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Pourquoi Dieu a-t-il permis que Jeff naisse avec cette cicatrice congénitale qui le défigure ? Le garçon peut-il être avec lui afin d'obtenir qu'elle disparaisse et que tout devienne enfin normal dans sa vie ? Comment se faire accepter lorsqu'on arrive dans une nouvelle école, qu'on est différent des autres et qu'en plus, on est accusé de vol ? La cicatrice relate le parcours initiatique d'un jeune américain moyen confronté aux pièges de l'exclusion et du mensonge.
C'est en fait l'histoire d'un enfant américain qui a 13 ans en 1944 et qui a une "cicatrice", un bec de lièvre. Tout va très bien jusqu'à ce qu'il change d'école et que personne ne veuille lui parler, sinon un garçon surnommé Willy. Là, les ennuis commencent...
Un livre qui m'a beaucoup touché (surtout la fin Spoiler(cliquez pour révéler)la mort du petit frère est terrible), il est triste c'est sûr, mais il nous fait surtout réfléchir à nos actes, c'est un roman très psychologique. Le Spoiler(cliquez pour révéler)vol de timbres a été critiqué dans les commentaires, je tiens juste à dire qu'il n'est en aucun cas illogique. Ce n'est pas un livre qui explique le sens de la vie en détail, mais un livre qui pousse à RÉFLÉCHIR. On peut donner plusieurs raisons pour lesquelles le héros a fait ça, mais trouver ça illogique n'a pas de sens, à moins que vous n'ayez pas compris le but du livre.
J' ai bien aimer ce livre, l'auteur a réussi à nous faire voir la tristesse de Jeff que ce soit à cause de la perte de son ami ou encore des moqueries des autres ...
Ce livre nous montre aussi qu'il faut arrêter de critiquer les autres parce qu'au fond personne est parfait et ce que Jeff subit chaque à cause de sa cicatrice aucun de ces camarades a pitié (appart un) :(
Alors il faut arrêter de critiquer,de se moquer !!!!!
Jeff est un enfant sage, obéissant et aimant qui vit avec ses parents et son petit frère Bubby qui l’adore. Le seul problème de Jeff est un bec de lièvre qui lui vaut les sarcasmes et la méfiance de ses copains de classe ce qui le rend bien malheureux. Il réussit cependant à se faire un ami, Willy, collectionneur de timbres comme lui.
Mais Willy a aussi pour ami Ronald, enfant d’une famille bourgeoise aisée qui méprise les autres et en particulier, Jeff.
Un jour, que Jeff est invité avec Ronald chez Willy, il vole quelques timbres de Willy dont certains très beaux. Willy s’aperçoit du vol aussitôt et s’il fouille, Ronald il ne le fait pas pour Jeff qui lui fait un chantage à l’amitié.
De cet incident va découler une succession d’événements dramatiques…
Découverte de cet auteur, qui m'étonne parce qu'il écrit en français avant de faire traduire dans sa langue maternelle. L'histoire est difficile, j'ai plaint Jeff et en même temps je n'ai pas compris son geste.
Le petit frère m'a beaucoup plus touchée, avec tout cet amour qu'il porte en lui et qu'il projette pour les autres.
La fin m'a broyé le coeur, je pense que ce livre aurait complètement sa place dans les programmes scolaires des collégiens.
Le livre se lit bien, il m'a rappelé mes époques en primaire. Je n'ai pas beaucoup ressenti la période annoncée 1945, je me suis plus facilement projetée dans les années 90. Je m'attendais avant tout à un roman axé sur du harcèlement scolaire un peu différent. Là, s'il est vrai que la cicatrice n'aide pas Jess à s'intégrer au départ, finalement, via la bonté d'un autre élève, il parvient à se faire une place. Une place qu'il perd par ses propres erreurs et par son incapacité à revenir en arrière. C'est un jeune garçon rempli de craintes qui se trouve des excuses et a du mal à interagir socialement.
Si le récit est captivant, sa toute fin est un peu décevante. On s'y prépare car la fin a été indiquée au départ du roman. Néanmoins, on s'attend à en savoir plus sur d'autres éléments. Au final, je suis restée sur ma faim et déçue de ce dénouement tragique.
Un livre que j'ai lu à mon adolescence et j'en garde un bon souvenir, car au fond de nous, on a tous été humilié, plus ou moins, c'est une force de caractère que de résister aux insultes. Ce livre nous montre qu'il ne faut pas rester dans son coin mais lutter. C'est l'effet que j'ai eu après sa lecture, il y a 40 ans. Si ce livre peut aider un seul enfant,
alors, on peut dire : Merci Bruce..
J'ai lu La cicatrice entre 11 ou 12 ans, au collège où le harcèlement sévissait, pour un oui ou un non, comme ailleurs, parce que les enfants sont parfois cruels.
Ce roman m'avait bouleversée par sa sincérité, la psychologie du héros et de son entourage, ceux qui souffrent de le sentir / voir souffrir.
Je mets systématiquement ce roman sur mes étagères "conseils de lecture" au CDI, malgré les nombreux livres parus de nos jours sur le thème de la différence (ex : Wonder), car il est des messages intemporels.
En fouillant sur un site de vente de livres, je cherchais le prochain chef-d'oeuvre à découvrir et je suis tombé sur ce roman.
Mes années jeunesse me sont réapparues au fond de mon esprit, et ce livre que j'avais dévoré.
Je lis souvent (dans les magazines) qu'il ne reste rien de nos lectures, même mon conjoint me dit parfois « pourquoi tu lis au temps, tu ne dois pas te rappeler de tout, ça ne sert à rien ! ».
Et pourtant tous mes revenus après tant d'années (les années 80) comme un flash, même la fin et ce soupçon d'optimisme.
Je garde donc l'espoir que dans 40 ans certains livres exploseront mes neurones de leurs délicats souvenirs.
Une bonne histoire à laquelle je ne m'attendais pas! Ce livre pousse à réfléchir sur nos paroles et les conséquences qu'elles peuvent avoir, surtout quand on est jeune
Résumé
Pourquoi Dieu a-t-il permis que Jeff naisse avec cette cicatrice congénitale qui le défigure ? Le garçon peut-il être avec lui afin d'obtenir qu'elle disparaisse et que tout devienne enfin normal dans sa vie ? Comment se faire accepter lorsqu'on arrive dans une nouvelle école, qu'on est différent des autres et qu'en plus, on est accusé de vol ? La cicatrice relate le parcours initiatique d'un jeune américain moyen confronté aux pièges de l'exclusion et du mensonge.
C'est en fait l'histoire d'un enfant américain qui a 13 ans en 1944 et qui a une "cicatrice", un bec de lièvre. Tout va très bien jusqu'à ce qu'il change d'école et que personne ne veuille lui parler, sinon un garçon surnommé Willy. Là, les ennuis commencent...
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