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Commentaires de livres faits par Sashenka

Extraits de livres par Sashenka

Commentaires de livres appréciés par Sashenka

Extraits de livres appréciés par Sashenka

Alors, certes, il y a quelques beaux passages sur la vie dans la nature, des réflexions intéressantes sur la perte d'identité et la déshumanisation de l'homme dans un Etat totalitaire où l'on ne peut faire confiance à personne. Durant la traque, les hommes redescendent à l'état de bête, ne pensant qu'à satisfaire leurs instincts primaires de chasseurs, se nourrir et se réchauffer. Et pour ces hommes-animaux, ces mâles, être face à une femme fait surgir des pulsions de viol et de meurtre. de même, c'est le personnage le plus proche des animaux, le maître-chien, qui est le plus humain et qui garde sa raison quand les autres basculent dans la folie.
Cependant, j'ai trouvé la morale de l'histoire simpliste, trop pleine de beaux sentiments : il faut vivre en harmonie avec la nature, loin des hommes, pour vivre heureux.
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Ce roman est CLASSÉ ADULTE, ce n'est pas un roman pour jeunes adultes, encore moins pour les ados et compte tenu de la présence de relation toxique, de violence sexuelle gratuite et d'objectivisation de la Femme, de grâce, ne remettez pas cette chose dans les mains de notre jeunesse, ce ne serait pas leur rendre service.

Résumé maison: Dans un monde où les humains sont en quelque sorte l'espèce fragile et misérable, parce que l'espèce dominante est celle des Faë, dont le monde est partagé en Cours, Feyre, une jeune femme, tue un de ces immortels. D'ordinaire, on puni ce crime par sa vie, mais Feyre est belle, donc le Roi de la cours du printemps décide plutôt de la garder pour lui. Ainsi, la petite demoiselle va quitter sa vie passée à faire survivre une famille ingrate qui se tourne les pouces en regardant pousser le gazon, pour finir dans un palais, à manger des mets raffinés, à peindre des tableaux et trouver milles excuses pour être la plus désagréable possible avec les deux seuls habitants dudit palais. Pour couper court à ses jérémiades et ses pitoyables tentatives d'évasion, le Roi décide de donner une somme considérable d'argent et un palais aux membre de la famille de Feyre. Puis, c'est l'idylle entre le Roi magnifiquement beau et l'humaine, magnifiquement belle, qui vont même finir par se découvrir cinquante nuances de baises ensemble. Ah, à quoi bon! Même faire un résumé est une torture! S'ajoute à ce tableau désespérant une Reine évidemment jalouse, son ténébreux beau mâle de service ( qui va très probablement devenir le nouvel amant de Feyre), une énigme mortelle dont la réponse est à peu près aussi évidente qu'un nez en pleins visage et une transformation en créature magique à la façon Bella Swan. Honnêtement, ce scénario est très boiteux et par moment, affligeant de bêtise.


Je tiens d'emblée à dire que cette histoire et trop similaire avec le conte classique de la belle et la bête, mais dans ses pires dimensions. Mais contrairement à la version de Disney, où Belle se découvre des sentiments pour la bête bien après s'être vue relâchée, ici Feyre ( quel nom mal choisi) se découvre des sentiments pour la personne qui lui sert de geôlier. Malaise. Ça c'est du joli syndrome de Stockholm en action. Un personnage indéniablement stupide qui fini par tout donner à l'autre, après de vaines et puériles tentatives d'évasion, malgré le fait que plusieurs crimes de nature physique, psychologiques et sexuelle ( beaucoup de sexe) ont été commis contre elle.


Aussi, je souligne le fait que cette histoire n'aurait pas eu lieu n'eut été du physique avantageux de ladite Cendrillon- oui Cendrillon- c'est une petite ménagère victimisée . Le faë ne se serait pas découvert une soudaine miséricorde si le personnage n'avait pas l'air - passez moi l'expression - baisable et désirable. C'est d'ailleurs en baise que tout cela va finir.


Le rythme de ce livre était quand à lui bien parti, avec une héroïne plutôt entreprenante, même si désagréable de personnalité , un scénario rondement mené bien que boiteux, un bon élément déclencheur bien machiste Bref. Lorsque je suis arrivée au milieu de l'histoire, au moment où on apprend que Feyre n'a plus besoin de s'enfuir car sa famille est désormais dans l'opulence ( sans raisons), on dirait que tout s'est effondré. La question suivante se formule dans ma tête: "Ok, et donc, on va où avec tout ça?" Comme Feyre souhaite retrouver sa vie de victime et que le motif disparait...il n'y a rien pour soutenir l'intrigue. Le suspense est retombé à plat, on se contente de suivre Feyre dans son amourette avec le Fae ( alias la bête), les escarmouches entre immortels et pour finir, son retour à la maison.

Ce personnage nous fait sentir qu'elle n'a plus de raisons de vivre et donc, l'action en elle-même devient lente et floue. On dirait que ce qui était au début un train roulant s'est transformé en trottinette! J'ignore si c'était l'intention de l'auteur de sentir le rythme s'épuiser ainsi, mais sur moi, l'effet est lourd, agaçant et je peine à finir le livre.
Puis, la voilà de retours en sol immortel...dans les bras du deuxième homme qui compose habituellement le triangle gars-fille-gars d'environ 95% des histoires d'amour en jeunesse.
Encore ce foutu triangle!
Je suppose que ce triangle va s'intensifier au fil des autres tomes ( mais je compte pas les lire pour m'en assurer). On en reviens encore à la même histoire que pour tant d'autres livres jeunesse: Il étais une fois miss ordinaire qui est en fait spéciale et qui a défaut d'être indépendante d'esprit, va devenir le trophée à gagner entre deux mâles alphas mystérieux, l'un blond, l'autre noir". Incroyable que cette salade se vende encore après avoir été remaniée à toutes les sauces.
C'est triste de voir Feyre, qui malgré un caractère exécrable, semblait avoir au moins une colonne solide, prendre le même chemin que toutes les protagonistes de Young Adulte. Et ce n'est pas le seul hic. Son histoire de famille ne fait pas sens. La benjamine, forcée à 8 ans de prendre soin de ses proches, tous plus vieux qu'elle, se découvre soudain des talents de chasseresse ( tient bonjour Katniss!) parce que ses deux soeurs refusent de se bouger les fesses et que son père cultive ce qui ressemble une dépression. Allons donc! Assez de couilles pour tuer un être quasi-divin, mais pas assez pour ne plus être la Cendrillon de service? Grossière erreur de psychologie, mais bon, toute la structure psychologique est gravement défaillante dans ce roman. Une autre belle connerie est le fait que le geôlier de Feyre va récompenser l'asservissement de celle-ci par ses proches en les replaçant dans leur vie mondaine de nantis, comme ils l'étaient autrefois. Mais, bon sang, pourquoi?! Ah, oui, parce que notre Cendrillon veut quitter ce monde féérique qu'est sa cage dorée pour regagner le foyer familiale dysfonctionnel, pauvre comme la gale et où personne ne se montre reconnaissant. Plus je repense à cette histoire, moins je comprend son succès.


J'en sors donc abattue, navrée de voir encore un personnage féminin ramené à sa plus simple expression et un conte réécris salement transformé en crêpage de chignons entre mâles. On pense à tort qu'une protagoniste forte c'est une fille forte en gueule capable de se battre: erreur. Une fille forte est capable surtout de se défendre son intégrité et penser par elle-même. Une fille forte est capable de mener sa vie sans ingérence en restant fidèle à elle-même. Dans cette optique, Feyre est donc très faible.

Classé adulte fantasy ( même si c'est insultant de classé cela en Fantasy vu la médiocrité de l'univers en présence et qu'il correspond plus à de la new Romance bien toxique style Dark Romance qu'à de la réelle Fantasy).
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J'ai le sentiment de m'être fait, une fois de plus, avoir par un titre trop aguicheur. C'est en partie de ma faute. J'ai la fâcheuse manie de ne me fier qu'à des titres sans chercher à en savoir un peu plus sur le roman au préalable. Pourtant, les jolis titres ne payent pas toujours et Avec des Si et des Peut-être en est le parfait exemple.

Ce roman à la couverture coloré est d'une fadeur absolue. Il se contente en grande partie de reprendre les codes de base de la chick lit, sans rien apporter de nouveau hormis une touche de fantastique qui ne prend pas vraiment. Cette parenthèse farfelue qui ne dure qu'un quart du roman aurait mérité d'être plus approfondie.

Du reste, on se retrouve la plupart du temps avec toute une horde de clichés et stéréotypes à se mettre sous la dent. De Max, la protagoniste elle-même, qui, prof de français, trouve que les jeunes sont forcément de profonds idiots qui n'aiment que Maître Gims et Stromae, en passant par sa colocataire végane et militante indéfectible ou par Julien, le frère homosexuel avec qui la famille – très ouverte – n'a jamais eu de problème. Bien sûr, Maxine (pardon, Max, elle n'aime pas Maxine), fantasme sur son chef, le directeur du collège où elle bosse, et la seule vue de celui-ci suffit même à faire « se dissoudre sa culotte ». Pas de chance cependant, car il semble l'ignorer tandis qu'elle ne rencontre que des hommes étranges aux métiers idiots et affligeants de bêtise. Bref. Vous aurez saisi l'idée.

J'aurais du mal à dire que ce livre est un mauvais roman, il plaira sans doute aux lecteurs qui auront envie d'une lecture légère et sans prise de tête, aux amateurs de romances un peu mièvres mais qui finissent bien, aux fans de happy ends pleines de bons sentiments. Dommage, je ne fais partie de ces catégories qu'avec quelques exigences, et Avec des Si et des Peut-être est; pour moi, d'une banalité bien trop insipide.

https://libellulelivresque.wordpress.com/2018/07/02/avec-des-si-et-des-peut-etre-de-carene-ponte/
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Nouvelle agréable à lire, au style fluide et riche portant sur un thème original, côtoyant le fantastique, celui de la quête de richesse matérielle par un jeu de cartes et notamment par l'usage de trois cartes censées garantir la victoire à chaque partie.
L'histoire apparait donc attractive, les évènements s'enchaînent rapidement sans lourdeur et ce en dépit de certaines descriptions inévitables dans une oeuvre russe d'époque. La manoeuvre de Hermann afin de dérober le secret de la comtesse sur la combinaison des trois cartes à employer afin de gagner toujours et plus est ingénieuse et remarquable, mais avant tout inattendue de sa part . En effet, l'on pensait de prime abord que Hermann n'était en aucun cas intéressé par les jeux d'argent, ne souhaitant pas "risquer le nécessaire pour gagner le superflu". Cependant, la combinaison de trois cartes permettrait de gagner sans risque de perdre, ce qui change la considération qu'a Hermann du jeu. Ces 3 cartes, en garantissant inévitablement la victoire, ôte le caractère aléatoire et risqué du jeu en question ce qui a incité Hermann à s'y lancer.
C'est pourquoi, cette nouvelle s'articule sur le thème de l'avidité matérielle mais aussi de la foi en toutes ces choses inexplicables. Sinon, comment expliquer que Hermann ait cru en cette histoire de cartes au point d'entreprendre une telle manigance afin de s'approprier la connaissance de ces cartes ?
Une nouvelle qui ne demande qu'à être lue et relue !
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Ce roman confirme que Tahereh Mafi est bien une de mes auteurs préférés (après L. Patrignani mais c'est une autre histoire). Elle a réussi à faire d'un roman, d'un amas de pages en noir et blanc, une fresque grandiose explosive de couleurs. L'intrigue tourne autour d'un monde où la couleur est synonyme de magie, et elle a fait de son ouvrage le livre le plus éclatant que je n'ai jamais lu, que ce soit dans les descriptions ou dans les personnages.

Les personnages, parlons-en. Je ne pense pas qu'il soit possible de ne pas avoir d'affection pour Alice. Tahereh Mafi possède un don pour dresser des portraits attachants, attendrissants, détestables, mais qui ne laissent jamais indifférent (Alice, Oliver, Juliette, et surtout Warner nom de nom (!!!) sont mes personnages favoris tous romans confondus). Pour en revenir à Alice, c'est une jeune fille grandement touchante, et terriblement humaine. On ressent son désir d'être "normale", son ambition, et son amour pour son père. Au fil des pages, elle commet énormément d'erreurs mais sait aussi faire preuve d'audace bienvenue et d'une ruse bien placée. C'est une jeune fille qui se cherche et doute beaucoup, mais cela n'endigue en rien sa joie de vivre. Alice a le genre de mentalité que je souhaiterais posséder. Les obstacles n'en sont pas, ce ne sont que des moteurs, et même quand la situation semble critique, on est dérouté par sa mentalité, troublante car pas du tout appropriée au contexte mais terriblement attachante. C'est un personnage explosif et vraiment haut en couleur, malgré sa pâleur. Mais ne dit-on pas que le blanc est une réunion de toutes les teintes ?

Quant à Oliver, j'ai aimé ses insécurités, sa prétention pour masquer ses doutes, et sa fascination pour Alice, qu'il tente tant bien que mal de dissimuler derrière une froideur et un orgueil assez synthétiques.

Et à propos du monde dépeint par l'auteur, il est intelligent, original, passionnant, on a envie d'en apprendre toujours plus et de tout comprendre. Je ne pensais pas dire cela un jour, mais j'espère vraiment qu'une adaptation cinématographique de ce livre sera faite. Pour le coup, il y a matière pour faire un chef d'œuvre au niveau esthétique.

Passage rapide sur la couverture, je ne comprendrai jamais pourquoi on s'obstine à nous servir des atrocités (pardon) pour la VF quand les couvertures originales des livres de Tahereh Mafi sont magnifiques.

Pour résumer, ce roman est une palette d'émotions à n'en plus finir, et on en veut toujours plus. Je ne l'ai pas mis en diamant parce qu'Insaisissable a tout de même ma préférence, mais il sera très dur à détrôner. Une superbe pépite à découvrir sans attendre !
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J'ai entendu beaucoup parler de ce livre et énormément de gens n'arrêtaient pas de me répéter qu'ils avaient adoré, donc, évidemment, je devais lire ce livre.
Un mot me vient à l'esprit à la fin de cette lecture : Ennuyeux.
Peut-être que je m'attendais trop à quelque chose de plus sérieux, approfondi et intéressant....
Déjà, j'étais déçue par le premier chapitre. Il ne m'a pas semblé très prenant, et honnêtement, Feyre aurait pu mourir dans les bois à la place du loup que ça ne m'aurait pas attristée.
Ensuite, sa famille, parce que c'est quand même quelque chose. Son père qui ne fait absolument rien, ses deux sœurs qui ne font rien non plus pour les aider tous à survivre à la pauvreté comme à l'hiver, et qui ne sont même pas reconnaissantes de ce que fait Feyre... Et Feyre, qui est alors contrainte d'aller chasser pour les sauver (personnellement, cela ferait un bout de temps que je leur aurais fait comprendre que sans moi, ils seraient tous mort, mais bon). À ce niveau, c'est plus Cendrillon que "la belle et la bête".
Et après, lorsque la "Bête" vient chez eux, c'est encore pire : l'histoire n'a plus de sens. Oui, déjà.
En fait, c'est assez mal amené, presque forcé. La Bête dit clairement "une vie pour une vie" et qu'est-ce qu'il fait ? "Oh, ça y est, elle va mourir", on pourrait croire, ou du moins,qu'il essaye de la tuer car elle a quand même assassiné l'un des leurs et bien NON, même pas.
Au lieu de ça, tranquille pépère, elle mène une vie de "princesse" au château de la Bête (avec en prime, sa famille qui est nourris).
Je n'aimais pas trop l'héroïne au début, mais son caractère m'a plus qu'irrité pendant tout le roman. Déjà, elle est très contradictoire, prends des décisions stupides ou inconsidérées
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lorsqu'elle voit son père dans le jardin et qu'elle cours vers lui. Sérieusement? Pourtant, elle sait bien qu'elle se trouve dans le domaine des Faes et que jamais son père ne pouvait être vraiment là. En plus, elle connaît leurs pouvoirs "si immenses" et devrait être habituée à être prudente (surtout si elle chassait)
, et en plus, elle est désagréable 90% du temps, même lorsqu'elle pourrait à la limite se montrer aimable, rien que pour sa survie.
Le personnage de Tamlin n'est pas vraiment mieux. Wow, un beau gosse avec un masque, qui en plus, contrairement aux autres Faes, se montre gentil, mais quel monstre ! Je me demande comment on peut en tomber amoureuse, vraiment... Enfin, qu'il soit beau et gentil est une chose, le fait qu'il soit incroyablement ennuyeux en est une autre.
Et si l'on mixe ces deux personnages pour en faire un couple, c'est la catastrophe. Honnêtement, je n'ai ressenti aucune passion entre eux. C'était beaucoup trop forcé et pas vraiment naturel. Même si j'ai aimé certaines de leur interactions (pas beaucoup, mais bon, c'est déjà ça).
L'auteur aurait dû se concentrer sur certains personnages secondaires dont l'histoire me paraissait plus intriguante.
Ce qui sauve le livre, ce sont surtout Lucien et Rhysand. Et à la fin, on commençait ENFIN à voir un peu d'action. Certes, ce n'était pas super intéressant, mais étant donné que je m'étais ennuyée les 3/4 du roman, tout était bon à prendre.
2/10 pour moi.
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Le soleil est pour toi.
Il y a des livres qui se savourent pendant la lecture, et d'autres dont on se délecte a posteriori. C'est comme lorsqu'on mange un chocolat, le goût vous reste dans la bouche et c'est comme si vous étiez encore en train d'en manger alors que vous l'avez fini depuis longtemps. Lire Le Soleil est pour toi m'a fait exactement le même effet.
La lecture à été d'une douceur et d'une poésie torturée !

L'histoire basée sur une double narration à deux époques différentes a été incroyablement menée. Je pensais que voir sous deux angles allaient dévoiler toute l'affaire et que le lecteur connaîtrai avant les personnages le noeud de l'histoire. Or ce n'est pas du tout cela. Le lecteur est tout aussi aveugle que les personnages et ne détient à chaque fois qu'une part de vérité découverte bien après.

JudeetNoah ou Jude et Noah. Il n'y a pas de mots pour décrire ce frère et cette sœur qui s'aiment et se haïssent en même temps, cherche à se faire mal et à se protéger à la fois. Je pense que ce qu'ils n'avaient pas compris c'était qu'ils étaient incontestablement différent. Pour eux, ils sont jumeaux et rien d'autres. Ainsi ils tentent de se démarquer de l'autre, d'être meilleur, d'être le plus aimé. Ils mènent leur combat de la pire des façons. Cependant à plusieurs reprises, ils recherchent l'amour et la compréhension de l'autre.

Les autres personnages apportent beaucoup de mystère dans le livre, ce qui le rend encore plus vrai. Les gens que l'on côtoie gardent des secrets, des mystères, on ne peut pas les connaître par coeur et c'est ainsi que Oscar et les visions de sa mère, Guillermo et son amour avec Bien-aimée, Brian et sa double vie, le père et ses pensées, les fantômes vivants se tissent et se lient à la vie de Noah et de Jude.

La fin est simple et juste. Les mensonges qui suppurent pendant deux ans, les non-dits qui grouillent dans le noir et que les personnages se refusent à regarder, sont tout simplement mis en lumière. La haine avait disparu avec le temps mais il fallait tout savoir, tout dire, tout accepter pour s'en rendre compte. On ne peut rien faire pour le passé, mais on laisser l'avenir panser nos blessures. Et je crois que cette fin c'est la libération, la respiration qu'il manquait. Tous les mensonges commençaient à être asphyxiant, comme s'ils nous maintenaient la tête sous l'eau et finalement la fin à permis de remonter à la surface et de tout simplement respirer de nouveau. Les personnages ne peuvent plus rien y faire, respirer vaut mieux que ce qu'ils avaient vécu jusque là. Voilà pourquoi ils acceptent, on n'y peut plus rien.
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Il y a un tat de chosr que je voudrais pouvoir dire de ce livre. Mais je vais faire court.
Ça faisait des mois que j'avais fini les 9 percée a nue et j'attendais le 10 et le bonus avec impatience d'ailleurs c'est simple je l'ai commencer hier tard le soir et je viens de le finir à l'instant.
Je n'avais jamais lu ce genre de livre aussi violent et j'avoue qu'après un petit choque j'ai été captivée part cette histoire et les personnages principaux. J'ai terminer les 9 séries en moin d'une semaine et après cette attende l'histoire finale pour moi à été fantastique! Je ne m'attendais pas à ça au début et ça m à fait mal de lire tout ce qu'elle subit encore alors qu'elle avait déjà tant souffert pour rien, mais sincèrement l'histoire était tout aussi captivante que les 9 autres volumes et la fin ma donner les larmes au yeux
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j'ai bien cru qu'il allait la débranchée et que l'histoire finirais sur sa mort.
Mais heureusement le chapitre perdu complète l'histoire et j'ai trouver ça magnifique. Je dit vraiment bravo à l'auteur car imaginer une telle histoire était vraiment oser mais finalement tellement réussie. Je suis déçue simplement part le faite de devoir maintenant les laisser derrière moi car je me suis beaucoup attachée à Lilly et Jeremy.

Je vous conseille de les lire vraiment soit on aime soit on aime pas mais perso je pense pas qu'on puisse détester.
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Bon bon bon. Troisième essai de mettre des mots sur ce roman. J'espère que celui-ci ne sera pas vain. Je ne pense pas faire un avis très long car on peut le dire, je ne sais pas de quoi parler. Ce livre m'a chamboulée. A la fin je ne savais plus quoi penser. Je sais juste que j'ai fini en pleurs sur mon canapé et que j'aurais pu le rester bien longtemps si j'avais été seule chez moi ce jour-là. Point.

Alors je sais, je suis une peste, mais je ne peux pas m'empêcher de spoiler les gens (nan mais pas trop, juste un touuut petit peu), et je vous le dis, j'adore tricher et lire la fin des livres au début, j'adore être spoilée. Mais j'avais lu tellement de choses sur la fin de Nous les Menteurs que j'ai fini par me dire que cette fois-ci je résisterai. Je me suis fais violence, mais j'ai réussi. Et heureusement. Je ne ferai même pas apparaître de spoiler dans ce commentaire pour être certaine que PERSONNE, même les gens pro-spoiler comme moi ne sache rien.

La couverture est assez simple, mais d'autant plus efficace, cet effet un peu flou qui évoque un rêve ou un souvenir, la mer qui mouille la caméra m'évoque la jeunesse, les personnages en mouvement rajoutent du dynamisme, et le soleil, c'est les vacances, on est tout à fait dans le thème des vacances en famille on va dire, même si ce n'est pas une famille tout à fait comme les autres.

Le début du livre tourne en rond. Cadence nous raconte un peu ses vacances sur l'île privée de sa famille avec ses cousins, et plus on tourne les pages, plus on sent que quelque chose cloche, que malgré ces dessus de belle famille raffinée, la richesse des Sinclair entraîne bien des tensions et chaque membre de la famille est prêt à tout pour hériter du maximum.

Rien de bien croustillant pour l'instant, quelques événements sans importance, mais rien de bien nourrissant. Et puis vient l'accident. Et là on s'imagine des taaas de trucs. D'abord on soupçonne Gat. Et puis les cousins en général. Puis les tantes et la famille en entier, et on finit totalement parano. Dès qu'une possibilité se présente, elle s'avère fausse. On commence à partir dans des scénarios totalement délirants, et on est certains qu'avec tout ce qu'on s'est imaginés, il y a bien au moins une solution qui est la bonne ! Et pourtant j'ai de l'imagination, mais l'auteur nous mène en bateau tout le long du livre, chaque proposition qu'elle apporte éloigne celle qui s'avère être le dénouement. Chaque détail nous dit "t'es malade, évidemment que c'est pas ce que tu t'imagines !" (j'ai conscience qu'il y a trop de suspense dans mon commentaire et que je fais baver les lecteurs de cet avis, mais ça vous obligera à lire ce bijou haha). Je vous le dis, à moins que vous soyez voyant ou que vous appreniez à contredire l'auteur, et cela sans cesse, jamais vous ne devinerez la fin, j'étais à des milliers de kilomètres de la conclusion, même si au début on effleure l'idée on se contredit vite nous-même.
Enfin bref, je l'ai assez dit et répété, le dénouement est juste WAOUH.

Niveau personnages, j'ai réussi à m'identifier rapidement à Cadence, grâce, principalement à l'amour qu'elle porte à ses cousins. Je me suis retrouvée en elle à travers eux, car j'ai moi aussi deux merveilleux cousins que j'aime autant qu'elle aime Johnny, Mirren ou Gat ♥

Ces derniers ne sont pas éclatants de personnalité, mais ils sont tout de même attachants. Les tantes sont des têtes à claques et laissent l'argent diviser leur très belle famille, c'est dommage. Idem pour le grand père, et la mère de Cadence. JE LA HAIS. L'auteur a bien fait de les manier de cette façon pour qu'on les rejette encore plus et que l'on s'attache davantage aux cousins.

Voilà, comme dit plus haut ce commentaire n'est pas aussi long ou détaillé que je l'aurais souhaité, mais je n'arrive pas à fixer des mots sur ce merveilleux roman, qui m'a chamboulée, retournée, traumatisée, je n'ai jamais lu l'objet d'un tel suspense, un suspense aussi intense et prenant.

A lire absolument, pour tous les lecteurs, de tous genres, c'est devenu un incontournable de ma bibliothèque.
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Enfin, j'ai pu lire l'objet de mon impatience pendant plusieurs mois !
Et je dois dire que globalement je ne suis pas déçue.

Alors, commençons par les personnages, parce qu'il faut dire qu'on en découvre !

Evidemment, il y a Eadlyn. Contrairement à de nombreux lecteurs, j'ai beaucoup d'affection pour elle. Je pense qu'il faut aller plus loin que "elle est égoïste et capricieuse". Oui, mais non. Ou plutôt oui, mais pas seulement, il faut creuser plus profond parce que Kiera Cass a opéré un changement chez ses personnages que certains n'ont pas forcément compris ou remarqué : Eadlyn est bien plus complexe que ses parents, qui étaient des personnages très attachants, que j'ai adorés, mais pas très originaux. Je félicite l'auteure d'avoir réussi à nous pondre des personnages un peu plus creusés.

Spoiler(cliquez pour révéler)
Eadlyn se montre parfois un peu prétentieuse, mais cela a été dit en long en large et en travers, elle a grandi alors qu'on lui répétait qu'elle était la personne la plus importante d'Illeà. Et on ne peut s'en prendre qu'à Maxon et America : ce sont des parents poules ! Et on ne peut pas dire que ce soit un cadeau : évidemment, Eadlyn se prend une claque quand elle constate que le peuple ne l'idolâtre pas autant que ce qu'elle pensait. Et puis accéder à tous ses caprices comme le fait Maxon, je ne suis pas convaincue de l'efficacité de sa méthode. Donc forcément, elle grandit dans un petit monde confortable et tout rose jusqu'à ce qu'elle soit projetée dans la sélection et confrontée directement au peuple, sans l'ombre de son petit papa pour la cacher.[/spoiler]

[spoiler]Les autres personnages : alors d'abord, incontournables, Maxon et America vieillis de 20 ans. Alors, j'aimerais faire un rapide point : par un très simple calcul, si mes souvenirs sont bons, Maxon a 19 ans lorsqu'il rencontre America, ou en tout cas moins de 20. Dans le second épilogue publié, lorsque America lui annonce qu'elle est enceinte, cela fait environ deux ans qu'ils sont mariés, donc logiquement ce serait à son anniversaire des 21 ans, peut être 22 vu qu'on ne sait pas à quelle date ils se sont mariés. Donc dans l'Héritière, Maxon aurait environ la quarantaine et des poussières. Alors il faut que Eadlyn arrête de répéter qu'il est vieux ! A l'entendre, Maxon est tout ridé, il a les cheveux tous blancs et j'en passe ! Ce n'est pas un grand père tout de même, stop ! Même si je peux comprendre que le stress ait accéléré les choses faut pas exagérer. Bref. Ce que je veux dire par là, c'est qu'on nous rabâche que le couple royal est vieux. Et ça déprime, parce qu'on les a connus jeunes et beaux. Eadlyn en apprend beaucoup au long du livre sur la sélection de sa mère, et elle en est bluffée parce que dans ce tome 4, il est impensable qu'America se soit battue lors de sa sélection ou d'autres anecdotes du genre, tellement elle se comporte en mémère.[/spoiler]

Les caractères initiaux de Maxon et d'America m'ont donc beaucoup manquée.

J'ai été ravie de voir comment Marlee, Carter, Aspen, Lucy, ou May ont évolué. Ils sont fidèles à eux-mêmes et c'est très plaisant de voir des personnages pas trop changés.

[spoiler]La nouvelle génération et la sélection. Alors Josie me tape sur le système, comme beaucoup de gens je crois, et oui, je le dis, rangez vos arbalètes, Kile ne me plaît pas particulièrement non plus. Il est dénudé de toute personnalité, très creux.

Henri, mais Henri mais je le déteste ! Qu'est ce qu'il est soûlant à la fin. Dès que je pense à lui je m'imagine un gros marshmallow béat, mixé à un Bisounours au sourire de simplet. Il est inintéressant au possible, et puis avouez que le langage est tout de même une barrière de taille. Erik ne m'a pas particulièrement captivée, on n'en parle pas assez, il n'a pas l'air d'avoir un caractère du tonnerre non plus, enfin vous aurez compris je n'ai aucune préférence niveau sélectionnés. Même si comme beaucoup je vois venir l'histoire avec Erik, mais je vous avoue que ça ne me ravit pas particulièrement.

Les frères d'Eadlyn sont très mignons et attachants, mais ce qu'a fait Ahren était tout de même odieux. Je pense qu'avant de partir en France avec Camille il aurait dû attendre la fin de la Sélection, surtout vu l'état de sa soeur ... Camille allait pas s'envoler, il pouvait attendre trois mois non ? Surtout lui envoyer une lettre qui lui dit en gros "le peuple te déteste, allez débrouille toi moi je vais me la couler douce avec Camille", c'était très limite. Il n'a pas tort mais ça lui coûtait trop de salive de lui dire en face, de l'épauler dans sa réaction plutôt que de la laisser pleurer seule après lecture ? Il m'a beaucoup déçue.

Et quand j'ai appris que c'était en partie ce qui avait causé l'infarctus d'America j'aurais volontier pris sa tête pour la lui aplatir contre un mur en lui hurlant NAN MAIS TU VOIS PAS QUE C'EST PAS LA GRANDE FORME DANS TA FAMILLE LA T'AS QUOI DANS LE CERVEAU ? Finalement tout le monde rabâche que Eadlyn est égoïste, mais s'il y a bien un personnage capricieux et égoïste c'est Ahren. Il pense à sa petite personne et à sa petite Camille avant d'épauler sa famille, sans même y penser, dans ce moment difficile, c'est le cas de le dire, pour sa soeur, mais aussi pour ses parents qui n'arrivent plus à maîtriser le peuple et à diriger le pays.

C'était mon moment haine du bouquin. Mais après lecture c'est Kiera Cass que j'ai détestée. Nous laisser comme ça, dans cet état, c'est du pur sadisme. J'ai pleuré quand Maxon s'est mis à pleurer, quand Eadlyn a brisé sa carapace, parce que finalement ce qu'elle montre n'est qu'un masque pour ne pas faillir devant les caméras, car c'est une personne sensible, en tout cas plus qu'il n'y paraît. Je ne pourrai jamais attendre le tome 5. Mais je tiens à dire que si America meurt, j'écris à Kiera Cass. Ah si si si. Je ne pourrai pas supporter ça. JE SERAI EN DEUIL.


Bref,
Les plus : une Eadlyn plus complexe, des personnages que l'on retrouve avec plaisir et un nouveau point de vue très intéressant.

Les moins : Une nouvelle génération insupportable, un couple royal qui a perdu sa flamme et sa fougue, et un frère qu'on a envie de frapper.
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date : 24-05-2015 par Lily01 voir tout les commentaires de Lily01ses comms
Je voudrais déjà remercier Booknode et les éditions Gallimard pour cette lecture. Je dois vous avouer que j’ai essentiellement pris ce livre pour cette phrase « je suis l’arme parfaite ». Et là j’avoue que cette phrase vend beaucoup de rêves sans les combler. Je ne dirais pas que j’ai été déçue de ma lecture ou peut-être que si. Pour le moment, je suis assez fâchée sur le fait que cette phrase n’est pas vraie !!! Le début du roman est assez long à démarrer, il faudra bien attendre 50% du livre pour avoir enfin un peu de mouvement. Et en même temps, je ne peux pas reprocher à ce livre de prendre son temps, nous savons qu’il y a trois tomes, donc forcément le premier va poser de bonne base pour la suite. Puis l’auteur prend son temps pour nous immerger dans son monde, même si je le trouve encore un peu incomplet. Mais je pense que l’auteur ne nous a pas tous dit et que la suite apportera d’autres informations, ce que j’espère. Nous entrons dans le monde de Twylla, qui est la représente de deux dieux. Si on la touche, on meurt, comme quoi les dieux sont parfois un peu comiques dans leur genre. Et j’avoue que ce côté un peu sombre est vraiment intéressant pendant une grande partie du livre, j’ai eu l’impression d’avoir un bon sujet bien travaillé. Puis il y a un élément perturbateur. Et là j’avoue que l’histoire commence réellement. Nous avons de vraies actions, de l’amour, de la trahison, des complots, mais aussi et surtout la découverte de beaucoup de choses. Et je me suis aperçue qu’il y avait vraiment de la supercherie sur une chose, j’aurais souhaité que ce soit vrai jusqu’au bout mais non, de ce fait, j’avoue que j’ai été un peu déçue. Et, pourtant, je n’ai pas perdu mon attrait pour ce livre. On enchaîne vraiment bien les événements, même si par moments, j’avais l’impression que l’auteur en fessait trop. Mais tous ses secrets, ses révélations et cet amour interdit pimentent vraiment bien ce livre. Mais ce livre est aussi bourré de légende et de croyance, vraiment intéressante. Par contre, j’ai trouvé la fin juste bien trop simple et bien trop banale et cela malgré le fait que nous avons de jolis revirements de situation. Nous avons un élément qui prédit une suite avec de l’action, je reste assez de marbre. Mais après réflexion, je m’aperçois que je me suis attaché à Twylla, cette fille maudite par bien des raisons et malmenée dans sa vie, qui a toujours été dans une cage sur ses dernières années. Elle m’a assez touché pour que je souhaite en savoir plus. Puis ce monde créé qui mêle ancienne croyance et un peu d’alchimie m’intrigue beaucoup, donc, je pense lire la suite.

En conclusion, je ne dirais pas que c’est une super lecture. Il a de bons éléments, mais pas forcément assez exploiter. De plus le côté « Je suis l’arme parfaite » est plus que décevant, ou alors il ne fallait pas mettre cela en phrase d’accroche. Mais comme je le disais plus haut, il y a de bons éléments qui font que c’est très intrigant et que les pages défilent assez rapidement. De plus l’auteur ne se perd pas dans des descriptions à rallonges donc la lecture est très agréable. Une fin qui arrive bien vite et que je trouve un peu fade, mais le monde créé et les personnages font que je lirai sûrement la suite en espérant avoir un peu plus de tout.
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Une bonne histoire, mais un truc m'a posé problème: soit il ne se passe rien, soit les événements se multiplient! Ca m'a perturbée.
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La première fois que j'ai lu ce 2ème tome, je passais en diagonale plein de passages, notamment ceux de Jondalar et son frère, tellement j'étais pressée d'arriver à ce que l'on pressent tous sans être devins : la rencontre des deux protagonistes. Impossible de lâcher le bouquin, même aux heures les plus avancées de la nuit... Quelle fougue dans l'écriture, quelle précision dans les descriptions de la vie quotidienne en ces temps-là !!!

A lire au coin du feu sur une peau de bête...
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J'avoue avoir lu très rapidement les passages où Jondalar est avec son frère. C'est la vie solitaire d'Ayla qui me passionnait. Et j'adore Whinney et Bébé ! Son quotidien est délicieux et il devient d'autant plus attrayant avec l'arrivée de Jondalar. Même si celui-ci m'agace grandement par moment, j'adore l'innocence et la bienvaillance d'Ayla. Et puis, la fin ... Qui ne peut que pousser à lire le troisième tome !
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Je vais finir par me faire haïr de la communauté Booknode à force de descendre tous les best-sellers du moment mais Nous les menteurs fait parti des livres les plus horripilant qu'il m'ait été donné de lire. J'avais vraiment hâte de le finir pour venir le critiquer sur Booknode.

Au niveau du scénario, ça va être très simple : il ne se passe rien. On peut très bien lire les premiers chapitres et passer directement à la dernière partie sans avoir problème au niveau de la compréhension.

Le style d'écriture que j'ai trouvé au départ plutôt interessant, a finit par être déroutant et lourd à mes yeux. L'auteure emploie les métaphores de manière tellement excessive qu'on finit par se perdre et ne plus savoir si ce qui se passe est réel ou métaphorique. Tout ces effets de styles font également que tout me semble froid et impersonnel, alors que le récit est écrit à la première personne.

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la scène où elle se fait mal et saigne abondamment est décrit de manière tellement poétique et détaché que je ne pensais pas que c'était réel, qu'il s'agissait encore d'un énième poème sur ses souffrance... Je ne me suis rendu compte qu'elle était vraiment blessée qu'au moment où elle parle de bandage ... [/spoiler]

Certains ont aimé ce style mais je n'adhère vraiment pas. Ça rend le récit vraiment monotone. Surtout que n'ayant pas eu la chance de le lire en français, j'ai eu le bonheur de me farcir tout ce blabla dans la langue de Shakespeare.

Passons maintenant aux personnages. Je les ai trouvé fades et horripilants.
Gat est horrible et l'héroïne est idiote, qui en plus a tendance à tout dramatisee, ne sait jamais ce qu'elle veut. Il fait une bourde, elle le déteste. Il demande pardon et la seconde d'après tout va pour le mieux, l'héroïne l'a pardonné et l'aime a nouveau.
Et on a droit à cela pendant tout le récit.

[spoiler]"Gat m'aime, je l'aime. Nous nous aimons. Mais il ne donne plus de nouvelle. Oh, ça veut dire qu'il ne m'aime pas. Je le savais, il aime Raquel. Mais pourtant nous nous sommes embrassés. Ca veut dire qu'il m'aime non ? Oh et puis je ne l'aime pas tant que ça. Ah mais en fait si je l'aime. Gat, Gat, Gat... "


J'aurais aimé terminé sur une note positif mais malheureusement je n'ai absolument rien aimé de ce livre. Personnages détestables, scénario quasi inexistante.. . Une perte de temps pour moi. Heureusement qu'il est court.
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J'attendais beaucoup de cette lecture au vu des commentaires d'autres internautes mais j'ai été déçue par celle-ci. Elle ne m'a pas plu. Pourtant le scénario est intéressant mais je n'ai pas aimé comment c'était écrit. J'arrive pas à rentrer dedans, à ressentir des émotions. Plus d'une fois, j'ai voulu arrêter la lecture de ce livre par ennuie, agacement mais malheureusement pour moi quand je commence un livre où il y a une intrigue, je ne pourrais pas le refermer tant que je ne connaîtrais le dénouement de l'histoire.
La seule partie du livre qui a éveillé mon intérêt c'est les 50 dernières environ. L'écriture était différente et j'ai perçu quelques brides d'émotions.
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Outre le fait que le titre est très accrocheur (personne ne voudrait que son fils ou sa fille ne le soit « menteur ») et que les extrêmes attirent toujours, on prend cet ouvrage posé nonchalamment et distraitement sur un coin de table, après en avoir lu l’introduction cinq minutes auparavant, et on commence à parcourir les chapitres, tout en s’étonnant à la fois de la description de l’île et de l’arbre généalogique décrits avec minutie en début d’ouvrage
Et bien, on en prend pour son grade, quels que soient son âge et sa condition sociale
Effectivement on ne ressort pas indemne de cette lecture ; on est tour à tour étonné, bouleversé, renversé et même inquiété; se trouvant face à des vies insoupçonnées de richesse et de détresse (ici, on ne parle pas d’être ou de ne pas être, mais plutôt d’être ou de paraître)
Au fil des pages, on retrouve certains aspects de soi-même ; on progresse dans la narration de ces existence de façon désordonnée, mais en se sentant totalement impliqué ; des vérités pour les uns, des contre-sens pour les autres, des métaphores en légion, du réel et de l’imaginaire, des notions basiques de vie, des résiliences pour exister ou se sentir tout simplement vivant, voire survivant
Tout cela se côtoie incessamment, nous interpelle fortement ; on est loin d’une lecture mièvre, car les non-dits, les dénis, les silences, les fardeaux d’un monde sociétal stéréotypé, composent l’histoire d’une petite fille riche dans sa vie ordinaire qui ne l’est plus tout à fait, et on va au delà des apparences dans ce scénario étonnant de rebondissements ; et l’épilogue est des plus saisissants
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Nous les menteurs c'est le genre de lecture qui ne s'oublie pas une fois lu. C'est le genre de lecture qui te laisse vraiment perplexe quand tu tournes la dernière page. Le genre de lecture suffisamment forte pour qu'en la finissant tu te poses des millions de questions sur ce que tu viens de découvrir. Nous les menteurs c'est le genre d'histoire où tu te demandes si tu as adoré ta lecture ou tout le contraire...

Commençons par le début. Notre héroïne, Cadence, nous parle de tous ses étés qu'elle a passé avec sa famille et notamment sur leur île privée. En revanche, comme nous, elle est dans le flou concernant l'été de ses quinze ans. Que s'est-il passé ? Pourquoi ne s'en souvient-elle pas ? Pourquoi tout semble différent ? Ou encore pourquoi a t-elle des migraines tellement fortes qu'elle ne se remet pas de ce qu'il s'est passé cette nuit là.

Quand on commence la lecture, on découvre donc Cadence qui retourne enfin sur l'île auprès de ses cousins et de son ami Gat. Deux ans qu'ils ne se sont pas vus. Deux ans sans nouvelles. Pourtant, rien ne va se dérouler comme on s'y attend.

Je ne peux pas vraiment en dire plus sur les évènements qui vont avoir lieu, car ça gâcherait toute votre lecture. Ce roman choc énormément. On ne s'attend pas du tout à tout ce qui va être découvert et la découverte de ce qu'il s'est passé deux ans auparavant va nous faire comprendre ce que vis vraiment Cadence.

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Pas une seule seconde, je ne me suis doutée qu'en réalité, Gat, Johnny ou Mirren avaient en fait brûlés dans ce terrible incendie qu'ils avaient provoqués. Pas une seule seconde je ne me suis dit qu'ils n'étaient pas vraiment là, avec elle, dans ce présent. C'est quand on apprend la vérité, à la fin du roman, que je me suis dit : oui, les éléments dissimilés tout au long de ma lecture pouvait me mettre sur la piste... notamment le fait qu'ils ne mangent jamais ensembles, mais qu'elle mange avec les petits etc.
Je dois l'avouer c'était donc une totale surprise quand on découvre enfin la vérité. Et pour ça, je dois dire CHAPEAU à l'auteur ! Etre capable d'écrire une histoire pareille, dissimulé toutes sortes d'infos tout en nous laissant dans le flou c'est quelque chose !

Je ressors donc pleinement satisfaite de ma lecture. Bien sur, je ne peux pas vraiment dire que j'ai adoré ce livre car quand vous aussi vous l'aurez lu, vous comprendrez que cette histoire, ce roman est vraiment unique et a des kilomètres de tout ce qu'on peut lire habituellement. Bref, lancez-vous, vous serez surpris !
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date : 09-05-2015 par x-Key voir tout les commentaires de x-Keyses comms
C'est dans le hall d'une gare que je suis tombée avec amusement sur une des affiches annonçant la sortie de La Fille du train de Paula Hawkins. J'avais repéré le roman quelques mois auparavant mais il m'était complètement sortie de la tête. Le livre sortant le jour-même, il ne me restait plus qu'à me le procurer, à prendre place dans mon train et à embarquer au cœur de cet excellent thriller.

Rachel est une jeune femme solitaire. Son couple, fragilisé après que leurs tentatives de faire un enfant aient échoué, n'a pas supporté l'alcoolisme dans lequel elle avait fini par tomber. Aujourd'hui seule, sans emploi, hantée par le souvenir de Tom, son ex-mari qui a depuis refait sa vie, Rachel puise sa force dans les bouteilles d'alcool et les histoires qu'elles inventent sur le couple qu'elle aperçoit à travers la vitre du train qu'elle prend chaque matin et soir. Elle les appelle Jess et Jason et, tous les jours, elle tisse dans son imagination des pages de leur vie. Mais un matin, le visage de Jess s'affiche partout dans les médias. La jeune femme s'appelle en réalité Megan et elle vient juste de disparaître...

Il y a des livres, comme ça, qui nous assurent au bout de seulement quelques pages que l'on va passer un excellent moment. La Fille du train est de ceux-là. Histoire à trois voix, on se retrouve embarqué dans les vies de Rachel la fille du train, Megan la victime et Anna la nouvelle épouse de Tom. Trois personnes qui n'auraient s'en doute jamais pensé avoir affaire l'une à l'autre et qui se retrouvent rassemblées autour autour d'un même quartier, théâtre de leurs trois histoires. Trois voix de femmes, trois narratrices dont les récits s'alternent et dont on apprend peu à peu les vies respectives, dont on découvre les personnalités... et les secrets également. Les récits sont aussi découpés selon les soirs et les matins, au rythme du trajet de train quotidien de Rachel, un petit détail qui m'a beaucoup plu et structure le roman d'une façon plutôt originale.

Qui n'a jamais, en prenant le train ou même le bus, tenté d'imaginer les vies des gens qui nous entourent, des autres passagers ou de ceux que l'on voit derrière la vitre ? Ce sont de parfaits inconnus et pourtant, on capte inconsciemment ces petits détails qui nous donnent des indices sur leur vie, sur ce qu'ils sont. La musique que l'on entend à travers des écouteurs, une façon de s'habiller, deux personnes qui se tiennent discrètement la main, un livre en train d'être lu. Il est réellement facile d'imaginer des mondes et les vies qui vont avec. Et, malgré les faiblesses que portent Rachel, il est simple, dans ces moments là, de comprendre sa démarche et ce qu'il lui passe par la tête.

C'est d'ailleurs peut-être pour cette raison qu'il est si facile de prendre la jeune femme en sympathie. Bien qu'on se retrouve un peu désarçonné face à cette protagoniste instable à laquelle on ignore si on peut se fier à cause de son alcoolisme, des nombreux trous noirs qui l'accompagne et de sa fragilité psychologique, Rachel touche par son parcours chaotiques et les épreuves qu'elle a du traverser. Au fond du gouffre, on comprend les raisons qui l'ont amené à de telles extrémités. Inévitablement, la pitié vient se rajouter à l'empathie qu'elle dégage.

Tout au long du roman, les hypothèses vont bon train, tout le monde revêt à un moment ou l'autre la casquette du coupable et entre mensonges et trahisons, il parfois compliqué d'y voir clair et de trancher sur qui sont les gentils et qui sont les méchants. Du coup, lorsque l'intrigue finit par se résoudre, on est assez loin d'avoir compris le fin mot de l'histoire avant qu'il ne nous soit annoncé. Et j'avoue que pour une fois, le dénouement me satisfait pleinement !

La Fille du train est un très bon thriller contemporain qui, abordant l'infidélité et l'alcoolisme, traite de sujets actuels. Avec son intrigue bien ficelée et parfois très forte psychologiquement, le lecteur se retrouve piégé dans ces histoires entremêlées qui cachent bien des choses à découvrir. Un premier roman qui ne manque certainement pas d'intérêt, comme l'obtention des droits adaptation sur grand écran par Spielberg tend à le confirmer.

http://desmotsenvrac.blogspot.fr/2015/05/la-fille-du-train-de-paula-hawkins.html
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un témoignage sans concessions : drogue, violence, prostitution... une écriture aussi ! les mots de la mère et de la fille s'entrelace pour effectuer aussi un portrait de la société qui ne peut que révolter le lecteur, le toucher.
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Vraiment... déçue. Je ne comprends même pas pourquoi je l'ai lu en entier. Surtout que je savais pertinemment comment ça allait se finir au bout des quarante premières pages (et encore, on pouvait deviner bien avant...).
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Non, ne meurs pas, Guuuuuus ! xD
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décue... Avec tous les commentaires ici plus les médias je m'attendais pas à ça...
C'est un bon livre c'est sûr mais pas vraiment à mon gout
Cependant je le conseille!
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Je l'ai lu il y a deux ou trois jours. Je ne sais pas trop ce que j'attendais. Je pensais qu'il me toucherait, me ferait verser des larmes, que je ressentirais de la compassion, de la colère, de la peine, ou quelque chose de ce registre. Et bien, voici le bilan : Nada. Au vu des commentaires, j'ai bien vu que ce livre en avait bouleversé plus d'un. Je ne sais pas pourquoi ça n'a pas marché avec moi. Vraiment, je ne sais pas. Le seul passage qui a suscité mon intérêt c'est l'accident, et encore, c'est à la fin...
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Je ne me rappelle pas avoir adoré ce livre. Je l'ai lu il y a quelques années et j'avoue ne pas avoir été transportée par l'histoire. Le deuil est bien présenté mais il manquait quelque chose pour moi...
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Il manquait quelque chose à l'écriture et à l'histoire. Car je n'ai pas tout à fait accroché.
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Waouh waouh waouh.

Commençons par le commencement.
Alors, la première chose que l'on voit du live déjà. La couverture. Bon, je vais pas m'étaler sur le sujet, elle est tout à fait passable hein, et en prime on a les pages rouges, c'est très original et surprenant.

Ensuite, quand on l'ouvre, ce qui surprend tout d'abord, c'est l'écriture à la deuxième personne. Ça ne m'a pas du tout gênée, au contraire, cela changeait un peu des si répandus "je" ou "il/elle". De plus, vu que notre héroïne se fait traquer et a perdu la mémoire, cela nous donne l'impression que sans ses souvenirs et sans son identité, elle ne s'appartient plus. Elle se regarde de l'extérieur parce que sans mémoire, sans aucune information sur qui elle est, elle n'est personne justement.

Alors, le fait qu'elle soit traquée et que des gens essaient et la tuer c'est juste mauvais pour le cœur. On stresse, il y a des retournements de situation à chaque page, on enchaine les secrets, les questions, les réponses et les trahisons.

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Ben je ne le sentais pas. Un peu trop parfait, gentil, des gars qui vous protègent à tout prix alors que vous menacez de vous faite tirer dessus à chaque minute c'est mignon mais faut pas avoir froid aux yeux hein, surtout que ça fait une semaine qu'il la connaît, sa vie devait être vachement nulle pour qu'il la risque pour une inconnue. Donc désolée mais normalement des garçons avec un tel niveau de gentillesse ne courent pas les rues. Et Ben ne fait pas partie de ces gens là. Quand j'ai appris qu'il travaillait pour l'entreprise qui veut la peau de... Je ne sais pas trop comment l'appeler du coup, on va dire Sunny, son faux nom, j'ai posé le livre j'ai dit "nooon, pas lui, sur qui elle va se rabattre, elle n'a plus personne maintenant !" Mais Sunny trouve toujours le moyen de se sortir de là.[/spoiler][spoiler][/spoiler]

[spoiler]Ensuite quand on nous révèle que cette traque est en fait une chasse j'ai voulu sauter au plafond. C'est original, haletant, et des fois je me suis dit qu'elle n'allait pas s'en sortir, elle était très très profond dans les ennuis quand même. Et puis tous les nœuds qui se forment avec Ivan, qui la traque mais lui sauve la vie, et qui finalement se fait tuer, waouh, que de secrets ![/spoiler]

Passons aux réminiscences de Sunny, parce qu'elle en a. On cherche avec elle, où est cette île, qui est ce garçon qu'elle voit en rêve et qui la sauve et la protège dans ses souvenirs ? Qui est ce petit garçon qui semble être son petit frère ? Qui est l'homme que l'on enterrait dans son premier souvenir ? On essaye de réfléchir avec elle, trop de questions, on émet des hypothèses, qui s'avèrent être fausses, plausibles, enfin bref, on est avec elle dans son questionnement, on le partage. On la suit dans sa quête d'identité.

[spoiler]Hilary et Henri Goss. Oh mon dieu. Mais comment est ce possible ? Quelqu'un peut il m'expliquer comment il se fait que le gars survive avec un couteau dans l'abdomen ? L'auteure nous dit qu'il continue de la suivre, et elle nous dit même qu'il avait maintenant des lunettes se soleil et un chapeau je crois, je ne suis plus sûre mais qu'en gros il avait eu le temps de mettre des accessoires pour faire en sorte qu'on ne le reconnaisse pas. Alors il se fait poignarder l'abdomen, tombe dans les escaliers et se cogne la tête, mais il est encore capable de piquer un petit sprint et à le temps de se déguiser tant qu'à faire ? Donc voilà, quelques incohérences mais pas grand chose.[/spoiler]

[spoiler]Sinon pour revenir aux époux Goss, il faut savoir que ce sont des personnages qui font partie de mon top 10 je pense des personnages les plus dégoûtants, horribles, malsains, psychopathes (surtout psychopathes) complètement tarés, enfin bref vous avez compris, de toute ma bibliothèque. S'ils terminent au point de chasser l'humain dans une des plus grandes villes des États Unis je pense qu'ils peuvent officiellement se faire du souci pour leur couple, leurs passe temps deviennent quelque peu douteux.


Bref passage sur Izzy, ce n'est pas un personnage que j'ai beaucoup apprécié, trop superficiel, dénué de profondeur, enfin pas un coup de cœur.

Sunny a ma préférence, elle n'a pas froid aux yeux, c'est une fille courageuse, attachante, humaine, elle doute très souvent mais ne perd pas espoir enfin bref, je l'ai pas mal appréciée.

Blackbird est donc un gros coup de cœur, j'ai d'ailleurs très mal au cœur tellement il s'est emballé avec tous les coups de stress, ce livre est additif et terriblement haletant.
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