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Commentaires de livres faits par Laura-T

Extraits de livres par Laura-T

Commentaires de livres appréciés par Laura-T

Extraits de livres appréciés par Laura-T

Toujours une très bonne sagà ou on suit deux personnages blessés qui vont devoir s'entraider pour guérir. On retrouve également la bande des salopards que j'adore j'ai vraiment hâte de découvrir encore plus le personnage de Xcor
Avez vous apprécié cet extrait ? -2
Ma mère était debout devant ma porte, vêtue de sa robe de chambre, et me dévisageait bouche ouverte. Will se tenait derrière elle avec un sourire étrangement satisfait sur le visage.
-Quoi ? marmonnai-je.
Mon coussin bougea. Lorsque je baissai les yeux, je sentis mes joues s'empourprer. Daemon était encore dans mon lit et je dormais à moitié sur lui. Il tenait une de mes mains, serrée contre son torse. Oh mon Dieu, pas ça...
Avez vous apprécié cet extrait ? +23
-Je veux que tu me redises ce que tu m'as avoué tout à l'heure...
Il n'était guère nécessaire qu'il soit plus précis, Cornélia savait exactement à laquelle de ses paroles il faisait allusion.
-J'ai besoin de toi, murmura-t-elle alors. Tellement... tellement besoin de toi...
-Et tu... m'appartiens, ajouta-t-il en prenant son visage en coupe dans ses mains, tandis qu'il allait et venait toujours plus vite et rudement en elle. A moi seul... pour l'éternité.
-Je t'appartiens, répéta-t-elle péniblement, luttant pour réussir à articuler. Je suis... à toi seul, pour l'éternité...
Avez vous apprécié cet extrait ? +7
date : 01-02-2015
C'est pour ça que nous supportons tout. Que nous pensons que rien n'arrive au hasard. Nous espérons qu'il existe des choses que nous ne pouvons voir. Nous croyons qu'il y a des leçons à tirer de la perte, que l'amour est puissant et que nous portons en nous le potentiel d'une beauté si merveilleuse que nos corps ne peuvent la contenir.
Avez vous apprécié cet extrait ? +7
-Mon amour, marmonna-t-il, exténué, embrassant paresseusement son cou. Ma déesse. A moi. Rien qu'à moi... Je suis si heureux de t'avoir enfin, tu ne peux pas imaginer.
Avez vous apprécié cet extrait ? +13
date : 11-06-2014
Sans un mot il me scrutait intensément, comme s'il voulait stocker quelque part quelque chacune des molécules qui me composait. Il se repliait déjà -se retirait vers quelque lieu où je ne pouvais l'atteindre.
Je l'ai embrassé, essayant de toutes mes forces de le ramener. Je l'ai embrassé et l'ai laissé mes lèvres sur les siennes, pour que nos souffles soient mêlés et que les larmes de mes yeux deviennent du sel sur sa peau.
Avez vous apprécié cet extrait ? +3
-D'abord il y a eu les lucioles. Elles sont presque toujours là.
-Les lucioles ?
Il lui sourit, l'air autant étonné qu'amusé.
-Oui, enfin je ne sais pas ce que c'est exactement, reprit-elle en rougissant. Ce sont des toutes petites lumières qui volent et s'agitent autour de nous. Elles apparaissent à peu près à chaque fois que tu m'embrasses.
Avez vous apprécié cet extrait ? +7
Dialogue entre Jaime et Dante

-Laisse-moi, j'ai une surprise pour toi.
Intrigué, Dante esquissa un sourire.
-Une surprise pour moi, eh? D'accord, va la chercher.
Il s'attendait à ce qu'elle se dirige vers le tas d'habits, fouille dans ces poches et en sorte quelque chose. Or elle se leva simplement et se retourna. Et il vit la surprise. Stupéfait, ébahi, il prit une longue inspiration. Elle avait fait tatouer dans le bas de son dos un phénix miniature aux ailes déployées. Le nom de Dante était marqué sur les ailes et le corps de l'oiseau en magnifique lettres italiques.
Avez vous apprécié cet extrait ? +7
Le visage de Gorgon était parfaitement posé, comme si aucune symphonie de grognements extatiques ne filtrait de l'une des pièces à l'étage.
-Bones,Cat. Mencheres est malheureusement retenu pour l'instant, mais je vous en prie entrez.
Seul mon tout nouveau contrôle vampire me permit de garder mon sérieux, mais Bones éclata franchement de rire.
-Visiblement, il n'a pas encore fait insonoriser sa chambre, et j'ai du mal à croire le moins du monde d'être "retenu".
Un grand fracas suivi d'un très long gémissement féminin me fit dresser l'oreille. Mais que lui fait-il donc ?
Gorgon cligna des yeux et le rire de Bones se fit malicieux.
-Aucune idée, mais je ne manquerai pas de lui demander.
Oups! J'avais dû le dire à voix haute. Je me raclai la gorge et tentai une nouvelle fois d'arborer un air nonchalant malgré la profusion de détails qui nous mitraillaient les tympans.
Avez vous apprécié cet extrait ? +4
Vlad me prit dans ses bas. J'aurais dû me sentir gênée d'être dans le même lit que lui, d'autant plus qu'il était torse nu, et que je ne portait qu'une longue chemise de nuit par-dessus ma culotte, mais ce n'était pas le cas. C'était agréable de s'endormir de nouveau avec quelqu'un, même si ce n'était pas celui qui me manquait.
-Bonne nuit, Cat, dit-il malgré l'imminence de l'aube.
Je bâillai e fermais les yeux.
-Bonne nuit, Vlad.
Avez vous apprécié cet extrait ? +3
-Tiens, Mère-Grand. Toujours pas morte? Hmm...On dirait que je me suis fais arnaquer quand j'ai acheté ma poupée vaudou.
-Oui c'est ç, fais tes petites blagues. Morue.
-Une blague? Je suis très sérieuse.

Petite joute verbale entre Greta et Taryn
Avez vous apprécié cet extrait ? +28
date : 22-09-2013
Il frotte son nez contre le mien. A peine remise du séisme, je le regarde d'un oeil vide en cherchant à tâtons une pensée cohérente.
Tout d'un coup, des voix retentissent devant la porte de sa chambre. Je mets un moment à comprendre ce qu'elles disent.
-Mais s'il est au lit, c'est qu'il doit être malade. Christian ne fait jamais la grasse matinée.
-Madame Grey, je vous en prie.
-Taylor, vous ne pouvez pas m'empêcher de voir mon fils.
-Madame Grey, il n'est pas seul!
-Pardon ?
-Il y a quelqu'un avec lui.
-Oh...
Sa voix est incrédule.
Christian me regarde, à la fois amusé et horrifié.
-Ciel! Ma mère.
Avez vous apprécié cet extrait ? +39
Sa bouche descendit sur la mienne pour un baiser dur et possessif. Je poussai un grognement en entrouvrant les lèvres. Il y glissa sa langue pour venir caresser la mienne avec une domination sensuelle. Il avait un goût de vin qui était une véritable invitation au péché: sombre, capiteux, irrésistible. La force brute de son baiser et son corps musclé me collant contre le matelas firent exploser des sensations aveuglantes dans tout mon corps. Submergée par le désir, je sentis mon entrejambes se contracter dans une douleur délicieuse. Je l'attirai encore plus près en emmêlant mes mains dans ses cheveux. Je vis alors ses canines s'allonger et j'eus le souffle coupé, mais ma nervosité disparut lorsqu'il accentua encore son baiser en attirant ma langue dans sa bouche et en l'aspirant jusqu'à ce que les contractions de mon entrejambe se calent sur le rythme de mon pouls.
D'un seul coup, il traversa la pièce, les yeux d'un vert brûlant et une bosse déformant son pantalon.
-Si je ne m'arrête pas tout de suite, je vais oublier que je dois retrouver tes agresseurs, ou que tu es encore affaiblie. Repose-toi. Nous nous verrons bientôt.
Vlad disparut avant que j'ai eu le temps de répondre. Je poussai un soupir de frustration. Me reposer, mais bien sûr. Comme si on pouvait se reposer après cela.
Avez vous apprécié cet extrait ? +7
Tu auras même de la peine pour tous ceux qui n'ont pas notre chance, car il semblerait que nous autres, avec nos yeux sombres, sachions comment atteindre le paradis.
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
Ces joies violentes ont des fins violentes et meurent dans dans leur triomphe: la flamme et poudre elles se consument en un baiser.
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
-Je t'aime, Elspeth Armstrong, mon petit ange aux yeux verts, et je t'aimerai encore quand je ne serai plus qu'un tas de poussière au fond d'une tombe.
-Je t'aime aussi, Cormac, et je t'aimerai... encore plus longtemps.
-C'est un défi ?
-Je crois bien. Tu veux le relever ?
-De tout mon coeur, mon ange.De tout mon coeur.
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date : 03-03-2013
Van Houten,
Je suis quelqu’un de bien, mais j’écris comme un pied. Vous n’êtes pas quelqu’un de bien, mais vous écrivez remarquablement. On aurait fait une bonne équipe. Je ne veux pas vous demander ça comme un service mais, si vous avez du temps – et d’après ce que j’ai constaté, vous en avez beaucoup –, je me demandais si vous pouviez écrire l’éloge funèbre d’Hazel. J’ai pris des notes, mais j’aimerais que vous en fassiez quelque chose de cohérent ou même que vous m’indiquiez ce que je dois changer.

Le truc important chez Hazel, c’est ça : à peu près tout le monde est obsédé par l’idée de laisser une trace derrière soi, de léguer un héritage, de survivre à sa mort, de marquer les mémoires. Je n’échappe pas à cette règle. Ce qui m’inquiète le plus, c’est de devenir une énième victime oubliée de cette vieille guerre sans gloire contre la maladie.

Je veux laisser une trace.

Sauf que, Van Houten, les traces que les hommes laissent sont trop souvent des cicatrices. On construit un centre commercial hideux, on fomente un coup d’État, on devient une rock star en se disant : « On se souviendra de moi », mais a) on ne se souviendra pas de nous et b) on ne laisse derrière nous que de nouvelles cicatrices. Le coup d’État mène à une dictature, le centre commercial devient une lésion urbaine.

(D’accord, je n’écris peut-être pas si mal que ça. Mais je n’arrive pas à rassembler mes idées, Van Houten. Mes pensées sont des étoiles qui ne veulent plus former de constellation.)

Nous sommes comme une meute de chiens qui pissent sur les bouches d’incendie. On empoisonne la terre avec notre pisse toxique, pour marquer « À moi » partout et sur tout, dans l’espoir ridicule de survivre à notre mort. Je ne peux pas m’empêcher de pisser sur les bouches d’incendie. Je sais que c’est idiot et inutile – ô combien inutile dans mon état –, mais je suis un animal comme les autres.

Hazel est différente. Elle se déplace avec légèreté, mec. Elle effleure le sol de ses pas. Hazel connaît la vérité : on a autant de chances de nuire à l’univers qu’on en a de l’aider, et on n’est pas près de faire ni l’un ni l’autre. Certains pourraient trouver triste qu’elle laisse une plus petite cicatrice que les autres, qu’on se souvienne moins d’elle, qu’elle ait été aimée profondément mais par peu de gens. Mais ce n’est pas triste, Van Houten. C’est glorieux, c’est héroïque. N’est-ce pas justement ça le véritable héroïsme ? Comme disent les médecins : « Avant tout, ne pas nuire. »

De toute façon, les véritables héros ne sont pas les gens qui font les choses ; les véritables héros sont les gens qui remarquent les choses, qui y prêtent attention. Le type qui a inventé le vaccin contre la variole n’a rien inventé du tout. Il a juste remarqué que les gens qui avaient la variole bovine n’attrapaient pas la variole.

Après mon PET scan, quand j’ai su que j’avais des métastases partout, je me suis faufilé en douce dans le service des soins intensifs et je l’ai vue alors qu’elle était inconsciente. Je suis entré derrière une infirmière et j’ai réussi à rester dix minutes près d’elle avant de me faire choper. J’ai vraiment cru qu’elle allait mourir avant que je puisse lui dire que j’allais mourir aussi. C’était terrible : la litanie incessante des machines de soins intensifs, l’eau sombre et cancéreuse qui s’écoulait de son torse, ses yeux fermés, l’intubation, mais sa main restait sa main, toujours chaude, les ongles vernis en bleu foncé presque noir. Je lui ai tenu la main en essayant d’imaginer le monde sans nous. Et, l’espace d’une seconde, j’ai fait preuve d’assez d’humanité pour espérer qu’elle meure, afin qu’elle ne sache jamais que j’allais mourir aussi. Mais ensuite, j’ai voulu plus de temps pour qu’on puisse tomber amoureux l’un de l’autre. Mon vœu a été exaucé. J’ai laissé ma cicatrice.

Un infirmier est entré et m’a dit de partir, les visites n’étaient pas autorisées. Je lui ai demandé comment elle allait, et il a répondu : « Elle continue à prendre l’eau. » Une bénédiction pour un désert, une malédiction pour un océan.

Quoi d’autre ? Elle est si belle qu’on ne se lasse pas de la regarder. Ça ne vous ennuie jamais qu’elle soit plus intelligente que vous : parce que vous savez qu’elle l’est. Elle est drôle sans jamais être méchante. Je l’aime. J’ai tellement de chance de l’aimer, Van Houten. Dans ce monde, mec, ce n’est pas nous qui choisissons si on nous fait du mal ou non, en revanche on peut choisir qui nous fait du mal. J’aime mes choix. J’espère qu’elle aime les siens.

Je les aime, Augustus.
Je les aime.
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-Jane! s'exclama Edmund en retirant sa main de son amante. Nous ne sommes pas seuls...
C'est alors qu'elle se pandit à son cou et se plaqua contre lui, sous les cris d'épouvante et autre manifestations d'indignation de l'assistance.
-Lord Wolfson m'a fait boire de sa potion du diable, déclara Jane. Vous allez vous retrouvez tout nu d'ici quelques secondes si vous ne prenez pas des mesures extrêmes.
Elle lui lécha le cou pour appuyer ses dires et cru entendre une ou deux dames s'évanouir, plus quelques autres demander qu'on leur apporte des sels. Certains hommes en étaient aux sifflets et aus encouragements obscènes.
-Jane, ma fille!
La voix de sa mère rompit un instant le charme du philtre d'amour.
-Vous m'aidez? murmura-t-elle à l'oreille d'Edmund.
Le vicomte était son unique espoir, quelle que soit la suite des évènements.
Il ne l'abandonna pas et ne la déçut pas non plus. Après un rapide baiser, il la fit basculer sur son épaule, se fraya un chemin dans la foule et disparut avec elle dans la nuit.
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nouvel extraithttp://www.lecture-academy.com/wicca-tome-4-les-retrouvailles/extrait/11084
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-Non! s'exclama-t-elle, la voix chevrotante. Reste... S'il te plait... Je ne veux plus voir ces horribles images... Plus jamais...
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-Dis-moi que ce n'était qu'un cauchemar... supplia-t-elle à voix basse,épouvantée. Dis-moi qu'il n'est entré en moi, dis-moi qu'il n'a pas parlé à travers ma bouche... Mon Dieu... Que feras-t-il encore la prochaine fois ?
Henri vint alors s'allonger sur le lit, juste à côté d'elle. Il la prit doucement dans ses bras et à travers les draps, la serra contre lui.
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