Un tome où l'on suit la progression d'un génocide programmé,

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avec un passage fort lors du siège d'Armengar.

Feist ne s'arrête pas avec la fin de la guerre de la faille, et développe un monde aux multiples problèmes. On suit cette fois le ténébreux Arutha, accompagné de Laurie et de Jimmy, pour notre plus grand plaisir (du moins pour le mien) dans une course contre la montre.

Un livre qui suit le premier tome sans s'essouffler, où l'on découvre enfin Kelewan.

Une fois le message passé, cette suite s'occupe avant tout de l'action et du suspense, mais n'en est cependant pas devenue désagréable à lire.

Je crois que ce fut mon premier livre de fantasy, si on peut dire ça comme ça. J'en ai gardé un bon souvenir, et ne m'en suis d'ailleurs toujours pas séparée.

Un tome qui clôt une magnifique trilogie. L'auteur a su expliquer quelques contradictions sans tomber dans l'absurde ou le déjà-vu, ce qui est assez rare.

Dave Duncan manie sa plume avec autant de dextérité que pour le premier tome. Des incohérences apparaissent cependant, mais sont expliquées dans le troisième et dernier tome.

Un scénario accrocheur, des personnages séduisants, un livre qui se lit de bout en bout, sans s'en détacher.

Une suite qui n'apporte pas grand chose en plus, agréable à lire mais sans être exceptionnelle.

Deux gredins un peu dérangés, des singes malicieux, une vengeance bien sentie... Vous reprendrez bien un peu de tarte aux oiseaux?

C'est dur de ne plus être enfant... La première chose qui m'est venue à l'esprit, dès que Georges a mis le vernis à ongle dans sa potion, fut "mais il va carrément la tuer!". Du calme ma fille, ce n'est qu'un livre pour enfants...

"L'École Emportée" nous emporte véritablement dans un monde apocalyptique, où, à situations désespérées, réactions désespérées. Les chemins psychologiques pris par divers protagonistes mêlent l'horreur au fantastique de la situation. Ce manga se lit comme se poursuit un de ces rêves étranges et dérangeants, à la limite du cauchemar.

Agréable à lire, plutôt surprenant de la part de Roald Dahl, ce recueil de nouvelles donne son lot de frissons.

Un tome consacré à la guerre d'Ishbal, avec beaucoup de révélations, et qui met en relief les relations entre différents protagonistes.

Comme pour "Le Diable S'Habille en Prada", j'ai tout d'abors vu le film, qui est très drôle; et de même, les scénario divergent parfois, mais j'aime les deux oeuvres. Un "bouquin de plage" qui mérite vraiment d'être lu.

A travers "Je ne suis pas coupable", Agatha Christie nous montre que le suspect idéal n'est pas forcément le véritable coupable.

Guillaume Bianco nous offre de petites histoires dans la lignée de l'écriture Burton... Certaines sont moins sombres, d'autres plus glauques, mais si vous aimez les mésaventures Burtoniennes, vous aimerez les tomes de Billy Brouillard.

Comme le dit Throdoor, l'humour est parfois mastoc, mais ce livre se laisse lire.

Un petit livre, récupéré de la vieille bibliothèque de ma mère, il y a des années, très émouvant.

A silver bullet's disappeared. Gosho Aoyama ne nous épargne pas. Mais nous n'avons pas le temps de nous appitoyer. Conan se retrouve plongé dans de nouvelles affaires rondement menées, et Eisuke semble encore cacher des choses.

C'est l'heure de la bataille entre le FBI et l'Organisation. Gosho Aoyama nous offre un tome bourré d'action, de suspence, de révélations, et finit sur une note noire, qui ne promet rien de bon...

Un tome plutôt calme entre deux actions de l'Organisation des Hommes en Noir... Avec une fin qui est un véritable prélude au tome suivant.

Amis des longues séries, bonsoir! Avec le nombre de tomes que se traine "La Roue du Temps", Robert Jordan nous développe avec profusion une fresque épique menée par une bande d'amis à laquelle on s'attache très vite. Un premier tome qui démarre plutôt bien.

Un livre qui se laisse lire, dont l'idée donnée par le résumé est pas mal (sauf le "Mais l'amour est peut-être plus fort que la mort..."), mais qui ne restera pas dans les mémoires comme un classique.

La deuxième partie suit la première à la perfection, ce qui présageait beaucoup.

On m'a beaucoup vanté "La Moïra"... Et je l'ai apprécié, mais je m'attendais quand même à mieux.