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Avant de rencontrer Baz, Aïcha était tout le temps enragée. Elle traînait son enfance brisée en essayant d’éviter sa mère, les vieux puants et les seringues usées du parc. Maintenant qu’elle est amoureuse, elle voit les balançoires dans les parcs de Centre-Sud. Voilà pourquoi, pour Baz, Aïcha ferait tout, même le pire. Tout, c’est ce qu’elle doit raconter à cette femme qui la regarde comme une page de faits divers. Mais suivre le récit d’Aïcha, c’est entrer dans un labyrinthe pour s’y perdre autant qu’elle.
Une confrontation déchirante et drôle où l’émotion court. La langue à fleur de peau de Et au pire, on se mariera se trouve à la croisée du romanesque, du théâtre de rue et de la déposition.
Même si le roman est un monologue, on arrive à s'attacher aux personnages et particulièrement à Aïcha qui est très complexe et touchante. Elle nous tient en haleine tout le long du livre qui est court, mais fort en émotion. Je le recommande fortement!
Ce livre est dans ma pile à lire depuis longtemps. L'auteure est venue faire une conférence à la bibliothèque et ça été une super rencontre. J'ai donc enfin lu son livre que j'ai adorée. Aïcha est une jeune fille de 13 ans qui est écorchée par la vie. Un père absent, une mère qui travaille trop et un milieu de vie difficile. Elle va rencontrer Baz, un homme trop vieux pour elle à qui elle va s'accrocher. L'écriture est franche dans un québécois qui nous transporte vraiment dans le centre sud de Montréal. Le rythme des phrases, nous fait bien ressentir les émotions d'Aïcha. J'ai eu un coup de coeur autant pour l'auteure que pour son livre.
Aïcha, c’est une petite peste dérangée qu’on ne comprends pas avant la fin du roman. L’auteur la fait monologuer pendant tout le roman, répondant de temps en temps à une question invisible, pour plus de continuité, j’imagine. Elle ment, arrange les choses à son avantage, parfois à son désavantage. On ne sait jamais sur quel pied danser avec ce narrateur. J’ai aimé l’histoire d’Aïcha, mais encore plus sa manière de la raconter. C’est un personnage qu’on s’amuse a aimé, à ne pas comprendre, à juger peut-être, mais on finit toujours par comprendre ce qui se passe. C’est un très bon roman.
J'ai lu le livre en 8jours et j'ai pas acrochée que Aisha me parler a moi comme si on étais des amies de longue date donc c'est vrai j'ai pas pu accroché d'avantage. Par contre la fin et très surprenant je ne m'y attender pas. J'ai hâte de voir le film , je pense qu'il es mieux.
Quelle belle écriture fluide. Malgré la dureté des mots et la difficile histoire de cette adolescente problématique à laquelle on s'attache, ce récit se lit d'une seule traite. On a l'impression de converser avec Aïcha. D'être là pendant qu'elle raconte son histoire tantôt empreinte de vérité poignante et tantôt remplie de mensonges.
La réalité d’Aïcha est dure, surtout sortant de sa bouche. Malgré sa grande clairvoyance, il y a bien des choses qu’elle ne comprend pas encore. Mais c’est tout à fait normal et c’est ce qui rend le livre réaliste. Par contre, si vous êtes fan d’interactions sociales et d’action, vous risquez peut-être de vous ennuyer. Toute l’action se trouve dans ses réflexions suivant ses gestes, et comment elles l’influencent pour la suite. D’un point de vu extérieur, il ne se passe pas tant de chose (sauf dans les dernières pages), mais ça il faut laisser passer pour sombrer dans l’univers d’Aïcha, et tenter de la comprendre. Nous somme la pour ça en fait, puisque tout au long elle s’adresse à nous. Je me suis laissé bercer par ses mots, et me suis identifié à elle, dans son désir de vivre et d’être vue, entendue et comprise, et plusieurs de ces choses ne lui arrivent jamais, comme dans la vie réelle. Les cœurs (Très très) sensibles peuvent s’abstenir, mais selon moi tout le monde peut se le faire. Ce n’est tout de même pas un incontournable selon moi. J’ai bien hâte de voir le film, peut-être que ça me plaira d’avantage.
Court roman assez particulier par sa forme et son style d'écriture. C'est comme si nous sommes l'interlocuteur d'Aïsha, la narratrice. Elle nous parle, nous explique et nous brasse. Au fil des pages on apprend à la connaître et à connaître son univers. Réalité difficile dans un monde où elle se sent seule et où elle l'est, elle essaye de survivre tant bien que mal. Assez poignant pour le lire d'une traite.
Résumé
Avant de rencontrer Baz, Aïcha était tout le temps enragée. Elle traînait son enfance brisée en essayant d’éviter sa mère, les vieux puants et les seringues usées du parc. Maintenant qu’elle est amoureuse, elle voit les balançoires dans les parcs de Centre-Sud. Voilà pourquoi, pour Baz, Aïcha ferait tout, même le pire. Tout, c’est ce qu’elle doit raconter à cette femme qui la regarde comme une page de faits divers. Mais suivre le récit d’Aïcha, c’est entrer dans un labyrinthe pour s’y perdre autant qu’elle.
Une confrontation déchirante et drôle où l’émotion court. La langue à fleur de peau de Et au pire, on se mariera se trouve à la croisée du romanesque, du théâtre de rue et de la déposition.
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