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Quand le diable sortit de la salle de bains



Description ajoutée par x-Key 2015-06-30T12:41:26+02:00

Résumé

A Lyon, une trentenaire, Sophie, chômeuse en fin de droits, souvent affamée est soucieuse d'écrire son livre. Avec fracas et drôlerie, ce roman nous entraîne dans les turpitudes de la vie d'une jeune femme qui subit son isolement, et soulève la question de la place du chômeur dans notre société.

Tour à tour caustique et désopilante, l'auteure ne laisse rien passer à ses personnages pour faire une critique décapante et cocasse des besoins de chacun pour se fondre et se valoriser dans la société, la famille et le travail.

Après la mélancolie de La condition pavillonnaire, Sophie Divry revient avec un roman improvisé, interruptif, rigolo, digressif, foutraque, intelligent, émouvant, qui, sur un fond de gravité, en dit long sur notre époque.

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Classement en biblio - 45 lecteurs

extrait

Le fait que je me résigne à mon chômage, que je m’y installe durablement, avait éteint leur inquiétude au lieu de les aiguiser. Au fond, ma situation s’était normalisée. Rien de nouveau ; donc, plus de danger. J’étais là comme ils m’avaient toujours vue. La même tête. La même voix. Seul un révélateur chimique d’une composition inconnue aurait pu rendre visible la faim qui le tenaillait. Ce que ma famille ignorait, c’est que le pire du chômage n’est jamais le début. Le pire, c’est l’installation dans cette idée, justement, que rien de nouveau n’arrivera plus…

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Commentaires récents

Bronze

Pas une grande réussite ce livre, ou alors il n'est pas fait pour moi. Au départ pourtant, j'aimais bien le style de l'auteure. L'héroïne est attachante quand on la voit galérer pour boucler ses fins de mois, avouons-le on a tous connu ces économies de bout de chandelle, permettant d'arriver au jour de paie. Après ce bon début, tout part en vrille, c'est devenu du grand n'importe quoi, des pages entières de répétitions, des digressions qui n'ont rien à voir avec le récit, des scènes de sexe qui n'ont aucun intérêt dans l'histoire. Non vraiment j'ai bien faille abandonné, je suis allée au bout et même quand l'auteure reprend les péripéties de son héroïne, ça ne marche plus et j'ai eu hâte de finir ce livre.

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Bronze

Une belle satire de notre système. Dommage que des élucubrations de l'auteur viennent perturber le cours de ses pensées, car ce thème aurait pu être traité en conservant l'humour du début. Cela dit, à la fin du roman, l'auteur justifiés on choix d'écriture. Mais bon...

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Pas apprécié

Je pensais passer un bon moment.

Le sujet est intéressant mais la façon dont l'autrice le traite me laisse dubitative.

Je n'aime pas du tout son écriture et je ne comprends pas pourquoi elle s'acharne à répéter la même chose avec cinquante formules différentes.

J'ai trouvé que cela alourdissait le rythme et m'a fait perdre plusieurs fois le fil de ma lecture.

C'est dommage car j'aimais bien l'idée de suivre les déboires d'une jeune écrivaine jusqu'à la sortie de son premier roman, d'autant plus que la 4ème de couv. annonçait un livre sans pathos mais au contraire bourré d'humour et de surprises.

C'est donc agacée que j'ai abandonné ma lecture. Peut-être que je réessaierai dans quelques temps.

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Or

Le gros plus de ce roman c'est son style, son écriture, sa typographie même, qui dénotent d'avec ceux qu'on a l'habitude de voir, à tel point qu'il est quasiment impossible de lire un extrait à quelqu'un : on ne peut que "montrer" un extrait. Sophie Divry joue avec les codes pour le plus grand plaisir du lecteur !

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Lu aussi

Alors .. Voici un livre complètement déjanté ( ce n'est pas moi qui le dis mais l'auteure ).

Moi, perso, je ne suis pas contre le déjanté mais là j'ai eu vraiment beaucoup de mal !!

Disons que trop de déjanté tue le déjanté ... on finit par se lasser !

Nous suivons les tribulations d’une jeune trentenaire au chômage tentant de survivre avec quelques centaines d’euro par mois et connait toutes les galères des gens en situation précaire.

C'est un mélange de tout et de rien , assez lourd , parfois vulgaire ( les pages "hot" n'apportent franchement rien au récit).

On y trouve une écriture inventée , des calligrammes, des dessins, des énumérations à n'en plus finir ( qui vous incitent à lire en diagonale ).

Bref un méli-mélo déstabilisant, c'est foutraque.

Le sujet du récit aurait pu être intéressant, mais j'ai eu l'impression que l'auteur ne prend plaisir qu'à se lire et relire ses "bons " mots.

Je suis sévère .. beaucoup trop de bémol et pour moi c'est à fuir. Où alors le style est tellement poussé ( au 99° degré ) que je n'y ai rien compris.

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Argent

j’ai découvert un roman frais, sans prise de tête, qui plonge son lecteur dans une route pas très sérieuse, divertissante, plaisante à suivre et qui apporte son lot de sourires. Une belle détente qui ne se refuse pas. Un petit moment hors des sentiers, pétillant, un peu foutraque, un peu étonnant, mais savoureux. Sophie Divry signe un ouvrage barré qui fait du bien http://www.newkidsonthegeek.com/avis-%E2%98%99-quand-le-diable-sortit-de-la-salle-de-bains-%E2%98%99-par-sophie-divry/

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Pas apprécié

"chômeuse empêtrée dans l'écriture de son roman", "petites combines" pour survivre, "péripéties les plus folles", voilà en gros ce qu'on peut trouver sur la quatrième de couverture.

En me procurant ce livre, je m'étais attendue à lire les déboires d'une écrivaine au chômage, un récit bien cocasse. Eh bien, je n'ai rien eu de tout cela !

Juste 300 pages de plaintes mélodramatiques sur la condition des chômeurs.

Je ne dis pas que c'est inintéressant, je dis juste que ce n'est pas du tout ce que je recherchais dans ce livre.

En fait, je n'ai même pas vu de trame narrative à ce roman, ça part dans tous les sens, ça devient très vulgaire par moment, mais le plus souvent c'est très ennuyeux.

J'ai même sauté pas mal de passages. Ces passages en question sont des énumérations de trois pages en moyenne, aussi rébarbatives qu'inutiles.

Bref, je n'ai pas du tout aimé cette lecture. J'ai même été très soulagé d'arriver au bout.

Je ne fais clairement pas partie du public cible de ce roman.

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Bronze

Ce livre peut paraitre étrange par bien des aspects... déjà par la manière dont l'impression à été réalisé: des mots qui se baladent un peu partout, un phallus en plein milieu du roman, des pages rouges, etc. Et deuxièmement par son cynisme qui nous explose à la figure. Ce roman parle du chômage et de tout ce qui va avec (vie sociale non existante, mal-nutrition, galère perpétuelle, etc.) d'une manière que j'ai trouvé très douce et brutale à la fois, c'est-à-dire qu'on hésite entre pleurer et rire de la situation de la protagoniste. Un roman que je recommande.

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Or

Quand le diable sortit de la salle de bain de Sophie DIVRY

Ce livre raconte, d’une manière libre et humoristique, les tribulations d’une chômeuse. C’est de cette façon que Sophie nous présente son roman dans le bonus à la fin du livre.

Sophie est écrivain, elle est aussi au chômage. Elle nous raconte ses déboires avec l’assurance chômage, avec ses fiches de salaire qui n’arrivent pas, contrairement à ses factures, qui elles, continuent de remplir la boîte aux lettres, de l’argent qui manque à la fin du mois, puis ensuite en début de mois, la recherche de petits boulots en attendant de trouver enfin un vrai travail et la faim qui la tenaille un peu plus chaque jour...

Ce livre sur les journées d’une chômeuse reflète tellement la réalité, que j’en ai souris, mais j’ai aussi été bien souvent révoltée et scandalisée.

J’ai trouvé ce roman d’une drôlerie et d’une fraîcheur superbes. Le texte est plein de fantaisie, j’y ai trouvé des textes sous forme de dessin, des lettres (consonnes notamment) qui se promènent dans les pages, et surtout découvert des mots inventés par l'auteur comme dans les livres pour enfants.

Ce livre parle de choses réelles et tourne en dérision le vécu de milliers de personnes. Comme dit le proverbe : mieux vaut en rire !

Ce livre est un vrai moment de bonheur.

Extraits :

Mes pleurs finirent par sécher. La question de la facture Véolia Eau (que la lèpre assèche leurs testicules !) se dilata dans les airs. Une question secondaire m’animait. Pourquoi avais-je donc ouvert cette fichue boîte aux lettre ? Pourquoi cette précipitation à regarder mes e-mails, à vérifier si je n’avais pas de messages, pas de SMS…

Peut-être, proposafit ma mère, parce que tu aimerais que quelqu'un pense à toi ….

Lire était le seul moyen de m’extraire de mon corps, même si la faim ne s’oublie jamais.

C’était extraordinaire. Sa bouche riait, la langue se tordait, les dents se gondolaient, les amygdales se marraient, la glotte se déridait, tout riait, tout riait en lui. Je m’étais cachée sous un rail pour observer ce spectacle hallucinant. Le rire descendait dans l’œsophage, passa dans les poumons hilares, l’estomac ricana, les reins s'esclaffèrent, le diaphragme se plia en deux, l’intestin pouffait, le côlon se cognait, les genoux tremblaient, le cœur gloussait, la rate se dilatait, le rectum se tapait le cul par terre de rire. Ce fou rire était si sonore qu’il me sortit du sommeil.

Mais ne nous trompons pas, ce n’est pas le chômage qui est drôle, c’est la littérature qui peut être une fête.

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Pas apprécié

Déçue par ce livre, je m'attendais à beaucoup mieux. Pour moi inintéressant, l'écriture y ai rébarbative.

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Dates de sortie

Quand le diable sortit de la salle de bains

  • France : 2015-08-20 (Français)
  • France : 2017-02-01 - Poche (Français)

Activité récente

Évaluations

Les chiffres

lecteurs 45
Commentaires 13
extraits 6
Evaluations 13
Note globale 5.31 / 10

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