Commentaires de livres faits par Cosma-Shiva
Extraits de livres par Cosma-Shiva
Commentaires de livres appréciés par Cosma-Shiva
Extraits de livres appréciés par Cosma-Shiva
- Tu comptais vraiment le manger ?
- J'ai dit que je le ferais, pas vrai ?
- Soit tu es la femme la plus formidable que j'aie jamais rencontré ...
- Eh bien ... fis-je en me recoiffant avec un sourire modeste.
- Soit tu es la plus sotte de toutes.
- Je te déteste.
- C'est la reine !
Vol plané. "Paf !"
- Ma reine !
Vol plané. "Paf !"
- Ne t'avise plus de poser la main sur elle !
Vol plané. "Paf !"
J'avais l'impression de me retrouver dans un vieux générique de Batman. Je visualisais presque les onomatopées des sons qu'ils produisaient.
- Ooooh ! répondis-je en réprimant un sourire moqueur. Ça me touche beaucoup, Tina !
- Je suis d'accord, ajouta Sinclair. C'est un miracle que tu ne sois pas plus superficielle et ignorante que ça !
- Merci. (Une pause.) Quoi ?!
Jessica se détendit et sourit. Marc et moi aussi. Je savais qu'il avait renoncé à finir sa phrase autrement : pour la semaine, le mois, la décennie, le siècle.
Avec sa bouille de ravi et ses grosses pattes prêtes à repartir, Pilote - Pilou pour les intimes - semblait penser que si, Maman pouvait le conduire jusqu'en Normandie, elle n'avait que ça à foutre.
- Pas toi m'man. Les autres femmes. Celles qui veulent juste sortir de chez elle pour donner un sens à leur vie.
Il prend le livre et me souhaite bonne nuit.
- De toute façon, c'est juste un cours.
- J'aimerais que tu arrêtes de le suivre, lui dis-je.
- Pas moyen. J'ai besoin de ces notes pour aller à l'université.
- Pour quoi faire ? Finir major de promo en christianisme moderne ?
- Non, juste pour aller à l'université.
C'est comme ça qu'ils ont réussi. En glissant un cour par-ci, une association par-là. En faisant miroiter aux gamins que ça leur permettrait d'atteindre plus facilement leurs objectifs.
Tellement simple, dans le fond.
- En pédiatrie ? (Une vague de terreur glacée parut le submerger.) Jamais ! Jamais je ne distribuerai des sucettes et des autocollants ! Jamais je ne m'exclamerai "Oh, comme tu as grandi" !
- Vous vous énervez à nouveau, Graham.
Putain, quand je prenais du recul pour y réfléchir, je trouvais ça vraiment déprimant.
Ce qui signifiait qu'il était l'heure de préparer des milk-shakes.
- Aucun problème.
Mais j'avais un mauvais pressentiment. Elle avait dit ça comme si de rien n'était, mais je soupçonnais que j'allais devoir retourner au supermarché très vite.
- Toute la dinde.
C'était bien ce que je pensais.
Vous sautez de joie. Vous êtes affectée à la caisse "moins de 10 articles". Une journée tranquille en perspective. Si j'étais vous, j'attendrais avant de m’exciter ... 10 = 10 ? Pas à votre caisse. Bon courage !
10 = 20
Caissière : Bonjour, vous avez moins de 10 articles ?
Client : Evidemment !
Nombre d'articles posés sur le tapis = 20.
Caissière : Merci de vous dirigez vers une autre caisse.
Client : Feignante !
Je relevai une ceinture imaginaire.
- Eh ben, c'est pas de la rigolade, ça, shérif !
Il se disait : J'ai connu la passion, et j'ai connu l'ennui. J'ai préféré l'ennui.
[...] Dis, Norine, les petits bâtards, ils sont moins jolis que les autres ?
HONORINE
Non, au contraire, souvent ils sont plus forts, et plus intelligents.
CLAUDINE
Et alors, de quoi tu te plains ?
RIDEAU
- Le Jardin de la mort, tu veux dire.
C'était puéril, bien sûr. Et alors ? Essayez de me coller un procès, pour voir.
La porte s'ouvrit et Anthonia passa la tête par l'embrasure.
- Putain, c'est quoi ce bordel ?
- Nous venons de nous lancer dans un débat, expliqua obligeamment Satan. Sur ...
- Rien à carrer.
La porte se referma. Les bruits de pas s'éloignèrent tandis qu'Anthonia repartait d'où elle était venue.
- Je ne t'ai jamais remerciée de m'en avoir débarrassé, commenta Satan.
- Je savais bien que vous aviez accepté trop rapidement, m'exclamais-je.
Caissière : Bonjour, vous avez moins de 10 articles ?
Client : J'ai une quarantaine d'articles mais je vais payer en 5 fois.
Caissière : Très astucieux. Je n'y aurais jamais pensé.
Et que notre colocataire loup-garou, Anthonia, arrête d'insulter ma cérémonie en la traitant de "singerie". Et que George le Monstre - je veux dire Garrett - cesse de nous montrer qu'il peut manger avec ses pieds. Et que Cathie ne me murmure plus des âneries à l'oreille pour me faire rire aux moments les plus inopportuns.
Et que mes parents arrêtent de se disputer, que la paix soit déclarée au Proche-Orient avant que les feux d'artifice - et les colombes - soient lancés dans le jardin de derrière. Oh, et que quelqu'un découvre que le chocolat soigne le cancer.
Franchement, était-ce trop demander ?
En somme, je me croyais le fils d'un honorable commerçant et d'une honnête jeune fille. J'apprend que ma mère était la maîtresse d'un garçon de bar, et que mon père et mon grand-père, la nuit, dans leur bistrot, se foutaient des torgnoles. Ça me fait une drôle de galerie des ancêtres.
Est-ce qu'on ne pourrait pas empêcher grand-mère de tricoter ?
FANNY
Pourquoi dis-tu ça ?
CESARIOT
Cette valise est encore bourrée des produits de son industrie. Des tricots épais comme des tapis, et des chaussettes ! Regarde-moi ça, et dis-moi à quoi ça ressemble ?
FANNY
Ca ressemble à de l'amour.
CESARIOT
C'est peut-être de l'amour, mais c'est sûrement pas des chaussettes.
- Alors je voudrais lui jeter un sort qui la ferait dormir à jamais, dit Lilith, bien consciente que sa voix avait retrouvé le ton maussade de ses jeunes années.
- A jamais, ça fait bien long, dit la vieille. Hormis la mort, la seule chose éternelle, c'est le véritable amour.
Elle fouina dans les replis de ses guenilles loqueteuses pour en tirer une pomme rouge.
- Tiens, mange ça, dit-elle. C'est bon pour toi.