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Un jour, la décision a été prise : Amel, orpheline de 12 ans, partira. Il n'est pas ici question de choix : son pays est en guerre. Malheureusement, rien ne se déroule comme prévu.
À la frontière, Amel perd la famille chargée de l'accompagner et se retrouve seule. Sur sa route, elle rencontre Bacem, un déserteur et joueur de oud.
Ensemble, l'enfant et le soldat apprennent à se reconstruire.
Dieu, si tu existes ? Je t'avoue que je ne suis plus sûre... Comment peux-tu accepter tout le sang versé ? Comment le ciel et la mer parviennent à rester bleus ?
Ouaf la claque ! Une fillette de quatorze fait ses adieux à ses grands-parents qui l'ont encouragée à fuir leur pays en guerre. Un récit d'immigrant en plus ? Moi je vous dis que s'il fallait lire un seul roman graphique d'une jeune fille immigrante, ce serait celui-là. Malgré la dureté du contexte, il se dégage de la solidarité, de la gentillesse, du respect, de l'humanité, de la poésie, de la musique. De la force aussi car pour avancer faisons comme les oiseaux : ne nous retournons pas. Le dessin, les pointes de couleurs, tout est au top ! En résumé, c'est juste magnifique !
Après avoir lu et adoré Zaza Bizar de cette auteure, j'ai cherché si elle avait écrit d'autres livres. Après avoir vu que oui, elle en avait écrit un deuxième livre, les oiseaux ne se retournent pas, j'ai foncé à la bibliothèque pour l'emprunter. Sans surprise, j'ai également énormément apprécié cet ouvrage. 😍
Je ne recommande pas ce roman graphique aux âmes sensibles, car j'ai vraiment énormément pleuré durant ma lecture. Le sujet abordé, l'immigration, est très poignant. On retrouve Amel, qui n'a d'autre choix à seulement 12 ans de quitter son pays en guerre pour espérer atteindre la France. 🇫🇷
On l'a suit au travers de son voyage à travers la poésie et le monde imaginaire qu'elle se créer afin de survivre psychologiquement. Ce livre aborde également l'horreur de la guerre du point de vue d'un soldat. Ainsi, ce n'est pas un point de vue manichéen qui est abordé ici. ☯️
Ensemble, le soldat Bacem, qui a déserté et Amel voyagent ensemble et apprennent à se reconstruire. C'est un périple plein d'événements horribles que l'on suit, mais qui reste empreint d'un avenir meilleur. 🕊✨
J'ai hâte que l'auteure écrive et publie un troisième roman graphique ! 🤩
✨✨✨
Hello ! 🙋♀️
Moi, c'est Marie. J'ai 23 ans et je publie des avis sur mes lectures. Rejoins-moi sur mes réseaux sociaux ! 📲
Une histoire extrêmement touchante, des dessins sublimes et un texte empli de poésie. Cette BD est une véritable pépite au point où je la relis régulièrement et qu'elle me procure toujours autant d'émotions, grâce au talent percutant de Nadia NAKHLE qui nous fait osciller entre le déchirement le plus sombre et l'espoir le plus lumineux.
Cette BD m'a vraiment fait l'effet d'une bombe. L'écriture est si belle, douce, mais brutal dans son contexte. La Guerre est le sujet principal et ce sujet est très bien exploité, les complications, la fuite, la peur, la détermination à s'en sortir, bref tout y est vraiment. On ressent parfaitement à travers la plume, les dessins et les personnages qui sont fabuleux, les émotions. J'ai réussi à ressentir de la légèreté malgré la situations si lourde grâce à l'humanité qu'on retrouve même avec cette terrible réalité. J'ai pas lu, j'ai dévoré cette BD et n'ai pas pu m'en décrocher !
Grâce au Festival Transversal, j’ai eu la chance d’assister à un spectacle musical et dessiné de Nadia Nakhlé porté par la Cie Traces & Signe, d’après le roman graphique éponyme de Nadia Nakhlé.
Je vais être direct, ça a été une vraie claque, j’ai pleuré toutes les larmes de mon corps. Alors je n’ai pas pu m’empêcher d’acheter le roman graphique que je me suis empressé de lire.
Amel est âgée de 12 ans et pourtant sa vie ne ressemble ni à la vôtre ni à la mienne. Amel vit dans un pays ravagé par la guerre. Amel n’a pas le choix, elle doit quitter son pays sans sa famille. Amel emprunte le nom de Nina et se retrouve très vite livrée à elle-même. Sur son chemin, elle croisera la route de Bacem, un déserteur et joueur de Oud qui l’accompagnera durant son voyage.
Ce roman graphique nous plonge dans un monde dur et terrible, un pays en guerre. Pourtant la narration est sublimement poétique et onirique. L’espoir est au centre de l’histoire et pousse les personnages et les lecteur.ices à avancer sans cesse en quête d’un monde en paix.
C’est carrément impossible de ne pas s’attacher à Amel, cette petite fille seule forcée de grandir pour survivre et armée d’un immense courage. Malgré tout, Amel ne cesse de rêver et d’espérer. Elle conserve une part d’innocence si précieuse qui la pousse à avancer sans baisser les bras.
« L’un emporte sa mélodie. L’autre, l’espoir. Et tous deux avancent vers le même horizon. »
Ensemble, Amel et Bacem poursuivent leur long chemin rythmé par la mélodie de l’oud, symbole d’espoir. Leur amitié est tellement attachante et bouleversante. Chacun entretient l’espoir de l’autre et désormais plus rien ne peut briser leur rêve.
Les dessins sont sublimes, j’adore le noir et blanc ponctué de couleurs vives comme le rouge, le bleu et l’orange qui attirent l’œil. Les traits sont dynamiques, parfois proches de l’esquisse. C’est magnifique, on en prend plein les yeux, plein la tête, plein le cœur.
Les Oiseaux ne se retournent pas est pour moi l’une des meilleures découvertes de l’année 2022. Merci à Nadia Nakhlé pour cette œuvre sublime, merci à la Cie Traces & Signe pour ce merveilleux spectacle et merci au Festival Transversal pour cette découverte.
« Les oiseaux ne se retournent pas, ils partent. »
Amel, jeune fille de douze ans, quitte ses grands-parents, fuit la guerre de son pays pour rejoindre Paris, là où il n'y a jamais la guerre. Munie d'un faux passeport, elle accompagne le couple Hudhad et ses deux enfants. Séparée d'eux à la frontière, Amel se retrouve seule dans un camp de réfugiés.
Bacem, jeune soldat, déserte l'armée, quitte la guerre, son pays. Il ne veut plus de Kalach entre les mains, seul son oud compte désormais. En chemin, il sauve une jeune fille de prédateurs à l'entrée d'un camp de réfugiés... Cette dernière ne veut plus le quitter.
Amel et Bacem font route vers leur destin, chacun de leur côté d'abord, puis ensemble, pour être séparés par la suite...
Nadia Nakhlé nous offre là un roman graphique exceptionnel, extrêmement émouvant, aussi beau qu'il est poignant. À travers le voyage d'Amel, ses espoirs et ses (dés)illusions, elle aborde des sujets percutants, tels que l'immigration, l'exil ou la guerre, qu'elle mêle à la musique et à la poésie. C'est fort, terriblement émouvant.
La relation entre Amel et Bacem est extrêmement touchante. Ces deux déracinés qui ont tout perdu, que les mots, la musique et le chant des oiseaux apaisent, m'ont touchée en plein cœur. J'en ai eu les larmes aux yeux...
Une histoire pleine de sensibilité et de douceur malgré le sort qui s'acharne contre eux, malgré la séparation d'avec les êtres chers, d'avec leurs origines, malgré la guerre et les morts. Une histoire puissante, tout en poésie, toute pleine d'émotions.
Et que dire des graphismes, sinon qu'ils sont superbes ? En noir et blanc, certainement réalisés en partie au fusain, avec une micro touche de rouge ou bleu ici et là, ils s'harmonisent parfaitement avec les textes. C'est si sombre et pourtant tellement lumineux en même temps !
La fin est exactement celle que je désirais plus que tout, un des plus beaux moments du livre (bien que tout soit beau dans ce livre).
Mon premier coup de cœur de l'année et quel coup de cœur ! Fort. Intense. Bouleversant. Magnifique.
« Les oiseaux ne se retournent pas, ils reviennent. »
C'est un superbe ouvrage ! L'histoire a des thématiques difficiles mais l'on se plonge quand même à corps et âmes dans cette lecture par sa magnifique illustration avec de vrais choix graphiques, un très beau trait et une plume splendide. Les émotions me resteront et je suis heureuse de ma découverte.
Gros coup de cœur pour cette BD sublime tant par les images que par les mots. Pleine d'espoir et de douceur, elle aborde de façon très poétique l'amitié et le désir de liberté en tant de guerre.
Résumé
Un jour, la décision a été prise : Amel, orpheline de 12 ans, partira. Il n'est pas ici question de choix : son pays est en guerre. Malheureusement, rien ne se déroule comme prévu.
À la frontière, Amel perd la famille chargée de l'accompagner et se retrouve seule. Sur sa route, elle rencontre Bacem, un déserteur et joueur de oud.
Ensemble, l'enfant et le soldat apprennent à se reconstruire.
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