Le Monde de Maliang, Tome 1 : Le Pinceau
Auteur
- Yang Liu (Écrivain)
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Classement en biblio - 61 lecteurs
Commentaires récents
BD sympa mais sans plus, le principe est un peu attendu. Les péripéties de MaLiang ont un côté très prophétique
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Une mignonne petite BD onirique à la sauce chinoise pleine de magie et d’aventure et aux dessins chatoyants qui enchantera les plus jeunes.
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C'est la série BD que je préfère, ces objets merveilleux, ce paysage merveilleux et ce livre est merveilleux. Je me lasserais jamais de la lire.
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C'est l'une de mes bande dessinée favorite.Les romans et BD parlant de magies sont mes préférées. Les personnages sont merveilleux et les objets magiques sont fabuleux.
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Une bande dessinée qui se lit hyper vite, j'ai plutôt apprécié mais sans plus.
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Quelle belle découverte, j'ai grandement apprécié cette BD.
Les dessins sont magnifiques & l'histoire nous embarque complètement. Cette BD est juste envoûtante.
J'ai beaucoup aimé le personnage principal, Maliang, il est très touchant & très passionné par le dessin. Il reste humble même face aux prétentieux.
En résumé, une belle lecture, mais bien trop courte selon moi. Je lirais la suite avec plaisir.
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Date de sortie
Le Monde de Maliang, Tome 1 : Le Pinceau
- France : 2012-12-13 (Français)
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Résumé
Présentation de l'éditeur (Physalis) :
La Chine ancienne. Maliang n’a pas la chance d’aller à l’école comme les autres enfants de son âge. Pour survivre, il est obligé d’exercer le dur métier de bûcheron aux côtés de son grand-père. Mais dès qu’il a un peu de temps libre, le jeune garçon s’adonne à sa véritable passion : le dessin. Il dessine sur toutes les surfaces qui se présentent à lui, des murs de sa chambre aux rochers des rivières, mais pas sur du papier car cette matière coûte cher… Un jour, un enfant riche et arrogant met Maliang au défi de mieux dessiner que lui. Un vieil homme assistant à la scène lui prête son pinceau pour qu’il puisse relever le défi. Le dessin de Maliang fait l’unanimité et le vieil homme lui offre le pinceau en récompense. Ce dernier met toutefois Maliang en garde : « Continue à assouvir ta passion mais à présent, fais très attention à ce que tu dessines… »
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