Alex Clément est mort
Auteur
- Delphine Rieu (Écrivain)
- Emmanuel Lepage (Écrivain)
Classement en biblio - 3 lecteurs
Commentaires récents
Magnifique !!!
A part, peut-être, la toute fin, qui tombe bien, mais qui m’a laissé un peu sur ma faim, tout est excellentissime dans cette BD !!
L’histoire, en trois tableaux qui se croisent, est excellente. Les liens entre chaque permettent de tout relier mais également de faire une continuité temporelle parfaite.
L’histoire en elle-même est très bonne et super bien ficelée.
Les personnages sont extravagants tout en restant suffisamment crédible à mon goût et donnent à l’histoire un côté loufoque que j’ai adoré.
Enfin, les dessins sont somptueux ! Je suis fan ! Je me suis délecté de chacune de ces cases où le travail des dégradés de noirs et gris permettent tout, les visages superbes, les postures, les lieux. Je me suis plongé dans chacune comme dans un tableau, ne cessant de m’émerveiller au fil des pages.
Tout simplement succulent !
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Date de sortie
Alex Clément est mort
- France : 2000-11-08 (Français)
Activité récente
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Editeurs
Résumé
Scénario : Delphine Rieu ; Dessins : Emmanuel Lepage.
On peut passer de vie à trépas et se retrouver malgré tout héros d'une bande dessinée... Voyez Alex Clément, par exemple. En voilà un qui sème une belle pagaille autour de lui. D'abord, il meurt - bon, ça arrive. Ensuite, une famille de bourgeois en capilotade enlève sa pauvre maman avec la ferme intention d'arracher une rançon au fiston. Mais pas de chance : on l'a vu, il vient tout juste de calancher. Enfin, trois personnages qui n'auraient jamais dû se croiser si la vie était faite comme il faut (ce qui est rarement le cas, nous sommes bien d'accord) se retrouvent dans l'appartement de feu Monsieur Clément... Bref, tout ça est à l'image de l'existence : plein d'imprévus et un peu compliqué. Mais aussi franchement drôle et cocasse... Le récit se déroule à Marseille, histoire de donner du relief et du piquant à cette galéjade rigolote et pleine de vie - sauf pour monsieur Clément, bien entendu. Quant au graphisme au lavis, il fait penser à Rabaté et son Ibicus : il existe sûrement de pires références... --Philippe Actère
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