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Et puis mourir



Description ajoutée par Alteliane 2020-10-04T00:37:12+02:00

Résumé

Plusieurs samedis d’affilée, alors que tous les services de police de France sont mobilisés par les manifestations des gilets jaunes, de meurtres sont commis dans les beaux quartiers de Paris. Cela pourrait être l’œuvre d’un déséquilibré qui aurait poussé jusqu’à la vengeance les revendications de justice sociale, mais le commandant Jean-Yves Le Guen n’y croit pas.

Avec son adjoint, le capitaine Patriziu Agostini, ils jouent contre la montre. Car l’idée d’un « meurtrier gilet jaune » menace de faire l’objet de récupérations politiques qui ne feraient qu’empirer la situation – et le prochain samedi de protestations se rapproche …

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Classement en biblio - 6 lecteurs


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Commentaires récents

Commentaire ajouté par Coetseslivres 2021-10-29T14:43:38+02:00
Or

Attention, certaines scènes peuvent choquer les âmes sensibles.

Fin 2018. Le mouvement des gilets jaunes bat son plein. Un assassin profite des émeutes pour commettre des crimes atroces. Le commandant Le Guen et son équipe sont chargés de l’enquête. L’œuvre d’un gilet jaune ? Ils n’y croient pas vraiment…

On connaît très tôt l’identité du tueur, mais on ne connait pas son mobile. Les chapitres alternent entre le côté policier, mais aussi social, et le meurtrier. L’intérêt du livre ne réside pas vraiment dans la découverte de ce coupable, mais plutôt dans la procédure et dans le cheminement des pensées, que ce soit du côté policier ou du côté du meurtrier. Le fait de les suivre alternativement donne très envie de savoir comment les policiers vont arriver à dénouer les fils de l’affaire et surtout comment ça va se terminer pour le tueur.

Le climat du moment est bien rendu, le côté enquête bien précis sur les détails, comme si on le vivait de l’intérieur, comme si on y était. Tout comme on rentre dans la tête du tueur. Les personnages sont humains et attachants. Y compris l’assassin. Aussi bizarre que cela puisse paraitre et malgré sa barbarie.

J’ai pris grand plaisir à lire cette histoire. Beaucoup plus que ce que je pensais au départ. J’avoue que j’avais un peu peur que le contexte prenne trop le pas sur le reste et finisse par être le plus important. Mais heureusement ce n’est pas le cas. Au final, ce roman se révèle être une réussite. L’immersion dans l’enquête est totale, on la vit. On apprend à connaître presque intimement le tueur. Quant à la fin, eh bien…, à vous de la découvrir !

Je vous souhaite une bonne lecture.

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Commentaire ajouté par loeilnoir 2021-02-11T09:16:11+01:00
Argent

Hiver 2018, les rues de la capitale se parent de jaune, couleur du mécontentement que sont venus manifester des milliers de citoyens face à un gouvernement qui semble ignorer leur désespoir. Chaque samedi des scènes dignes d’une guerre civile animent un Paris transformé en champ de bataille… Forces de l’ordre, manifestants et Black Blocs s’affrontent au cœur des beaux quartiers de la capitale. Parmi eux se faufile un homme, quasi invisible au milieu de cette foule déchainée, motivé par un tout autre combat, une vengeance toute personnelle qui va l’amener à commettre des crimes barbares.

Une tombe profanée au cimetière du Père Lachaise, un cadavre sorti de terre mutilé… Quelques semaines plus tard, un riche homme d’affaire à la retraite est assassiné chez lui, dans un luxueux appartement parisien. Les sévices qui lui ont été infligé sont similaires aux mutilations observées sur le cadavre du cimetière. Le tueur a t-il eu besoin de s’entraîner avant de passer à l’acte sur une victime vivante? Quelles sont ses motivations, va t-il s’en prendre à d’autres personnes ? C’est ce que le commandant Le Guen, ancien de la Crim et vieux de la vieille au 36 Quai des Orfèvres, va tenter de déterminer avec l’aide de son co-équipier Agostini…

Et puis mourir est un polar qui se lit très rapidement car le lecteur, une fois appâté, a envie de connaître les raisons de ces meurtres, ce secret enfoui qui mérite une telle vengeance, bien que l’on se doute du dénouement assez facilement. La trame de l’enquête est assez classique, ce qui ne l’est pas en revanche c’est la toile de fond du roman : ce conflit social qui résonne encore dans toutes les têtes en dépit de son interruption pour cause de covid. Le sujet est travaillé et de belles réflexions en découlent, notamment le fait que les actes d’un criminel assimilé à un gilet jaune puissent être récupérés par des partis politiques soucieux de dynamiter le mouvement…

Ce que j’ai le plus apprécié dans ce roman est la profondeur des personnages, y compris la personnalité du meurtrier, qui est somme toute attachant en dépit des crimes qu’il commet… Il est empli de contradictions mais émane de sa personnalité un altruisme certain, ce qui rend ce monstre très humain. Ensuite, le duo de policiers breton et corse est finement traité : Le Guen et Agostini ne sont pas forcément fait pour s’entendre au vue de leurs forts caractères respectifs, mais de leur relation découle une réflexion intéressante sur la justice. Chaque personnage possède un comportement particulier, souvent excessif que l’on ne comprend pas au départ mais qui pourtant s’explique au fur et à mesure de la lecture.

Pour conclure je remercie NetGalley et les Editions Fayard de m’avoir accordé la lecture de ce très bon polar, que je vous invite bien volontiers à découvrir.

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Commentaire ajouté par CeciBonDeLire 2021-01-03T16:13:18+01:00
Diamant

Cher Vous,

Ça fait quelques paires d’années que Bizien est dans le panorama littéraire.

Il fait partie de ces auteurs multifacettes, qui sont capables te faire un polar tiré à quatre épingles digne du Prix du Quai des Orfèvres, en passant par du jeunesse, de la SF, du roman noir, de t’emmener aux pays des dragons, te faire marrer avec Vuk Kovasevic. Ils ne sont pas nombreux à sortir de leur pré carré sans se planter la gueule dans une ornière. Bizien est l’un de ceux-là, c’est te dire le talent du bonhomme…

C’est aussi un gus qui suit l’actualité, qui s’est dit que les Gilets Jaunes pouvaient servir de contexte à un roman policier. Le genre de bouquin qui pourrait vite sombrer dans la caricature, sauf que Jean-Luc prend le problème à revers, loin de faire le mouvement une pièce maîtresse de son intrigue, c’est juste un élément indispensable du décor.

Il va t’offrir un duo de flics qui tient la route, loin de la caricature du flic divorcé et alcoolo, il n’en a pas besoin pour que tu « accroches » à ses personnages. Tu es aux côtés de Le Guen pour tenter de comprendre qui flingue ces vieux bourgeois.

Le plus de ce roman ?

L’intelligence…

Je t’explique : Bizien fait un bouquin qui se déroule pendant la crise des Gilets Jaunes, tu te dis que l’auteur va te faire passer des messages « sociaux » via ce mouvement. Ben non, rappelle-toi que la plume, Bizien, il la manipule depuis pas loin de vingt piges, alors il est bien plus malin que ça, et surtout, il aime bien étonner, piéger…

Idem, pas de blanc, pas de noir, du gris, j’entends par là que les protagonistes de ce livre sont des fildeféristes de la vie, toujours en équilibre pour ne pas basculer.

Lire Et puis mourir, le finir, fermer le livre, et puis sourire…

http://cecibondelire.canalblog.com/archives/2021/01/03/38739232.html

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