Cher Lecteur,
Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.
Résumé
Philosophie pour un temps des-Œuvré…
A l’heure où le désarroi planétaire offre à certain ésotérisme l’occasion de déployer diffusion mercantile et visées sectaires, une méditation sur le Grand Œuvre philosophal peut-elle constituer un trajet philosophique sérieux ? Officiellement disparue de la scène culturelle occidentale depuis l’Age des Lumières où fut dénoncé son « obscurantisme », l’alchimie n’en continua pas moins d’être vénérée par d’autres en raison de l’étrangeté poétique de son symbolisme, voire érigée en mystique de la matière. Sur la scène préservée du Theatrum Chemicum semble plutôt se rejouer la survie d’une pratique singulière dont la disparition vouerait probablement l’Occident à un « épuisement faustien du possible » (Y. Bonnefoy) contre lequel l’Ars Magna s’emploie, aujourd’hui encore, à élaborer un antidote salvateur : une herméneutique originale ici reconnue pour commune aux « hommes d’Œuvre » (poètes, musiciens, peintres, penseurs...) soucieux et désireux de maintenir entre Ciel et Terre, philosophie et religion, l’espace médiateur où leur graphie créatrice puisse déjouer les formes toujours récurrentes de dualisme autant que de nostalgie unitaire.
Afficher en entier