Je me suis lancée dans cette série de NK Jemisin après en avoir entendu le plus grand bien et en me rappelant avoir apprécié sa plume dans La Trilogie de l'Héritage.
Finalement ici, ce n'est pas sa plume qui m'a le plus emporté - je l'ai d'ailleurs trouvé assez lourde et maladroite par moment même si on s'habitue au style - mais le worldbuilding, l'intrigue et les personnages. L'héroïne m'a beaucoup plu car elle casse les codes souvent appliqués au personnage principal, d'autant plus quand il est féminin.
Enfin, le potentiel narratif du monde dans lequel on est plongé promet de belles choses pour les prochains tomes qu'il me tarde de lire !

Une pépite de bit-lit à la sauce Ali Hazelwood !
Comme de coutume l'autrice nous offre un "He falls first, she falls harder" croustillant dans un univers de bit-lit épuré, avec une touche de STEM qui est sa marque de fabrique.
Ali Hazelwood ne déçoit pas, elle sert toujours des romances craquantes et feel-good, avec des personnages touchants et intelligents, un vrai bonheur pour se changer les idées !

Un roman graphique absolument magnifique aux couleurs captivantes et dans lequel l'auteur fait preuve de caractère avec son crayon.
Le trio de personnages est très intéressant, avec une bonne dynamique et les apparitions de leur petit singe Goku m'ont fait l'effet d'easter eggs trop mignons sur lesquels on est ravis de tomber !
Quand à l'univers de SF, l'intrigue et les revendications que cette oeuvre communiquent, bien qu'assez classiques, elles marchent très bien et la bande dessinée se lit donc très bien.

Le prieuré de l'oranger est une belle oeuvre de fantasy qui a pour forces principales un worldbuilding riche, des mystères antiques fascinants, des personnages divers et un rythme soutenu !
Certes le récit présente un certains nombres de simplicités scénaristiques et j'aurais aimé un élan un peu plus épique dans les moments forts du roman mais cela reste une bonne lecture que je suis contente d'avoir choisie pour commencer 2024 !

C'est avec peine que je dois dire que ce sixième tome confirme mon impression que cette série perd en qualité...
En tout cas les aspects qui m'avaient séduits au début - le développement des personnages, la construction des intrigues politiques et la poursuite de différentes quêtes - ne sont pas à la hauteur de ce qu'ils étaient dans les 3 à 4 premiers tomes.
Alors, je comprends que l'ambition de cette histoire nécessite un rythme plus soutenu et qu'on passe du coq-à-l'âne sur les personnages mais j'ai vraiment eu, dans cet opus, l'impression d'alterner avec 3 types de chapitres :

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- Ceux traitant du côté SF : Les extraterrestres, les draks, les magouilles de labo de Jahrod. Ces chapitres restaient souvent confus et frustrants selon moi, comme si l'auteur voulait encore garder du mystère alors que tout pourrait être limpide sans rien enlever au suspense de l'histoire.[/spoiler]
[spoiler]- Ceux portant sur les différents évènements politiques aux quatre coins des sept royaumes mais dans lesquels on se perd ou on s'ennuie du fait des gouffres temporels et spatiaux entre chacun (et entre ma lecture du 5ème tome et celui-ci sans doute aussi) et du manque de lien entre eux.[/spoiler]
[spoiler]- Ceux on l'on retrouve nos personnages principaux initiaux - Orville et Rosa notamment - mais dont l'évolution n'est plus du tout aussi douce et cohérente qu'auparavant. J'ai eu l'impression que l'auteur a voulu leur accoler des sentiments et des intentions sorties de nulle part.
Et finalement, seuls quelques chapitres épars m'ont véritablement replongé dans ce monde.

Je n'en lirai pas moins le dernier tome pour avoir le fin mot de cette série qui somme toute offre un univers et des personnages passionants !

Un deuxième tome à la hauteur du premier en terme d'écriture et de worldbuilding mais qui surpasse vraiment le premier pour ce qui est de l'intrigue politique et aventurière, bien que celle-ci mette un peu plus de temps à trouver son rythme. Néanmoins, une fois que l'histoire est véritablement lancée, plus moyen de s'arrêter, on est entrainés par le souffle puissant de la voix de Phèdre et la fluidité et la poésie de la plume de Jacqueline Carey.
Phèdre constitue toujours la principale héroïne de ce récit, toujours aussi fascinante, affirmée et attachante et entourée de toute une galerie de personnages hauts en couleur et passionants eux-aussi.
L'empire de Terre d'Ange fait toujours autant rêver et nous avons ici en plus le bonheur de découvrir de nouvelles contrées exotiques et faisant chanter notre imagination.
En conclusion : un nouveau pavé très réussi dans cette trilogie de Kushiel !

Un coup de coeur inattendu mais tellement bienvenu !

La plongée dans l'univers de Jacqueline Carey se fait tout en douceur et fluidité, dès les premières lignes et premiers chapitres, sous la plume envoûtante de l'autrice qui trace les contours de Terre d'Ange et de l'enfance de notre héroïne, Phèdre no Delaunay.

Dès que j'ai aperçu la carte au début du livre, j'ai senti qu'il allait s'agir d'une oeuvre de fantasy historique, très inspirée de l'Histoire de l'Europe mais finalement c'est bien plus que celà ! Car l'autrice a su insufflé dans son récit une note d'imaginaire unique, merveilleuse, originale qui prend racine dans l'Histoire d'Elua. Elle la développe ensuite avec brio pour poser les fondements de l'intrigue politique qui fait le fond du roman et pour construire ses personnages ô combien fascinants.

J'ai trouvé peu (voire pas) de points négatifs à ce roman qui fait malgré tout 1240 pages (en poche) ce qui pourrait en effrayer plus d'un. Bien qu'il y ait quelques centaines de pages au milieu que j'ai trouvé "moins" intéressantes, le rythme reste assez soutenu pour que je ne me sois ennuyée à aucun instant !

J'avais entendu grand bien de ce livre mais je sors mitigée de sa lecture.
L'univers bâti par Oliver Peru avait énormément de potentiel mais pour moi la plume et le rythme du récit n'étaient pas au rendez-vous. Les personnages étaient trop paradoxaux pour s'y attacher et sous-exploités pour la plupart.
J'ai poursuivi néanmoins ma lecture car je voulais venir à bout du mystère et les 150 dernières pages, plus riches en action et dénouements, m'ont permis d'achever ce roman sur une note plus positive.

Je découvre Pierre Bordage (assez tardivement) avec ce roman.
Que puis-je dire si ce n'est que je suis admirative de la créativité et de l'originalité dont il a fait preuve dans la construction de la Dorgne et du Grand Centre ?
Les noms, le style du récit, les dialogues sont tous extrémement bien trouvés et m'ont très vite plongé dans cet univers. J'ai beaucoup apprécié les différents personnages dont les tempéraments pouvaient refléter les clans qui cohabitent dans la Dorgne mais dont ils se détachent au fur et à mesure à la faveur d'une nouvelle fraternité.
L'histoire en elle-même et son dénouement m'ont moins transcendés ou même surpris mais l'intrigue reste agréable à suivre, étant menée à un bon rythme sans essoufflements.

D'abord attirée par la magnifique couverture des Marins ne savent pas nager, j'ai ouvert ce roman en espérant y trouver une histoire tout aussi ensorcelante... et ce fût le cas, et plus encore !

J'ai découvert ici la plume fluide et poétique de Dominique Scali, qui maîtrise à la perfection les descriptions envoutantes des rivages de l'île d'Ys, de la Mer qui l'entoure, qui la nourrit, qui l'assaille. On retrouve aussi dans ce roman une grande justesse dans les échanges désuets et "issois" entre les protagonistes.

J'ai été tout bonnement transporté par cette fresque historico-fictionnelle. Elle nous livre un portrait d'une civilisation issoise avec un nombre de détails foisonnants : sur ses moeurs, la philosophie de ses habitants, son histoire. Tout celà sonne très juste et donne lieu à une lecture très immersive.

C'est aussi une fantastique fresque de personnages tous aussi fascinants et réalistes les uns que les autres. Danaé constitue une héroïne qui pourrait être une quidam quelconque, issue de la plèbe de cette île-état mais qui pourtant connaît un destin unique. Elle aura vécu toutes les vies que peut offrir Ys et ce, grâce aux hommes qui traversent sa vie. Ils en marquent chacune des étapes, qui prennent souvent la forme d'aventures et de magnifiques tourmentes sentimentales aboutissant finalement à la progression de notre héroïne. Ces hommes là sont néanmoins des personnages passionants en eux-mêmes, leur caractère parfois plus étoffé et saisissable que celui de Danaé. Tous les autres personnages secondaires sont également brillament écrits et concourrent à rendre l'île d'Ys vivante et vibrante.

En résumé, ce livre fut un vrai coup-de-coeur, un bonbon de littérature à la croisée de la fantasy et de l'historique !

Une beau récit qui mérite sa réputation et qui mérite d'être lu.
Malgré la lenteur que j'ai ressentie tout au long de ce roman, j'ai beaucoup apprécié l'histoire de ces deux adolescentes. Je me suis attachée à elles deux, j'ai adoré le réalisme de leur caractère, admiré leur résilience et ressenti la force et l'inéluctabilité de leur lien.
Le style de l'autrice est doux, métaphorique, très agréable à lire.

C'est geek, tapageur, psychotique, vibrant, vivant !
On est happé par les péripéties et les scènes d'actions qui prennent vie et couleur sous la plume de l'auteur.
Ce n'est pas mon style de prédilection mais ça m'a beaucoup diverti !

Jean-Philippe Jaworski est un auteur de fantasy unique en son genre. Retrouver sa plume dans le premier opus du chevalier aux épines a donc été un grand plaisir !

Il nous livre ici un pur récit de chevalerie, romanesque et transportant. La centaine de pages relatant le tournoi de l'immortelle en est une preuve brillante !

L'intrigue prend finalement place peu de temps après les évènements de Gagner la guerre, dans le Duché de Bromael, terre de chevaliers et de courtoisie.
Si j'ai trouvé la représentation mentale de la géographie de ce pays quelquefois fastidieuse, j'ai néanmoins été émerveillée par le pays de Bromael ! Les descriptions des lieux que traversent les protagonistes, appuyées par le talent descriptif et le sens du détail de l'auteur, m'ont plongée dans ses forêts et ses châteaux. Je pense tout particulièrement à Vayre et ses mystères qui m'ont fasciné.

Le vocabulaire riche, parfois désuet et proprement médiéval ajoute son charme au récit et contribue à l'immersion du lecteur.
On ne peut qu'être impressionné par ailleurs par la justesse des noms des personnages et des lieux ainsi que par le travail d'imagination qui concourent à rendre Bromael aussi convaincante que possible. C'est une contrée des plus crédible avec une identité, une histoire, une religion, un folklore... J'ai beaucoup apprécié l'adjonction des passages du Bel églantier, oeuvre littéraire fictive, au coeur de la culture bromalloise

Il nous est aussi offert un aperçu fascinant du versant magique du vieux royaume et j'espère que l'Entremonde et les différentes formes de magies qui s'y cotoient seront développées dans les prochains livres.

En terme de personnages, nous suivons ici plusieurs protagonistes sans qu'aucun pour l'instant n'ait de franche préséance. Pour ma part, j'ai été tout particulièrement intriguée par les personnages féminins - qui n'interviennent pourtant que de manière épisodique - qui semblent détenir plus d'influence et d'ambition que bon nombre des hommes du récit.

A voir où nous mènera la suite !

Un deuxième tome à la hauteur du premier, avec plus d'action et un nouveau point de vue intéressant - celui des "Rouges" - sur la part de fantastique que déploie l'auteur sur cette Amérique du XIXème.
Une écriture toujours aussi fluide, le personnage d'Alvin s'étoffe, je lirai donc le troisième tome avec plaisir !

J'ai commencé cette série sur les conseils de proche puisqu'elle a séduit pas mal de monde dans ma famille.
La lecture de ce premier tome m'a bien plu, elle a été facile et agréable, la plume de l'auteur est fluide malgré le patois qu'il fait employer par ses personnages (et qui fait finalement leur charme).
Le contexte historique est très intéressant et bien traité, la touche de fantastique qui se dévoile au fil des pages est aussi très intrigant et va me pousser à lire la suite sous peu !
Enfin, les personnages sont très bien dépeint, crédibles et attachants pour ce qui est de la famille Miller et j'ai tout autant hâte de découvrir la suite des aventures d'Alvin !

Un cinquième tome qui m'a réconcilié avec cette série qui s'essoufflait selon moi à la fin du tome 4. J'ai eu peur que ce ne soit d'ailleurs pas le cas mais une fois la première moitié du roman passée, j'ai retrouvé tout mon engouement pour l'intrigue qui se dévoile au fur et à mesure des livres de cette série.
On retrouve un rythme soutenu, mais toujours équilibré par la plume très agréable de l'auteur, et ainsi rien ne semble précipité et bâclé. Les destins des nombreux personnages se croisent et s'entremêlent de façon inattendue et j'ai hâte de lire la suite pour découvrir ce que ces relations nouvellement formées vont donner.
On grappille de nouveaux détails non négligeables quant à la nature des différents habitants des sept royaumes et à l'Histoire qui a fondé cette planète.

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La technologie "extraterrestre" et la civilisation terrienne est un autre aspect que j'ai hâte d'approfondir dans les 2 derniers tomes, d'autant plus avec les nouveaux mages qui semblent garder une mémoire de leur précédente existence.

En somme, un cinquième tome à la hauteur de mes meilleurs ressentis sur cette série et qui m'a replongé dans l'histoire passionnante des 7 royaumes !

Une lecture agréable, sans grande surprise, dans le genre jeunesse.
Il s'agit là d'une enquête qui met néanmoins du temps à réellement démarrer et finalement tout se passe dans les 150 dernières pages. Le dénouement n'est pas très surprenant mais permet de conclure l'intrigue proprement.
Le contexte géographique et historique m'a bien plu en tant que passionnée par la Corée mais certains aspects - notamment sociaux - m'ont paru un peu trop simples.
Le vrai point décevant pour moi reste les personnages : ils m'ont laissé au mieux indifférent voire pour l'héroïne m'ont passablement agacée par moment.

Une très belle oeuvre, une ode à l'imaginaire et à la littérature qui fait écho à l'amour des livres que partage les passionnés de lecture.
J'ai apprécié chaque histoire, chaque personnage et la manière dont la fiction les a fait vivre. L'intrigue s'essouffle un peu sur la fin mais j'ai néanmoins apprécié les différentes morales et la fermeture du cercle.
L'écriture est par ailleurs très agréable, simple et fluide mais aussi poétique.
En résumé : une très belle lecture !

Un roman d'anticipation exotique dont les idées et concepts sont remarquables et bien vus ! Certaines de ces idées m'ont paru plus limpides que d'autres (selon mes propres connaissances) mais globalement la vision de l'avenir proche que propose l'auteur m'a fascinée et convaincue.
J'aurais aimé un peu plus de détails sur certaines technologies ou découvertes mais d'un autre côté cela aurait pu les décridibiliser d'un point de vue scientifique, donc finalement je n'en suis pas dérangée.
En revanche, les personnages et l'histoire m'ont laissé plus indifférente. J'ai attendu longtemps une intensification de l'intrigue qui n'arrive finalement que dans les 100 dernières pages.

Moi qui ne suis pas adepte de polar, je me suis lancée dans celui-ci sur les recommandations de plusieurs libraires... et je n'ai en effet pas été déçue !

On nous livre ici une enquête moderne à la fois complexe, pleines de nombreux rebondissements qui nous tient en haleine et qui tient la route jusqu'au bout. J'ai ressenti une véritable tension et angoisse à certains passages ce qui m'arrive rarement et qui signe le succès de l'auteur a nous plonger dans ce Copenhague automnal qui est le théâtre de meurtres horrifiants.

Nb : Il existe une adaptation en série sur Netflix qui se regarde bien mais qui, comme souvent pour les adaptations, n'est pas à la hauteur du roman original.

Une lecture que je résumerait en un mot : originale !

Avant de détailler mon avis globalement positif, je pense qu'il est important d'énoncer un disclaimer : âme sensible s'abstenir !

Je lui reconnais sans hésitation beaucoup d'excellents aspects : l'imaginaire développé par l'auteur correspond à la définition même du merveilleux, bien qu'un merveilleux souvent horrifique, cru et violent.
Le lecteur est plongé dans une Afrique de fantasy riche en magie, en mystères et en créatures en tous genres. Les lieux et les cultures, l'histoire du royaume du Sud et du Nord sont très intéressantes et on a plaisir a les découvrir. Les personnages sont fascinants dans leur diversité et leurs caractéristiques bien que parfois j'ai pu être frustrée de ne pas mieux réussir à les cerner.
Cela est sans doute dû au style d'écriture, assez fluctuant, parfois mystique et opaque.
En effet, même si la majorité du livre se lit bien, avec fluidité, certains passages - notamment les 2 premiers chapitres - sont très particuliers, au mieux déroutants, parfois quasiment incompréhensibles. Toutefois, ça ne m'a pas découragé et finalement je pense que le style sert le roman en accentuant l'ambiance générale du récit et du monde dans lequel nous plonge l'auteur.

Par ailleurs, l'intrigue en elle-même, bien que démarrant un peu tard et donnant à son début l'impression de se mordre la queue et de ne pas exister, s'étoffe et prend vraiment une tournure passionnante dans la deuxième partie du roman.

En conclusion : Un livre que je recommanderai aux amateurs de littérature de l'imaginaire, simplement car très différent de la fantasy médiévale classique mais dans lequel on retrouve tout de même une aventure réunissant une compagnie de personnages hauts en couleurs.
J'ai hâte d'en découvrir la suite !

Très belle bande dessinée et très belle narration, tirée de faits réels... hâte de lire la suite et fin !

Très beaux graphismes avec une magnifique palette de couleurs. Plein d'éléments de l'histoire m'ont évoqué l'oeuvre de Miyazaki, le château ambulant, intégrés dans un récit assez semblable à un conte de magie traditionnel. Le tout est très facile et agréable à lire !

Un nouveau polar de Pierre Lemaître qui se lit très bien, l'écriture est fluide, on est pris dans l'intrigue... J'ai tout de même été moins surprise et captivée qu'avec Travail soigné dont le dénouement m'avait vraiment prise de court !

Une nouvelle fois, Guy Gavriel Kay ne m'a pas déçu !
Ce roman m'attirait moins que ceux que j'ai lu auparavant de cet auteur car l'intrigue prend place dans une contrée inspirée de la Provence médiévale et me paraissait moins exotique que ses autres récits... mais quelle erreur d'avoir attendu si longtemps de le lire !
Les personnages sont comme d'habitude très détaillées, complexes et magnifiques.
Sa plume est toujours aussi agréable et poétique mais là où il réussit vraiment ce roman c'est dans la construction de l'intrigue politique passionnante qui naît des disparités culturelles de l'Arbonne et du Gorhaut et des ambitions et destinées de leurs dirigeants.

Une nouvelle vraiment charmante où on l'on retrouve toutes les qualités d'écriture d'Ali Hazelwood découvertes dans The Love Hypothesis.