Les filles de Caleb, tome 2 : Le Cri de l'oie blanche
Auteur
- Arlette Cousture (Écrivain)
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Classement en biblio - 209 lecteurs
extrait
France Loisirs, p. 547
« Ovila perdit le wagon des yeux puis tout le train.
Il n'aperçut plus que le fanal arrière.
Il remet sa casquette et salua de la main.
"Je t'aime. Bonne nuit ma belle brume."
L'écho lui répondit "brume... brume... brume... brume... brume... br..."
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je suis tombée sous le charme des séries et quand j'ai lu les livres waouhhhh qu'elle bonheur et basé sur la famille de l'auteure car Emilie, Ovila et les autres ont réellement excités écriture fluide et intense
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On est dans ce tome avec Blanche, fille de Emilie et Ovila. Elle partage avec sa mère le goût de l'indépendance et un caractère bien trempé.
J'ai beaucoup ce tome qui traite aussi de l'émancipation de la femme au Canada au début du XXème siècle.
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C'est mon tome préféré de la trilogie.
La condition de la femme à l'époque, et le personnage de Blanche, indépendante, est passionnant.
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Dans ce second tome, on découvre les enfants d'Émilie et d'Ovila et plus précisément Blanche.
On passe de la campagne à la ville et on suit l'évolution du pays à travers cette nouvelle génération.
J'ai trouvé le personnage de Blanche très attachant mais par contre, j'ai été surprise d'autant m'être éloignée psychologiquement d'Émile. En effet, en vieillissant et en devenant "dépendante", cette dernière a rapidement perdu intérêt à mes yeux.
En conclusion, ce roman est dans lignée du premier. Il se lit facilement et nous permet de survoler une époque qui semble éloignée de la notre mais qui en réalité, ne l'est pas tellement sur la durée. Un très bon moment de lecture en tout cas.
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Dans ce deuxième tome de la série, il est question de Blanche la fille d'Émilie et d'Ovila. Je la trouve plus attachante que les autres personnages.
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J'ai bien aimé ce tome... Malgré tout, j'ai préféré le premier. J'étais plus attaché à Émilie qu'à Blanche.
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J'ai lu il y a longtemps Emilie et Blanche, mais je me rappelle avoir été passionnée par le destin de Blanche. Rien ne la prédestine à faire cette carrière incongrue pour une femme de son époque, de son milieu, et pourtant, Emilie surmonte tous les obstacles pour réaliser ses ambitions et vivre de sa passion.
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Encore un beau destin de femme mais j'avoue avoir plus de tendresse pour Émilie que pour Blanche. J'ai préféré le premier tome.
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J'ai adoré également ce deuxième tome consacré à Blanche, dont le destin est évidemment bien différent de celui de sa mère, mais dont l'histoire nous touche tout autant, avec la même verve d'Arlette Cousture et bien des surprises. Cela dit, il y a fort longtemps que je l'ai lu...
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Editeurs
Résumé
Dans ce deuxième volet de la trilogie Les Filles de Caleb, c'est la fille d'Émilie, Blanche Pronovost, qui nous entraîne sur les chemins aventureux de sa vie. Blanche rêve de médecine et si elle vient à Montréal au début des années trente afin d'y suivre un cours d'infirmière, c'est toutefois en Abitibi qu'elle ira pratiquer le métier qui la passionne. À La Sarre, dans son dispensaire « confortable et sans richesse », elle sera appelée à relever les défis les plus inattendus, parmi une population durement éprouvée. Dans la froideur de l'hiver abitibien, Blanche croisera un sourire irrésistible qui lui donnera à penser que « son hiver venait de fondre ». C'est celui d'un Franco-Manitobain au sens de l'humour irrésistible, Clovis Lauzé…
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