Le livre de toutes les heures, Tome 2 : Encre
Auteur
- Hal Duncan (Écrivain)
Classement en biblio - 15 lecteurs
extrait
Nous vivons dans un infime sillon sur la surface d'une grandes sphère, a continué mon oncle, dans une petite vallée du réel ; et nous ne pouvons voir que devant et derrière nous. Il y a d'autres vallées dans le Vélum, des plaines où le temps s'étire dans de vastes champs d'illusion et où l'on peut facilement s'écarter du bon chemin, et s'égarer si loin que si l'on se retourne, le passé que l'on voit n'est même plus le même que celui que l'on connaît.
Afficher en entierCommentaires récents
Second dantesque.
Encore une fois il faut s'accrocher, pour aller au bout, ce n'est pas un livre facile mais quel plaisir de le terminer, de connaître la fin de l'histoire.
Il faut être capable de comprendre, de se souvenir du tome 1, les personnages évoluent, mais souvent on se demande... qui est qui réellement qui ?
Il faut également accepter d'être perdu.
Grand livre, véritable fresque, à lire si vous vous sentez prêt.
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J'avais beaucoup aimé Vélum, mais là, j'ai eu l'impression de ne rien comprendre, de ne pas voir les liens avec le premier tome, sans aucune réponse. Déçue.
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Date de sortie
Le livre de toutes les heures, Tome 2 : Encre
- France : 2012-09-27 - Poche (Français)
Activité récente
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Editeurs
Résumé
Depuis des temps immémoriaux, le siège de Dieu est vacant. Ses anges et tous ceux dont le sang se charge d'une parcelle de divin, les Amortels, se sont divisés en deux clans : les Souverains et l'Alliance. Leur guerre n'a pas lieu dans les cieux, mais sur le Vélum, ce tissu de mondes en comparaison duquel notre Terre n'est qu'une trace de crasse sous l'ongle d'un pouce. Pour Joey, le roi Finn, Puck, Jack Flash et Thomas Messenger, la fin du monde a déjà eu lieu, en 2017 ou peut-être à 20 h 40... peu importe, car le livre de toutes les heures peut être réécrit : il suffit de posséder la bonne encre et une vraie peau d'ange.
Encre met un point final au Livre de toutes les heures. Souvent comparée à L'Échiquier du mal, cette fresque apocalyptique, cette fantasy cubiste d'une ambition rare s'adresse tout autant aux lecteurs de Dan Simmons qu'à ceux du Festin nu de William S. Burroughs.
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