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Petit-fils de Providdenza, l'institutrice, qui lui a appris à lire et à écrire à quatre ans, fils de Zina et de Francesco, le « Paladin », le boxeur le plus célèbre de l'Italie du Sud qui s'est tué à moto, Davidù grandit au son des tirs de revolver, des sirènes de police et de l'explosion des bombes de la Mafia. Il apprend la vie dans les rues avec ses amis Pullara, Danilo, Gerruso et Nina, la fille qui promet d'être si belle et devant laquelle son coeur et son corps tremblent déjà d'amour... Davidù est monté sur son premier ring à l'âge de neuf ans : son oncle Umbertino le voit déjà succéder et même dépasser le « Paladin ». Pour l'adolescent, la boxe va devenir une raison de vivre... Une saga de violence et de passion. La critique et le public ont plébiscité ce livre ambitieux déjà traduit en dix-huit langues.
L'histoire se déroule à Palerme, cœur chaud de la Sicile.
Depuis les années de fin de guerre, jusqu'aux années 1990, nous suivons le destin d'une famille à travers 3 générations.
3 générations d'hommes passionnés par la boxe, les filles et la vie.
Le destin de ces hommes s'enchevêtre tout au long de ce récit, ils se transmettent paroles et expériences.
La ville de Palerme et son ambiance mafieuse se déploie devant nos yeux .
Voici une histoire de gosses, une histoire d'hommes.. une page de vie.
J'ai été captivée pa ce roman et ce malgré la narration parfois complexe. En effet, l'auteur ne raconte non seulement pas les faits de manière chronologique, mais prend un malin plaisir à mélanger personnages et époques .
PAS DE PANIQUE, une fois ce style d'écriture assimilé ( engendrant un début de lecture un peu rébarbatif), le plaisir de se plonger dans l'histoire prend le dessus.
Voici donc un premier roman totalement maitrisé ( depuis, l'auteur en a écrit un autre ).
Comme j'ai très envie de voyager en cette période de vacances mais que je n'en ai ni le temps ni les moyens, c'est par les livres que je m'évade depuis le début du mois d'août, en ne lisant que des romans étrangers.
Après avoir "visité" le Japon et le Nigeria, j'ai posé mes valises dans un pays où je suis réellement allée et que j'ai adoré; l'ITALIE. J'espérais que "Sur cette terre comme au ciel" dont le titre et la couverture m'avaient attirée, saurait restituer l'ambiance, les senteurs et la chaleur de cette belle nation. Au final, je suis un peu déçue du voyage...
Le gros reproche que je fais à ce roman c'est qu'il n'a aucun fil conducteur. Tout s'enchaîne et se mélange, les époques se confondent sans qu'il y ait d'indication. Un paragraphe peut très bien être consacré à Davidù et le suivant à son oncle pour revenir ensuite sur Davidù à une autre période et tout cela sans transition. Du coup j'étais complètement perdue ! En outre, il y a énormément de personnages qui se rencontrent entre les amis du narrateur, ceux de son oncle, ceux de son grand père...c'était vraiment trop fouillis. Il m'a fallu un certain temps pour assimiler qui était qui.
J'ai eu aussi un peu de mal avec la vulgarité parfois gratuite du roman. Ah ça y a pas à dire, maintenant je sais dire "pute" en Italien...on dirait que les hommes ne pensent qu'avec leur bringuette et ne parlent qu'avec elle...Certains passages sont vraiment inutiles...
À contrario, il y a d'autres très jolis moments distillés au milieu de ce méli mélo, quelques perles tant dans les situations que dans les dialogues, qui ont fait que j'ai classé ce livre en "lu aussi" et non dans "pas apprécié". Je pense notamment à la scène de la baignade avec Davidù, Nina, Gerruso et la Blonde, des répliques très belles de Gerruso où l'amitié entre Rosario, D'Arpa et Nicola. Bref, tout n'est pas à jeter.
Et puis quand même, ce roman, comme je l'espérais, sent l'Italie à travers le dialecte, les plats évoqués, les descriptions de Palerme etc. Je ne regrette donc pas mon "sejour" malgré tout :)
Résumé
Petit-fils de Providdenza, l'institutrice, qui lui a appris à lire et à écrire à quatre ans, fils de Zina et de Francesco, le « Paladin », le boxeur le plus célèbre de l'Italie du Sud qui s'est tué à moto, Davidù grandit au son des tirs de revolver, des sirènes de police et de l'explosion des bombes de la Mafia. Il apprend la vie dans les rues avec ses amis Pullara, Danilo, Gerruso et Nina, la fille qui promet d'être si belle et devant laquelle son coeur et son corps tremblent déjà d'amour... Davidù est monté sur son premier ring à l'âge de neuf ans : son oncle Umbertino le voit déjà succéder et même dépasser le « Paladin ». Pour l'adolescent, la boxe va devenir une raison de vivre... Une saga de violence et de passion. La critique et le public ont plébiscité ce livre ambitieux déjà traduit en dix-huit langues.
source : le grand livre du mois
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