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Commentaires de livres faits par Miss_Livresse

Extraits de livres par Miss_Livresse

Commentaires de livres appréciés par Miss_Livresse

Extraits de livres appréciés par Miss_Livresse

date : 21-11-2019
On ne va pas se mentir, il s’agit d’une dystopie comme on en a vu d’autres. Une personne spéciale qui devient le symbole de la rébellion d’un peuple opprimé. C’est une critique que je peux entendre. Néanmoins, ce que j’attends d’une dystopie c’est qu’elle me tienne en haleine et que je ne puisse pas fermer le livre avant de l’avoir terminé. C’est réussi.

Ceci dit, j’ai trouvé ce récit réalisé avec brio. Mare est un personnage attachant assez vrai. On la découvre à voler dans les rues pour qu’elle se retrouve quelques chapitres plus tard au palais royal à jouer les princesses, se faisant passer pour ce qu’elle n’est pas, une argent. Elle verra alors que les choses ne sont pas toujours ce qu’elles paraissent être. Et qu’elle n’est peut être pas la seule à devoir jouer un rôle.
J’ai eu un véritable coup de coeur pour le personnage de Maven. J’ai trouvé qu’il était le frère les plus intéressant et ce, jusqu’à la fin. Cal quand à lui est un peu cliché et c’est le point faible de ce roman à mon goût… Il représente le prince et fils prodige que quelques soubresauts de conscience viennent faire douter des actions de son paternel.
Quand aux personnages secondaires, ils sont trop peu travailler à mon goût. Par exemple, j’ai été particulièrement frustrée avec Julian qu’on ne voit que trop peu. Mais je pense -Du moins j’espère- que cela sera arrangé avec le tome 2.

Il faut s’attendre à un jeu de pouvoir ou chacun joue un rôle. On découvre les intrigues en même temps que l’héroïne et on essaie de recoller les morceaux afin de connaître le rôle de chacun. Ce roman est addictif, on n’a qu’une seule envie, chapitres après chapitres, connaître la suite. J’ai réussi à m’imaginer les décors, les costumes avec facilité et le roman est suffisamment bien écrit et structuré pour que malgré la charge d’information (le nom des familles, les dons, la géographie, les classes sociales,...) on ne soit pas perdus pendant la lecture. Ce qui m’a finalement le plus dérangé au final c’est le côté très manichéen des méchants dirigeants et de la gentille rébellion ainsi que le côté unique et indispensable du personnage principal.
En bref : Si vous êtes néophyte dans la lecture de dystopies c’est un bon premier livre, et si vous aimez les codes de ce genre littéraire, je vous le conseille. La plume est très agréable et la lecture simple, on passe un excellent moment. J’ai hâte de lire le tome 2 !
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Avant toute chose, j’avais beaucoup entendu parlé de Colleen Hoover dans l’univers de la romance. Je voulais absolument lire un de ses romans afin de pouvoir me faire une idée par moi-même. Donc quand j’ai trouvé Maybe Someday en occasion j’ai sauté dessus sans hésiter.
J’ai trouvé l’histoire plutôt simplette pendant les premiers chapitres avant d’être véritablement happée. Je pense que la force de ce roman repose sur la façon dont est traité l’handicap de Ridge ainsi que le triangle amoureux. Ce n’est pas cliché pour un sou et surtout c’est raconté avec justesse. Seuls les derniers chapitres m’ont un peu déçue, mais j’y reviendrais.
On découvre assez tôt dans l’histoire que Ridge est déjà en couple, et très amoureux. Et ses sentiments, ses questions, ses angoisses sont décrites avec beaucoup de subtilité. Je trouve que le fait de lui et Sydney communiquent autant sur leurs sentiment sans pouvoir les laisser se développer rend les personnages très mature et l’histoire plausible. Pour une fois la romance ne réside pas dans une suite de situations accidentelles, de quiproquos et de non-dis. C’est rafraîchissant. On ne peut choisir aucun “camp” on comprend les sentiments de chacun et le lecteur se retrouve à regarder, impuissant, les personnages graviter les uns autour des autres.
Pour ce qui est des personnages ils ont tous leur charme, de Maggie, la copine de Ridge à son colocataire, Warren. Un éventail de personnalités riche et attachant.
Néanmoins,j’ai trouvé la fin un peu simple. Le problème final réglé un peu facilement et les deux derniers chapitre un peu clichés. Cela n’a pas suffit à me laisser une mauvaise impression de ce roman.
En bref : Une jolie romance qu’on prend plaisir à lire. Une tornade de sentiments en un peu moins de 400 pages. C’était un plaisir à lire et je le recommandes aux âmes en peine de romance young adult.
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Alors, avant tout, vous qui lisez ces lignes sans avoir lu le tome 1, fuyez, car je vais spoiler sévère. On retrouve Juliette et Adam au point Oméga, entourés de mutants à l'image de la jeune femme qui ont des dons tous plus particuliers les uns que les autres.

Warner est absent de l'histoire pendant la première partie du roman, ce qui nous laisse découvrir le centre, son fonctionnement, les personnalités qui y vivent et travaillent ainsi que les actions qu'ils mènent. On s'attache beaucoup à Kenji entre autre.

Warner occupe une place importante dans la seconde partie du roman. S'il y a de l'eau dans le gaz entre Adam et notre héroïne, la présence de ce monstre aux mots doux ne va faire que compliquer la situation.

Juliette m'a souvent agacé, si ses réactions sont d'une logique incontestable au vue de ce qu'elle a subit dans son enfance, son caractère à fleur de peau peut assez vite devenir agaçant. Il lui faut, dans ce tome, énormément de temps avant de comprendre et enfin faire ce qu'on attend d'elle. Mon désamour du personnage d'Adam noircit encore le tableau, mais c'est très personnel.
En bref : C'est un excellent tome de transition qui nous met les choses en place pour un dernier volume qui va certainement envoyer du lourd. Un cliffhanger de fin, parfaitement rodé nous met déjà l'eau à la bouche. J'ai hâte de lire la suite de cette saga !
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Je l’ai dévoré, j’avais si hâte de le lire, si bien que je l’ai lu avant le volume 2. On retrouve Warner juste après la fuite de Juliette. Blessé et en colère, il puise dans ses forces et fait tout ce qui est en son pouvoir pour la retrouver. Il se lance dans la lecture assidue du carnet que la jeune femme a laissé derrière elle. Ce carnet qui dit tout de sa détention. Ce qui, aussi, nous dévoilera certaines informations sur la Juliette d’avant.
On plonge dans l’esprit de l’antagoniste du tome précédent. Un personnage que je trouvais déjà intriguant dans le tome 1, ce hors-série a confirmé beaucoup de mes théories sur le personnage.
On en apprend aussi un peu plus sur le monde que dirige Warner, sur le régime en place et un nouveau antagoniste bien plus inquiétant que lui fait son apparition. Malheureusement, le livre est si court qu’il m’est difficile d’en dire plus sans vous gâcher le plaisir de le lire.

En bref :
Même s’il s’agit d’un hors-série, je pense que la lecture de ce tome est indispensable pour un personnage aussi secret que Warner dont on ne connait même pas le prénom. J’ai beaucoup aimé plonger dans son esprit et découvrir ses pensées les plus secrètes. Finalement il me reste de ce volume qu’un goût de trop peu.
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On a affaire à une héroïne au toucher mortel, au début du roman complètement déconnectée de la réalité et rongée par les démons de son passé. Pour un peu on la prendrait assez facilement pour une folle. Du moins jusqu’à sa sortie de l’hôpital psychiatrique. On se retrouve alors dans un environnement dystopique dont on a du mal à comprendre l’évolution (à l’image de notre héroïne qui n’a pas mis un pied dehors depuis des années.)

Je trouve que les personnalités des personnages, notamment les trois principaux (pour ce tome) Juliette, Adam et Warner sont très bien construites et intrigantes. Complètement à l’opposé les unes des autres. Si la personnalité d’Adam ne me plait pas ce n’est que par goût personnel car il est cohérent et attachant. Mais mon amour se porte sur le personnage de Warner qui d’après moi cache beaucoup de choses. Le caractère obsessionnel de celui-ci est justement quelque chose que l’on voit peu (surtout dans la littérature jeunesse) et qui ajoute à la structure de l’histoire. Les dialogues assez peu nombreux par rapport aux monologues intérieurs de Juliette sont amplement suffisants et écrits avec brio.

Le seul défaut que je peux lui trouver et qui m’empêche de lui donner la note maximale est la relation entre Adam et Juliette qui me déplait, difficile pour moi d’en dire plus sans spoiler ceux qui n’ont pas lu le roman mais je vous invite à venir en discuter avec moi si l’envie vous en prend.
Enfin, l’héroïne évolue quelque peu, portée de base par un fort caractère. Ce qui est plutôt rafraichissant, on évite le cliché de la demoiselle en détresse. Son pouvoir est totalement à l’opposé de la fragilité, une véritable arme de guerre aux yeux de certains, une malédiction pour d’autres. Dans tous les cas, il est évident qu’elle doit en faire quelque chose et on attend qu’une seule chose, sa rébellion.

En Bref : Un coup de cœur, une plume impeccable et des personnages attachants Tahereh Mafi a su me porter dans son univers, on enrage en même temps que Juliette et l’on comprend sa détresse qui ne passe absolument pas pour de la faiblesse. C’est avec une hâte non dissimulée que je souhaite lire la suite (et surtout le H.S. sur Warner) !
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Avant tout je risque de spoiler sévère puisqu'il s'agit du dernier tome de la saga et qu'il y a beaucoup de choses à dire. Plus de 600 pages et énormément de contenu ! À mon plus grand plaisir d'ailleurs. J'ai adoré cette lecture, plus que les trois premier tomes réunis jusqu'aux 100 dernières pages mais j'y reviendrais plus tard. On quitte alors la chaîne Genesis qui a totalement explosé après la dépressurisation de la base. On retrouve alors les pionniers sur leurs chaînes youtubes personnelles. De TruthandJustice à ZombieGirl chacun d'eux parlerons des sujets qui les touchent. J'ai beaucoup aimé le fait de trouver nos personnages volontairement face à la caméra.

Les principaux sujets traités sont l'écologie, la justice, les droits de l'Homme... Des sujets qui ont étés subtilement distillés et qui deviennent la trame de fond de ce volume. Les péripéties s'enchaînent tout comme les révélations choc. On switch entre la terre et le Cupido en orbite dans lequel sont restés deux pionniers dans l'incapacité de descendre.
Avant tout je risque de spolier sévère puisqu'il s'agit du dernier tome de la saga et qu'il y a beaucoup de choses à dire. Plus de 600 pages et énormément de contenu ! À mon plus grand plaisir d'ailleurs. J'ai adoré cette lecture, plus que les trois premier tomes réunis jusqu'aux 100 dernières pages mais j'y reviendrais plus tard. On quitte alors la chaîne Genesis qui a totalement explosé après la dépressurisation de la base. On retrouve alors les pionniers sur leurs chaînes youtubes personnelles. De TruthandJustice à ZombieGirl chacun d'eux parlerons des sujets qui les touchent. J'ai beaucoup aimé le fait de trouver nos personnages volontairement face à la caméra.

En Bref : Les principaux sujets traités sont l'écologie, la justice, les droits de l'Homme... Des sujets qui ont étés subtilement distillés et qui deviennent la trame de fond de ce volume. Les péripéties s'enchaînent tout comme les révélations choc. On switch entre la terre et le Cupido en orbite dans lequel sont restés deux pionniers dans l'incapacité de descendre.
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date : 09-11-2019
J’ai littéralement dévoré ce tome 3. On nous avait laissé sur la terrible révélation de Marcus et j’étais resté quelques semaines à me demander comment notre léoparde allait réagir. Et bien dans ce volume, Léonor est bien le seul personnage qui ne pas déçue une seule fois au contraire de sa meilleure amie Kris qui à mon sens devient tout bonnement insupportable tout comme Mozart que je ne portais déjà pas dans mon cœur. Les situations auxquelles font face les pionniers expliquent d’une certaine façon leurs réactions, mais je n’excuse pas leurs attitudes.
Aussi, on en apprend beaucoup sur chacun des martiens et de terribles secrets sont révélés.
Sur terre, j’ai beaucoup aimé suivre Andrew et Harmony, les avancées rapides dans le temps (il se passe près de deux ans dans ce volume) permettent de voir l’évolution énorme et terriblement attendue de ces personnages. Notamment la fille de Serena qui m’a agréablement surprise je dois l’avouer.
Le point faible de ce tome est toutes les parties sur Serena McBee que j’ai trouvé beaucoup trop exagérées. De plus, celle qui devait être une psychologue hors pair et une odieuse manipulatrice fait des erreurs bêtes. J’ai aussi trouvé que le personnage de Kenji était sous exploité et que sa décision était bien trop soudaine et manquait un peu de cohérence. Ce qui m’a fait espérer une révélation peu probable.
Comme toujours, les dernières pages dévoilent un cliffhanger parfaitement maîtrisé. Tout au long de ce volume, on trouve une campagne de communication subtile mais bien amenée concernant le hors-série « Origine » sur les garçons.

En bref : Dans sa globalité, j’ai beaucoup aimé ce tome si ce n’est le dernier tiers que j’ai trouvé exagéré, faisant passer le peuple américain pour des abrutis finis face à l’ascension fulgurante de la reine des abeilles. Le secret de la famille McBee est un peu capillotracté et bien qu’on s’attende aux origines d’Harmony, tout ce qui gravite autour de celle-ci était de trop.
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date : 09-11-2019
Avant toute chose, il s’agit du tome 2 de la saga Phobos, je pars donc du principe que vous avez lu le tome 1 ainsi que ma chronique précédente. Je vais donc vous spoiler sévère sur le tome précédent.
On s’était donc laissé avec la découverte du rapport Noé et ce tome aborde l’arrivée sur Mars des pionniers et leur réaction face aux nombreuses révélations auxquelles ils feront face tout au long de ce volume. Honnêtement je ne trouve toujours rien à redire à la construction de l’histoire et au style toujours impeccable et agréable à lire de l‘auteur.
Néanmoins, j’ai un reproche à lui faire.
La niaiserie présente à outrance entre les protagonistes est presque écœurante. Je suis une romantique (parfois) mais les entendre se dire à quel point ils s’aiment de mille et une façons devient un peu lassant. J’aurais préféré des moments de silences émouvant à des déclarations mielleuses.
Mais c’est là mon seul reproche. J’ai été ravie de suivre les garçons et d’en apprendre un peu plus sur eux, même si ma curiosité à propos de Kenji (par exemple) reste complète. J’aurais aimé aussi en savoir un peu plus sur la vie de couple des autres, Samson et Safia par exemple que je trouve adorables. Mais ce tome se centre presque exclusivement sur Léonore et le garçon qu’elle a choisi. Décision tout à fait logique de la part de l’auteur puisque nous attendions le choix de la léoparde avec impatience.
Du côté de la terre, on suit une Serena acculée par les évènements mais qui continue la partie, à grand coup de bluff et de nouvelles cartes à mettre en jeu. Ses principaux adversaires, Harmony et Andrew sont en fuite et commencent à se demander si le fardeau qui pèse sur leurs épaules n’est pas un peu trop lourd. Aborder ce point m’a parût particulièrement pertinent, on a affaire à deux jeunes adultes avec une responsabilité énorme sur les épaules. Le fait qu’ils doutent est réaliste !

En bref : J’ai passé encore une fois un agréable moment pendant cette lecture, Victor Dixen m’a une nouvelle fois happée et emmenée dans son univers Cet homme semble avoir un don particulier pour les cliffhangers. C’est avec une grande hâte que j’attends de lire le tome 3.
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J’ai rarement été déçue par un roman des éditions Robert Laffont et Phobos ne fait pas exception. J’ai pris un très grand plaisir à lire ce livre qui, pour être honnête ne m’inspirait pas plus que ça, notamment pour le côté « télé-réalité » que je trouve assez écœurant. Mais l’auteur a réussi à me faire plonger dans son univers. Il a écrit son livre comme on regarderait une émission télé, ce qui nous permet de nous plonger complètement dans l’œuvre.

On suit trois points de vus principaux : celui de Léonor, notre léoparde française qui est choisie pour rejoindre l’équipage du Cupido et qui nous permet de vivre l’aventure depuis l’espace. Jeune femme de caractère qui renferme une multitude de secrets qu’on ne peut trouver qu’attachante malgré ses nombreux défauts. Celui de Serena Mc Bee la productrice de l’émission, psychologue des candidats, grâce à qui nous pouvons connaitre la terrible vérité que cache l’équipe Genesis. Enfin, Andrew Fisher, le fils d’un des membres de l’équipe Genesis disparu, qui cherche à savoir ce que cache en réalité ce programme.
Si le premier tome n’aborde absolument pas la vie sur Mars (en effet, le Cupido n‘atterrit pas dans ce volume) on ne s’ennuie pas comme j’aurais pu le craindre. Les séances de speed dating, qui nous permettent d’en apprendre d’avantage sur les douze prétendants et prétendantes, sont entrecoupées de retours sur terre bienvenus. Dans l’espace, ne suivant que le point de vue de Léonor, nous n’avons accès qu’au compartiment des filles, ce qui alimente notre curiosité à l’égard des garçons, nous mettant à l’affut du moindre détail, parallèlement à l’état des six jeunes femmes.

Encore un point, celui des personnages, mis à part Léonor pour qui j’ai une tendresse personnelle, je n’apprécie vraiment aucun autre personnage, je n’en déteste aucun non plus, nous avons affaire à de vraies personnalités aussi distinctes les unes que les autres et si on s’attache à eux, je les trouve aussi détestables qu’aimables, le climat ambiant appelle notamment à une certaine méfiance, preuve encore une fois de notre immersion dans la lecture.

J'ai hâte de lire le tome 2 !
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date : 08-11-2019
Ce n’est que le second Werber que je lis mais j’ai tout de même été surprise à la lecture. Ce qui me rend assez partagée par rapport à mon avis sur ce roman.

Il avait tout pour me plaire, Bastet, l’héroïne est une chatte forte, indépendante, qui sait ce qu’elle veut et surtout ne manque pas de volonté. Et c’est à n’en pas douter à un chat que l’on a affaire. Hautaine, rancunière attachante, joueuse, habile. À mon sens, l’auteur à plutôt bien cerné cette attitude féline ainsi que les pensées d’une jeune chatte. D’autres protagonistes évoluent dans ce roman, Nathalie, la servante humaine de Bastet, Félix, son « mâle », Pythagore, le chat de Sophie la voisine et d’autres encore, Angelo, Thomas, Hannibal et j’en passe. Chacun plus ou moins attachants ou détestables.

Le but principal de cette chatte est donc de créer un contact avec d’autres espèces, elle est persuadée que cela est possible. Elle est également dictée par une volonté de savoir, qui va être assouvie par Pythagore qui se targue de posséder ce qu’il appelle le troisième œil, qui lui permettrait d’avoir accès à toutes les connaissances.

L’histoire prend place à Paris dans un futur très proche, à l’aube d’une guerre civile.
On assiste au final aux préoccupations des chats dans une situation qui se dégrade petit à petit. On apprend beaucoup d’anecdotes historiques concernant les chats à toutes les époques (ce qui a su ravir l’amoureuse des chats et de l’histoire en moi).

Je dirais que j’ai passé un excellent moment jusqu’à la moitié du livre. La seconde m’ayant beaucoup moins convaincue. L’auteur aborde des thématiques très intéressantes sans nul doute mais il part dans des idées trop en décalage selon moi, ce qui m’a donné une impression de facilité et surtout une fin bâclée.

En Bref : C’est un roman que je conseille aux amoureux des chats à condition de supporter l’ésotérisme. Certaines anecdotes vous permettrons de briller en société et je pense qu’il est impossible de ne pas s’attacher à Bastet. Mais la bête noire est que j’ai été déçue par la fin, dommage pour un bon roman.
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Dan Wells est un auteur que je connaissais comme auteur jeunesse (pour sa saga Partials par exemple) et il m’a agréablement surprise avec ce polar. Le héros est un sociopathe, John Wayne a 15 ans et a parfaitement conscience de ce qu’il est. Il s’est promis de ne pas céder à ses pulsions et pour cela il s’impose alors des règles très strictes afin d’éviter de commettre l’irréparable. Il mène une vie plutôt normale et aide sa mère au funérarium de la ville, ce qui semble être la seule activité qui le passionne. Du moins jusqu’à ce qu’un tueur en série ne sévisse dans la ville.
Persuadé d’être le seul à pouvoir l’arrêter, il va s’autoriser à doucement mais sûrement abandonner certaines de ses règles quitte à laisse le « monstre » qui sommeille en lui sortir.

J’ai vraiment adoré me retrouver dans la tête d’un sociopathe, jeune qui plus est, qui, selon moi le rend plus intéressant, n’a pas cédé à ses pulsions. De plus, le fait qu’il soit un adolescent adouci clairement le regard du lecteur sur le personnage mentalement instable qui sait, parfois et à sa manière se montrer attachant. Ce qui permet à l’auteur de nous piéger avec maestria.
L’enquête est prenante et si l’identité du tueur très vitre connue, cela n’est pas le plus important. On s’intéresse d’avantage à la bataille interne entre les deux facettes de John et surtout à son obsession vis-à-vis du tueur.

Le parallèle entre le monstre qui a basculé et le jeune garçon qui tente tant bien que mal de résister et de s’en tenir à sa ligne de conduite. De plus on en vient à éprouver de la compassion pour des êtres qui eux-mêmes ne sont pas censés en avoir.

Mais j’ai quelques reproches à lui faire, quelques longueurs ou passages trop courts à mon goût viennent gâcher la lecture, de plus, on met énormément de temps avant de véritablement cerner le protagoniste, j’ai douté pendant un bon tiers du livre du fait qu’il était réellement sociopathe, il y a selon moi des incohérences qui gênent à l’immersion. Pour un livre aussi psychologique c’est dommage.

Pour conclure, le coté légèrement fantastique m’a un peu dérangé, même s’il est parfaitement amené, je ne reproche pas cela à l’auteur. Mais c’est un goût personnel, l’histoire n’aurait rien perdu à rester dans une ambiance plus réaliste.
En Bref : J’ai découverts en écrivant cette chronique que ce tome n’est que le premier d’une trilogie consacrée à John Wayne Cleaver (même si le premier peut complètement se lire comme un tome simple) dont le second tome Mr. Monster me donne cruellement envie. J’arriverais sûrement à régler mes sentiments ambivalents vis-à-vis du héros après la lecture de ce tome 2 et pourquoi pas suivie du dernier.
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Et bien, en toute honnêteté j’ai pris cette lecture comme un roman sans enjeu simplement pour me vider la tête, une petite romance comme j’en ai lu des tas. Mais ça n’a pas du tout eu l’effet escompté, en fait cette histoire m’a mise très en colère. Si j’étais plus sentimentale je lancerais le classique « elle m’a fait rire, pleurer, crier » mais je suis trop réservée pour ça, cependant, ma colère, elle, je n’ai pas pu la retenir. Une colère dirigée vers les auteurs de ce genre de pratiques (bien plus rependues qu'on ne le pense).
Nous suivons l’histoire de Caroline une brillante étudiante en droit avec l’avenir devant elle. Mais ses ambitions s’effondrent lorsqu’elle se retrouve victime de revenge porn. En effet, son ex petit ami Nate n’a pas supporté la rupture et a décidé de se venger en publiant des photos à caractère sexuelle de la jeune femme, prise pendant leur vie de couple. Mais il ne s’est pas arrêté là et a également donné les coordonnées et l’identité de la jeune femme. Caroline va s’efforcer d’effacer toutes traces de ce scandale avant que ses parents ne l’apprennent et de garder la tête haute, mais tout le campus est au courant de l’affaire et elle va passer pour une salope aux yeux de la majorité. Certaines personnes prendront sa défense, notamment West, un jeune homme au charme discret, à l’opposé totale de la « gentille » jeune femme.
Le premier chapitre nous fait rentrer dans l’ambiance avec brio, le style est cru mais juste et les personnages ont des caractères convaincants. Et, Dieu merci, l’auteur nous évite les choix stupides des héros de ce genre de littérature.

En Bref : Nous avons affaire à de jeunes adultes, avec un passé ou un présent douloureux. Des personnages concrets avec qui on a envie de faire preuve d’empathie. À mon sens, l’histoire d’amour, même si elle est très bien écrite, très bien amenée est presque anecdotique. Moi, j’ai aimé voir le combat d’une jeune femme contre les clichés d’une société patriarcale. Il y a une dénonciation du slut shaming et d’une pratique très rependue, le porn revenge.
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J’ai l’habitude de lire des romans historiques, surtout sur le règne du Roi Soleil, mais François Ier, jamais. Par chance, même si je ne connaissais que peu de choses de cette période, le cadre spatio-temporel ne m'a pas déplu. Je ne peux pas dire que j’ai été déçue car j’ai passé un bon moment pendant ma lecture, mais j’attendais un peu plus de découvertes sur les mœurs de la cours du XVIème siècle. (Bien qu’un dossier à la fin du roman a su me donner quelques informations bienvenues.)
Jeanne de Langallec est une noble bretonne qui a fait une fugue amoureuse avec le Capitaine de Coëtmelen vers le Brésil ou elle a passé une année. À son retour, elle découvre avec effrois la mort de son père, Accompagnée par Antoine de Rieux, un médecin, elle arrive à la cours du Roi et découvre d’autres meurtres suivant le même mode opératoire, une tâche noire sur le corps des cadavres, il s’agit de l’œuvre d’un poison que la jeune femme connait mieux que quiconque.
Légère déception quant au personnage principal un peu trop passif à mon goût, l’identité du tueur est assez flagrante de même que le motif pas très recherché, mais le tout est bien mené et bien écrit. Je trouve dommage que le Roi passe pour un idiot, tout comme beaucoup de personnages d’ailleurs, le tout renforcé par un « happy ending » trop simple et évident, mais pas déplaisante. L’histoire est portée par un petit groupe de bretons tout de même attachants. (Même si, étant moi-même bretonne je manque sûrement d’objectivité.)

En Bref : On a là une lecture simple, fluide et sans prise de tête, un auteur avec une plume agréable mais sans grande originalité. Enfin, c’est idéal pour se changer les idées, un genre de polar parfait pour les novices du genre ou bien si vous souhaitez vous plonger en douceur dans le genre historique.
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date : 08-11-2019
« Une comédie mordante, à mi-chemin entre Gossip girl et La liste !» voilà l’accroche du roman qui aurait déjà dû me mettre en garde. J’aime beaucoup la série Gossip girl mais j’ai détesté La liste, malheureusement ce livre tiens plus de ce second exemple.

On suit l’histoire de Lucy, jeune fille de 17 ans, étudiante au lycée Lavender Oaks, obnubilée par les zombies et les jeux vidéo. Elle aurait voulu éviter la corvée du bal de fin d’année mais sa meilleure amie lui demande de prendre sa place pour ne pas laisser son petit ami sans cavalière. Lucy accepte malgré les sentiments qu’elle nourrit en secret pour celui-ci. Un baiser échangé, une photo partagée et le scandale prend forme sous l’œil virtuel de Lady blabla, la page facebook qui relaye les ragots du lycée.

L’héroïne souvent cynique aurait dû me plaire mais elle enchaîne les choix idiots, sans parler de tous les autres personnages clichés au possible. Il suffirait à chacun d’entre eux de faire preuve d’un peu de bon sens pour se sortir de cette situation au final pas si dramatique. Mais à 17 ans, ces gamins en font tout un monde. Difficile de continuer ma lecture sans rouler des yeux à chaque action ou parole stupide. Le tout se terminant dans une espère de gloubiboulga de happy end ultra prévisible.
Le style de l’auteur est déplorable, la ponctuation rend la lecture pénible et les élucubrations sont trop présentes et parfois vides de sens. Je serais curieuse de lire autre chose d’elle pour comprendre pourquoi elle a gagné des prix.

En Bref : Je pense que la lecture peut convenir à un lecteur débutant d’une douzaine d’année. Ce livre est plein de bonnes intentions mais d’une maladresse exaspérante. Mais à ceux qui cherchent des personn
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Avant tout, chaque fois que je choisi un livre des éditions Harlequin j’espère passer un bon moment avec une histoire légère sans prise de tête, ce qui est presque toujours le cas. Une lecture légère pour me couper des obligations de ma PAL. Je ne peux pas dire que celle-ci fait exception, mais j’ai vraiment eu du mal à entrer dans l’histoire. Pire que ça, j’ai eu du mal à la prendre au sérieux, et ce, surtout à cause des personnages. Que ce soit l’héroïne complètement paumée qui ne prend pas une seule décision concrète avant la fin du roman (ce qui est évidement fait pour marquer le chemin accompli par celle-ci, mais ça manque cruellement de subtilité) ou pas ses amis et sa famille qui sont une caricature de soap opéra.
On a affaire à Jane, une jeune bibliothécaire, sorcière à ses heures perdues, dont les pouvoirs disparaissent par manque de pratique. Elle va donc chercher à les récupérer tout en se demandant si elle souhaite vraiment rester sorcière ou si elle n’aspire pas à une vie normale, entre son boulot et une vie romantique simple, aux antipodes de ce par quoi elle est déjà passée. Tout cela, accompagnée par son Gardien, le froid David, Neko, son Familier, sa grand-mère et une mère absente revenue en coup de vent, sans oublier sa meilleure amie qui enchaine les échecs sentimentaux.

Ce que j’ai trouvé dommage c’est que toute la lecture se fait sur un fond de « tout est bien qui finit bien », on ne doute pas une seule fois de l’issue de l’histoire. Même pour un roman sans prétention j’attends un peu de suspense ou de toute qui tient la route.

Un des points positif est la façon dont l’auteur appréhende la magie, j’ai beaucoup aimé le système hiérarchique tout comme les sensations psychiques, elle naturalise l’essence magique en la simplifiant, retirant toute logique (ce qui n’a rien de dérangeant, au contraire) pour se concentrer sur les sensations et la volonté.

Un autre point que je trouve dommage : le résumé n’est absolument pas représentatif du roman, et ma déception vient e grande partie de ce fait.
En Bref

Je pense que si l’on veut une lecture légère avec des touches d’humour ce livre est ce qu’il vous faut. Malgré un manque de maturité et de cohérence en ce qui concerne les personnages, la lecture est légère, le final est satisfaisant et le style pas mauvais. Les défauts sont contrebalancés par les sourires que nous arrache cette lecture.
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date : 08-11-2019
Je risque certainement de spoiler le premier tome en donnant mon avis. À vos risques et périls !
J’ai attendu beaucoup trop longtemps pour lire ce second tome ! Je l’ai adoré. J’ai l’impression que Carina Rozenfeld ne peut juste pas me décevoir. Ses personnages n’ont rien perdus de leur fort caractère. On plonge dans ce tome dans la guerre qui oppose Rakeshin et Arensdaal en suivant Ederin et les autres restés au palais tandis qu’Elyana et Jad poursuivent leur chemin vers le nord. La romance va prendre un peu de place, mais parfaitement bien dosée elle ne prend pas le pas sur l’action et surtout elle est très mature. Ce qui est surprenant et très plaisant pour un roman jeunesse. On a affaire à deux jeunes adultes au fort sens des responsabilités.
Le personnage de Zalim est particulièrement attachant et l’on suit son évolution en même temps que l’héroïne. On passe la majeure partie de ce tome à espérer qu’ils trouvent tous les deux un moyen de cohabiter.
J’ai craint des longueurs dans ce tome à cause du périple de Jad et de la princesse mais le changement de point de vue empêche que l’on se lasse de la lecture. Les rebondissements sont nombreux mais cohérents, le rythme est parfait !

En Bref : C’est une lecture que j’ai énormément apprécié, qu’il s’agisse du tome 1 comme du 2 on plonge dans un univers fantaisiste au cœur de la famille royale d’un pays sublime. Tous les personnages sans exceptions sont terriblement attachants et le style de l’auteur est addictif, il est difficile de lâcher ces romans.
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date : 08-11-2019
C’est une amie qui m’a prêté ce livre, ayant déjà lu une saga de Carina Rozenfeld (Les cendres de l’oubli) que j’avais beaucoup aimé, j’ai voulu lire autre chose de cet auteur en espérant passer un aussi bon moment. Il m’a suffi de lire le résumé pour être conquise.

L’histoire prend place dans un univers steampunk/médieval, les royaumes d’Arensdaal et de Rakeshin sont entrés en guerre, les batailles se suivent et les deux camps ont perdus beaucoup d’hommes. Mais Alors que Rakeshin prend l’avantage, Ederinn Maley, premier ministre du royaume ennemi prend la décision de libérer le Monstre, un Démon sanguinaire et incontrôlable dans l’espoir de gagner la guerre. Mais un problème de taille se pose, Zalim choisi son hôte et a un contrôle total sur celui-ci, et il veut satisfaire sa folie meurtrière.

On suit les points de vue de trois personnages ; Ederinn, premier ministre du Royaume d’Arensdaal, un homme abimé par la vie, prêt à donner sa vie pour son Royaume. Elyana, jeune héritière du trône d’Arensdaal, jeune femme forte et déterminée, en désaccord avec les décisions politiques de son père. Et enfin Jad, jeune soldat du Royaume de Rakeshin, qui ne sait à qui prêter allégeance et qui ne rêve que d’arrêter de se battre et de revenir à sa vie d’avant.
Ces personnages sont tous aussi attachants les uns que les autres, leurs différents statuts sociaux et positions géographiques nous permettent de suivre tous les enjeux de l’histoire. J’aime beaucoup la force de caractère de notre protagoniste féminine, on a affaire à une femme forte, intrépide et volontaire qui n’hésite pas à s’impliquer dans ce qui lui semble juste. J’ai également une certaine tendresse pour le premier ministre qui porte son pays et son armée à bout de bras, allant jusqu’à contredire les ordres de son Roi lorsque cela lui semble nécessaire.
En Bref

L’auteur aborde des sujets de société comme la place de la femme ou l’homosexualité le tout dans un univers happant souligné par une plume impeccable. Si l’on met énormément de temps avant d’apprendre l’identité de l’hôte de Zalim (même si je me suis rapidement doutée que qui il s’agissait) il n’y a, à mon sens, aucune longueur et tout arrive à point nommé. Une nouvelle fois l’auteur m’a convaincue et son personnage principal est bien plus attachante, débrouillarde et autonome que dans « Les cendres de l’oubli », un détail plus qu’appréciable. Je trépigne d’impatience de lire le tome 2.
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date : 08-11-2019
Et bien je pensais savoir à quoi m’attendre en lisant un des romans des éditions Hugo Roman, une romance sans prise de tête avec un scénario bateau et des personnages communs, une lecture néanmoins plaisante. Et bien, pas du tout, j’ai été plutôt surprise et en bien. Dès les premières pages on tombe sur une héroïne de 17 ans qui sait exactement ce qu’elle veut et fait en sorte de l’avoir. Delilah revient dans la ville de son enfance après 6 ans d’internat dans un établissement catholique. Il lui suffit alors de poser les yeux sur son amour d’enfance, Gavin pour savoir qu’elle le veut. Après avoir confié cela à son meilleur ami, Dhaval (ou mon personnage préféré) elle se lance, directe et sans filtre.

Cependant la téméraire Delilah va rapidement apprendre que l’homme qu’elle convoite tant cache un secret, orphelin, le jeune homme a grandi élevé par sa maison dont les objets semblent prendre vie. Néanmoins il semble que cette maison n’aime pas du tout le fait que la jeune femme veuille s’impliquer dans la vie de Gavin, et elle va lui faire comprendre à sa façon…
Alors pour commencer, j’ai beaucoup aimé le caractère volontaire et affirmé de l’héroïne avec lequel ses polos et jupes plissées contrastent admirablement. Et si j’ai d’abord eu peur que ce fort caractère soit contrebalancé par un protagoniste masculin mou et passif, ce n’est pas vraiment le cas. Même si on comprend vite lequel des deux personnages porte la culotte dans le couple, Gavin sait nous surprendre. Notamment en se montrant parfois entreprenant avec notre jeune héroïne. On a là une jolie histoire d’amour adolescente, et ces deux jeunes gens savent parfois se montrer matures, ce qui m’a agréablement surprise. Ils se posent des questions intelligentes et (pour une fois) évitent les disputes idiotes.

Enfin, évidement je trouve quelque chose à redire. Sur la fin qui m’a paru un peu trop simple, j’aurais aimé que l’auteur campe sur ses positions et évite le trop simple « happy end » décevant. Alors que la péripétie finale amenait à un dénouement plus travaillé et qui aurait pu prendre bien plus le lecteur aux tripes.
En Bref : Pour une histoire écrite et publiée à la base sur Fyctia (un équivalent de Wattpad spécialisé dans la romance) j’ai été très agréablement surprise. Bien qu’il y ait des choses à redire, pour une romance sans grande prétention c’est là un bon livre. Agréable pour se changer les idées et j’apprécie de voir deux jeunes gens créer une jolie histoire. La touche de fantastique est rafraichissante, bien qu’on ait tenté de me vendre ce livre comme une histoire horrifique alors qu’elle ne l’est pas.
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date : 08-11-2019
J’avais besoin d’une lecture légère, quelque chose qui se lit sans prise de tête. Et bien j’ai dévoré ce livre en deux jours. Avant tout cela fait plaisir de lire une auteur française. J’avoue qu’en voyant que l’histoire à été publiée sur Wattpad j’ai paniqué. Mais j’ai été agréablement surprise. La plume était fine et plaisante. L’histoire légère et pleine d’humour avec sa dose de drame. Certains moments étaient particulièrement émouvants. J’ai adoré les personnages –Loan plus particulièrement- qui étaient tous très vrais, avec leurs casseroles.

En un mot : Loan ! Morgane Moncomble nous dépeint l’homme parfait dans le personnage de Loan. Même s’il cache ses démon à l’image ne notre charmante héroïne, le caractère posé et la lucidité de ce personnage porte le roman. Si Violette est loufoque et amusante, elle est loin de gagner ma sympathie. Je ne lui reproche que deux choses en vérité ; (deux défauts sans lesquels l’histoire n’aurait bien sur plus autant d’intérêt) son manque de lucidité, bah oui ma belle, quand tu meure d’envie de coucher avec ton meilleur ami et que tu lui fais plus confiance qu’à ton homme il y a un peu plus que de l’amitié entre vous, sans compter la proximité physique des deux « amis ». Et son manque de subtilité. Elle a eu certaines attitudes que je n’ai pas aimé (c’est un avis purement personnel, évidemment). Néanmoins, tous les personnages de ce livre ont une véritable identité et sont attachants.
Seul petit point noir, certaines scènes qui se veulent amusante sont parfois un peu trop exagérées ce qui fait passer la scène de comique à l’absurde.

Moi qui suis très critique sur les romans d’Hugo Roman, je devrais me pencher un peu plus sur certaine des perles qu’ils publient. Pour un premier Roman, chapeau bas Morgane, continue ainsi !

En bref : Ce livre tient ses promesses, on passe un excellent moment en lisant une romance qui nous tient aux tripes, même si dans ce genre de romans, on se doute tous de la fin, c’est avec une hâte non dissimulée que j’ai attendu celle-ci. Je recommande cette lecture à toutes les personnes en recherche d’une romance à lire. Vous allez beaucoup rire et peut être même pleurer. J’ai dévoré ce roman en quelques jours et je relirais avec plaisir un des livres de cette auteur.
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date : 08-11-2019
Théodosia a tout perdu, sa mère, son peuple, son titre et même son nom. Elle est désormais Thora, princesse de cendre, obéissante et soumise au Kaiser. Celui-ci, dictateur cruel, s’amuse à la torturer dès que cela lui prend, pour un oui ou pour un non. On suit alors cette jeune femme que tout le monde pense brisée, cependant la fille de la reine de feu est consumée par la rage et la colère.
Seule Crescencia, la fille du Theyn, son bourreau, l’assassin de sa mère est pour elle ce qui s’approche le plus d’une amie, la seule personne à laquelle elle tienne.

Puis tout s’enchaîne, on offre à cette jeune femme la possibilité de s’enfuir, mais elle décide de rester se battre quitte à tout perdre, trahir les seules personnes qui ont fait preuve de gentillesse à son égard. Théo saura-t-elle se montrer aussi cruelle que l’homme qui lui à tout pris ?
Cette femme est géniale, si certains pourraient la trouver indécise et qu’elle a du mal à prendre position, je réfute. On a du mal à imaginer la souffrance que cette jeune femme a pu subir, certes, l’auteur nous la dépeint mais personne ne peut comprendre. Pour une jeune femme que tout un peuple a voulu briser, Théodosia se tient fière et droite. Et même si l’on s’attache à des personnages comme Søren et Cress, on comprend les motivations de la pincesse. Les personnages sont vrais, poignants, même ceux qui brillent par leur absence sont vibrants, le Theyn et Dragonsbane que l’on met énormément de temps avant de rencontrer, nous font déjà trembler d’appréhension.

En bref : Un véritable coup de cœur, j’ai dévoré ce roman. L’histoire, le rythme et les personnages forment un ensemble harmonieux, le tout sous la plume d’une auteur qui nous promet une suite à couper le souffle. L’attente de la sortie du tome deux « Lady Smoke » risque d’être insoutenable. Même si l’auteur nous épargne un cliffhanger, la curiosité nous dévore. Je conseil évidement la lecture de ce roman.
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Après la lecture du prologue j’ai été très emballé. Puis j’ai eu énormément de mal à lire les deux première parties. Si il est très bien écrit, en effet le style est très agréable, il y a beaucoup de lourdeurs. Le coté « Américain » est, je trouve, très forcé. De plus, le fait que le pedigree de chaque personnage soit raconté dans son entièreté à la première apparition de celui-ci rend encore la lecture encore plus lourde.

Néanmoins, ceci dit, l’histoire est prenante. Je n’ai pas l’habitude de lire de la science fiction et encore moins aussi politique. Mais j’ai réellement accroché.

On suit deux personnages, Eli Weisman, un scientifique mélomane, pacifiste et cocaïnomane impliqué de force dans une entreprise militaire, le but étant de créer des robots capables de se rendre au front. Puis John Dougherty agent de la DARPA, son contraire, prêt à tout pour son pays. Si le second personnage est une caricature du militaire américain, le premier, malgré son coté passif, est beaucoup plus intéressant. Ces deux personnages vont donc évoluer sur un fond d’élection présidentielle où le favori, Paul Teofuina prône le désarmement mondial.
En bref : Il m’est difficile d’en dévoiler d’avantage car trop en dire risquerait de gâcher le plaisir de la lecture. Je dois aussi appuyer sur le fait que la fin m’a beaucoup surprise. Il m’a fallu quelques heures pour digérer et me faire un avis concluant. Si la chute me paraît un peu simpliste j’aime beaucoup le message.

Tout au long de la lecture, les personnages jouent beaucoup de morceaux qui forment une super playlist. Je conseille d’ailleurs d’écouter les morceaux au moment de leur apparition dans le roman. S’ajoute à cela des enjeux sociaux et écologiques. On rencontre des personnages de tous horizons avec des passifs très différents qui créer un éventail de protagoniste assez varié.
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date : 08-11-2019
Si j’avais hâte de lire un roman de la collection Indécente et que le résumé promettait une romance haletante, j’ai vite déchanté.
Pour commencer, on ne s’identifie absolument pas au personnage de Samantha. C’est une magnifique blonde, douée en tout, riche, passionnée d’art, bref, parfaite. On ne lui trouve aucun défaut, elle parle plusieurs langues, dessine merveilleusement bien et est adjointe du procureur de New-York. Pour ce qui est Dimitrievich, c’est à mon sens un homme détestable. On le présente comme un coureur de jupon, accroc au sex, qui aurait déjà frappé son ex-copine. On lui prête des pouvoirs surnaturels qui sortent de nul part et sont à peine développé. Un Deus Ex Machina bien pratique, en somme.
En ce qui concerne leur relation, les limites du consentement sont souvent floues. Qu’il s’agisse de leur première fois ou les suivantes. L’auteure aborde beaucoup de thèmes, beaucoup trop nombreux à mon sens. Elle veut traiter du veuvage, de la perte des parents, du viol, de la grossesse, de l’amour, des attentats, de la politique, bref, elle en fait trop, les survole et les traite mal. J’ai par exemple, beaucoup de difficulté avec le fait que le sujet du viol collectif soit traité aussi légèrement.
Si les personnages principaux manquent clairement de profondeur, les autres personnages sont peu intéressants, quasi inexistants.
Samantha fait des choix improbables, elle fréquente le consul depuis deux semaines à peine et quand il lui demande d’abandonner son travail et sa vie New-Yorkaise pour le suivre en Russie, elle accepte sans hésitation. Alors qu’il a ravagé son appartement sous la colère, qu’elle connaît son passé violent et c’est à peine s’il ne la manipule pas. Je pourrais ajouter que leur romance est très superficielle, toxique, on parle à peine de leurs sentiments, tout se résume plus ou moins au sexe. Scènes de sexe au demeurant très décevantes, je m’attendais à de l'érotisme et leurs ébats sont à peine décrits, deux phrases tout au plus.
Les coïncidences sont forcées et l'enchaînement des événements est trop rapide, peu probable et il faut l’avouer, assez ridicule. Meurtre, attentats, enlèvement, surnaturel,...
En bref : À vouloir trop en faire, il n’y a plus rien à garder. Cette lecture que j’espérais légère et sensuelle s’est transformé en une énorme déception, j’ai dû me forcer pour arriver au bout en espérant une amélioration qui n’arrive pas. Décevant jusqu’à la dernière ligne.
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