Commentaires de livres faits par helenehmn
Extraits de livres par helenehmn
Commentaires de livres appréciés par helenehmn
Extraits de livres appréciés par helenehmn
– C’est à peu près ça… Si tu préfères, deux réalités différentes du même monde.
– Et combien crois-tu qu’il en existe ? Il y aurait combien de jetées de Melbourne et de réverbères ?
– D’après ce que je sais moi, il pourrait y avoir un nombre infini de dimensions. Mais on est dans le domaine des hypothèses.
– On est dans le domaine de tes hypothèses, Marco. Cette histoire est absurde. Je pensais être devenu fou, mais maintenant j’ai l’impression que c’est toi qui es fou.
– Plus fou ou moins fou que toi, qui parcours le monde à la recherche de filles imaginaires ?
– Non.
– Je peux te poser une question ?
– C'est déjà fait.
Il a médité la chose un instant.
– Dans ce cas, puis-je t'en poser deux ?
– Tu viens de le faire.
Sam a poussé un gémissement et il m'a lancé un petit coussin. Le projectile a décrit une courbe à travers l'espace illuminé par la lune avant de heurter ma tête sans dommage.
– Grosse maligne !
Panique à Disneyland, alerte rouge, mobilisation générale, affolement biologique, court-circuit, carambolage interne, évacuation d'urgence, révolution sidérale.
– Euh... merci... non... j'peux pas (cette puissance du dialogue, comme dirait mon père)
Parfois, je me sens comme l'oiseau.
Parfois, je me sens comme le photographe, incapable d'être autre chose qu'un spectateur.
« Que personne ne compare jamais notre amitié à l’amitié ordinaire. »
Ils s’embrassèrent. Tannhauser réprima la douleur de l’amour dans sa poitrine et recula.
Park s'est retourné d'un coup. Eleanor. Elle lui souriait.
Elle avait un sourire de pub pour dentifrice, le genre où on voit pratiquement toutes les dents. Elle devrait sourire comme ça tout le temps, se dit Park ; son visage était passé de bizarre à beau. Il avait envie de la faire sourire comme ça tout le temps.
M. Stessman a fait semblant de se prendre le tableau en entrant.
- Juste ciel, Eleanor, arrêtez. Vous m'aveuglez. Est-ce la raison pour laquelle vous gardez votre sourire pour vous, parce ce qu'il est trop radieux pour nous, pauvres hommes ?
-Quoi?
-C'est juste que... tu as cassé avec Sylvain, pouffa Rachel. C'est comme larguer... je ne sais pas... Dieu.
“I used to wonder if fate was real,” she said gently. “I used to fear it meant that I had no real choices. Then I secretly hoped fate was real and that you and I were fated, that by some miraculous chance I was your true love. But now I don’t care if fate is real—because I don’t need it to decide for me. I don’t need it to make this choice. I’ve made my decision, Jacks. It’s you. It will always be you, until the end of time. And I’ll fight fate or anyone else who tries to tear us apart—including you . You are my choice. You are my love. You are mine. And you are not going to be the end of me, Jacks.”