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C'était mon ultime demande adressée aux hommes. Extérieurement, le sourire ne me quittait pas ; intérieurement, en revanche, c'était le désespoir. Ainsi se présente Yôzô, né dans une famille riche du nord du Japon, qui veut être peintre, abandonne ses études au lycée de Tôkyô pour travailler dans des ateliers, mais s'initie plus vite au saké et aux filles qu'au dessin et à la peinture. D'amours malheureuses en amours malheureuses, après n'avoir été qu'un médiocre caricaturiste de revues de second ordre, il échoue à vingt-sept ans, malade, tel un vieillard, dans une vieille chaumière irréparable d'où il rédige l'histoire de sa vie, " vécue dans la honte ", et alors qu'il ne connaît plus désormais ni le bonheur ni le malheur.
Et puis, par mes bouffonneries, un fil
me rattachait encore un peu à mes semblables. Extérieurement, le sourire ne me quittait jamais intérieurement, en revanche, c'était le désespoir. Pour ne
pas révéler ce contraste, je devais garder, au prix de sueurs froides, un équilibre qui ne tenait qu'à un cheveu.
Sacré roman que cette Déchéance d'un homme! Une plongée effrayante dans l'addiction, submergé par l'envie et le désir d'alcool, de drogue, des femmes, incapable de sortir de son rapport d'anxiété au monde. Aussi bouleversant qu'effrayant !
Chef d'oeuvre !!! Ce roman profondément introspectif explore les méandres de l'âme humaine à travers les yeux d'un protagoniste, Yo-tchan, tourmenté. L'auteur offre une analyse saisissante des luttes intérieures, de la désillusion et de la recherche désespérée de sens dans un monde en déclin.
Son style d'écriture, épuré et poétique, nous captive et nous plonge dans un voyage émotionnel troublant mais fascinant.
Ce chef d'oeuvre littéraire nous confronte aux aspects les plus sombres de notre existence humaine, nous incitant à réfléchir profondément sur la nature de notre propre condition.
J'ai lu ce roman d'une traite, le style était suffisamment fluide pour le permettre; le récit me laisse sans surprise.
Un jeune garçon plutôt perdu, qui se cherche et qui devient un adulte dysfonctionnel; c'est ma foi plutôt commun comme histoire.
Ce qui rend spécial ce récit c'est qu'il soit peut-être celui d'un homme au rang social initialement élevé dans un pays aussi impitoyable que le Japon avant la Seconde guerre mondiale, qui ne pardonne pas pareille déchéance au final.
Ce livre a quelque chose de tristement beau. Quand on connaît la vie de l'auteur, difficile de ne pas le voir à la place du protagoniste, au fond du gouffre et toujours si prêt à mourir.
Ce livre n'est pas joyeux. Mais il a touché au plus profond de choses que j'avais ressenties, vécues, sans jamais parvenir à les exprimer. Et rien que pour les émotions procurées, je recommande ce livre.
Je suis tellement perdue après l’avoir terminé que je ne sais pas quoi penser… Est-ce que c’est un chef d’œuvre ? Assurément. Est-ce que j’ai aimé ? J’hésite entre j’ai adoré et j’ai du mal avec le livre, j’étais très mal à l’aise la plupart du temps mais malgré tout j’arrivais pas à me détacher du bouquin. À lire, clairement !
Alors j’avoue que je pensais qu’il serait bien meilleur que ça! C’est un très bon livre mais j’ai eu d’abord énormément de peine à me mettre dedans. J’ai beaucoup aimer le principe des « notebook » qui nous rapproche du narrateur. Je pense le relire dans quelque temps, car je pense que la deuxième lecture sera plus facile.
Wouah! Je suis restée sans voix après avoir lu le prologue, les trois carnets et l'épilogue. J'ai tant attendu et cherché ce livre pour pouvoir le lire à bon escient.
En réalité ce qui m'a réellement poussé envie de lire cet ouvrage c'est grâce à l'anime Bungo to Alchemist où un épisode est centré sur ce livre avec Dazai Osamu. Connaissant déjà la vie de l'auteur, je ne suis pas si étonnée que cela de m'attendre à avoir une telle histoire. Beaucoup de passages font références à la vie de l'auteur, même les personnages. Le livre est "beau" dans un sens où la façon comment est écrit dans le thème de la déchéance est prenant.
On dirait que ce livre existe pour avertir la cruauté de l'humanité et qu'il ne faut pas commettre la même erreur que notre personnage principal Oba Yozo.
Au vue des commentaires cités dans le site, il est vrai que c'est difficile de décrire clair et net car le livre nous laisse dans de profondes réflexions de l'humanité. Je vous recommande fortement de le lire ! (toutefois difficile à trouver en livre papier)
Un livre tout simplement magnifique qui m'a marqué et qui je pense continuera à me marquer ! C'est un livre déprimant, noir qui m'a fait réfléchir mais aussi permis de me sentir comprise. On se sent comme lié avec Yozo.
Résumé
Je suis devenu bouffon.
C'était mon ultime demande adressée aux hommes. Extérieurement, le sourire ne me quittait pas ; intérieurement, en revanche, c'était le désespoir. Ainsi se présente Yôzô, né dans une famille riche du nord du Japon, qui veut être peintre, abandonne ses études au lycée de Tôkyô pour travailler dans des ateliers, mais s'initie plus vite au saké et aux filles qu'au dessin et à la peinture. D'amours malheureuses en amours malheureuses, après n'avoir été qu'un médiocre caricaturiste de revues de second ordre, il échoue à vingt-sept ans, malade, tel un vieillard, dans une vieille chaumière irréparable d'où il rédige l'histoire de sa vie, " vécue dans la honte ", et alors qu'il ne connaît plus désormais ni le bonheur ni le malheur.
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