Avec les recueils de nouvelles, c'est un peu comme un service à la carte. On garde ce qui nous plait, ce qui nous interpelle et on oublie le reste. Mais que dire sinon que le Maître nous surprend encore, il nous emmène où bon lui semble et même si parfois c'est tellement prévisible qu'on se dit: non il va pas oser ? Et bien si il ose et en plus on aime ça et on en redemande.

Encore une fois, on retrouve Geralt de Rivdans des nouvelles bien mener. L'auteur approfondi les trait de son personnage principale, il étoffe peu à peu son univers, On sent qu'il est près à bientôt nous offrir un vrai roman.

Voila un recueil de nouvelles qui nous invite à découvrir le monde de Geralt de Riv. Un monde sombre, emplit de monstres , mais aussi d'elfes, de nains, d'humain. Un incontournable pour les amoureux du genre.

Livre écris près de trente ans après la saga fondation, ce tome offre une genèse des plus passionnante.

Je n'ai pas été séduite par cette suite de nouvelles, compilées dans un recueil où on cherche le lien.

Lecture commune septembre 2013
La Mécanique du cœur.
Mathias Malzieu
Il y a longtemps que l’on m’avait conseillé ce livre et cet auteur, et, pas nécessairement conjointement, alors cette Lecture Commune était en soit une bonne occasion.
Pour ce qui est de l’auteur, j’avoue que j’ai été séduite. D’abord par son phrasé. Un lyrisme, qui est bien trop souvent négligé chez les auteurs modernes, Un sens de la formule et un souci du rythme mis au service de l’œuvre qui l’enrichissent et lui donnent une ampleur au-delà des mots.
Ensuite par son monde, comme l’ont déjà souligné bon nombre d’entre vous, Burtonnien à souhait. On imagine volontiers Edouard aux mains d’argent ou Sweeney Todd camper tel ou tel personnage.
Pour ce que est de l’œuvre proprement dite, je n’ai, au grand dam de certain, pas été emballée par l’histoire. Je l’ai trouvée simplette et sans grand intérêt. Toutefois j’ai été interpelée par la profondeur philosophique de certains points de ce récit. Comme s’arracher le cœur pour l’offrir à la personne qu’on aime.
Au final, c’est un bon livre qui mérite d’être lu, ne serais-ce que pour la verve de Mathias Malzieu.

Une série longue qui peut en rebuter un bon nombre, mais elle offre un univers intéressant et qui se lit vite et facilement. Sans prétention, un bon moment de détente.

Un livre qui vous apte corps et âme, et qui pousse l’arrogance à nous proposer une autre façon de penser. Un vrai plaisir de la première à la dernière phrase.

Un livre auquel je n'ai pas adhérer. Un goût d'inachevé, surprenant de la par de Van Vogt.

Des début prometteurs , avec un humour sarcastique . Mais qui tourne court , avec une fin plate et sans intérêt , dommage .

dommage que la fin laisse tellement à désiré , sinon c'est un bon livre

je rechercher le charme des vieux romans d’espionnage, j'avoue que je suis déçu .
Cela dit ça se laisse lire , et l’Atlantide fait toujours recette

une nouvelle aventure pour Hercule , ou le charme de la vieille Angleterre opère une fois de plus . Mais pour une fois Hercule n'a pas à solliciter ses petites cellule pour trouver l'assassin mais l'innocenté , y arrivera-t-il ?

Quand on a deux vie , dure de ne pas les laisser empiété l'une sur l'autre . Pour Marcas ce qui aurais du être un détail de sa vie , en fait une singularité et qui nous emporte dans une univers insoupçonné . l'auteur tente de démystifie la franc-maçonnerie sur font d’enquête policière plutôt bien réussi .

Voilà un livre qui vous happe littéralement , sans pudeurs , sans concessions.

Ce recueil bilingue permet une nouvelle approche plus intuitive de la poésie de keats . toute fois une traduction parfois trop linéaire pêche un peu .

Revue de presse
Vingt-six années de missives ardentes entre le romancier Elias Canetti, sa femme Veza et son frère Georges...
Sans le savoir, Georges Canetti livre le mode d'emploi pour décrypter cette correspondance triangulaire inédite, trouvée récemment dans une cave de Suresnes. Car la beauté de ces lettres vient des trous, des absences, des attentes qui les perforent sans cesse, des silences, des cachotteries, des appels au secret qu'il faut déjouer pour goûter la mystérieuse symbiose de ces trois êtres. Eternellement soumis à la tentation de la disparition, les épistoliers échangent des bouées de sauvetage dans le calme et la tempête de l'histoire (les lettres s'échelonnent entre 1933 et 1959), la peur au ventre, la confiance au coeur. Ils s'écrivent en cachette les uns des autres, avec l'espoir que leurs murs intérieurs auront des oreilles, que cette communication franche et impudique suivra quelques lignes obliques. (Marine Landrot - Télérama du 25 février 2009 )

Une correspondance qui révèle un amour interdit et des personnages hantés par la maladie et la folie...
Retrouvée en 2003 dans la cave de leur frère Jacques Canetti (l'ami de Boris Vian), la correspondance d'Elias à Georges côtoyait les échanges secrets entre Veza et son beau-frère, échelonnés entre 1933 et 1959. Georges a conservé les lettres de son frère et de Veza, mais Elias, lui, a détruit les lettres de sa femme et de son frère. Ces missives manquantes, paradoxalement, donnent toute sa force à cet émouvant roman épistolaire, qui recompose un curieux triangle. (Tristan Savin - Lire, avril 2009 )

Enfin un Marcas, où les deux parties sont d'égale importance et surtout , d'égal intérêt, hormis les fins ( et oui , il y en a deux , c'est du libre service ) que je trouve faibles pour ne pas dire bâclées. L'attrait maçonnique reste quant à lui toujours aussi captivant presque ensorcelant.

Voilà un livre que je regrette d'avoir lu . Je suis souvent déçu avec Grangé , mais là c'est pire que tout .

Encore un livre sur les légendes Arthuriennes me direz vous, et je vous répondrais certes, mais pour une fois la féerie et le mysticisme qui entourent Merlin s'effacent pour une réalité plus dure. Un mode cruel, abrupt, taillé à coups de glaive ou de hache c'est ce qui m'a plu dans ce livre. Hélas je me suis heurtée à un rythme lent qui m'a poussée bien des fois à oublier ce livre dans un coin.

Comme beaucoup j'ai abordé ce livre avec beaucoup de résistance et d'aprioris. Mais au final j'y ai pris un certain plaisir et c'est ce qui compte. Alors bien sûr on peut se plaindre des longs passages descriptifs plus que rébarbatifs pour la plupart d'entre nous. Mais n'oublions pas que Zola est un naturaliste, il observe, décrypte, analyse tout ce qui l'entoure. Dans ce livre, Zola nous livre une critique à peine masquée du Second Empire. L'histoire n'est pas à proprement dite très intéressante et elle est, je dois dire assez prévisible. Mais au travers de celle-ci, il nous livre des caractères vils dont l'ambition est le seul moteur. Dans ce roman tout tourne autour de l'argent et du pouvoir ou du pouvoir et de l'argent. Avons nous vraiment évolué depuis le 19è siècle ?

il y a parfois des livres qu'on regrette d'avoir lu, je n'irais pas jusque là. Mais plus je m'interroge et moins je trouve d'attrait à ce livre . un rythme lent voire soporifique , des personnages mous sans envergure ni charisme, une histoire sans ambition, bref rien de très distrayant .

Je dois avouer que je suis peut-être passée à coté de ce livre, pour être vraiment honnête je crois que j'ai rien compris du tout. Une lecture ardue voire assommante. Des personnages pitoyables, grotesques ou carrément effrayants. Une histoire somme toute intéressante à laquelle j'ai pas accroché, hélas. Je le relirais peut-être un jour qui sait, non en fait, sûrement pas .

Un livre dont le héros est notre propre langue , enfin un des aspect de celle ci, la Grammaire. Un aspect qui bien souvent nous rebute voir nous rappelle de mauvais souvenir. Pourtant on se laisse vite entraîner , une lecture aisée et même plaisante. On apprends de menus détails dont on ne se serait douter et dont au final on se fiche un peu , mais qui pourtant reste en nous comme un échos lointain et c'est ça qui est tout l'intérêt d'une telle lecture. Sans compter qu'il est traiter avec beaucoup d'humour et d'ironie voire de sarcasme. Notre langue est belle et riche , ce livre nous le rappelle à nous de pas l'oublier .

Pour commencer je dirais que ce livre ne mérite pas le terme de thriller , pas d'ambiance lourde , pas de crime hors du commun ,pas d’angoisse et le tueur , ou plutôt le ...non chut je me tais ! Je vais pas spolier quand même .
enfin bref vous comprendrez aisément que je n'ai pas vraiment apprécié ce livre ,une narration lourde pour ne pas dire pesante , une construction confuse voir hasardeuse , des personnages pitoyables et une histoire grotesque . Dommage parce que l'idée était intéressante.

Je n'ai pas été sensible au charme de l’Amérique profonde
des années 50, je n'ai pas réussi à m'attacher au personnages et pour finir je n'ai pas trouver leurs histoire intéressante . En bref , ce n'est pas une lecture que j'ai vraiment apprécié , toutefois Steinbeck reste un auteur incontournable de la Littérature Américaine ne pas le lire serait une erreur .