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Commentaires de livres faits par Stor-m

Extraits de livres par Stor-m

Commentaires de livres appréciés par Stor-m

Extraits de livres appréciés par Stor-m

date : 01-01-2020
Lorsque j’ai tourné la toute première page de « Qui ment ? », je ne savais pas vraiment ce à quoi vraiment m’attendre avec cette lecture. Et pourtant, arrivée à la toute fin de ce roman, j’avais finalement été agréablement surprise de constater que le tout s’est soldé en un très bon moment de lecture.

Tout d’abord, force est de constater que l’on s’attache à chacun des personnages au fil des pages. J’appréhendais un peu cette alternance de point de vue sur 4 personnages, mais j’ai pris énormément de plaisir à me mettre à la place de Bronwyn, Nate, Addy et Cooper à mesure que j’avançais dans l’histoire. Chacun a un caractère bien à lui, et malgré un début peu laborieux en terme d’écriture (trop de temps passé avec le pdv à la troisième personne, donc difficile de revenir avec ce bon vieux « je » TT) et des personnages aux allures clichés - l’intello, le badboy, le sportif et la reine de beauté -, je suis tombée sous le charme de l’évolution psychologique et morale de certains d’eux. En particulier pour le personnage d’Addy. Et les personnages secondaires le sont tout autant (Ashton, Maeve, Luis... etc).

L’avancée de l’enquête est le point le plus énervant que j’ai pu rencontrer dans ce thriller. Les 300 premières pages sont, à mon sens, uniquement consacrées aux histoires de coeur, aux rapprochements et AUX LONGUEURS EXCESSIVES. Parfois des indices, parfois des révélations qui surviennent en mode « Hey coucou, sinon tu savais que blablablabla », et parfois rien. D’où vient le côté déception de cette histoire. Si celle ci n’était pas entièrement consacrée sur le côté adolescent/romance/drama beaucoup TROP mis en avant que celui du thriller, que la majorité de l’histoire était similaire au reste du roman (enquêtes plus approfondies, travail de groupe, interrogations, découvertes... etc), alors je pense que ça aurait définitivement un coup de coeur, surtout que la plume de l’autrice est très agréable à lire, correcte aux normes du Young Adult - sans trop de détails, sans trop de langage sérieux, bien que les « iL/EllE EsT tRoP SeXy oLaLa » m’ont fait PLUSIEURS FOIS levé les yeux aux ciel.

Pour finir, je dois avouer que
Spoiler(cliquez pour révéler)
la romance entre Bronwyn et Nate a été très sympathique à suivre, bien que ça a des airs d’une romance gentille fifille intelligente qui aime le badboy méchant, mais j’ai été surprise de voir que je me suis attachée à leur relation et qu’elle a au contraire dépassé le stade de niaiserie et de clichés que je prévoyais !
[/spoiler]

[spoiler]La révélation du tueur a été une très bonne surprise, je l’avoue ! Je m’attendais pas vraiment à ce que Jake soit impliqué dans l’affaire du suicide de Simon, ou qu’il soit parti aussi loin dans cette histoire. Mais j’avoue que le dénouement m’a laissé assez perplexe ; trop rapide à moins goût, et je suis déçue qu’on n’en sache pas plus que ça sur Janae dans l’épilogue.


En tout cas, j’ai passé un très bon moment de lecture !
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C’était par hasard que je suis un jour tombée sur La Passe Miroir en librairie. Par hasard que l’on m’a un jour proposé de lire ce roman en lecture commune. Mais ce n’est certainement pas par hasard que j’ai commencé à tomber amoureuse de cette histoire.

La première chose qui m’a le plus séduite en tournant les pages, c’est la fluidité dans laquelle baigne la plume de l’autrice, et l’enchaînement des événements. Tout est maitrisé, calculé, réfléchi, impossible de pouvoir s’arrêter à un chapitre sans avoir l’envie d’en connaître la suite.

On tisse un lien avec les personnages, on s’attache à Ophélie, ce bout de femme si particulier mais original à la fois, à la tante Roseline, Berenilde - que j’ai pris un malin plaisir à détester tout au long de l’histoire -, Thorn, Archibald... etc.

Mais j’avoue que j’ai eu du mal à tourner la dernière page du récit, après avoir été confrontée à une fin assez confuse, même si je mets ça sur le compte de la fatigue.

Ophélie est un personnage fort à sa façon, elle est résignée, têtue, coléreuse, silencieuse, attachante. J’ai adoré suivre son évolution tout au long du roman, même si je lui reproche parfois son manque de tact et de futilité.

Je n’ai pas grand chose à dire de plus, toutes les remarques que je sortirais seront en énorme majorité élogieuse. En soit, La Passe miroir est un presque coup
coeur !
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Le premier jour où j’ai posé pour la première fois mes yeux sur le premier de cette saga, une ribambelle d’incertitudes et d’appréhensions m’avaient envahie. Mais j’ai contre tout attente osé faire le premier pas, et me voici quelques temps après à achever le quatrième tome de Gardiens des cités perdues.

La première chose qui m’avait le plus marquée en tournant la dernière pages, ce n’était ni mon coeur sur lequel l’autrice a pris plaisir à piétiner, ni
Spoiler(cliquez pour révéler)
la décision HORRIBLE de Keefe à la fin du livre [/spoiler], mais le rythme endiablé et dosé ainsi que l’imagination débordante dont elle fait preuve à chaque tome.

Pas question d’attendre quelques chapitres pour nous plonger avec Sophie : on est directement pris dans les événements et les retournements de situation. On est surpris, heureux, étonné, attristé. Une relation s’installe indirectement entre Shannon.M et le lecteur.

On a toujours cette portion de mystère, ces interrogations que l’on se pose tout au long de notre lecture, et avec lesquelles l’autrice prend un malin plaisir à nous tourmenter, à répondre à nos théories - toujours indirectement !

Mais Gardiens des Cités perdues reste tout de même un roman destiné à la jeunesse, ce qui entache parfois l’ensemble du roman : j’ai trouvé certains dialogues assez exagérés, forcés, et à l’humour franchement lourd qui tranche avec celui des précédents tomes - et Keefe en est pour quelque chose, bien qu’il soit l’un de mes personnages préférés !

Le personnage de Dex est délaissé, pas assez présent, même s’il fait parti de la bande de Sophie et compagnie. Son amitié avec notre Foster préférée commence à s’estomper, et j’ai l’impression que Shannon Messenger force leur relation.

Mais malgré ces nuances, j’ai passé un moment de lecture extraordinaire, avec des personnages qui affirment leur personnalité - comme pour Della et Oralie, voire même Keefe -, et rencontrer le duo ying-yang de [spoiler]Tam et Lihn
.

Lecture superbe en somme, et SOKEEFE pour toujours !!
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J’ai bien aimé suivre les aventures de Malo durant cette lecture. La plume de l’autrice est plutôt agréable à lire, même très fluide. Les touches d’humour mises par ci par là rajeunissent le récit et rappelle le tempérament du héros. On est rapidement pris dans les péripéties - qui s’enchaînent un peu trop vite, j’y reviendrai un peu plus tard -, ce qui fait que les pages tournent, tournent, tournent sans que l’on sans aperçoive. Je l’ai fini en une ou deux heures, personnellement.
Et à la fin, j’avais comme un sentiment d’insatisfaction.
C’était bien, très bien comme lecture. Mais trop rapide. Et le mystère qui planait sur l’histoire n’était pas assez intense, selon moi. Je voulais que l’autrice joue encore plus avec le suspens, que l’on se pose des questions, que nos méninges travaillent et travaillent encore plus. Pas que tout soit lâché presque en bloc à la fin du roman. Le fond n’a pas été très creusé, et c’est vraiment dommage.
Il y’a encore une multitude de choses à dire, mais pour faire court, j’ai bien aimé, malgré les défauts que nous présente le récit.
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J’ai eu du mal avec cette histoire. Tout le monde ayant lu cette sixiologie ne cessait de lui chanter louanges, que ce soit pour l’histoire palpitante, America et son caractère bien trempé, ou encore Maxon, le prince charmant blondinet et qui transpire la perfection faisant « fondre » les lectrices.
J’ai mis beaucoup trop de temps à m’attacher à ce personnage - enfin, si je me suis réellement attachée... M’enfin, ce n’est pas que je l’aime pas, mais j’ai juste l’impression que l’auteure n’a pas pu le développer suffisamment pour que mon cœur s’artichaut cède.
Ce qui est assez dommage étant donné que le fond de l’histoire est vraiment intéressant (mais j’sais pas, ici encore y’a un truc qui manque ; le manque d’action, peut être ?), et qu’America est littéralement géniale (même si elle peut être un peu agaçante par moment).
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En me décidant ENFIN de me lancer dans cette science-fiction qui trainait depuis fin juillet sur mon étagère, c’était avec appréhension que j’avais commencée à tourner les premières pages de cette dystopie. Dystopie qui s’etait soldée par une assez agréable surprise, mais aux tendances nuancées. ?D’un côté, on a un univers riche, développé et original. Je m’attendais plutôt à tomber dans un univers qui suit les bases du fantastique et comportant les créatures de base, à savoir les loups garous, vampires ou gnomes. Au lieu de quoi, on a affaire à des trygmirs, des morasques, et autres créatures tirées de l’imagination de l’auteur. Il y’a un réel travail de réflexion derrière le roman, et ça fait plaisir ! ? Au niveau de l’écriture, je n’ai pas grand chose à dire dessus ; le domaine est maîtrisé, et la plume est complexe sans pour autant que les mots soient compliqués à comprendre. Les descriptions données ne sont ni trop lourdes, ni trop légères, et on arrive à se projeter avec facilité les personnages ou les décors de l’histoire.
? Et en plus du bon point cité ci dessus, l’auteur nous livre des personnages attachants, aux personnalités qui tranchent des unes des autres. J’ai senti une réelle connexion entre les trois personnages, et une profonde affection pour Miranda et sa repartie de feu. J’ai plusieurs fois ri et souri à certaines de ses répliques ! S’ajoute aussi Cirylis, que j’ai particulièrement appréciée pour sa force d’esprit, et sa détermination sans faille vraiment impressionnante. ⛈ Par contre, il y’a quelques défauts que j’ai dégotés dans ce tome. Notamment dans le fait que le rythme du roman est assez particulier, voire confus ; on commence très lentement au début du roman, bien que je pense que cela a été nécessaire pour nous introduire dans l’univers. L’action met du temps à venir, et j’ai eu du mal à discerner le fil d’intrigue à mesure que les pages tournaient. Surtout que vers la fin, le tout par en vrille, on nous balance un surplus d’informations trop importantes qu’on arrive finalement pas à saisir entièrement. Et de ce fait, c’était confuse quand j’avais tourné la dernière page du livre.

Mais en soit, j’ai passé un assez bon moment de lecture, même si j’ai le pressentiment que l’auteur pourrait avoir pu pousser le bouchon encore plus loin pour améliorer le tout. Un premier roman assez confus mais assez concluant !
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Le livre de mon enfance.
La plus belle découverte de ma vie.

Pas besoin de critique pour exprimer ce que je ressens vis à vis de cette lecture unique.
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Déjà, pour commencer, je n’ai pas vraiment compris le lien entre le titre et la vraie théorie littéraire, qui tourne autour du lecteur (écrivains, cherchez sur Google, c’est très intéressant !). On n’en parle que brièvement dans l’histoire, dans un chapitre uniquement.
Mais bref. Mis à part ce chipotage, parlons de l’histoire en général ; quand j’ai tourné pour la première page de ce livre, je savais que je serais un peu mitigée, voire même légèrement déçue, à cause du cadre de l’histoire beaucoup trop jeunesse. Et croyez moi, j’ai bien fait de me fier à mes présentement. Ce n’est pas que l’histoire est mauvaise, que l’écriture est bancale (elle est superbe, au contraire !) ou bien que l’histoire est ennuyante. C’est juste que c’est... ok comme lecture. C’est bien, c’est ok, c’est « pourquoi pas », mais j’ai repéré des défauts : le personnage de Lorraine est parfois agaçant à rire comme une truie pour des choses stupides, et sa passion pour l’astronomie n’est pas assez approfondie ; elle en est folle, et lorsque je rencontre un personnage animé depuis toujours d’une passion, je VEUX la ressentir. Et pourtant, ça a été assez léger, et c’est vraiment dommage... ce n’est pas comme avec Noé, avec qui on ressent parfaitement bien son amour pour le surf. Mais qui disparaît peu à peu pour celle de l’écriture, et qu’il ne mentionne presque plus vers le milieu du roman... Mais sortons du contexte des personnages et englobons un peu tout en quelques lignes. Il y’a deux intrigues dans l’histoire : celle de la romance et du mystère « Vieux pépé et moi », et celle ci prend TROP de place dans l’histoire. La relation entre les deux personnages a besoin de plus de développement, qu’elle soit mieux mise en valeur et non pas que l’auteur reste un peu en surface. Quelques événements et péripéties sont bâclées, et c’est dommage parce qu’elles semblent être super intéressantes. Et c’est beaucoup trop court comme roman. Je m’arrête ici pour cette critique.
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Alors. Ce livre, c’est quelque chose de particulier. De très particulier. Ça fait 5 minutes que j’essaye de trouver mes mots pour exprimer ce que je ressens vis à vis de cette lecture, donc excusez moi pour cette chronique un peu... flou.
Déjà, on a droit à un changement excessif de points de vue et de temporalité : on passe d’une génération à une autre, et si au début ça a été plus qu’agaçant, au point que j’ai voulu rendre le livre au CDI, j’ai fini par m’y faire au bout d’une centaine de pages, malgré le fait que ce soit parfois accompagné de longueurs qui m’ont plusieurs fois fait lâcher le livre durant ma lecture.
Mais en dehors de ça, j’ai passé un moment assez cool avec ce livre, même si je m’attendais à plus que lire le passé des personnages et un extrait de la vie de l’auteur qu’aiment la bande du Hammeau.
Petite déception en soit, mais l’attachement envers les personnages, les envies de liberté, d’insouciance juvénile et l’espoir d’un monde moins sombre qu’arrive à transmettre avec succès l’auteur, ainsi que le gros vide qu’on ressent en tournant la dernière page ont vraiment rattrapé les points négatifs que j’ai cités ! Sans compter le fait que la plume de l’auteur est juste phénoménal, et je serai très heureuse de le rencontrer s’il arrive à gagner le concours Jacaranda !
Belle lecture, même si je m’attendais à plus !
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A LIRE SEULEMENT SI VOUS ÊTES À JOUR DANS VOTRE LECTURE.

J’ai adoré. Non, j’ai suradoré ce troisième tome. Sincèrement, j’ai l’impression que pour chaque volet de la saga, Sabaa Tahir nous met dans un cadre scenaristique différent : on ne s’ennuie jamais durant notre lecture, et chaque mot est comme méticuleusement pensé avant d’être tapé sur l’ordinateur. Dès le début de l’histoire, on est carrément plongés dans les péripéties et aventures de nos personnages favoris. Retrouver Laia, Elias et Hélène (cette fille c’est ma queen) a juste été un pur plaisir, et j’avais l’impression de les redécouvrir une nouvelle fois dans ce troisième volet, comme dans le premier. Mais j’avoue que j’avais eu un peu le cœur brisé en voyant le titre d’alternance des chapitres, quand c’est le tour d’Helene de donner son pdv : il n’y a plus d’Helene Aquilla, comme dans une Flamme dans la nuit, mais uniquement La Pie de Sang... et c’en est de même pour Elias, à la toute fin du livre (L’Attrapeur d’Ames).
On en apprend plus sur les antagonistes principaux, à savoir la Commandante et le Semeur de la Nuit. L’autrice a dépeint leur portrait sombre et inhumain, nous a fait exploré leurs différentes facettes, leurs souvenirs et faiblesses d’hier et d’aujourd’hui, à tel point qu’on se prenait une bonne gifle sur le visage et qu’on peinait à réaliser la vérité : ils étaient humains, et ils auraient toujours pu l’être sans les coups qu’ils ont reçus de la vie. Ils n’ont jamais été tous noirs en vérité.
Comme certains n’ont jamais été entièrement blancs. Vers le milieu de l’histoire, on en apprends plus sur les intentions du Meherya, sa cité Djinn et l’amour qu’il éprouvait pour son peuple, et à travers ces informations, les raisons pour lesquelles il déteste les Érudits. Et franchement, il a quand même bien raison de les haïr et de vouloir les détruire.
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Dans ce second volet, on retrouve avec bonheur Laia et Elias, traqués de toutes parts par les Martiaux et la sanglante commandante, Keris Veturius. Surprise surprise : Hélène a aussi droit à son point de vue, en plus de celui de Laia et d’Elias. Chaque jour que nos héros passent s’écoule dans la terreur et la violence, et comme le dit si bien notre Mask adoré : la peur est notre meilleure guide.
Mais c’est épaulés de plusieurs alliés parfois inattendus que nos héros réussiront à se battre pour la vie. Enfin, vie qu’ils pourront mener s’ils contournent minutieusement les obstacles inconnus, ainsi que les heurts d’ennemis insoupçonnés, cachés dans l’ombre depuis bien trop longtemps... Lorsque j’ai tourné la dernière page de ce bouquin, le premier mot qui m’est venu à l’esprit est « wow » (et « je veux la putain de suite », aussi). Le second tome est encore meilleur que le précédent ; plein de surprises, d’émotions, de peur, de frustration, de - rares - moments de joie. Tout ce que j’aime dans un livre fantasy, en fait. Laia est plus forte que jamais, déterminée à trouver et délivrer Darin, son frère aîné. Elias, lui, plus torturé que jamais, à un point que j’avais envie de le prendre dans mes bras pour que ses souffrances s’allège. Mais un feu brûle toujours en lui, et en aucun cas il ne souhaite le voir s’éteindre. Hélène, mon Hélène, est juste touchante à sa manière, et j’ai adoré ses moments de réflexion où elle même serait prête à se sacrifier pour ceux qu’elle aiment, à changer et devenir quelqu’un qu’elle n’est pas pour préserver la vie. Un modèle, en soit. Chaque personnage (qui n’a pas des pensés sanguinaires comme la Commandante ou un Mask) a quelque chose en lui qui fait de sa personnalité touchante.
Bref, un second volet encore meilleur que le précédent !
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L’histoire parle d’un monde dans lequel se trouve l’Empire dirigé par le peuple des Martiaux. Autrefois, l’Empire était dirigé par les Érudits, mais depuis leur renversement par les Martiaux, leur peuple à été réduit en grande partie à l’esclavage, tandis que d’autres en liberté vivent dans l’extrême pauvreté et la terreur d’être tues, torturés ou violés par les Masks, redoutables soldats de
Parmi ces Érudits libres, Laia, Laia de Serra (Serra est une ville de l’Empire), une jeune fille de 17 ou 18 ans vivant avec ses grands parents, Nan et Pop, et son frère aîné, Darin. Tandis qu’à Bkackcliff, l’école qui forme les Masks depuis leur enfance, on retrouve Elias Veturius, un garçon de dernière année qui ne souhaite que s’échapper et retrouver sa liberté. Très vite, il ne tarde pas à faire connaissance avec Laia dont le frère a été enlevé, et commence alors un périple en quête de liberté... Des les premières pages de l’histoire, j’ai tout de suite accroché aux personnages et à l’univers, ainsi qu’à la plume fraîche et entraînante de l’auteure. L’ordre du « balancement d’informations » est simple à première vue, mais est terriblement complexe à maîtriser ; donner la juste dose d’informations pour allécher le lecteur à continuer, le frustrer, l’énerver. C’est ce qui m’a fait adorer cette histoire.
En bref, c’est un coup de cœur que je recommande fortement ! En prime, l’histoire est doublée d’une jolie romance qui n’interfère pas avec le reste de l’histoire, et qui reste au second plan, ce qui est excellent pour ne pas « troubler » le fil narratif.
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Une pure joie de retrouver une fois de plus la plume de Shannon Messenger !
Dans ce troisième volet, on retrouve Sophie dans un univers elfique plus sombre, plus détaillé sur certains points, et l’ambiance « rébellion » n’a pas été dosée : on est en plein dedans. Les sentiments sont mieux exploités, on est indigné, surpris, heureux, ému. Les émotions ne sont pas du tout ménagées, et les révélations sont toujours aussi surprenantes, comme à leur habitude ! Retrouver mes personnages chouchous a encore une fois été un plaisir, et j’ai apprécié le fait que la relation Sophie-Fitz soit un peu plus développée et sorte un peu de ce qu’on avait aux premiers livres, un peu plus tendre et complice, en fait.

J’ai en ce moment même le quatrième tome sur ma table, et je file m’y plonger pour retrouver Sophie !
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Si le premier tome a été un coup de coeur pour moi, Exil a pleinement réussi à s’élever au même niveau. J’ai adoré retrouver la plume endiablée et pleine de surprise de Shannon Messenger, surtout du côté des personnages ! Ils sont tous plus attachants les uns que les autres - surtout Keefe. Mais y’a peut être un petit soucis au niveau de ces personnages : j’aurai bien voulu qu’on parle un peu plus de Dex, Biana ou Marella, qui a presque été absente tout le long du livre, ce que je trouve dommage pour ce second volet au fil narratif de béton.
De nouvelles surprises ont surgies dans l’histoire, apportant avec elles leurs lots de questions qui n’arrêtent pas de se multiplier, de mystères à en faire tourner la tête. L’univers des elfes est plus sensationnel que jamais, et j’ai parfois envie de le comparer à Harry Potter - parce que je vais être honnête avec vous, j’ai comme l’impression d’y replonger indirectement, à quelques détails près ! Détails comme le surplus d’informations que nous envoie l’autrice à la figure, les noms de certains personnages similaires à une lettre près parfois (Brant - fiancé de Jolie - et Bront - membre du Conseil)... etc
Mais défaut majeur qui se présente au début de l’histoire : l’incapacité à se plonger au début de l’histoire. Ce n’était pas assez immersif pour ma part, les premières pages du début ; je suis quelqu’un de nature assez concentrée, surtout surtout surtout en début de lecture, mais je n’ai pas pu me plonger dès le début. Effet qui n’a heureusement duré que pendant quelques chapitres ! J’ai vite été happée par la trame de l’histoire, avec Alden, Prentice, Sophie, Silveny... Un gros gros coup de coeur malgré les quelques et légers défauts cités ci dessus ! J’ai le tome 3 et 4 sous la main, je m’y plonge dès demain matin. Plus que hâte !
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Il y’a eu trois sagas historiques dans ma vie qui se sont installées une place dans mon petit coeur fou de fantasy : Harry Potter, Percy Jackson et Une Braise sous la Cendre.
LGDCP y a aussi gagner sa place.
A vrai dire, tout comme avec HP et PJ, j’étais assez mitigée au commencement du livre, voire même avant de passer la première page ; pour moi, certains de ces livres étaient parfois sur-côtés alors qu’ils présentaient un contenu super sans pour autant être légendaire (exemple : la série des Filles au chocolat de Cathy Cassidy), mais en tournant petit à petit les pages de cette pépite, j’ai littéralement été ensorcelée par la plume happante de l’autrice, et par son univers riche en détails et diversité.
J’ai l’immense envie de lister tous les points que j’aime dans ce roman, je n’y arrive pas ; que ce soit entre les relations entre chaque personnage, leur développement ou encore les informations que nous laisse l’autrice qui aime visiblement nous faire saliver et nous torturer les méninges, j’en aurais pour des heures.
J’ai acheté le premier tome par pur envie et pour tester, et samedi, je suis retournée à la librairie pour acheter le second volet. Manque de chance : le 1 et le 2 étaient en rupture de stock, et le 3 et le 4 étaient les seuls bouquins disponibles (cachés derrière le 1 ;)) Autant vous dire que j’avais un truc qu’on appelle le seum. Je reste sur ma faim, en tout cas.
Bref. Si vous hésitez, arrêtez d’hésiter, car hésiter peut vous faire louper de nombreuses pépites en platine. Et les Gardiens des Cités Perdues en est une.
Foncez.
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date : 18-11-2019
Depuis qu’ils sont enfants, Kai et Jemina, dites Jem, sont inséparables et partagent tout en commun. Jem sait tout de Kai, et Kai sait tout de Jem, même le fait que la jeune fille soit profondément amoureuse de lui, alors que lui est profondément gay. Mais depuis le temps, Jem s’est faite à l’idée.
Mais voilà : une vidéo à contenu sexuel présentant Kai et un autre garçon au visage flouté a été anonymement postée. Celui ne l’a pas supporté, et s’est suicidé quelques jours après l’immense vague d’insultes qu’il a reçus (le respect avant tout, ne l’oubliez pas, et réflechissez avant de dire n’importe quoi). Endueillée mais surtout enragée, Jem est déterminée à faire payer un à un, personne par personne ceux qui ont fait souffrir Kai.
Jusqu’à en payer durement les conséquences.
On va pas se le cacher, j’ai vraiment adoré lire Revanche ; la plume de Cat Clarke est juste précise sans en faire trop, et l’histoire se lit comme un bonbon - rapidement et sans pouvoir s’arrêter. Mais énorme problème de ce bouquin (même énorme n’est pas assez pour qualifier le soucis qui vient) : Jemina.
Je suis désolée de le dire, mais ce n’est juste qu’une connasse dénuée de tout sentiment, TROP naïve, impulsive et extrêmement maivaise.
Gâcher la vie des autres (pour ceux qui ont su pour Sasha à la fin, vous savez de quoi je parle) au détriment de soi est juste dégueulasse. En fait, du début à la fin, j’avais l’impression que pour elle, le « Groupe Populaire » (on est pas dans High School Musical nom d’une confiture) est juste un assortiment de gens beaux, très très bêtes, et au coeur pareil à celui d’Ombrage dans Harry Potter. Mais en prenant du recul, je peux peut être mettre ça sur Louise, la soeur de Kai, qui est un peu tout le portrait de personne « populaire » que j’ai décrit. Jem se base sur elle et « distribue » le portrait aux autres, ce qui est très dérangeant et reflète ses capacités émotionnelles à se fixer une
image précise de quelqu’un sans chercher à le connaître.
Pour certains, la déchéance et la détermination de cette héroïne est plutôt originale, et l’ont même adorée. Mais pour moi, c’est juste un gros NON à la Simon Cowell.

Et cette fin qui était beaucoup trop prévisible, on en parle ? [spoiler]Dès le début j’avais deviné le coupable de toute l’histoire. Cat Clarke a laissé, à mon avis, beaucoup trop d’éléments qui donnent un côté prévisible à l’histoire. [/

Mais pour englober le tout, j’ai plus qu’aimé lire le premier roman d’une autrice qui promets, malgré le fait que Jemina fasse partie des personnages pour qui j’ai envie d’imprimer la photo et d’y jeter des fléchettes enflammées.
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date : 18-11-2019
Ce livre est injuste.
Injuste. Injuste. Injuste.

Je ne sais même pas si je vais être capable de rédiger une chronique pour expliquer mon ressenti.
On va faire ça tout doucement, alors.

Premier et unique point négatif que j’ai trouvé dans ce roman : la difficulté à entrer dans l’histoire. Dès les premières pages, je me suis un peu embrouillée, que ce soit avec l’entrée en matière de l’histoire assez particulière selon moi, ainsi que la manière dont l’autrice l’a écrite. Mais j’ai rapidement laissé tomber cette impression pour me laisser doucement emporter par la tournure des événements. Puis la carapace qui bloquait mon cœur avait été petit à petit fissurée, et elle s’est cassée d’un coup, sans que je m’y aperçoive.

Parce que ce livre parle du vent qui emporte nos voeux au loin pour nous les rapporter des années après. De l’espoir qui brille en chacun des nous et qui vient progressivement s’envoler pour illuminer le ciel avec les étoiles. D’amour. De peur. De crainte. De colère. D’injustice. De complicité. De famille. De vérité.
Et surtout, de l’amour inconditionnel d’une fratrie.

Ed est la chaire, le sang de Joe, et ce dernier nous le fait parfaitement bien comprendre à travers sa narration. Joe est poignant, touchant, bien qu’il ne le montre pas explicitement à son entourage, bien qu’il se cache tous les jours derrière un masque. Il est émouvant à sa façon, et sa capacité émotionnelle qui n’a pas cessé d’évoluer et de se perfectionner.

Dans ce roman, on aime la vie comme on la déteste à certains moments. Il nous montre que dans une tragédie, il n’y a pas que les proches de la victime qui sont en deuil, mais aussi ceux de l’accusé. Personne n’est à l’abri d’un coeur brisé.

J’ai pleuré comme jamais vers les 100 dernières pages. Et j’ai encore mal au coeur rien que de penser à ce livre juste incroyable, bien que ça ne fasse 3 semaines que j’ai terminé.

Coup de coeur intersidéral pour moi !
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On va pas se mentir, j’ai eu beaucoup de mal à entrer dans ce roman. Déjà, la plume de l’autrice était assez basique, simple, du vu et revu en soit. Un peu comme avec Terre de Brume (de Cindy Van Wilder), on m’avait vantée un truc de malade pour que ce soit au final quelque chose de moyen. D’autant plus que j’ai été TRÈS perdue avec les termes magiques : les Etheralki, Caporalki, soigneurs, invocateurs... même avec le repère en début de roman, je me suis embrouillée. Et la narration à la première personne au passé n’arrangeait rien : j’ai toujours lu du présent pour le « je », rarement du passé, et un temps est passé avant que je ne puisse m’habituer à la plume rugueuse de l’autrice.
Pour au final en être bouche bée. En tournant la première page du roman, j’avais, après avoir lu le résumé, toujours été persuadée que l’histoire se déroulerait dans les parfaites normes de la fantasy/fantastique/dystopie young adult adorée de tous : on nous présente une jeune fille de 17 ans, jolie alors qu’elle se pense laide, téméraire quand elle se croit faible. Les décorations scénaristiques étaient, quant à elles, évidemment présentes : le meilleur ami musclé, beau, brun et aux yeux outremer, dont l’héroïne était tapée depuis l’enfance. Mais ses sentiments o combien puissants seront rapidement troublés par un autre personnage o combien troublant : beau à en mourir, des yeux gris à en tomber, des pouvoirs uniques et surpuissants. Le triangle amoureux typique, en somme.
Mais Leigh Bardugo n’a pas laissé le lecteur suivre tranquillement le fil narratif de cette histoire aux abords tranquilles et prévisibles : des dizaines et des dizaines de cliffhanger immenses surgissent peu à peu dans la trame. Et on ne s’y attend pas, tellement pas que même moi, je n’arrive pas à digérer certaines révélations.Et je ne sais pas vraiment si ça me motive à continuer l’histoire... je veux dire, j’ai adoré l’univers ficelé, les lieux où l’on se sent chez soi (coucou Little Palace), les personnages qui ont pu recevoir un développement de qualité ainsi qu’un tempérament unique pour chacun...
Clairement, on est à quelques kilomètres du coup de coeur. Mais d’un autre côté, la trame de l’histoire me dérange un peu, beaucoup, même, et ce, pour des raisons qui me prendrait 50 minutes à expliquer.

Pour dire c’est qu’à ce moment même j’ai l’impression d’être contradictoire avec moi même. J’ai un côté qui aime l’histoire et un autre non.

Mais bref. Une jolie lecture malgré des débuts difficiles et des révélations très surprenantes, qui m’ont assez dérangée personnellement.
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La saga de mon enfance. Je ne sais même pas quoi dire d’autre pour montrer qu’Harry Potter est plus qu’un coup de coeur.

C’est grisant. C’est charmant. C’est envoûtant. C’est surprenant.

C’est magique. Tout simplement.
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