension jusqu’au dénouement. Le seul point négatif que j’ai trouvé au roman est le nombre de personnages qui compose ce récit, et desquels on peut découvrir le point de vue, qui peut faire perdre un peu le fil par moments.

Conclusion :
Un livre poignant qui fera particulièrement souffrir les personnes sensibles telles que moi. Il faut avoir le cœur bien accroché mais la qualité du livre en vaut la peine. C’est un énorme coup de ❤️ pour moi.

http://www.christiefo.com/2022/01/23/les_eaux_noires/
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date : 28-02-2019


C’est comme ça que commence cette critique ! Trois points. Ces trois points signifient mon état actuel alors que je viens tout juste de finir le livre. Comment vous décrire cette claque monumentale que je me suis prise !?

L’histoire parle de Nadège Solignac, une institutrice très appréciée qui est accusée d’avoir tué ( “Homicide involontaire” ) Fabien Bianchi. Lors de son placement en cellule, commence la découverte des souvenirs racontés aux lecteurs par Nadège, elle-même. Les souvenirs sont entrecoupés de passages d’interrogatoires par la police et d’articles de journaux sur l’affaire, nous informant du soutient de ses proches et de l’opinion publique.

Ses souvenirs commencent par l’enfance, continuent sur l’adolescence et l’âge adulte avant de finir sur le meurtre de Mr Bianchi.

Dès les premières lignes de Nadège ont voit sa névrose et sa froideur, puis les premiers souvenirs nous indiquent les prémices du pourquoi et de ce qu’elle est devenue.

[...]

J'ai eu beaucoup de difficultés à lire ce livre, il est triste et violent. Nadège, n’a pas eu suffisamment d’humanité dans son entourage pour l’apprendre et pour éviter le massacre. C’est une femme terrifiante qui ne laisse aucune place aux bons sentiments, elle n’en à pas besoin. Elle est calculatrice et manipulatrice depuis l’enfance et, si certaines conversations et certains passages avec son frère et sa belle-sœur étaient touchants, les pensées de Nadège à ces instants brisaient sans état d’âme la douceur de ces échanges. Ce sont des conversations que chacun d’entre nous pourrait avoir, des mots que quelqu’un pourrait nous dire un jour.

[...]

L’écriture de l’auteur est sophistiquée mais va droit au but et c’est exactement ce qu’il fallait au livre (selon moi)

[...]

Conclusion : C’est une découverte macabre, un livre angoissant que je ne relirai probablement pas (beaucoup trop choquée… ^^ ) mais très bien écrit. C’est un thriller qui vaut le coup d’œil et que je recommande. A lire avec précaution pour les âmes sensibles cependant…

Les gens comme moi quoi

La critique complète c'est par ici --> http://www.christiefo.com/2019/02/27/mon-ombre-assassine-sp/
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date : 05-04-2019
Ce livre est un thriller psychologique qui nous parle d’Alix Flament, journaliste ayant interviewé Eloane Frezet une tueuse en série. Cette interview ayant conduit Eloane à une lourde peine de prison, celle-ci fait une promesse à la journaliste en lui disant qu’elle s’évadera et qu’elle sera la première à le savoir.

C’est 10 ans plus tard que notre histoire commence, lorsque Eloane, enfin s’évade et appelle Alix.

L’intrigue se met en place très rapidement et ne laisse pas de place à une découverte plus approfondie des personnages. Je pensais que ça serait un défaut mais finalement je ne pense pas que cela a porté préjudice au livre, je pense même au contraire que c’est mieux et que l’inverse aurait été de trop. Nous avons la base et les sentiments et c’est amplement suffisant.

[...]

Les situations s’enchaînent, en nombres suffisants pour ne pas s’ennuyer mais pas de trop ce qui ne surcharge pas la lecture.

[...]

Quelques éléments m’ont un peu perturbé ou laissés perplexe comme le fait que le visage de la psychopathe soit si peu connu, ou encore des expressions du langage qui apparaissaient chez différents personnages très différents. Je ne pense pas que tout le monde utilise les mêmes tocs de français ^^

J’ai eu peur que la fin me laisse sur ma faim mais bien qu’une partie soit prévisible l’écriture peut nous faire douter et espérer et nous garde jusqu’au bout en tension.

L’épilogue à fait toute la différence pour moi, car même si j’ai adoré le livre, ce final m’a achevé ! C’est une fin à la limite de la perfection, je ne pouvais pas espérer mieux !

Conclusion : Coup de cœur ! Sans le moindre doute ! Serait-ce le premier thriller psychologique que j’apprécie à ce point ? Il y a des chances ! Malgré les défauts j’ai dévoré ce livre, que j’ai pourtant mis du temps à me décider à commencer. L’intrigue est bien menée, bien écrite ! J’ai véritablement aimé et je recommande !

http://www.christiefo.com/2019/03/31/haut-le-choeur-sp/
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( Je précise que cette critique n’a été écrite que plusieurs mois après la lecture et peut donc en être affectée ^^ )

De retour dans l’incroyable univers de Shannon Messenger, j’ai eu un vrai plaisir à retrouver Sophie et ses amis. (En particulier Keefe, je l’avoue !)

Avec cette nouvelle aventure, Shannon Messenger signe ma totale addiction à cette saga. Les deux premiers tomes étaient déjà passionnants mais celui là s’il ne les surpasse, les égale sans aucun doute.

De nouveaux dangers apparaissent, dont un causé par Sophie elle même. L’histoire est plus sombre que dans les précédents, rendant la lecture un peu plus intéressante.

[...]

Sophie est une véritable catastrophe à elle seule. Loin d’être une marie sue, elle ne se prive pas de créer des problèmes ( sans mauvaises intentions évidement.) et risque même de créer une guerre par impatience.

On ne peut cependant pas lui en tenir rigueur, car le cygne noir semble l’avoir oubliée et ne la laisse pas vraiment participer ( ni même être au courant d’ailleurs ) à leurs “opérations” mais ce sont ses erreurs d’adolescente qui la rendent aussi attachante.

Fitz ! Bon… loin d’être un personnage que j’aime, il est quand même très touchant et ce malgré son comportement qui m’a fait grincer des dents.

[...]

Keefe est encore et toujours ( à mes yeux) le meilleur personnage de cette saga. Beaucoup d’humour, de sentiments et un véritable ami, voilà ce qu’il est dans ce livre ! Il apporte cette touche d’apaisement à l’histoire qui fait du bien.

Pour ce qui est des personnages secondaires c’est une catastrophe par contre… ^^ Moi qui aime les personnages secondaires intéressants et parfois mis en avant c’est loupé avec Marella qui décide de s’éloigner de Sophie et hop on n’entend plus parler d’elle. Mais le pire reste Jensi, qui semblerait-il n’existe plus … A-t-il seulement existé ? #TousavecJensiledisparu

Conclusion : C’est une nouvelle fois un coup de cœur malgré les quelques défauts. Je suis toujours autant passionnée et ce livre ne fait partie que du début d’une aventure prometteuse !
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(cette critique a été écrite plusieurs mois après la lecture et peut s’en retrouver affectée.)

Dans ce tome 2 nous retrouvons Kylie, toujours à Shadow Falls et toujours aussi paumée. Dans ce tome, aucune réponse sur ses origines mais de nouvelles interrogations.

L’histoire tourne autour des mêmes sujets, la découverte de ce qu’elle est, ses visions et le point principal : Les mecs !

J’aime la romance mais pour le coup je suis rapidement lassée des mecs de cette histoire. On est sur un cliché du triangle amoureux des plus basiques ! La jolie fille qui s’ignore, le gentil et le mystérieux. A ce stade de l’histoire on peut déjà savoir avec lequel elle va finir et c’est d’un ennui.

Passé les histoires de cœurs/culs de Kylie le livre a tout de même des qualités. On poursuit toujours sur l’originalité du premier avec ce camp de vacances pour ados surnaturels. Les différentes espèces se côtoient, ce qui, avec leurs capacités et leurs caractères variés, donne des situations assez intéressantes, cocasses que je dirais assez bien exploitées.

Les nouvelles découvertes de Kylie sur sa nature, bien que vague, nous rapprochent avant de nous éloigner de ce qu’elle est réellement. Le suspens est bien géré et c’est un point positif.

Je n’ai pas grand chose d’autre à dire sur ce livre si ce n’est que les personnages m’ennuient beaucoup et ça c’est dommage car ils ont tous du potentiel.

Conclusion : Je ne l’ai pas aimé mais ne l’ai pas détesté. L’histoire est sympa, les personnages beaucoup moins. J’ai lu le livre étonnement vite mais il ne m’a laissé aucune impression d’appréciation. Comme le précédent, il pourra plaire, à tester mais sans aucune relecture pour ma part. (Pour l’instant en tout cas.)
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Pour une petite pause entre services de presse, j’ai décidé de lire un petit livre que je ne pensais pas trop prenant et qui bien que ne me tentant pas plus que ça m’avait été conseillé (je ne sais même plus par qui ^^). Comment vous dire à quel point je suis heureuse d’avoir écouté ce conseil !

Par son pitch ce livre ne me paraissait vraiment pas exceptionnel et pourtant… Je l’ai commencé un soir et je n’ai pas réussi à m’arrêter avant de l’avoir fini. A 1h du matin c’était chose faite !

L’histoire parle d’America Singer, une adolescente amoureuse d’un homme d’une caste inférieure à la sienne, qui va se retrouver prise à La Sélection. L’émission la plus regardée, qui consiste à trouver une femme au prince.

C’est donc pleine de préjugers qu’elle entre au château avec les trente-quatre autres candidates. Pourtant rapidement America prend conscience que les choses ne sont pas telles qu’elle les imaginait. Y compris le prince, qui s’avèrera être un homme de confiance et un ami.

Si l’aspect romance des livres me plait, j’ai tendance à la préférer en petite intrigue sur le côté qu’en intrigue principale. Pourtant ici, j’ai adoré. L’histoire est relativement bien menée, sauf certains passages que j’ai trouvé un peu précipités ou mal ammenés mais dans l’ensemble c’est super. L’écriture est fluide, assez simple et plutôt rapide ce qui permet d’entrer dans le vif du sujet vite mais en même temps pas trop. (Oui, je me contredis ! ^^)

Le personnage d’America est très intéressant. Sa franchise et sa spontanéité apportent beaucoup d’humour dans le livre par les situations qui découlent d’un mot de trop. Son amour pour Aspen est sincère et sa décision est claire vis à vis du prince : rien ne se passera.

Les deux prétendants d’America sont Aspen, de la caste 6 et Maxon, le prince.

Si Aspen me laisse de glace, par son comportement beaucoup trop changeant et ses attitudes possessives avec America, j’ai complètement fondu devant Maxon.

Le prince est un personnage vraiment adorable ! Son innocence que l’on voit plus généralement chez les personnages féminins dans la littérature le rend tellement attachant. Sa relation avec America est à la fois hyper mignonne et tellement drôle. Une fois mis au courant par celle-ci qu’il n’a aucune chance avec elle, il voit en elle une amie, une confidente. Pourtant, il devient si proche d’elle que des sentiments se développent mais uniquement dans un sens. Ses réactions quand il est avec elle, sont beaucoup trop “Chou”.

Passées les histoires de coeurs, l’histoire se déroule avec en fond une intrigue secondaire qui ne l’est peut-être pas tant que ça. Des terroristes, des attaques qui ne semblent pas avoir d’autre but que de fouiller le palais. Cette partie de l’histoire n’est que peu évoquée mais suffisament pour que l’on s’y intéresse. J’ai bien hâte de lire le tome 2 et d’en apprendre plus.

Conclusion : Un livre avec une romance toute mignonne sur une toile de fond qui s’annonce plus sombre. Un roman bien écrit avec des personnages attachants. A lire sans hésiter !

http://www.christiefo.com/2019/07/10/la-selection-tome-1/
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Plus de district 12.

Plus de Peeta.

Katniss a détruit l’arène des Hunger games et se retrouve dans une situation à laquelle elle ne s’attendait pas. Elle est désormais le visage de la révolte.

Quel plaisir de retrouver ces personnages, cet univers, cette histoire qui m’a fait passer par tellement d’émotions !

L’écriture de ce troisième tome est sans grand changement, mais c’est très loin d’être un défaut. Une chose est sûre, elle me plaît toujours autant. Seul bémol, j’ai trouvé le rythme un peu trop lent pour un dernier tome. Sur le même principe que les précédents, l’action est éparse durant une très grosse partie du livre et rend la lecture moins trépidante. Du coup, un peu d’ennui par instants et pressée d’en venir à bout. Un dernier tome d’une saga dystopique se doit d’être un peu plus mouvementé pour tenir en haleine son lecteur jusqu’au dénouement.

Les personnages sont une vraie merveille ! Oui quand je dis ça, il est possible que je pense à Finnick.

Katniss est mise à rude épreuve durant ce final et ses émotions sont décrites avec brio. Sa relation avec Gale est maîtrisée et ses réactions envers lui sont en accord avec son caractère. Idem avec Peeta.

La fin est surprenante (pour ceux qui ne connaissent pas l’histoire bien sûr) et logique compte tenu des personnages et de la tournure sombre que prenait le roman.

Conclusion : Un dernier tome plus lent mais toujours aussi exceptionnel au niveau de son histoire. Une fin qualifiable de déchirante, qui s’avère à la hauteur de mes attentes.
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date : 10-05-2021
Premier point important : J’adore les dystopies et ce depuis ma lecture de Hunger games. Du coup, cette histoire est similaire puisqu’elle reprend, tout comme Hunger games, les codes du fameux livre “Battle royal” qui a donné naissance à tant de récits fictionnels.

Le point qui m’a beaucoup plu c’est la proximité autant temporelle que territoriale. Bon, la suisse je ne connais pas vraiment mais c’est à côté quoi !

Au début du récit, on peut retrouver quelques répétitions de mots qui auraient pu être corrigées mais rien de bien désagréable.

Parfois des précisions sont apportées dans les descriptions ou pensées des personnages sans qu’elles n’aient vraiment d’intérêt. Le dialogue se serait suffi à lui même et l’on a l’impression que l’auteur craint que les intentions de ses personnages ne soit pas compris, hors les dialogues en eux-mêmes sont bien menés.

Pour ce qui est de l’histoire, elle est prenante. Comme dit plus haut, les dialogues sont bien menés et, dans l’ensemble, réalistes. Les descriptions sont elles aussi, réussies. L’oppression et la peur sont bien retranscrites tout comme les lieux bien présentés. En revanche, je ne suis pas une grande fan des personnages qui malgré leur passé m’ont paru un peu fades. Ceci étant bien sûr subjectif. Cet avis a quand même été remis en question sur la fin (avant l’épilogue) ou j’y ai versé ma petite larme.

Conclusion : Une dystopie de proximité, agréable à la lecture et dans l’ensemble maîtrisée par son auteur. Je recommande !
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date : 10-05-2021
Premier point important : J’adore les dystopies et ce depuis ma lecture de Hunger games. Du coup, cette histoire est similaire puisqu’elle reprend, tout comme Hunger games, les codes du fameux livre “Battle royal” qui a donné naissance à tant de récits fictionnels.

Le point qui m’a beaucoup plu c’est la proximité autant temporelle que territoriale. Bon, la suisse je ne connais pas vraiment mais c’est à côté quoi !

Au début du récit, on peut retrouver quelques répétitions de mots qui auraient pu être corrigées mais rien de bien désagréable.

Parfois des précisions sont apportées dans les descriptions ou pensées des personnages sans qu’elles n’aient vraiment d’intérêt. Le dialogue se serait suffi à lui même et l’on a l’impression que l’auteur craint que les intentions de ses personnages ne soit pas compris, hors les dialogues en eux-mêmes sont bien menés.

Pour ce qui est de l’histoire, elle est prenante. Comme dit plus haut, les dialogues sont bien menés et, dans l’ensemble, réalistes. Les descriptions sont elles aussi, réussies. L’oppression et la peur sont bien retranscrites tout comme les lieux bien présentés. En revanche, je ne suis pas une grande fan des personnages qui malgré leur passé m’ont paru un peu fades. Ceci étant bien sûr subjectif. Cet avis a quand même été remis en question sur la fin (avant l’épilogue) ou j’y ai versé ma petite larme.

Conclusion : Une dystopie de proximité, agréable à la lecture et dans l’ensemble maîtrisée par son auteur. Je recommande !
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date : 27-06-2021
Tout d’abord et comme bien souvent, je remercie les éditions Taurnada pour leur confiance renouvelée avec l’envoi de ce énième service de presse.

« Et pour le pire » est un roman qui nous raconte le désir de vengeance d’un homme rongé par la haine. Vincent Dolt ne vit que pour se débarrasser des hommes qui ont violé et tué sa femme, vingt ans auparavant.

L’aspect très intéressant du roman est l’âge de son protagoniste. Et oui, ce n’est pas tous les jours que le « héros » d’un roman est un papy de 86 ans. Un papy que je n’ai malheureusement pas aimé du tout. Comme les autres personnages d’ailleurs. Sauf peut-être Magali. Certes on ne la voit que peu mais « Let the sunshine, let the sunshine in… »

La raison pour laquelle je n’ai pas aimé les personnages est assez subjective puisque je les trouvais irréalistes dans leurs attitudes mais en allant jeter un œil à d’autres chroniques j’ai l’air d’être la seule à le penser.

En réalité, le livre en lui-même m’a semblé assez irréaliste. Beaucoup de situations sortent un peu de nulle part, se règlent étrangement et pouf, c’est comme s’il ne s’était rien passé.

Le style d’écriture de l’auteur en revanche m’a bien plus. Très descriptives, avec un vocabulaire plutôt large, les scènes émotionnelles ne vous épargneront pas. Elles sont détaillées et dures alors âmes sensibles s’abstenir. C’est une obligation. Étant moi-même très sensible, j’ai encore du mal à digérer certains passages.

Il y a eu un court instant dans les premiers chapitres du récit un « pourfendeur de suspens » (anciennement appelé « Antichoc ») fréquemment utilisé par un certain auteur de chez Taurnada également. Pour ceux qui ne savent pas de quoi je parle, il s’agit d’une petite phrase glissée dans le récit pour indiquer subtilement qu’il va se passer quelque chose. Personnellement je n’aime pas ça du tout, d’où les surnoms que j’ai pu donner à cette pratique.

Conclusion : Un livre dur et poignant mais qui ne me convient pas particulièrement. À tenter tout de même, pour l’originalité de son personnage principal et la qualité du style d’écriture de l’auteur.
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Lorsque l’autrice m’a proposé son roman en service de presse, il était évident qu’en tant que passionnée de l’Atlantide, je sois intéressée !

Avec un point de vue omniscient et au passé, on découvre l’histoire d’une civilisation légendaire.

Il existe un nombre colossal de récits de fiction ou documentaires sur l’Atlantide et même si je n’ai pas eu l’occasion de tous les découvrir, cette version est assez intéressante. Avec sa société matriarcale, ses personnages de pouvoir teintés d’une humanité maladroite, les complots et les décisions, on découvre une Atlantide étonnante et inhabituelle.

[...]

Dans ce roman, nous découvrons une multitude de personnages, et ce dès les premières pages. Ils sont tous (ou presque) dotés d’une profondeur inattendue. Leurs idéaux, croyances et réactions sont d’un réalisme parfois éprouvant. Ils sont cependant bien trop nombreux et certains disparaissent bien trop vite pour réussir à s’attacher à eux avec passion.

Les descriptions de ces mêmes personnages ainsi que de tout le reste (décors, émotions, relations) sont particulièrement détaillées et ce avec une précision exemplaire mais parfois un peu lourde sur la quantité d’informations. Un très bon point est le vocabulaire vaste et irréprochable.

Conclusion : Un roman passionnant sur une civilisation légendaire mais dont la longueur pourrait intimider les lecteurs les moins habitués.

http://www.christiefo.com/2022/03/02/les-amants-de-l-atlantide/
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L’histoire commence avec Hugo Nicollini, un petit garçon un peu différent des autres qui voit encore une fois son père frapper sa mère. Malheureusement c’est la fois de trop et sa mère décède. Vingt-trois ans plus tard une femme, Angélique, est assassinée dans son appartement. C’est le commandant Rebecca qui est chargé de l’enquête. A partir de ce moment on commence déjà à chercher un lien entre ces deux affaires et le mystère commence.

Alors que tout commence sur une simple enquête, l’histoire prend une tournure terrifiante lorsque des coups de téléphone mystérieux et des lettres de menaces viennent perturber le quotidien de Rebecca, sans parler de ce tueur en série, censé être en prison, qui récidive après une longue et inexplicable absence.

Bien qu’au début le livre soit assez lent et simple, le rythme change pour devenir plus soutenu et à partir de ce moment on ne s’ennuie plus.

[...]

Je ne me suis pas attachée aux personnages mais je ne pouvais pas m’empêcher de lire avec attention les dialogues dans l’espoir d’y voir un indice (de quoi ? Je ne sais pas ! )

Je doutais de tout le monde tout le temps. Chaque personnage était un suspect potentiel à mes yeux.

[...]

Conclusion : C’est une histoire inattendue. Je ne m’attendais qu’à une seule enquête et finalement c’est un mélange de plusieurs. Ce Thriller est original et je l’ai réellement adoré ! Je ne sais pas si je peux le qualifier de coup de cœur mais je le recommande, ça c’est sûr !

La critique complète --> http://www.christiefo.com/2019/01/06/mauvais-genre-sp/
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Le cycle de Barcil est une série de nouvelles pouvant se lire indépendamment les unes des autres, racontant des aventures dans des univers SFFF.

Ugo le sage, est la sixième et nous raconte l’histoire d’Ugo, un enquêteur du gouvernement qui fait plusieurs découvertes mettant en danger les fondations de la société.

La nouvelle fait 87 pages dans son format broché (60 en EPUB) et est composée de très nombreuses descriptions parsemées de quelques dialogues.

Les descriptions sont de qualité. Elles nous situent bien dans l’univers qui est lui-même très bien présenté. Cependant, elles sont bien trop présentes à mon goût. C’est une multitude d’informations qui nous sont données en une courte histoire.

Pourtant je pense que cette aventure aurait mérité d’être étendue pour permettre d’insérer plus de dialogues et rendre ainsi ces descriptions moins compactes.

Néanmoins c’est une histoire très intéressante. Elle nous embarque dans des questions d’éthique, de morale et de vérité.

Conclusion : Une bonne histoire dans un bon univers mais trop de descriptions pour moi.
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(J’ai lu ce livre il y a plusieurs années, la chronique peut donc s’en retrouver affectée)

Ah… Oksa ! Pour moi, cette saga à une valeur particulière puisque c’est grâce (ou cause ?) de celle-ci qu’a réellement commencée mon adoration pour les ivres. Depuis l’achat de ce livre lorsque j’avais douze ans, ma bibliothèque est passée de maximum dix livres à plus de deux cent… Merci Oksa ?

Dans ce tome 2 nous retrouvons donc notre adolescente prête (ou pas) pour sa nouvelle aventure. Celle de retrouver son meilleur ami, Gus, disparu mystérieusement dans une salle de classe.

Déterminé à le retrouver, la voilà embarquée dans un étrange monde parallèle aussi fascinant que mortel.

Toujours aussi loufoques, les personnages nous embarquent dans de nouvelles péripéties toutes aussi fous qu’eux.

La patte des auteurs est spontanée, étrange mais tellement addictive que ce tome deux est un nouveau coup de cœur pour moi. L’histoire est poignante, les émotions palpables et le grain de folie un vrai plaisir.

Si Oksa est souvent comparé à Harry Potter, je suis très loin d’en partager l’avis. Potterhead et Pollockmaniac à la fois, je les trouve très différents. Si passionnants chacun à leur manière.

Conclusion : Un second tome convaincant, qui m’a fait voyager, rire et pleurer.
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Ce roman est français. Oui c’est important de le souligner car la littérature SFFF française est très peu reconnue dans son propre pays et pourtant elle est aussi qualitative que chez les autres !

Et ce roman ! Ce roman !

L’histoire nous parle d’Ambre de Volontas, une adolescente qui était pour moi, au premier abord plutôt antipathique mais qui s’est révélé bien plus appréciable que prévu.

Ambre vit dans le royaume de Tharanis avec son père, Général au service de l’empereur. Suite à une trahison (?), l’adolescente est contrainte de fuir. Dans sa fuite, de nombreuses embûches se dressent devant elle.

Le livre est composé en majorité de dialogues (un bon point pour les lecteurs qui bloquent sur les longues descriptions souvent présentes en fantasy) Les descriptions sont donc peu nombreuses mais toujours visuelles et réussies.

L’histoire est en soi assez basique, c’est une fantasy des plus classiques mais il n’y a pas particulièrement de clichés donc pour moi c’est maîtrisé. Les personnages sont variés mais honnêtement, il y en a trop. Pas le temps d’en découvrir un, qu’un nouveau débarque.

L’intrigue est riche en enjeux, secrets et révélations. La fin par contre est particulièrement inattendue et je suis sous le charme. Le tome 2 s’annonce des plus prometteur !

Quelques illustrations parsèment le roman. Pour ma part je ne suis pas adepte des romans qui en sont pourvus mais bon, c’est toujours joli à regarder.

Conclusion :

Une fantasy française réussie qui m’a beaucoup intéressée et qui donne envie de lire la suite.
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date : 05-03-2022
(La chronique est réalisée plusieurs mois après la lecture et peut s’en retrouver affectée)

Ce roman raconte l’histoire de Callie, une adolescente vivant dans une société où votre vous du futur est en mesure de vous envoyer un souvenir censé vous guider vers votre voie.

Malheureusement, dans le cas de Callie, le souvenir qu’elle reçoit ne contient rien de bien réjouissant puisqu’elle se voit assassiner sa jeune sœur adorée.

Cette dystopie m’a tout de suite intéressée par son résumé…

Bon d’accord. Je l’avoue, c’est la couverture. Mais vous l’avez bien regardé ? Cette merveille est une œuvre d’art !

Une fois passé la couverture, j’ai bien sûr lu le résumé et là il était évident que ce serait un coup de cœur !

Eh bien laissez-moi vous dire que je n’ai pas été déçue !

Comme dit plus haut (à deux reprises, résumé et début de chronique ^^) Callie reçoit un bien horrible souvenir de son moi futur. Une vision des plus ignobles. Elle se voit tuer sa petite sœur Jessa, qu’elle chérie pourtant de tout son cœur. Une sœur qu’elle aime tellement, qu’elle va tout tenter pour empêcher ce qu’elle a vu.

L’histoire en elle-même est une pure merveille. Elle est poignante, déchirante. Une aventure des plus difficiles émotionnellement parlant.

Le style d’écriture est fluide et très agréable. On a de belles descriptions, des dialogues plutôt cohérents avec l’âge des protagonistes (dans leur ensemble en tout cas).

Quelques maladresses dans mes souvenirs mais rien qui ne soit venu entacher ma lecture.

Conclusion :

Un véritable coup de cœur pour moi ! Attention toutefois aux lecteurs sensibles, les larmes sont au rendez-vous tout au long du roman.

http://www.christiefo.com/2021/10/14/forget-tomorrow-tome-1/
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date : 05-03-2022
Je remercie les éditions Taurnada pour cet énième SP.

L’œil du chaos est le nouveau roman de Jean-Marc Dhainaut. Cette fois-ci, au revoir les fantômes, bienvenue dans l’apocalypse !

Théo, adolescent, découvre que les photos qu’il prend montrent le futur. Et quel futur ! Le chaos est proche et le jeune lycéen qui cherche à prévenir le monde passe pour un fou, un agitateur.

Le résumé de ce nouveau roman était très prometteur, malheureusement, j’avoue, je n’ai absolument pas accroché. Que ce soit l’histoire ou les personnages. Je ne sais pas si c’est parce que j’en attendais beaucoup, ou si la différence avec les précédents romans de l’auteur est colossale. Ici, il y a beaucoup de descriptions. Vraiment beaucoup. Et pourtant, les premiers chapitres m’ont paru aller à une vitesse impressionnante. Pas le temps de connaître les personnages ou de placer réellement le décor que déjà, c’est le chaos. (Bon, c’est dans le titre mais bon !)

Les briseurs de suspense ont refait leur apparition et en surdose ! Je pense que clairement c’est voulu car on a un narrateur omniscient mais moi je n’aime pas ça du tout. ^^

C’est tout de même un plaisir de retrouver la plume de Jean-Marc qui reste très visuelle et de grande qualité.

Pour l’histoire, ce n’est pas seulement de la post-apocalypse. On traverse également le chambardement émotionnel de Théo face à l’adversité, la perte et la peur. Le monde part en vrille, l’humanité perd ce qui fait d’elle l’humanité.

Conclusion :

Un roman d’anticipation très descriptif mais qui pourrait vous retourner le cœur (émotionnellement).
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Conditions Générales d’Usurpation est un techno thriller qui m’a été envoyé par son auteur KeoT.

L’histoire parle de Mélissa, une jeune adulte qui trime pour s’en sortir financièrement et cède à la tentation de la cybercriminalité pour changer sa vie. Mais ce qu’elle n’avait pas vraiment prévu c’est qu’il s’agit d’un milieu dont on ne sort pas si facilement.

Ici on est sur un roman très moderne autant dans son intrigue que dans le style de l’auteur. L’écriture est jeune, pas alambiquée pour un sou. C’est nouveau, c’est frais et ça fait du bien !

Le début est calme. On plonge dans le quotidien monotone de Mélissa pendant plusieurs chapitres ce qui donne l’impression que l’histoire met du temps à arriver. Néanmoins on ne s’ennuie pas pour autant.

À la première personne, on découvre les pensées du personnage principal et cela rend les très nombreuses descriptions beaucoup plus fluides. On a le franc-parler de Mélissa et ce même avec le peu de dialogues des premiers chapitres. Pas de panique pour ceux qui n’aiment pas les descriptions, après quelques chapitres, vous serez servis en dialogues.

Petit détail qui pour moi n’est pas très agréable : les parenthèses. Pour séparer une pensée d’une description, l’auteur a parfois pris la liberté de placer des parenthèses. D’un point de vue personnel, je leur préfère largement les tirets qui donnent un style plus littéraire au texte.

Pour ce qui est des personnages, j’ai tout de suite accroché avec la majorité d’entre eux. Même les « méchants ». Les dialogues entre eux sont fluides, très naturels. On est sur des personnes lambda comme on peut en croiser dans la rue.

Quant à l’intrigue… La claque. Un thriller doit nous faire ressentir l’angoisse et l’adrénaline. Pour CGU c’est un pari réussi ! J’ai eu de longs moments de stress en tournant les pages et de très grosses angoisses pour quelques passages du livre.

Conclusion : Des chapitres un peu longs mais un style nouveau qui tient en haleine comme ce doit de le faire un bon thriller. Je conseille !
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date : 25-05-2022
L’histoire commence avec Billy, ancien joueur de foot dont la carrière s’est arrêtée après un accident. Alors qu’il est en voiture avec sa copine, Tina, le couple se fait percuter. Billy se réveille alors à l’hôpital sans Tina, qui est apparemment introuvable.

C’est là que commence l’enfer pour le personnage, mais aussi pour les lecteurs. Étrangement ficelé, le roman met en scène les rêves et les souvenirs de Billy dans sa recherche de la vérité sur la disparition de sa dulcinée. Une vérité qui va le plonger dans la noirceur des êtres humains, lui comprit. Le vocabulaire de l’auteur est impeccable. Je n’ai pas noté de répétitions, pas plus que de mot mal utilisé. Ses descriptions sont détaillées (parfois trop pour mon petit cœur fragile) et son style est affirmé. Xavier Massé sait où il va, et nous emmène dans son histoire étrange et un brin angoissante.

Point négatif, j’ai eu plus de mal avec certains dialogues que je trouvais moins riches et moins réalistes que les descriptions. Cependant, ils n’entachent pas la lecture.

Il manquerait un TW car lors d’un certain passage j’ai très mal vécu ma lecture à tel point que j’ai dû m’arrêter avant de reprendre. Certes un thriller n’annonce pas des papillons mais ça a été dur pour moi de lire ça. Âmes sensibles, s’abstenir.

Conclusion :

Un roman intriguant, étrange, passionnant dont on veut connaître le dénouement. Je répète cependant : Âmes sensibles s’abstenir.
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Dans ce thriller saupoudré d’ésotérisme, nous découvrons un monde de paillettes crasseuses. Car nos personnages prestigieux sont loin d’être innocents.

Les débuts de ce roman sont des plus intéressants. Si le prologue prend son temps, dès le premier chapitre, les jeux sont faits. Paolo Gadrielli ouvre son Hôtel/Restaurant/Escape Game. Si pour lui tout semble parfait, il va vite déchanter lorsque l’une de ses employées est retrouvée assassinée dans le parc de l’hôtel dans une mise en scène morbide.

C’est Richard Guton, capitaine de gendarmerie qui est chargé de l’enquête et le pauvre va avoir fort à faire.

Le style de l’autrice est très agréable. Visuel, on parvient sans problème à imaginer ces lieux où l’ésotérisme et le mystère semblent dominer. Avec un vocabulaire varié, une intrigue ambitieuse et des personnages complexes, ce thriller à su me séduire.

Quelques bémols sont tout de même venus perturber ma lecture.

Quelques personnages présentés comme guindés (du moins c’est comme ça que je les ai perçus), perdent parfois un peu de naturel au cours des dialogues.
Certains passages du livre s’éternisaient, me laissant le temps de me lasser avant qu’un peu d’action/mouvement ne recommence.
De plus, malgré les alternances de points de vue censés nous permettre de comprendre les pensées et réactions des personnages, l’autrice ajoutait parfois des explications plutôt inutiles sur les évènements qui alourdissaient le texte.

Néanmoins, l’enquête mystérieuse nous accroche et l’envie de connaître le coupable se faisait sentir de plus en plus à chaque nouvelle page.

http://www.christiefo.com/2022/06/04/lensorcellement_des_sens/
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Tout d’abord, je tiens à remercier les éditions Plon pour leur confiance avec l’envoi de ce premier service de presse.

Le roman « La promesse américaine » est un thriller dramatique mettant en scène Dag, un homme passionné par la culture américaine au point de partir y retrouver une femme, Joyce.

Le livre est écrit à la première personne du singulier et au présent (avec quelques passages au passé). Il nous raconte la vie de Dag en partant d’avant même sa naissance (la rencontre de ses parents) jusqu’à l’âge adulte où sa vie a tourné au cauchemar. J’ai trouvé les descriptions très passionnées et avec un vocabulaire varié ; peut-être trop alambiqué à mon goût mais qui saura plaire.
De la première à la troisième partie du roman il n’y a que très peu de dialogues, un aspect de lecture qui peut en rebuter plus d’un. Du fait de ces longues descriptions qui plantent décors et personnages, j’ai traîné dans la lecture. Peut-être un trop-plein d’informations inutiles ?

J’ai, de plus, remarqué une incohérence (à moins que ce soit moi qui n’ai pas compris) au niveau de l’âge de Dag et Joyce mais rien de bien perturbant.

Toutefois, la partie thriller est plutôt intéressante puisque, même au début, des petits éléments étaient donnés pour faire questionner le lecteur : Mais enfin, que s’est-il passé dans la vie de Dag ?

Conclusion :
Un thriller un peu trop descriptif à mon goût, du moins sur ses cent premières pages, mais qui, je ne le doute pas, trouvera son lectorat.
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