Commentaires de livres faits par Strapontin
Extraits de livres par Strapontin
Commentaires de livres appréciés par Strapontin
Extraits de livres appréciés par Strapontin
Mais quand j'ai refermé le livre, j'ai ressenti la boule au ventre des DS de français du lycée «comment commenter un texte que je n'ai pas du tout compris?!...»
Rien à redire sur le style d’écriture, au contraire : La description de ce fait-divers et de l’enquête qui a suivi n'est pas rébarbative, le style est clair, sans artifices (et oui… Les histoires vraies, c'est rarement les experts Miami…).
Bon, je dois avouer que le début du bouquin est déprimant…
* Le titre m'a conquis : chic chic chic, un voyage, la route de la soie !
* Premier chapitre : le vif du sujet, direct ! Evangeline, jeune missionnaire partie aux confins de l'Orient raconte son voyage dans un journal. Elle est accompagnée de sa soeur et d'une dame plus âgée, toutes deux missionnaires également. J'ai déjà les yeux qui brillent, et mon esprit qui vagabonde...
* Deuxième chapitre. Londres, de nos jours. D'accord, on va suivre 2 histoires en parallèle... Mouais.... J'espère que ça aurait dû sens !
Et, non... La moitié du livre porte sur Frieda (Londonienne, de nos jours), et personnellement, je le ressens comme une moitié de gâchée à ne pas parler plus du voyage d'Evangeline, de sa mission, des pays qu'elle traverse, des populations qu'elle rencontre, des couleurs, des odeurs, des saveurs... Quel dommage !... Du coup, trop de longueurs d'un côté, et trop de raccourcis de l'autre...
Ce livre touchera probablement plus les femmes et les jeunes médecins, mais il mériterait d'être lu par tout le monde : il aborde des sujets comme la sexualité, la parentalité, la relation soignant/patient, auxquels nous sommes/serons potentiellement exposés un jour.
Et un thème d'actualité aujourd'hui, avec le premier bébé de "sexe neutre" né mi octobre !
Une très belle nouvelle sur les explorateurs du milieu du XXème siècle, et de belles leçons de vie et de philosophie. Quel bonheur ça a dû être de vivre à l’époque des grandes explorations ! Etre parmi les premiers à relier certains pays par avion, survoler des montagnes, des déserts...
J'ai très envie de découvrir d'autres livres de l'auteur, en espérant ne pas devenir blasée des thrillers comme certains lecteurs le laissent sous-entendre.
J'ai eu un peu de mal à rentrer dans l'histoire les 30 premières pages, et puis petit à petit, on se prend au jeu de l'enquête, et j'ai fini par le lire d'une traite !
Pour ma part, plutôt séduite par l'auteur, et par la mystérieuse et sombre Islande: je pense que la cité des jarres fera partie de mes prochaines lectures !
Le livre aborde (à l'abordaaaaaaaaaage) beaucoup, beaucoup, beaucoup de légendes : Barbe Noire, Rackam le Rouge, Mary Read, Anne Bonny, Charles Vane, le Baronnet Noir, les templiers, les cranes de cristal... Mais aucune n'est traitée à fond. Du coup, on survole des thèmes, on est intrigué, et au final on reste sur notre faim.
Je nuance quand même mon propos : peut-être que c'est parce que j'ai commencé par le tome 6 que les explications sur les templiers et les Assassins ne sont pas fournies (j'avais pourtant cru comprendre que chaque tome était indépendant). Mais au vue de comment sont abordés les autres sujets, j'ai des doutes...
J'ai profité de l'occasion de vacances en Roumanie pour lire ce grand classique : je n'ai pas été déçue ! Bram Stocker s'est inspiré des légendes locales, et du célèbre Vlad l'Empaleur pour créer son personnage assoiffé de sang. Et le résultat est... Mortel !
Que dire... Des papillons dans le ventre tout au long de ma lecture ! J'adore l'univers de Barjavel, son style d'écriture, les civilisations qu'il créé, ses personnages... Tout me plait !
Et j'ai envie d'être Païkan à être capable d'autant d'amour. J'ai envie d'être Dr Simon et participer à la découverte du siècle. J'ai envie d'être Koban et comprendre l'équation de Zoran. J'ai envie d'être Elea et de mettre autant de cœur dans mes batailles. ... J'ai très envie de le relire tiens !
Mais ce témoignage sur la solidarité n'en reste pas moins touchant !
Sur le style d'écriture en lui même : La comparaison qui me vient à l'esprit est vraiment " digne d'une série Canal +" : Azteca rassemble des faits historiques, une once de magie, de l’hémoglobine (beaucouuuup d’hémoglobine), et des mœurs douteux.
Personnellement j’ai beaucoup aimé, j’ai beaucoup appris, j’ai aussi beaucoup apprécié être née en France au XXème siècle… !
Mon avis est mitigé : L’Islande est un pays qui m'attire depuis des années, donc j'ai aimé retrouvé l'atmosphère unique de ce pays, ses habitants, et ses couleurs. L'auteur m'a même fait découvrir des chanteurs islandais (qui m'ont servi de bande son à ma lecture)
Cependant, on sent que Morgane J.A. en est à ses débuts d'écrivain(e). Quelques incohérences, quelques longueurs, et un récit qui a du mal à suivre un fil conducteur...
Au contraire, je trouve que ce livre est écrit brillamment : à la lecture, on plonge dans l’atmosphère de ce labyrinthe ; les émotions circulent : impatience, prudence, angoisse, soif de découverte… Personnellement, je vous recommande ce livre !
Pourquoi « reconstruction » ? C’est ce qu’on découvre dans son autobiographie : jusqu’à l’âge de ses 19 ans, Maude a vécu sous l’emprise de son père. Son père qui avait un projet : Il souhaitait élever une supra-humaine, qui serait capable de survivre à un second IIIè Reich, qui serait capable d’apporter la lumière sur la Terre, qui serait capable de communiquer avec les morts. Cette supra-humaine serait son réceptacle lorsque lui-même viendrait à mourir. Pour y parvenir, Maude sera coupée du monde, torturée psychologiquement et physiquement pendant plus d’une quinzaine d’année…
Awkward est le monde imaginaire dessiné par une adolescente mal dans sa peau tout au long de sa jeunesse, comme échappatoire à une vie où elle ne trouve pas sa place. Lorsque le royaume d’Awkward est menacé par « Préjugés » et « Perfection », ses habitants font appel à leur créatrice pour les sauver. Ça a l’air cucul-la-praline, mais finalement, pas tant que ça ! Que vous soyez ado ou adulte, c’est une très belle lecture, porteuse de très jolis messages.
Je ne suis pas une grande fan de Musso, je trouve que toutes ses histoires se ressemblent. Ca doit bien faire 7 ou 8 ans que je n'ai pas relu un de ses livres pour cette raison.
Mais après que 5 personnes différentes m'aient dit "Tu devrais lire La Fille De Papier, il est différend tu verras ! Je l'ai adoré !", j'ai voulu y croire.
Bon sang, mais si c'est encore la même trame de fond !! (Et encore, je reste polie...) C'est vraiment parce que je n'avais pas d'autre livre dans mon sac pendant ces 4h de train que je l'ai fini...
Maxime Gaget a écrit ce livre comme une thérapie pour se reconstruire. En acceptant d'avouer à la France entière son histoire.
Ce genre d'ouvrage devrait être lu par tout le monde: pour savoir, pour apprendre comment aider des victimes, pour ne jamais devenir un bourreau, pour apprendre à éviter les pièges de l'emprise...