Commentaires de livres faits par SeasonCanahait
Extraits de livres par SeasonCanahait
Commentaires de livres appréciés par SeasonCanahait
Extraits de livres appréciés par SeasonCanahait
Édit : même pas de plot twist…
Quelle perte de temps…
Quoi qu’il en soit : très bien écrit, sans aucun doute, mais je rejoins une critique précédente, en effet j’ai été assez déçue des longueurs interminables sur la vie amoureuse/sexuelle de Cesar (dont la plupart des informations se sont avérées après vérifications personnelles, étant auteure de fiction - et très intéressée par ce personnage - erronées et dues à des calomnies de l’époque par des opposants politiques. Gallo les décrit comme des faits avérés et y passe énormément de temps. S’il s’agissait d’un livre présenté comme une romance historique, ok, mais j’aurais mieux fait de lire la Guerre des Gaules, par Jules en personnes, pour mieux connaître les faits.
J’avoue ne pas l’avoir fini : pas assez d’infos factuelles, une romantisation de l’Histoire (et pourtant j’aime beaucoup ce type de bouquins… mais c’est de la fiction et Gallo présente une biographie) et trop peu de faits…
Bref…
Sinon si une édition non buguée existe : c’est un Chair de Poule plus vulgaire, avec pas mal de cul, une scène de viol et zéro action liée au monstre (ou à la secte avec laquelle on nous chauffe pendant les 75% du livre).
Je retourne lire un RL Stine. C’est dommage parce qu’il y avait du potentiel.
J’avais lu le précédent livre de cet auteur et Nickel Boys est encore meilleur et - si c’est possible - encore plus méritant du Pulitzer.
Le dernier chapitre m’a ravagée plus que les autres, si c’est possible, et lorsque l’on sait que la Dozier School reste une école contre laquelle la justice n’a pas été pleinement rendue, cela rend cette lecture presque insupportable.
Sans passer par le “torture porn”, l’auteur est capable d’exposer la réalité de faits historique via le prisme de la fiction, avec un brio littéraire rarement égalé.
Encore meilleur que Underground Railroad, à mes yeux, et c’est beaucoup dire.
A proposer pour le bac de francais...
Blague à part : si l’un de vous blogue ou chronique des bouquins et souhaite recevoir une version papier : contactez-moi via les réseaux sociaux (FB, Instagram ou Booknode).
Merci d’avoir lu et à très vite !
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Écrivain mythomane qui semblerait prendre plaisir à affabuler sur une souffrance réelle ?
Affabulateur qui fait de l’argent sur le dos de vraies victimes ?
Quoi qu’il en soit, économisons notre argent et notre temps : cette lecture n’est pas nécessaire.
Une vision dénuée de toute complaisance de la vie et des actes de princesses plus surprenantes les unes que les autres.
L'auteure recontectualise beaucoup, malgré la vulgarisation historique, ce qui aide (parfois) à comprendre certains événements. Elle apporte aussi une vision médicale à certains cas, ce qui permet à nouveau d'expliquer les actions bizarres ou choquantes de certaines de ces princesses hors-normes.
Je ne sais pas si ce livre est traduit en français ou s'il le sera, mais la lecture en anglais est très simple et - je pense - facile d'accès.
L'auteure a également beaucoup d'humour, ce qui rend certains chapitres de l'Histoire encore plus intéressants.
Il saisit une nature humaine brutale et sauvage dans tous les rouages malsains qu'elle peut dévoiler, a une maîtrise parfaite de la narration et quelques passages m'ont fait sourire tant ils semblent modernes...
La fin est sublime, bien qu'atroce, les personnages ne nous laissent pas indifférents.
On peut haïr Félicité et Pierre Rougon, mais leurs manigances et leurs petites lâchetés ne les rendent que plus réels et plus communs.
J'ai aussi été surprise par la capacité de Zola, que je connais en fait très peu, à manier l'érotisme (je parle d'érotisme à la Choderlos de Laclos, pas l'erzatz minable qu'on croit imaginer dans les livres type 50 Shades et consorts).
Bref : j'ai détesté, parce que je déteste Zola. Mais ce livre est sublime.
Mais je classe ce premier tome dans "Je n'ai pas apprécié" pour lancer l'alerte sur la traduction française. Étant bilingue, j'ai pu comprendre certaines phrase en les retraduisant en anglais, car la traduction a été réalisée par Google Translate, il n'y a aucune autre explication à ce massacre infâme de l'écriture de Charlie Cochet. Par ailleurs, l'éditeur a-t-il pris le temps de relire ou de payer un relecteur ? Coquilles et fautes de grammaire et d'orthographe rendent difficile la lecture, sans parler des traductions "mot à mot", qui crée parfois des incompréhensions.
Je lirai le deuxième tome en anglais, mais je suis vraiment furieuse d'avoir dû payer pour lire une traduction aussi mauvaise, jamais encore ça ne m'était arrivé...
- un meurtre précédé de viol sur un [spoiler]gamin que l’héroïne avait pris sous son aile[/spoiler]
- des mutilations génitales et un meurtre sur [spoiler]l’oncle adoptif de l’héroïne[/spoiler]
- un incendie volontaire qui [spoiler]détruit l’œuvre de plusieurs années de travail de l’héroïne [/spoiler]
- une tentative de viol collectif sur l’héroïne (à laquelle il apporte sa participation en assommant la jeune femme)
Sérieusement ? L’héroïne est capable de se mettre à la tête d’une multinationale et de passer du ruisseau aux salons et elle décide de tomber in love du dingue sus-cité malgré l’intégralité des red flags (ce mec est un red sheet) présentés par ce charmant monsieur qui finit (pour rien changer) par la massacrer et la violer (ça doit être le seul viol, d’ailleurs, que l’héroïne n’a pas kiffé).
On note aussi l’activité amygdalienne quasi-nulle de la jeune femme (elle a un peu peur à la fin, quand elle se fait dessouder par son [spoiler]mari.
Sans ces points, qui auraient mérité l’intervention, qui se raréfie malheureusement, d’un éditeur impliqué, le livre vaut pourtant le détour. Même si j’ai dû mal à croire qu’Angelique puisse être aussi battante et rusée pendant 500 pages pour décider de tomber dans le panneau d’un violeur en série (on le lui dit, elle est prévenue) / empoisonneur / tueur d’enfants / etc.