Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et
l'art.
Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans
ces
domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des
offres
pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien
vouloir
désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à
vous
fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et
tendances de
la
littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités
et
cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre
option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée,
sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement,
cliquez ici.
Reconnu comme l’un des plus grands auteurs de la littérature hongroise et l’un des maîtres du roman européen, l’écrivain Sándor Márai (1900-1989) s’inscrit dans la lignée de Schnitzler, Zweig ou Musil. L’auteur des Révoltés, des Confessions d’un bourgeois ou de La Conversation de Bolzano n’a eu de cesse de témoigner d’un monde finissant, observant avec nostalgie une Europe mythique sur le point de s’éteindre. À travers la dramatique confrontation de deux hommes autrefois amis, Les Braises évoque cette inéluctable avancée du temps. Livre de l’amitié perdue et des amours impossibles, où les sentiments les plus violents couvent sous les cendres du passé, tableau de la monarchie austro-hongroise agonisante, ce superbe roman permet de redécouvrir un immense auteur dont l’œuvre fut interdite en Hongrie jusqu’en 1990.
Etre différent de ce que l'on est, est le désir le plus néfaste qui puisse brûler dans le coeur des hommes. Car la vie n'est supportable qu'à condition de se résigner à n'être que ce que nous sommes vraiment.
Roman de conversation entre deux vieux amis et tous les non dits qui ressortent. Analyse de l'amitié, l'amour, la vengeance. Intéressant, bien écrit et analysé mais un peu long.
On découvre dans ce petit livre, la fin du XIXème au sein de l'empire Austro-Hongrois, ses codes dans les milieux militaires et aristo, par le dialogue mené par le fils du Général.
Mais c'est avant tout, pour moi, une forme d'essai sur le sentiment de l'amitié.
L'Amitié entre deux êtres, ce qu'elle génère, chez l'un et pas forcément chez l'autre.
Par moments, j'avais l'impression de lire Stefan Zweig. La qualité d'écriture, les mots choisis, la construction. J'avais aussi l'impression de partager l'espace des deux amis, de les entendre.
C’est tellement frustrant d’avoir l’impression de ne pas avoir apprécié un livre à sa juste valeur ! Car de la valeur, ce roman, court mais d’une densité incroyable, en a, sans aucun doute. C’est juste que mon emploi du temps ne m’a permis de lire que le soir et que le niveau d’attention requis pour cette lecture était un peu trop élevé pour cette heure de la journée…
A elle seule, l’écriture vaut le détour – une vraie pépite littéraire. On ressent pleinement l’atmosphère confinée, à la fois intime et tendue, dans cette salle à manger d’un manoir, vestige de l’Empire austro-hongrois.
Si ce roman est dense, c’est parce qu’il est en grande partie constitué du dialogue entre deux meilleurs amis qui se retrouvent après 40 ans de séparation, l’un étant bien décidé à demander des comptes à l’autre… Il en résulte des circonvolutions, des digressions, des hésitations… pleines de sens, mais qui alourdissent un peu le récit, tout en lui conférant un charme certain.
Ce roman a tout d’un grand classique, c’est presque étonnant qu’il ne soit pas plus connu ! Il traite de thèmes universels, l’amitié, la trahison, les non-dits, dans une langue ciselée et harmonieuse… Que demander de plus ?
Je ne sais pas du tout pourquoi j’ai lu ce livre, il est fort probable que j’ai confondu le titre avec un autre, car je n’en avais en fait pas entendu parler, je ne savais pas de quoi ça allait parler, et il n’est pas non plus récent. Mais je viens de m’apercevoir qu’il est Hongrois, je vais donc pouvoir le glisser dans mon challenge découverte.
Henri, général vieillissant, apprend son ancien ami qu’il n’a pas revu depuis 41 ans passe le voir. Il décide alors de l’accueillir avec un repas en tout point identique à celui qu’ils avaient partagé avant qu’il ne disparaisse de sa vie. Ils ont beaucoup à se dire, mais surtout des comptes à se rendre.
Ce roman assez court, presqu’une longue nouvelle, nous plonge dans l’amitié brisée de ses deux hommes, de leur rencontre à l’enfance à leurs rapports une fois adultes, puis à l’heure actuelle, 41 ans plus tard. Le texte est très bien écrit, il y a de grandes questions sur l’amitié, la vie, la guerre, l’armée, les femmes.
Néanmoins, je n’ai pas été plus plongée que ça dans l’histoire. Même si l’écriture est soignée, l’histoire en elle-même est assez classique, et il n’y a pas eu de déclic pour moi. Donc un petit roman qui se lit bien, mais dont qui ne me laissera pas forcément une grande impression.
Un livre délicieux comme on en aimerait beaucoup. Très belle histoire d'amitié masculine. Touchant de sensibilité et dont on souhaiterait retenir quelques phrases par coeur.
Résumé
Reconnu comme l’un des plus grands auteurs de la littérature hongroise et l’un des maîtres du roman européen, l’écrivain Sándor Márai (1900-1989) s’inscrit dans la lignée de Schnitzler, Zweig ou Musil. L’auteur des Révoltés, des Confessions d’un bourgeois ou de La Conversation de Bolzano n’a eu de cesse de témoigner d’un monde finissant, observant avec nostalgie une Europe mythique sur le point de s’éteindre. À travers la dramatique confrontation de deux hommes autrefois amis, Les Braises évoque cette inéluctable avancée du temps. Livre de l’amitié perdue et des amours impossibles, où les sentiments les plus violents couvent sous les cendres du passé, tableau de la monarchie austro-hongroise agonisante, ce superbe roman permet de redécouvrir un immense auteur dont l’œuvre fut interdite en Hongrie jusqu’en 1990.
Afficher en entier