Que dire… on doit à présent dire adieu à une magnifique saga. Je ne vous le cacherai pas, j’ai sa-vou-ré ce dernier tome, en essayant de prendre mon temps et d’apprécier une dernière fois chaque personnage et l’univers de Aelin.
Le dernier tome est là, la dernière bataille approche, connaissant l’auteure cela sera sanglant et létal, mais jusqu’où ?
J’ai adoré redécouvrir les sorcières par le biais de Manon et des Crochans. Je me suis vraiment attachée à elle, ainsi que sa relation avec Dorian. J’étais toujours heureuse de tourner la page pour tomber sur un de leur passage.
La court de Aelin est simplement magnifique, jusqu’où ils iront pour elle… Ce que Lysandra fait pour son amie et pour ce en quoi elle croit. (ps. Oui, je l’avoue, par moment j’avais très envie de frapper Aedion, mais que voulez-vous !)
Quand j’ai commencé ce tome, j’appréhendé fortement les premières morts. Et oui, qui dit bataille finale, dit d’incommensurables pertes humaines. Mais j’accepte toutes les morts car elles étaient belles et vraiment bien écrites. (Je ne spoilerai personne, mais le sacrifice liré à Manon m’a déchiré le cœur.)
Bien que nous soyons dans le dernier tome, on en apprend encore énormément sur Aelin, son passé, son destin lié aux dieux et les valgs. Tout était tellement bien développé, les révélations tellement surprenantes que je ne pouvais que me laisser envahir par Aelin et ses compagnons.
Le caractère d’Aelin, sa force de vivre, son courage, sa relations avec les différents faes que nous connaissons, j’ai tout particulièrement aimé la complicité qu’elle créa avec le loup Fenrys.
Mais comme toutes les bonnes choses ont une fin, nous nous devons désormais de dire adieux à cette magnifique série qui restera longtemps gravé dans ma mémoire. Je peux affirmer sans hésité qu’il s’agit là de mon plus gros coup de cœur.

Ce second tome s’inscrit parfaitement dans la lignée du premier. J’avoue au début avoir eu quelques appréhensions à la fin du premier tome, mais tout compte fait, je me suis replongée dans cet univers avec plaisir. Cependant, je dois l’admettre, l’héroïne commence sérieusement à m’énerver par moments, avec ses réactions quelques peu stupides et son inconditionnel besoin de sauver tous ces dinosaures sanguinaires. De même, Lincoln m’énervait par moment.
Mais malgré tout cela, ces personnages qui sont par moment énervant, l’histoire est plutôt bien écrite, l’univers plutôt bien développé, et tout suit une même logique.
Ce tome est intéressant car on commence enfin à en apprendre plus sur le continent des humains et sur celui des dinosaures. On en apprend aussi davantage sur Storm et son passé, avec quelques flashbacks par-ci par-là.
De même, on découvre enfin concrètement son père et son caractère, il n’est peut-être pas si odieux que l’auteur veuille nous faire penser.
Bref, un second tome qui se lit plutôt rapidement et en toute tranquillité, je lirai à coup sûr le troisième tome.

Give the dark my love :
Un premier tome vraiment très riche en émotions, je ne saurai par où commencer. J’ai vraiment apprécié le personnage de Nedra. Elle est vraiment complète et logique. Elle suit une conduite et n’en dérègle pas. Elle est simple et vraie avec elle-même. Et son histoire est vraiment déchirante. Je savais, dès les premières pages, qu’il allait se passer quelque chose d’horrible, mais je ne m’attendais vraiment pas à ça. Et malgré tout ça, j’ai vraiment adoré son histoire, même si elle a subi de nombreuses épreuves, elle en est ressortie plus forte et tout ce qui s'est passé était nécessaire pour la suite de l'historie.
Nous suivons donc Nedra, qui vit dans le nord d’un pays sous emprise royale. Le nord du pays est, on peut le dire, la partie pauvre de l’île. Elle y vit avec ses parents et sa sœur et rêve d’entrer dans l’académie Yugen afin d’étudier l’alchimie (et donc la médecine) afin de trouver une solution contre une peste qui ravage le pays (plus particulièrement les pauvres, et donc plus particulièrement le nord de l’île).
Suite à certains rebondissements, elle finit par obtenir une bourse pour étudier. Dans cette académie, elle y fait la rencontre de Gréggorie (Grey) et d’un professeur (Ostrum) qui seront des personnages centraux de l’histoire.
Au fil des pages, on finit par en apprendre davantage sur cette peste et sur l’alchimie. Et s’il y a une chose qui m’a de premiers abords rebuté, c’est l’utilisation des rats. Le fait qu’ils transfèrent leurs souffrances et la donnent aux rats m’a quelque peu dégoûter au début. Mais on finit par passer outre.
De manière général, le livre est vraiment bien écrit, je n’ai pas réussi à le lâcher de la semaine. L’auteur a vraiment su nous transmettre tous les sentiments de Nedra, on l’a comprenait vraiment et j’approuvais toutes ses décisions. De plus, on enchaîne rebondissement sur rebondissement. Lorsque l’on pense avoir trouvé la solution au problème, le coupable de tel problème, l’auteur arrive et nous chamboule tous nos repères. Vraiment une belle découverte de ma part, je recommande ce livre. De plus nous sommes dans l’un des univers qui me passionne énormément : un côté médiéval mais tout de même moderne.
Breft, une bonne lecture et je lirai la suite avec plaisir

On retrouve dans ce premier tome plein d’éléments intéressants. Bien qu’il m’ai fallu un certain temps pour comprendre que nous nous trouvions dans une ville inventée avec comme idée de base une ville indienne, j’ai bien aimé l’univers que l’auteur a crée.
Nous suivons Marinda, une assassine experte qui tue d’un simple baiser. Mais je dois avouer avoir eu du mal à accrocher avec elle. Elle est un peu niée et très crédule. Elle fut bernée à de nombreuses reprises par son détracteur au point que je me demande si elle réfléchit vraiment. Son monde se voit chambouler lorsqu’elle fini par tomber amoureuse de sa prochaine cible : elle fera tout pour le sauver et enchaînera les difficultés.
J’ai vraiment apprécie l’histoire en elle-même, son univers et son intrigue qui est liée avec une mythologie sympa. Certains passages étaient prévisibles, je suppose qu’il s’agit d’éléments de fantaisie indispensable, mais d’autres m’ont surprise et retenue en haleine.
L’écriture de l’auteur est fluide et agréable à lire, bien qu’un peu plus de description et d’explication au début aurait sans douté été apprécié
Bien que je ne vois pas trop comment les choses vont évoluer, j’ai hâte de lire le second tome afin de voir ce que l’auteur nous réserve. Comment se débarrasser du roi serpent ? Comment Marinda va-t-elle survivre ?
Le seul petit bémol pour moi s’agit sans doute du nom de l’héroïne : je n’ai vraiment pas accroché.

Encore une belle découverte.
Je ne savais pas dans quoi je m’embarquai en commençant ce livre. L’univers est vraiment intéressant : une planète divisée en deux parties : une par les humains et une par les dinosaures. La partie humaine a été sur-cultivée, avec une population bien trop importante. Ils sont donc dans l’obligation de trouver des solutions : la principale étant d’envahir la zone occupée par les dinosaures. Chose qui n’est pas facile, car ils n’ont pas beaucoup de ressources et ne savent pas beaucoup de choses sur eux. C’est là qu’en entre jeu leur trial (ou épreuve) par laquelle ils choisiront 100 personnes (les plus douées et capable de survivre dans cet univers hostile) pour tenter d’explorer un peu plus Piloria et par la même occasion récupérer les œufs des trois espèces de dinosaures les plus dangereuses pour en étudier leur ADN afin de trouver un virus pour les tuer.
Nous suivons le récit du point de vue de deux personnages : Stormchaser et Lincoln. J’ai accroché avec les deux personnages bien que par moment je ne pouvais plus supporter le désir de Storm pour sauver les dinosaures.
La première partie du récit se situe sur Earthasia, il s’agit de la découverte des personnages principaux, des épreuves qu’ils doivent surmonter pour être sélectionner. Storm y va au départ dans le seul but de manger des rations normales le temps de quelques jours tandis que Lincoln y va dans le seul but d’être choisit et de gagner pour offrir à sa sœur les soins dont elle a besoin.
Cette première partie est sans doute celle que j’ai préférée le plus, avec pas mal de rebondissement, d’actions et de découvertes.
Mais la deuxième partie vaut le détour. On en apprend bien plus sur les dinosaures, leur continent, caractères etc… On suit Storm, Lincoln et trois autres hommes de la région nord alors qu’ils tentent de survivre et de collecter les différents œufs.
L’écriture est assez fluide, je me suis surprise à lire des dizaines de pages sans voir le temps passer. J’apprécie la relation haine/amour entre Storm et Lincoln, elle se développe plutôt vite et bien mais c’est juste ce qu’il faut.
D’une manière générale ce premier tome est une belle découverte et je le recommande à toute personne ayant aimé hunger game, labyrinth et livre dans ce genre.

Je ne savais pas, en ouvrant ce livre, dans quoi j’allai m’embarquer. Et des fois c’est comme cela que nous découvrons de petites perles.
Cependant je dois avouer que par moment je me trouvais perdue ou ennuyée. Ne vous m’éprenez pas, l’histoire est passionnante et l’auteur a vraiment su nous embarquer dans son aventure. Mais voilà, lorsque vous ne connaissez pas (ou vous ne souvenez plus) de vos grands classiques grecs, il est parfois difficile de suivre l’énorme courant de noms de personnes et d’endroits.
Cela mis à part, j’ai adoré ce livre ! La mythologie grecque m’a toujours intéressée et j’ai vraiment aimé redécouvrir l’histoire d’Achilles à travers cette œuvre. L’auteur a su rendre vie à ces personnages mythiques. Et parfois ça fait du bien de découvrir un mythe par le point de vue d’un auteur moderne. (et ici une auteure, encore plus fantastique !)
Que dire d’autre, si ce n’est que l’auteure connaît son sujet sur le bout des doigts et sait très bien nous transmettre son savoir.
Mais attention, soyez près sentimentalement, vous connaissez tous la fin n’est-ce pas ?
De plus, c’est agréable de découvrir une histoire romantique entre deux hommes. (je n’en lis pas souvent car dans mon style de lecture je n’en trouve pas) Bien que je dois avouer que par moment l’auteure nous laisse sur notre fin. Nous n’avons en réalité que très peu (voir aucune) réelle scène d’amour comme il se doit. Il est vrai que ce n’est pas là le cœur de l’histoire, mais je suppose que c’est quand même important : après tout, nous découvrons l’histoire d’Achilles à travers Patrocles. Bien qu’ils débordent tous les deux d’amour, de tendresse et de preuves d’amour, j’ai le sentiment qu’il manquait quelque chose sur ce point de vue.
La relation entre Patrocles et Achilles est si pure, si honnête et intense. Je me trouvais à éprouver tout ce que ressentait Patrocles, à vouloir tourner au plus vite les pages afin de savoir la suite, à attendre avec lui et à espérer avec lui.
Globalement, une très belle surprise grâce à ma bibliothèque que je recommande vivement à tout amateur de mythologie grecque.

J’ai pensé à arrêté après quelques pages, en pensant qu’il ne s’agirait pas d’un genre qui m’intéresserait. Mais j’ai bien fait de continuer.
Le début est assez dur à suivre, avec tant de termes inconnus et sans explication (a.k.a les différentes régions, les langues parlées, les souverains... bref tout ce qui fait d’un univers romanesque un bon univers), nous étions en quelque sorte laissé à l’abandon, sans aucun repère et qu’avec très peu d’explications.
Mais au fil du temps j’ai fini par m’attacher à Brienna et ses « sœurs de cœur ». L’idée de « passioner » est intéressante, et est plutôt bien amenée par l’auteur. J’avoue avoir eu un peu peur sur l’évolution de l’histoire, je ne voyais pas ce que l’auteur voulait faire. Mais c’est une bonne surprise, la famille « adoptive » de Brienna est agréable et plutôt bien développée.
On fini enfin par en apprendre plus sur cet univers et l’histoire de Brienna. Mais je ne sais pas vraiment quoi en penser. L’une des révélations ‘clé’ du livre n’en était pas une du tout pour moi. Dès l’instant où l’on apprend son nom de famille, j’ai su qui était son père. Et pour tout dire, je pensais qu’elle le savait aussi... Certains passages portaient à confusion.
La question se pose donc : ai-je anticipé l’auteure et découverts sa grande révélation bien trop tôt ? Ou est-ce dû au fait que je l’ai lu en VO (qui n’est pas ma langue maternelle ?)
Au final, dès le début du récit j’ai été perdue par l’ingurgitation d’un trop grand nombre de noms et de concepts inconnus sans grandes explications de la part de l’auteure.
Mais ne vous méprenez pas, j’ai aimé l’histoire et l’univers, simplement le style de l’auteur n’est peut-être pas l’un de mes préférés.
De plus, j’ai dû mal à accepter la relation de Brienna et de son ‘maître’. Ce n’est que mon avis mais voilà, je n’accroche pas, je trouve cela même quelques peu gênant quand on sait qu’il reste son professeur (avec qui elle a étudié pendant 3 ans) et qu’il est son aîné d’au moins 15 ans... Mais quand je mets ces détails de côtés, je trouve que leur couple est mignon, un peu bizarre mais mignon.
Bref, une lecture quelque peu mitigé, mais tout de même agréable. Il s’agit là d’une dualité donc je lirai le second tome sans aucun doute. Je me demande ce que l’auteur a encore sous la main, car le plus gros de l’histoire a été bâclée en un tome (bien qu’à une vitesse raisonnable, je pense qu’on aurait pu en apprendre plus sur l’univers des personnages et son histoire).

Une nouvelle belle découverte, on y trouve tout ce dont on a besoin : une héroïne téméraire, un ennemi-allié mystérieux, un amour fraternel très profond entre Wil et Gerdie (j’ai d’ailleurs trouvé cela dommage qu’ils ne soient pas ensemble plus longtemps dans le récit), et la naissance d’un amour maudit.
Cependant, un petit point que je reprocherai : l’évidence des pouvoirs de Wil. Dès le début nous sommes familiarisé avec le roi au touché d’or, il en devient donc très évident de ce qu’il se passe ici. J’espère simplement que l’auteure arrivera à me surprendre comme d’autres arrivent à le faire.
Il y a cependant de bonnes surprises.
Nous suivons Wil, une jeune princesse de 16 ans (tout juste) qui se trouve être en quelque sorte le rejeton de son père. Le roi est très cruel et n’éprouve aucune affection envers ses enfants. Malgré tout cela, trois enfants de la fratrie sont très proches et cela fait plaisir : de tous les romans que j’ai lu, j’ai rarement eu l’occasion de tomber sur un amour fraternel et ça fait du bien d’en voir de temps en temps.
Wil est mure pour son âge, élevée pour devenir l’espionne de son père, elle a fait les quatre cent coups avec ou sans ses frères. Je me suis vraiment attachée au personnage, un bon point pour l’auteure.
L’histoire en elle-même est assez classique (dans le fond) mais l’auteure apporte vraiment sa touche personnelle. Tout d’abords la façon qu’elle a trouvé pour mélanger à la fois magie, alchimie et électricité. C’est d’ailleurs très intéressant de découvrir un pays qui possède ces trois choses. Bien que l’électricité soit encore récente et peu présente, l’idée de mélanger cette technologie avec la vie médiévale avec roi et reine est très rafraichissante.
Le royaume du père de Will se prépare à entrer en guerre contre son royaume voisin au sud. Et suite à certaines péripéties, Will se retrouve dans le sud, captive du prince sudiste, Loom. C’est une bonne chose, après avoir légèrement eu le point de vue du nord, nous avons droit, d’une certaine façon, à celui du sud. Les aventures que Wil doit faire face avant d’être en sécurité et de trouver la personne qu’elle recherche s’enchainent très bien et sont innovantes.
Le caractère de Wil est très charmant, elle sait ce qu’elle veut et sait se battre pour l’obtenir, nous n’avons pas là une énième pleurnichard.
Le livre se lit très bien, l’écriture est fluide, les actions s’enchaînent, les révélations aussi et les personnages sont bien construits. Bref, on ne s’ennuie pas.
Je recommande vivement à ceux qui ont aimé Throne of Glass et d’autres séries dans ce genre.

Quel dernier tome pour cette trilogie !
La lutte pour le cœur de Maxon est toujours aussi acharnée mais elle passe un peu en second plan.
Depuis que nous en savons plus sur les rebelles, la naissance de la nouvelle Amérique, je dois dire que je m’y intéresse bien plus que de savoir qui Maxon préfère (car nous savons tous qu’il n’a d’yeux que pour America).
America s’est vraiment révélée dans ce tome, elle est d’une ingéniosité hors pair, j’apprécie vraiment la relation qu’elle entretient avec la princesse italienne, ainsi qu’avec les rebelles. Tout prend enfin sens, nous connaissons maintenant toute l’histoire sur ce pays, et je trouve qu’America a très bien su réagir. Elle est toujours restée fidèle à elle-même et n’a jamais oublié ses origines.
Les quelques révélations surprises en lien avec les rebelles sont excellentes et je ne m’y attendais pas (du moins pour certaines).
Aspen commençait vraiment à me taper sur le système, mais dans vers le milieu de ce troisième tome j’ai tout de même fini par m’y attacher. Son dénouement est à la fois surprenant et à la fois attendu. Mais en somme, je suis heureuse de sa fin.
America a enfin réussi à ‘dompter’ le royaume et à s’y faire une place, je ne peux qu’être fière de ses actions. (notamment la scène avec les condamnés, très touchante et juste).
J’ai été un peu perdue pour ce qui est de Maxon, il n’a pas su se révéler complètement à America et m’a moi-même fait douter à plusieurs reprises, j’en venais à essayer de chercher ce qu’il pensait. Et à comprendre ses actions.
Il ne faut également pas oublié Marlee. J'ai vraiment adoré ce personnage et je suis heureuse de découvrir qu'il y a un novella sur son point de vue (que je vais m'empresser de lire!)
En soit un très bon tome, avec énormément de revirement de situations, de révélations mais aussi de pertes. J’ai vraiment dévoré cette série et je suis heureuse de l’avoir découverte. Je pense dévorer la suite aussi. Découvrir une version de cette histoire où les hommes feraient la sélection, ce ne peut être qu’amusant.
Tout au long de l’histoire, j’ai apprécié le style d’écriture de l’auteur, sa fluidité et sa capacité à nous faire partager les émotions de America (le récit étant écrit à la première personne a beaucoup aidé).
Bref, une série que je recommande vivement. Elle se lit très vite et facilement.

J’ai dévoré ce second tome aussi vite, si ce n’est plus vite, que le premier.
Le nombre de prétendantes est maintenant réduit, et la compétition n’en est que plus féroce. Mais America ne sait toujours pas où elle en est dans ses sentiments. D’un côté cette hésitation est intéressante, d’un autre elle en devient énervante.
L’apparition de Aspen n’aide en rien. Je n’ai jamais réussi à l’apprécié, bien qu’il ait fait ce qu’il a fait pour le bien de America, je n’arrive pas à le comprendre. Et revenir à la charge au palais pour essayer de la reconquérir... non je ne suis pas fan. Je ne pense pas qu’il soit fait pour elle. Mais voilà, America se retrouve divisé entre son amour passé et son amour naissant.
Cette nouvelle ‘guerre’ est intéressante, nous nous retrouvons d’un côté avec Aspen qui sait contre qui il se bat, et d’un autre côté Maxon qui est complètement ignorant du combat qu’il doit mener.
On en apprend d’avantage sur le système de caste, comment sont les autres pays etc, et s’en n’est que plus intéressant. Les attaques incessantes des rebelles nous fait nous demander ce qu’il se cache dans le passé de ce pays. Tout n’y est vraiment pas tout rose.
America évolue bien dans ce second tome, bien qu’elle m’agace encore avec la facilité qu’elle a pour pleurer pour un oui ou pour un non dès qu’il s’agit d’hommes.
Maxon est également bien plus développé, ainsi que sa relation avec son père qui est des plus compliquée.

Au commencement, je ne m’attendais pas du tout à ça. J’avais lu le résumé du livre il y a longtemps, je ne me souvenais donc que des grandes lignes et j’ai été surprise quand je me suis mise à lire le livre.
Je ne suis d’habitude pas si intéressé à ce genre d’histoire, qui est clairement une histoire d’amour sans grands chamboulement ou aventure. Mais que nenni, il en est tout autre !
Nous nous trouvons dans une Amérique très lointaine, ou deux nouvelles guerres mondiales ont explosé. Le pays est dans une sorte de misère, les citoyens sont séparés par castes et c’est ce qui dicte toute leur existence : en fonction de leur rangs, ils ne peuvent faire que tel ou tel travail. Un concept intéressant, qui a déjà été utilisé à de nombreuses reprises mais l’auteur a su y apporter sa touche personnelle et je n’ai pas du tout trouvé ça ennuyant ou répétitif.
Nous suivons America Singer, une jeune Cinq qui voit tout son univers chamboulé lorsqu’elle est sélectionnée pour faire parti d’une sélection de 35 jeunes femmes qui doivent mener une lutte acharné entre elles afin de gagner les faveurs du prince.
J’ai toute de suite adoré America, bien que je trouve que son personnage est souvent contradictoire. Par moment elle est très forte et courageuse, et par d’autre (dès qu’un garçon rentre en jeu) elle pleure sans arrêt. Mais hormis ce petit détail, elle est vraiment adorable.
Au fil des pages je me demandais où l’auteur voulait nous emmené, et je trouvais difficile de réaliser trois tomes sur cette simple histoire de sélection. Mais pas du tout, le livre se lit très vite et nous emmène dans l’univers de America sans difficulté. Le premier tome n’est qu’une ébauche de cette nouvelle Amérique, et nous n’en savons pas beaucoup plus à la fin de ce tome. Ca ne me dérange pas, car nous avons pu apprendre à connaître les personnages et à s’y attacher. J’espère simplement que toute l’histoire se dévoilera dans les prochains tomes. J’ai besoin d’en savoir plus sur ce pays et son système.
En somme, il s’agit d’une très belle découverte que je recommande fortement !

Nous avions quitté le premier tome sur la disparition de Sam. Est-il en vie ? Si oui, sous quelle forme ? Le suspens ne dure pas longtemps et nous sommes enfin soulagé de le redécouvrir humain.
Mais voilà, tout ne peut pas être si paisible que ça à Mercy Falls. Maintenant que Sam est ‘libéré’ de son loup, c’est Grace qui commence à avoir des problèmes.
Ce second tome est tout aussi passionnant que le premier, et je ne suis pas déçue de m’y être replongée après tant d’années. Bien que je connaisse dans les grandes lignes l’histoire, il est toujours agréable de redécouvrir certains passages, et certains traits des personnages. J’ai particulièrement aimé le personnage de Cole (bien qu’au début il me tapait sur les nerfs) et ses interactions avec Isabelle. Cela apporte quelque chose de nouveau à l’histoire, et on en avait besoin.
Et oui, je dois dire que je commençais à me lasser du couple tout mignon tout beau de Sam et Grace, des problèmes que Grace a avec ses parents (qui sont pour moi d’une hypocrisie ! Je n’ai jamais pu les apprécier). Sam est tout mignon et s’en veut de donner ce genre d’impression aux parents de Grace mais ce qu’ils ont tout les deux est si fort...
Enfin voilà, l’addition des quelques nouveaux jeunes loups est fortement appréciée, même si à part Cole, on n’entend pas beaucoup parler des autres. Et c’est bien là ce que je reprocherai à ce tome : le manque d’information sur les loups. Je suis au courant que nous sommes en hiver, et qu’il est donc difficile pour les loups de rester sous forme humaine, mais dans mes souvenirs il y avait trois nouveaux loups : deux garçons et une fille. Qu’en est-il de la fille ? Peut-être que nous en saurons plus dans le prochain et dernier tome ? De même, qu’en est-il de l’amie de Grace ?
Ce tome est des plus intéressants car il nous permet d’en savoir d’avantage sur la création des loups et sur leur fonctionnement (notamment grâce à Cole.) L’auteur a vraiment su trouvé un bon système et elle nous l’amène d’une telle façon que s’en est presque évident, logique, comme s’il ne pouvait en être autrement dans le cours de l’univers.
Tout cela pour dire qu’il s’agit d’un très bon second tome, bien que certains passages étaient un peu ennuyants, j’en garde tout de même un très bon souvenir. L’écriture est fluide, les personnages drôles et entiers (bien développés), je ne peux que recommander cette série pour quiconque aime l’univers des loups et souhaite passer un agréable moment sans prise de tête.

Très bon tome, très belle écriture.
Nous nous retrouvons avec Grace et Sam, l’un loup-garou, l’autre amoureuse d’un loup-garou. L’histoire est très prenante, on en vient à avoir peur pour Sam tout comme Grace.
Les caractères sont bien développés, je ne retrouve aucun ‘cliché’ de ce genre d’histoire. L’auteur enchaîne les rebondissements sans que l’on ne s’y attende. Le fait d’avoir le point de vue des deux personnages principaux et, pour moi, toujours un plus. C’est encore plus prenant, cela nous permet de mieux les comprendre tous les deux. Les personnages secondaires ne sont pas pour autant laissé de côtés, et ils apportent vraiment un plus à l’histoire.
J’adore vraiment Grace et son caractère qui est en contraste flagrant avec Sam. Les deux se complètent vraiment bien et on ne peut qu’espérer qu’ils finissent ensemble. Plein de leurs petites moments à deux m’ont fait sourire, j’ai tout particulièrement aimé la scène dans la boutique à gâteaux et la librairie. Le fait d’avoir Grace, mordue elle aussi, ne s’être jamais transformé est intéressant. On l’a voit lutté à essayer de comprendre pourquoi elle se sent toujours vide, pas à sa place. Et la voir adopter complètement cette part d’elle grâce à Sam est géniale et bien écrit.
L’histoire de Sam est vraiment touchante et triste, la révélation sur sa création en tant que ‘loup-garou’ est surprenante, mais nous y sommes préparés tout au long du roman. La meute est intéressante, chaque loup à son caractère et apporte beaucoup à Sam.
Les actions s’enchaînent bien, avec une bonne dynamique, en vrai, j’ai dévoré le roman de A à Z. Alors qu’il s’agissait d’une relecture après une dizaine d’année. Je trouve que le fait de savoir (en globalité) ce qu’il se passe, apporte un plus à l’histoire et nous touche d’autant plus. J’ai été agréablement surprise de revoir des passages qui étaient sortis de ma mémoire. Je suis très heureuse d’avoir retrouvé cette série après toutes ces années.
Bien qu’on pourrait se dire qu’il ne se passe pas tant d’action que cela dans ce premier tome, nous sommes vraiment emportés dans l’histoire, et ce monde de loups. L’écriture est fluide, la description est utile et l’auteure n’en fait pas des tonnes. En soit, un vraiment bon roman, qui mérite que l’on s’y attarde. Il nous change des sempiternelles histoires à la twilight. Et pour cause, les deux personnages principaux sont vraiment atypiques, mais dans le bon sens du terme : le gars chaste et preux qui veut bien faire et qui est complètement coupé de la société, la fille à l’aise avec sa sexualité et qui n’a pas peur. Et bon mélange pour nous faire craquer. Je recommande !

Que dire de ce premier tome…
Tout d’abord il ne s’agit clairement pas d’un de mes coups de cœur. Je ne suis pas sûre de vouloir le recommander. Je l’ai fini en moins d’une dizaine de jour donc cela reste correcte, mais j’avoue avoir eu du mal à me motiver à chaque reprise de lecture.
L’écriture n’est pas des plus fluides (même si elle se lit assez bien), les idées sont assez simples, peut-être même trop pour moi alors que je venais de sortir d’une lecture de YA bien plus mature. Et en soit le plot de l’histoire est assez simplet, un quasi parallèle de son autre saga phare Eternels. On y retrouve, à peu de chose près les mêmes éléments. Une jeune adolescente qui se retrouve dans une nouvelle ville, sans vraiment de repère, avec un seul des deux parents encore en vie (et, bizarrement, dans les deux cas il s’agit d’une figure féminine). Nous enchaînons également cliché sur cliché : une jeune fille qui depuis des années se voit confronté à des évènements surnaturaux, mais qui n’y trouve aucune explication logique ; l’amour le vrai, celui qui est destiné et su de tous, un caractère qui fait office de maître/enseignant et qui nous fait découvrir doucement l’univers créé.
A mon grand désespoir, nous avons encore droit, au lycée, à des clichés et re-clichés : élèves séparés par castes, les trois pouffiasses blondes que personne ne peut piffrer mais à qui tout le monde veut faire bonne impression, notre héroïne qui se retrouve le centre de l’attention contre son grés, une amie qui sort de nulle part, out-cast elle-même et qui prend l’héroïne « sous son aile », un amour qui sait tout sur tout sur cet univers qu’elle découvre, une rencontre entre eux quelque peu bizarre et gênante (agissant comme s’ils ne se connaissaient pas, alors que vous et moi, nous savons très bien que s’est tout le contraire). Bref, pour moi beaucoup trop d’éléments répétitifs, qui ont été exploité une énième fois de trop.
En ce qui concerne le contenu du roman en lui-même, la première grande partie est vraiment lourde à lire, il ne s’y passe pas grand-chose, les dialogues ne sont pas très élaborés, sa vie n’est pas des plus passionnante, et nous n’entrons pas beaucoup dans le vif du sujet. L’ellipse entre la première et deuxième partie est, pour moi, plus que nécessaire. Elle nous permet de découvrir un peu ses pouvoirs et son univers alors qu’elle en sait elle-même un peu plus et la relation avec sa grand-mère et Chay s’est déjà un peu plus créée, rendant leurs échanges moins gênants pour nous. Les actions sont là sans être là dans cette deuxième partie. Et la troisième partie ne ré-hausse pas non plus tout ça. En vrai, les actions restent assez rares tout au long du roman.
En réalité, ce qui fait que je n’ai pas accroché, c’est une écriture assez « simple », sans de vraie prise de tête, des évènements plus qu’attendus (je n’en citerai aucun pour éviter un quelconque spoil), et l’histoire de Eternels de A à Z une nouvelle fois. Sauf que cette fois-ci je n’accroche pas, je suis peut-être trop âgée, ayant lu Eternels alors que je n’étais qu’en collège. Mais en fait non. C’est simplement le style et l’histoire qui ne me passionne pas. Pour cause, j’ai récemment lu le journal de Riley qui visait un public encore plus jeune, et j’ai tout de suite accroché avec la série. Je pense que je n’accroche pas avec la protagoniste, ni l’univers.
Je me retrouve donc face à un dilemme : j’ai acheté toute la série en avance, faisant aveuglément confiance à l’auteur. Qui sait, je donnerai peut-être sa chance au second tome pour essayer de mon convaincre. Il n’y a que les idiots qui ne changent pas d’avis !

Que dire de ce tome !
Premièrement, j’ai commencé à le lire à reculons, je n’étais pas du tout chaude pour le commencer, sachant qu’il serait exclusivement centré sur Chaol et Nesryn, une totale coupure alors que l’auteur nous laissé dans l’appréhension à la fin du tome dernier. Mais soit, il me devait de le lire tout de même, car mine de rien il est très important pour la suite des évènements.
Mes sentiments n’ont pas arrêté de changé tout au long de ma lecture (et des deux parties). Dans la première partie, je me suis surprise à attendre avec impatience les moments de Chaol et Yrene et d’essayer de regarder à l’avance combien de page ferait les passages de Nesryn. Au vue de son comportement, et de la façon dont elle voyait Chaol, de la sorte de pitié qu’elle éprouvait pour lui, j’en suis venu à moins l’apprécier. Et à découvrir Chaol sous un nouveau jour, grâce à la patience de sa soigneuse. J’ai vraiment aimé leur histoire et leur rapprochement (de patient à soigneuse). J’ai également aimé voir que tout est véritablement lié, de retrouver Yrene ici, de comprendre qui elle est réellement, c’était juste magique, j’en avais le sourire aux lèvres.
J’ai vraiment aimé le caractère de Yrene, de la découvrir complètement et je dois dire qu’elle est vraiment géniale. Sarah J Maas est vraiment douée pour créer des personnages avec un fond profond.
Grâce à leur voyage, on apprend enfin le fin mot de l’histoire, et tout se met en place. La dernière révélation, que Nesryn et Sartaq découvre en premiers, et juste énorme et à la fois non attendue et à la fois attendue car cela explique pas mal de chose.
A l’inverse de la première partie qui est centrée sur Chaol et Yrene et sa guérison, la deuxième partie se centralise sur Nesryn et Sartaq. Et je pense que j’en avais besoin pour « pardonner » Nesryn. On en apprend un peu plus sur elle, et on fini par vraiment l’apprécier et s’attacher. L’introduction des ruks et toute leur histoire est géniale, j’ai toujours aimé découvrir les nouveaux peuples que Sarah J Maas créé. On en apprend également plus sur les araignées stygans. Nesryn se révèle vraiment dans ce tome, et on fini par entre-apercevoir ce qu’elle va devenir et faire, et je ne peux qu’approuver son choix.
Savoir tant de choses que Chaol et Nesryn ne savaient pas était vraiment très intéressant, j’en ai eu le sourire à plusieurs reprises, attendant à chaque fois les révélations que nous savions tous, et de voir les réactions de nos protagonistes.
Encore une fois, un magnifique tome qu’il ne faut pas hésiter à lire, malgré les quelques réticences que vous pouvez avoir. Le livre, comme toujours, se lit très rapidement et les actions s’enchaînent très fluidement : ce n’est ni mou, ni saccadée, ni précipité.
J’en attendant qu’encore plus le prochain et dernier tome.

Je suis en colère, oui, en colère contre Sarah J Maas. Pourquoi ? Et bien tout simplement parce que je ne supporte plus de voir Aelin souffrir autant ! Après chaque réussite, chaque bataille personnelle gagnée, une autre catastrophe apparaît et nous laisse pantois.
Cela étant dit, l’histoire est fantastique ! Le fait que Aelin et Rowan soit à différents endroits du globe le temps de quelques centaines de pages, j’ai fini par apprécié les passages d’autres personnages (notamment Elide et Lorcan, j’étais toujours en haleine que je les lisais, j’attendais, n’étant pas sure de ce qu’il se passerait, si Elide réussirait enfin à rejoindre sa Reine, et je me suis attachée à Lorcan, et à son caractère de cochon.) Mais bien sûr, je serais toujours autant fan de leurs moments entre eux, de leur amour et de leur complicité.
Manon se révèle complètement dans ce tome, et c’est magnifique ! On en apprend davantage sur elle, et comment son destin est bel et bien lié (et étroitement) à celui de Aelin et Dorian. En parlant de Aelin, je suis sans voix ! Elle est belle et bien une reine, avec son esprit si tordu et sournois. Tous les complots qu’elle mène à bien sans que l’on y pense, c’est grandiose ! Les réactions de ses compagnons, quand ils découvrent comme nous se qu’elle tramait, sont juste tordantes !
Mais je dois avouer que sur les 200 dernières pages, je n’étais pas bien. Je m’étais spoil contre mon grès en cherchant la sortie du prochain tome, je savais donc la fin, mais je ne savais pas comment elle allait être menée, et je dois dire que ça m’a bouleversé. Ce qu’a fait Aelin, ce à quoi elle a pensé seule pendant des semaines entières, sachant son destin scellé … C’est impressionnant l’imagination que Sarah J Maas possède.
Et au final, on fini (non pas par pardonner) mais par comprendre Elena, et savoir ce qu’elle subit pour son erreur, on ne peut que compatir pour elle.
Et Maeve, ah la la, Maeve, si seulement on pouvait la tuer celle-là ! Elle est d’une cruauté sans égal, ce qu’elle a fait à Rowan pendant tout ce temps … ce qu’elle fait subir à ses «cadre » comme Aelin les appelle, c’est au-delà de mon entendement. Et ce qu’elle fait à Aelin…
Les différents plans, complots sont enfin révélés (du moins en grande partie), tout se met en place, certaines révélations sont inattendues, d’autres quelques peu connues déjà, mais LA révélation ultime est juste horrible, je m’étais habituée à voir les personnages souffrir, mais là c’est du grand art dans la torture… Connaissant l’auteur, je ne serais même pas si surprise que ça de voir ce destin se réaliser.
Du moins, j’attends le dernier tome avec pas mal d’appréhension, nous allons devoir dire adieu à Aelin et sa court lors de récit final. Mais je pense que cette fin sera grandiose et spectaculaire. En attendant je vais me mettre au tome dédié à Chaol (bien que je ne le porte pas dans mon cœur, ce tome peut peut-être me faire changer d’avis sur lui), qui est tout de même important pour la suite des évènements, que vont-ils découvrir dans le sud ? Vont-ils réussir à convaincre une armée entière de se battre à leur côté ?

Quel tome ! Que de rebondissements, de découvertes, de révélations !
Aelin (oui car elle vient enfin de s’assumer telle qu’elle est) est très présente dans ce tome (parfois via les temps de narrations de Rowan ou Aedion), pour mon plus grand bonheur. Elle est véritablement devenue une reine, son esprit a vraiment muri, elle voit des choses, fait des plans qu’elle n’aurait jamais osé faire avant. Lysandra refait son apparition (mais si, la servante avec qui Arobyn couche) et j’ai été surprise de voir comment les choses ont évolué avec elle et Aelin (et je suis vraiment heureuse que ça se soit passé ainsi).
J’avoue, au court des 300 premières pages, je m’énervais toujours d’être coupé dans les moments de tensions sexuels entre Aelin et Rowan par Manon, mais, au fil du temps, j’ai été surprise avec la façon dont l’auteure fait rencontrer Aelin et Manon, qui est juste magnifiquement décrite. Comme je m’en doutais, tout est lié, chaque personnage a son importance dans son tome (je pense notamment à Elide, pour qui j’ai mis du tout à comprendre qui elle était), pour la suite des évènements, ou simplement afin d’expliquer le passé.
J’ai toujours eu du mal avec Chaol (depuis qu’il n’a pas réussi à accepter Aelin comme elle est, mais vers la fin il finir par changer et je lui en suis reconnaissante).
En parlant de fin, mais quelle fin ! J’en ai le souffle coupé ! Les évènements passés sont tellement entremêlé entre eux, on en vient à se dire que l’auteure avait tout prévu depuis sa toute première page d’écriture. Que de révélations sur la fin, tout prend enfin sens, et je dois dire que je redoute la suite, qui risque d’être difficile à vivre pour Aelin et sa court.
Une nouvelle fois, je n’ai pu m’empêcher de verser des larmes à maintes reprises, je ne sais pas comment Sarah fait, mais je me trouve à vivre chaque instant avec Aelin, et à souffrir, à comprendre sa douleur à chaque moment difficile. J’étais d’autant plus sensible aux moments qu’Aelin et Rowan ont pu partager, à se soutenir alors qu’ils tentent d’échapper à leur passé et d’aller de l’avant.
Bref, j’ai été conquise dès la première page, et je suis plus qu’heureuse d’avoir pu découvrir Sarah J Maas. (d’autant que, l’ayant découverte assez tard, j’ai pu enchaîner plusieurs tomes au cours de l’année, n’ayant pas à subir l’attente insoutenable que certains ont subi en attendant les nouveaux tomes chaque année.)

En commençant ma lecture, j’ai eu quelques appréhensions, en effet, Celeana n’apparaissaient pas beaucoup, les passages de Chaol et Dorian étaient intéressants (plus pour Dorian que Chaol, Chaol commençant à me taper sur le système), mais je n’ai pas du tout accrochés avec ceux de Manon (bien trop violents au niveau de la description des batailles entre les wyverns, avec ceux qui servent d’appâts etc., je n’ai pas du tout était fan…), mais avec le temps j’ai su apprécié Manon et sa personne, alors qu’on la voit évoluer et gérer des émotions dont elle ignorait jusqu’alors leurs significations.
Que dire de Celeana ? Dans ce nouveau tome elle se découvre une nouvelle fois, alors qu’elle gère la perte de Nehemia et sa trahison, celle de Chaol et les souffrances de son passé ; on peut parfaitement dire qu’elle a touché le fond. Mais avec l’arrivée des Valgs, et de ce qu’ils sont, on en apprend beaucoup plus sur le passé de Celeana, et comment elle s’est retrouvée orpheline et est ce qu’elle est aujourd’hui. J’ai adoré la relation qu’elle entretient avec Rowan, je trouve qu’elle en a bien besoin, enfin quelqu’un qui l’accepte pour ce qu’elle est, toute entière, sans jugement, sans dégoût ou pitié. Et j’adore tout simplement le personnage de Rowan et ce qu’il représente, il nous permet dans savoir un peu plus sur les fae, la tante de Celeana et les évènements qui ont faits qu’elles se détestent mutuellement. Pour ce qui est de Manon, je sens qu’elle nous réserve bien des choses dans les tomes à venir, je pense (je suis même quasi sûre) qu’elle finira par reprendre raison et se rebeller. Je tiens aussi à souligner que certains passages avec Manon étaient très prévisibles et ne donnaient aucun suspens (notamment le moment lors des choix des wyrvens, avec l’appât et Titus, dès le début de la scène j’en connaissais la fin, me rendant le passage assez ennuyant bien que j’ai été un peu surprise sur comment les choses ont été amenées.)
Celeana muri énormément dans ce tome, et à plusieurs reprises je me suis surprise en larmes, en lisant son passé, toutes les cicatrices qu’elle doit assumer maintenant, les évènements qui sont survenus et qui l’ont une nouvelle fois brisée, l’auteure arrive à amener tout ça avec beaucoup de finesse et de justesse.
Pour ce qui est des personnes restés à Adarlan, j’apprécie de plus en plus Dorian, et les moments qu’il a pu avoir avec Sorscha, j’ai commencé à détester Chaol pour ce qu’il est et la façon dont il rejette Celeana tout au long du livre, son sempiternel conflit entre rester fidèle à la couronne, c’est-à-dire un roi sanguinaire et sans pitié, et la cause des rebelles, qui tente tant bien que mal de sauver les peuples magiques et arrêter le roi. J’ai cependant été contente de découvrir plusieurs personnages du passé de Celeana, notamment son cousin et Ren. Bien que je ne sois pas fan de la fin qui se déroule à Adarlan (Chaol en vaut-il vraiment la peine ?) je ne peux pas nier qu’elle a été amenée avec génie.
Bref encore une fois un très bon tome que j’ai dévoré et tout de suite enchaîné sur le tome suivant, je dois dire que j’affectionne particulièrement le style d’écriture de Sarah J Maas, et que je suis très heureuse de l’avoir découvert !

Quel dernier tome ! La bataille finale est enfin, et elle est amenée avec une telle dynamique qu’on ne s’ennuie pas une seule fois ! Je dois avouer cependant que certaines révélations étaient assez prévisibles, tandis que d’autres m’ont estomaquée.
L’auteur amène cependant chaque action avec une bonne dynamique, j’aime toujours autant Sadie et son histoire compliquée, et mon idée se conforte : j’apprécie moins les moments de Carter. Peut-être sont-ils trop sérieux ? Moins amusants que ceux de Sadie, je ne sais pas. Ou peut-être suis-je simplement attiré par Sadid car il s’agit d’un personnage féminin ? Toujours est-il que j’attends avec impatiences les moments de Sadie. Mais l’histoire racontée par Carter n’en reste pas moins intéressante, les péripéties qu’il doit faire face sont excellemment bien menées et les quelques révélations sur Zia sont parfaites, au départ on ne se doute de rien, et au fur et à mesure on finir par comprendre les pistes que l’auteur nous avait laissé et lors de la révélation nous ne sommes pas du tout surpris (ce qui était moins bien fait je trouve pour le cas de Walt, mais ce n’est que mon avis).
En soit un dernier tome qui conclut très bien la série, une belle dynamique, de belles péripéties. (le fait de séparer Sadie et Carter une nouvelle fois est une très bonne chose, nous permettant de vivre deux choses en même temps qui sont essentielles pour la suite de l’histoire et le dénouement final).
La fin est bien, bien que je la trouve un peu bâclée pour certains personnages (encore une fois Walt). Elle reste néanmoins assez bien menée, dynamique, et la bataille finale est intéressante (deux fronts : terre et Duat, une idée intéressante et appréciée).
De plus, certains clins d’œil à ses autres séries (Percy Jackson en particulier) m’ont rapidement donné le sourire et j’ai adoré ! (sachant qu’il existe de courte histoires où ces personnages mythiques se rencontrent !)
J’ ai à de nombreuses reprises eu le sourire grâce aux remarques de Sadie, et de ses interactions hors narration avec son frère, ainsi que les différentes boutades qu’ils se lancent mutuellement. Le fait que nos deux personnages soient frère et sœur apporte beaucoup à l’histoire et je suis contente que l’auteur ai eu cette brillante idée (et ai su la menée comme il faut).
Encore une fois, je n’ai pas été déçue par Rick Riordan, et je continuerai de lire ses séries avec plaisir.

Et bien me voilà conquise ! Je reconnais avoir mis du temps à apprécier le premier tome (trouvant les actions trop lentes, et ne m’accrochant pas assez vite avec les personnages). Mais ce deuxième tome est tout simplement ma-gni-fi-que ! Les actions s’enchaînent sans se ressembler, on découvre encore plus Sadie et Carter, et j’affectionne tout particulièrement Sadie. En effet, on la voit évoluer très rapidement face à ce nouveau monde qui est maintenant le sien et elle s’y adapte très bien. Ses histoires de cœurs (et donc de garçons) sont très bien tournées et amusantes. (je n’arrive toujours pas à me décider d’ailleurs, qui soutenir dans cette lutte ?)
Ce deuxième tome nous enfonce encore plus dans les mythes égyptiens et ses dieux, pour mon plus grand bonheur. Leur quête s’effectue très rapidement, sans temps de pose, nous sommes également gardé en haleine grâce à plusieurs rebondissement (surtout celui concernant Walt, j’en étais sans voix). Nous sommes plongés dans le du’at, ce qui nous permet d’en apprendre plus sur les mythes qui entourent la mort. Le petit passage avec l’infirmière hippo était très bien tourné et amusant.
J’avoue cependant être quelque peu restée sur ma fin, elle s’est peut-être déroulée un peu trop vite. Et je m’inquiète un peu pour le tome trois, car il ne reste pas tant d’action que ça j’ai l’impression. (Mais après avoir lu les 20 premières pages, une nouvelle fois, j’ai été agréablement surprise, l’auteur a su nous exposer tout un nouveau tome sans pour autant perdre à l’histoire).
Bref, un deuxième tome très agréable à lire et qui correspond bien à ce que j’avais aimé chez Percy Jackson et les Héros de l’Olympe. Il nous introduit de nouveaux personnages qui sont tous très sympathique et qui nous donnent envie de les découvrir (Félix et ses pingouins ! Comment cette idée est-elle venue à l’auteur ?) Le jeu de l’enregistrement marche tout aussi bien, les interactions de la fratrie sont toujours aussi amusantes, seul petit bémol je dirais, c’est du fait d’un enregistrement, nous savons déjà que tout se passera bien pour nos deux protagonistes. (je ne dirai rien pour ne pas spoil, mais je pense que si vous avez lu le livre, vous saurez de quoi je parle a.k.a lorsqu’ils sont dans l’hôtel la première fois)
J’attends de finir le troisième et dernier tome de cette série avec impatience mais appréhension (s’agissant du dernier tome, je n’aurais donc plus la chance de lire les aventures de Sadie et Carter). Mais je n’aurai pas de mal à me venger sur ses autres séries (Apollon et Magnus qui attendent sagement dans ma bibliothèque)

(lecture en VO)
Que dire de ce second tome à part WAOUH ! Le livre se lit très rapidement, l’auteure a une écriture vraiment très fluide et sait très bien alterner descriptions/discours/pensée + vision d’un personnage à un autre sans nous ennuyer ou nous perdre. Tout s’enchaîne merveilleusement bien et suit une logique implacable. Certaines scènes peuvent se ressembler (car des fois vue / pensée par deux personnages) mais apportent toujours quelque chose de plus à la narration, nous donnent des informations essentielles (et au final, c’est généralement un enchaînement sur une même action vu par différents personnages, et c’est vraiment très bien).
Bref, j’adore son style d’écriture. Maintenant, pour ce tome à proprement parlé : j’ai l’impression de l’avoir lu encore plus vite que le premier. L’histoire est d’autant plus captivante, nous découvrons davantage de choses sur Celeana, son univers, ses origines et son caractère. Bien qu’elle soit une « assassine sanguinaire », je ne peux que m’attacher à elle. Ce tome se centre plus sur Celeana, Chaol et Nehemia et Dorian et les relations qu’ils entretiennent ensembles. J’apprécie plus que jamais les échanges entre Nehemia et Celeana. Nehemia est quelqu’un de très intelligente et leurs conversations sont un pur délice, d’autant qu’il s’agit de la seule confidente de Celeana (ce qui nous permet d’en apprendre davantage sur ses pensées, craintes…)
Les dénouements finaux sont justes magnifiques et inattendus, jusqu’au bout j’espérais avoir mal lu, que la mort de ce personnage n’était pas vrai ; ou du moins qu’avec une petite résurrection par là, on passerait à autre chose. Mais bien entendu ce n’est pas le cas, et c’est pour cela que j’aime d’autant plus cette saga. Il s’y passe des choses complètement surréalistes et inattendues, qui nous tiennent en haleine jusqu’à la dernière page.
En voyant le nombre de tomes que cette saga possède, j’avoue avoir eu un peu peur : l’auteur fait traîner les choses en longueur, il ne se passe rien dans un roman. Mais PAS DU TOUT chaque roman a son utilité (y compris les novellas, très importantes à lire) et s’enchaînent très bien et très vite.
Je recommande fortement cette saga pour toute personne capable de lire en anglais (les tomes ne sont plus traduit au français à partir du 4 il me semble, c’est d’ailleurs bien dommage…)

Et me revoilà plongée dans l'univers de Tara (du moins sans Tara haha). Que dire de ce livre ? Et bien déjà c'est une belle preuve que rien n'est impossible ! De fan de SAM, Thomas Mariani devient jeune auteur et nous prouve qu'à partir du moment où l'on sait rêver, rien ne peut nous arrêter.

Bon maintenant le livre, j'avoue avoir eu du mal à m'y mettre vraiment (il m'a bien fallut les 150 premières pages saccadées sur plusieurs jours avant d'enfin ne plus pouvoir lâcher le livre des mains). Il y a plusieurs raisons à cela: déjà un début assez lent et peu attrayant avec le caractère de Nina (avant ses différentes aventures). Mais ce qui m'a paru le plus difficile vient sans doute du fait que nous avons droit à un chapitre par personnage (ou presque) afin d'introduire les différents autremondiens. En soit, c’est une bonne idée mais sur le concret il était difficile de vraiment tout suivre sans perdre d’informations importantes (en tout cas pour moi).
Une fois l’introduction de tout ce petit monde, nous nous plongeons enfin dans le vif du sujet (du moins c’est ce que l’on peut penser). Je m’explique, nous nous trouvons dans un Paris de 1976, avec une troupe de danseur, et j’avoue que certaines descriptions, anecdotes sont difficiles à suivre si l’on ne connaît ni Paris ni l’époque.
Je m’étais mise à lire ce livre dans l’espoir de me replonger dans cet univers qui a bercé mon adolescence, et j’ai été un peu déçue. Peut-être cela vient-il du fait que l’histoire se déroule à Paris et non sur AutreMonde ? Mais j’ai trouvé cela un peu trop lent au début, avec des faits trop « normaux » plus en rapport à la dance et à l’ambiance du Paris d’époque que l’histoire de la magie. En fait, j’ai été plongée dans le livre qu’à partir du moment où les protagonistes rentrés vraiment en contact avec la magie.
Ce livre reste néanmoins un bel « hommage » à Tara Duncan que j’ai, globalement, apprécié lire. Petit point négatif : l’auteur nous intrigue et nous fait cogité avec les rêves quelques peu particuliers de Nina pour au final nous laissé en plan à la fin du livre a.k.a aucune réponse, nous sommes dans le noir total (bien sûr certaines pistes sont mises à dispositions, mais pour moi ce n’est pas assez, et j’ai été déçue de me voir arriver à la dernière page sans mes réponses.)
La fin nous laisse cependant entrapercevoir une suite des plus mouvementée et intéressante, j’attends donc ce tome 2 (qui ne semble tout bonnement jamais venir comme plusieurs suite de l’univers de Tara… j’en viens à désespérer.) avec curiosité.

Une nouvelle fois, je n'ai pas du tout été déçue par Rick Riordan ! Ce premier tome était excellent et prometteur pour cette nouvelle trilogie. L'auteur nous avait habitué aux Dieux Grecs et Romains et voilà qu'il nous plonge dans l'histoire Égyptienne !
Tout d'abord, l'écriture de l'auteur est différente de ces deux précédentes saga. l'interaction avec le lecteur est bien plus présente, et on en redemande presque ! Les petites boutades que se lancent mutuellement Sadie et Carter sont très sympas et portrait réel d'une relation entre frère et soeur.
L'idée que ce livre soit basé sur des enregistrements des Kanes est très amusante et change de ce que nous avions eu droit avec Percy (légèrement du moins) du fait des commentaires off auxquels nous avons droit.
Pour les fans de la première heure, nous retrouvons les éléments clés de Perc Jackson:
- des adolescents qui ne savent rien de leurs pouvoirs et de leurs racines
- des adolescents qui se retrouvent mêlés avec des Dieux, sans qu'on ne leur ait demandé leurs avis
- des rebondissements incessants et qui nous tiennent en haleine du début à la fin
- des guides pour les aider (Grover retrouve son équivalent ici, et j'ai tout de suite accroché avec son répondant et sa langue bien pendue.)
Bref, un mix qui nous plaît bien.
L'histoire est bien écrite, se déroule suffisamment vite, les actions s'enchaînent sans de temps mou. Et une nouvelle fois, nous ne sommes pas dans le monde des bisousnours: a.k.a certains dangers sont inévitables, et de lourdes pertes sont à prévoir.
Nous suivons les aventures de Carter (14 ans) et de Sadie (12 ans) tandis qu'ils découvrent la magie et les mythes égyptiens. L'auteur sait parfaitement joué avec l'histoire égyptienne et son imagination, ce qui nous donne un rendu soigné et merveilleux. J'ai eu quelques appréhensions en découvrant l'âge des protagonistes, mais j'ai été agréablement surprise. Nous les voyons évolués au fil des pages et ils possèdent dès le début une maturité très développée.
Je suis plus que ravie d'avoir découvert Rick Riordan il y a de cela quelques années maintenant. Et je suis fière de compter parmi ses fans.
Pour de prochaines aventures, ne vous arrêtez jamais de lire !

Dernier tome de cette magnifique série, et quelle fin !
C'est de loin mon tome préféré, il se passe tellement de chose avec Riley. Elle se remet en question, devient plus mature (grâce à la fin du tome 3) et l'histoire en elle-même est juste merveilleuse !
Nous nous trouvons cette fois-ci dans un temps de gladiateurs, avec une histoire d'amour très touchante bien que malsaine sur certains points.
L'histoire évolue bien (même si vers le milieu il y eu quelques répétitions), la relation Riley/Bodhi s'approfondit.
Il est vrai que la fin est un peu vague mais c'est, je pense, ce qui correspond le mieux pour cette série. Après tout, tout est possible de l'autre côté. De plus cette fin nous permet d'imaginer ce que l'on veut et je trouve cela bien. Je pense qu'un cinquième tome serait du gâchis.
Bref, une très belle série pour se détendre et rêvasser, je pense aussi que j'en avais besoin pour tourner la dernière page de la série Eternels.
Je suis ravie d'avoir pu redécouvrir Alyson Noël à travers cette petite série.

Ce troisième tome m'a un peu déçue je dois l'admettre. Depuis le premier tome nous avons suivi Riley dans sa quête de devenir "adolescente" et d'avoir enfin 13 ans. Bien que dans les deux premiers tomes on pouvait facilement en faire abstraction, et oublie le fait que cette facette de Riley est très immature, dans ce tome-ci cette quête est l'action centrale.
Bodhi n'apparaît pas beaucoup, ce qui peut décevoir des personnes. Personnellement cela ne m'a pas déranger.
On découvre une nouvelle facette de l'haut-delà: le pays des rêves. C'est très intéressant de voir comment l'auteur a décidé d'interpréter cet univers qui est, à sa façon, très amusant.
A la fin du tome, on peut espérer trouver une Riley dans un tome 4 plus mature et qui aurait appris de ses erreurs. J'espère en tout cas qu'elle arrêtera de se focaliser sur l'apparence et le fait de n'avoir que 12 ans.
En soit, ce tome reste bien, car il possède une morale à la fin (comme les deux tomes précédents) qui pourrait toucher plus d'enfants que les deux autres car c'est quelque chose qu'ils peuvent être amené à rencontré au cours de leur enfance.

Un second tome qui ne m'a pas du tout déçue !
Riley est une jeune héroïne de 12 ans on pourrait donc se dire qu'il sera facile de le faire lire à des enfants.
Dans ce tome nous découvrons une jeune fille qui reste coincée sur terre par sa rage.
Au fil du tome on finit par comprendre qu'il s'agit d'une histoire d'esclavage et de propriétaire d'esclaves. Cette histoire est très pédagogique avec une magnifique morale. Je n'en dirai pas plus pour éviter de spoil, mais je suis ravie de l'avoir lu et la recommande à tout parent qui souhaite éduquer son enfant sur ce sujet si délicat.
Encore une fois l'auteur a su parfaitement retransmettre les idées d'une enfant de 12 ans avec brio. Je suis ravie de connaitre ses séries de livres. J'attends de lire la suite avec impatience !