Inspecteur Karel Jacobs, Tome 2 : Meurs, mon ange

Sanglant, oppressant, vivant, dément, ce livre est un vrai thriller. Basé sur une coutume bien réelle de l’Indonésie, l’auteur nous entraîne à travers ses héros dans un tourbillon où il est conseillé de bien suivre les chapitres, la densité de l’action étant présente à chaque page !

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Un thriller dès plus sombre que j'ai pu lire. Il n'est pas facile et surtout ne peut être lu par tout le monde. Sa noirceur peut donner des cauchemars à un lecteur trop sensible cependant du début à la fin nous savons qu'une enquête farfelues nous attends. Nous rencontrons beaucoup de personnages qui peut nous perdre. Par les chapitres courts donne la sensation de lire vite ce roman. C'est un voyage entre l'Indonésie, Amsterdam et Bruxelles. Il reste un bon thriller avec un fin un peu plat. Ce qui m'a dérangé c'est le manque de profondeur aux personnages, on connaît à peine leurs état civil. À lire pour les courageux !

Il s’agit d’un tome 2 impliquant un inspecteur bruxellois, Karel Jacobs, dont je n’avais pas lu la première enquête, ce que j’ai regretté au début car il m’a manqué des éléments pour pleinement apprécier l’intrigue. Le début est très noir et à la limite du glauque puis l’enquête prend sa pleine mesure et a fini par m’intéresser par ses aspects ethniques et exotiques. J’ai aimé le développement des différents personnages qui ont une belle épaisseur psychologique. Le final est haletant bien que déjà vu dans plusieurs polars et m’a donné envie de lire le 3ème volet de cette série.

Magnifique thriller de Clarence Pitz qui se déroule encore dans une atmosphère très glauque très proche de La parole du chacal.. Une enquête qui se passe en Belgique, aux Pays-Bas et en Indonésie, une course aux indices pour retrouver le graffeur. Clarence Pitz, une écriture et une narration entre thriller et parfois gore que j'adore.

Le troisième livre que je lis de Clarence Pitz, et elle m'a littéralement scotchée.

Elle a mis la barre très haute, elle mérite d'être reconnue comme étant la nouvelle reine du thriller.

Un road movie entre Amsterdam, Belgique, Indonésie ,un roman totalement dépaysant.

Clarence m'a totalement dérouté dans son histoire, ce qui a pimenté ma lecture.

Un livre richement documenté ,où chaque élément joue un rôle crucial.

Clarence traite son sujet avec un tel réalisme, à travers les coutumes ancestrales et le présent.

Un livre à multiples rebondissements .Un rythme intense et fort en émotions.

Une atmosphère glaçante effrayante, étouffante.

Certains passages m'ont mis mal a l'aise, mettant mon petit coeur à rude épreuve.

La plume de l'auteure est subtile, fluide, visuelle et percutante.

Une lecture totalement addictive, une grande frustration au mot fin.

Un final en apothéose.

Clarence a réussi à nous tenir en haleine.

Une pépite à déguster sans modération.

Coup de coeur ❤️❤️❤️❤️❤️

Waouh quel choc !! Une histoire à couper le souffle.

On est littéralement embarqué dans l histoire, enfin les histoires.

Quatre histoires, que nous lisons en parallèle et qui nous mène à un dénouement incroyable. On voyage beaucoup Belgique, Amsterdam, Indonésie.

Une plume visuelle, percutante qui prend aux tripes. Un final juste bluffant. Une atmosphère déroutante et terrifiante.

On met un pied dans des cultures ancestrales dont certaines perdurent.

Des personnages attachants, une magnifique histoire glaçante

Belles lectures à tous

Ne vous fiez pas au visage d'ange, ni au sourire angélique de Clarence. Car dés que l'on ouvre "Meurs, mon ange" nous sommes plongés dans un thriller sombre, inhumain, au delà de toute tolérance.

Dés les premières pages, Clarence place le décor et présente les personnages. Ce qui m'a un peu déstabilisée, car j'avais du mal à me repérer et à retenir les noms.

Mais, aussitôt, que tout c'est mis en place, je me suis retrouvée au coeur de la forêt de Sulawesi en Indonésie.

J'y ai ressenti les ronces m'arracher la peau, l'odeur humide de la forêt, mais surtout la peur de chaque protagoniste.

Sans parler de ma rencontre avec le peuple des Torajas, où j'avais le jouer au bord des lèvres.

Je me suis attachée à chaque personnage, il faut dire que l'auteure les a bien malmenés.

L'histoire est prenante, addictive, dynamique. Mais on ressent tout le travail en amont, les recherches effectuées afin de nous restituer au mieux la vérité.

En dehors de l'histoire, que j'ai adorée.

L'écriture est un vrai coup de coeur. Je suis complètement conquise par sa plume fluide et détaillée.

Clarence Pitz, un talent à ne pas manquer.

C'est avec investigation, que l'auteure s'est à nouveau intéressée aux us et coutumes d'un peuple, ici les habitants de Sulawesi, une île de l'Indonésie. Clarence Pitz nous entraine dans une surenchère de l'innommable ou le pouvoir de l'argent fait que certaine personnes sont prêtes à mettre des fortunes pour vivre des expériences inadmissibles et impensables. J'ai retrouvé avec plaisir l'inspecteur Karel Jacobs, avec ses démons (lire Ineffaçable), je n'en dis pas plus pour ne pas spolier, accompagné à distance par son coéquipier Fred et son humour imparable. J'ai aussi apprécié les nouveaux personnages qui sont psychologiquement bien détaillés, ce qui nous permet de mieux comprendre leurs attitudes. Anja, femme désœuvrée depuis la disparition de son mari et de son enfant et Guntur, flic indonésien que la vie n'a pas épargné non plus et l'a amené à tremper dans la corruption. Tout ces protagonistes vont être amener à se rencontrer et à s'entraider pour résoudre ses mystérieuses disparitions et ces horribles meurtres. A nouveau, l'auteur m'a transportée dans ces contrées lointaines que j'ai très envie de découvrir. Un troisième roman réussi, même si "Ineffaçable" reste mon préféré.

N’emploie-t-on pas souvent le fameux diction qui dit : « Nul n’est prophète en son pays »? Si, très souvent d’ailleurs. C’est ainsi que je caractériserais mon rapport à la littérature belge et surtout, en matière de littérature noire. Au fil de mes lectures, je me rends compte que nous avons de véritables pépites dans le genre et pourtant, on passe souvent à côté. Eh bien, c’est vraiment dommage!

C’est ainsi que je me suis plongée dans la lecture du troisième thriller de Clarence Pitz, « Meurs mon ange ». Je l’ai dévoré en moins de jours qu’il ne faut pour le dire. J’avais déjà beaucoup apprécié son précédent, « Ineffaçables » et pourtant, son troisième est encore un cran au-dessus! Ma chronique est toujours disponible sur mon blog, si vous ne l’avez pas vue passer.

Pour éviter d’avoir le même désarroi que moi, je vous conseille vivement de lire « Ineffaçables » pas trop longtemps avant de vous plonger dans celui-ci. Ils sont intimement liés et pour la construction des personnages, je vous le recommande !

Quoiqu’il en soit, même si cela faisait un petit temps que j’avais lu le précédent livre de Clarence Pitz, mon plaisir n’en a pas été amoindri. C’est une vraie escapade bien noire qu’elle vous propose entre la Belgique, la Hollande et l’Indonésie. Que ce soit le récit ou l’atmosphère, tout y est finement ciselé !

Malgré ses plus de 420 pages, vous ne vous ennuierez à aucun moment. L’intrigue est très fournie et immersive. Je trouve que son habilité de narratrice évolue au fil de ses livres et c’est jouissif pour nous lecteurs. La psychologie des différents protagonistes est vraiment travaillée offrant précieusement une place à chacun.

N’hésitez pas à vous faire un petit mémo des différents personnages pour éviter de vous perdre au cas où vous n’auriez pas la mémoire des noms.

Vous l’aurez compris : ce thriller est, selon moi, une vraie réussite. Je vous le recommande vivement. En plus d’être charmante, Clarence Pitz est l’une de nos meilleurs plumes de la littérature noire et nous devons être fiers d’avoir une si talentueuse représentante !

Vous rêvez de partir en voyage en Indonésie ? Je vous propose deux options ; une immersion avec Clarence Pitz dans son dernier roman Meurs mon ange où aller dans une agence de voyage.

Aujourd’hui, c’est mon retour de lecture soit le premier choix et croyez-moi ça en est ! Dans ce nouvel opus, je retrouve l’Inspecteur Karel toujours aux prises avec le gaffeur qui n’a de cesse de se jouer de lui et surtout de jouer avec lui ce qui va le conduire jusqu’ Amsterdam.

En parallèle, je découvre d’autres personnages… Guntur et Made deux flics indonésiens qui mènent une enquête sur des cadavres sans tête. Guntur est un flic corrompu qui s’abreuve d’arak pour oublier qu’il est dans la ligne de mire du KPK. Puis deux frères ; Eko et Taufik errants et pourchassés dans la forêt de l’île Sulawi en Indonésie. Et enfin, Anja une junkie paumée à Amsterdam qui se dégote un job consistant à visionner des images insoutenables pour le net et qu’elle doit valider. Sur l’une d’elle, elle reconnaît le visage de son mari disparu en Indonésie. Point commun à tous l’agence de voyage Easy-Bali.

A Amsterdam, Karel enquête sur un cadavre, un milliardaire indonésien retrouvé pendu et sans tête, le gaffeur voudrait-il l’envoyer à Bali ? Il va croiser Anja et après recherches, ils vont se rendre en Indonésie et plus particulièrement sur l’ile de Sulawi.

Clarence nous propose un thriller abouti, rythmée et qui tient en haleine. L’histoire débute sur les traces du gaffeur pour nous perdre dans les méandres et les rituels qui ont encore cours en Indonésie. Elle nous permet de découvrir une tradition vieille de plus de 1.000 ans, celle du pays Toraja où des personnes cohabitent avec leurs morts ! Les scènes d’affrontement dans la jungle sont très cinématographiques et d’un réalisme saisissant (notamment celle du serpent !!!) ! Au début de l’histoire la carcasse de Karel a du mal à se déplacer et il faut suivre tous les personnages, sachant qu’ils seront reliés à un moment donné, ce qui fera jour quand il va côtoyer la frêle Anja.

La force de Clarence est d’aborder les aspects sociétaux d’un pays tels que la corruption, la manipulation, l’argent, la culture et les traditions ce qui nous donne un thriller bien écrit, bien construit, palpitant et haletant.

Vous l’aurez deviné après avoir arpenté les rues de Bruxelles, j’ai adoré partir en Indonésie avec Clarence désormais elle m’emmène où elle veut (sauf avec le serpent … !).