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Les Chroniques du Ǧírkù, Tome 1 : Le Secret des étoiles sombres



Résumé

Voici le début d'une saga à nulle autre pareille où prennent brusquement vie des mythes, dont seule la poussière soulevée par les archéologues avait jusqu'ici révélé quelques fragments. Il était donc une fois, bien avant Sumer, tout un ensemble hétéroclite de personnages - clones surdoués, prêtresses fascinantes et mystérieuses, souverains arrogants et autres dragons redoutables - ayant pour point commun, entre autres, d'avoir appartenu au passé d'avant la Terre des Hommes, et surtout de ne pas être issus de cette dernière, c'est-à-dire de venir d'"Ailleurs". Or, qui étaient donc les "Dieux" Anunnaki des tablettes sumériennes ?

Anton Parks nous propose ici sa vision des choses par le biais fort singulier d'une aventure intérieure, qui lui a permis de découvrir un corpus de connaissances qu'aucune érudition nantie de laborieuses recherches n'aurait pu lui offrir. De sa plongée - bien involontaire - dans les vestiges du temps, il nous ramène ainsi l'histoire de ceux qui ont en partie marqué l'humanité de leur patte indélébile : les dragons de nos contes de fées se voient ainsi directement liés à notre existence même.

Est-il par conséquent envisageable que l'être humain soit véritablement une création "artificielle" ?

Sans aucun doute, nous répond Anton Parks en nous assénant un argument impressionnant : les langues des hommes, bien loin d'être nées dans la "bouche" d'un improbable singe, tirent leurs racines d'un langage commun, un code linguistique, celui des "Dieux", pas moins ! Et de nous le démontrer, preuves à l'appui : Chinois, Dogons du Mali, Hébreux, Germains, Grecs, voire les Hopis de l'Arizona - tous parlent d'une certaine manière une "même langue"....

Ce tome 1 des "Chroniques du Gírkù" ouvrira de vertigineuses perspectives à tous ceux qui ne se satisfont plus de biens pauvres conceptions de l'Homme et du Cosmos. Il est question dans ces pages de résolument secouer - et le mot est faible - nos cerveaux trop longtemps subjugués afin de nous redresser, pour embrasser enfin d'éternels horizons...

Bonne route dans "Le Secret des Étoiles Sombres", Lectrice ou Lecteur, tu débutes ici un voyage où rien ne sera plus comme avant...

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Classement en biblio - 19 lecteurs

extrait

Karmaone : Racontez-nous votre parcours. Votre premier livre "Le Secret des Etoiles Sombres", aux Editions Nenki, propose de nombreux éléments inédits sur le thème de la civilisation sumérienne mais aussi des reptiliens Annunakis et autres peuples interdimensionnels. Vous décrivez dans le détail un univers très dense. D'où viennent ces connaissances aussi précises ?

Anton Parks : Aussi loin que je m'en souvienne, je pense avoir été un enfant plutôt tranquille, si ce n'est que j'ai toujours été sensible, ce qui m'a parfois posé des problèmes relationnels avec l'extérieur, surtout lorsque j'étais enfant. J'ai été élevé dans un milieu chrétien. Comme beaucoup, j'ai fait mon catéchisme et ma communion.

Tout a commencé en 1981, j'avais alors 14 ans. Au mois de mai de cette année, pour une raison totalement indéterminée, j'ai reçu mes premiers "flashs". Comment expliquer cela en des termes simples… ? Je dirai que cela s'est toujours manifesté de façon spontanée à n'importe quelle heure de la journée. Je n'ai jamais eu de contrôle sur ce phénomène. Je ne le considère donc pas comme du channeling, puisque, sauf erreur de ma part, un channel décide de recevoir, il détermine même le moment où il va se détendre pour entrer en contact. Ceci n'a jamais été le cas pour moi. Je conçois qu'il ne soit pas très évident de se fier aveuglément au channelling, j'ai moi-même du mal avec cette pratique, car il y a autant de gens extraordinaires que de charlatans avérés dans ce milieu. Il existe aussi des personnes sincères qui, parfois, interprètent mal ce qu'elles reçoivent.

Au tout début, les premiers "flashs" sont apparus timidement et au fil des semaines, les "visions" se sont formidablement réglées à mon insu. Au bout de 5 à 6 mois, le rythme s'était accéléré pour atteindre 1 à 3 manifestations par jour… Il y a néanmoins un élément important qu'il me faut préciser. La lumière semblait être l'élément déclencheur du processus. A chaque fois que le phénomène de flash se manifestait, il était toujours en relation avec la lumière ambiante où je me situais. C'est-à-dire que lorsqu'une "vision" apparaissait, celle-ci possédait le même spectre que la lumière du lieu où je me trouvais. Il y avait comme une connexion subtile que je ne m'explique pas totalement aujourd'hui. Ces flashs étaient en quelque sorte des jets de lumière qui venaient "d'en haut" et qui pénétraient le sommet de mon crâne, au niveau du 7ème chakra principal. Cette action me déconnectait instantanément de la réalité et m'envoyait un son et lumière d'une grande précision ; des scènes complètes m'apparaissaient, souvent avec les mêmes personnages autour de l'être dans lequel je me trouvais à chaque fois. Comme je l'ai dit, cela pouvait se produire n'importe quand, quelle que soit la densité lumineuse. Le phénomène s'est souvent manifesté alors que j'étais accompagné d'amis ou de collègues de travail. Le temps semblait s'arrêter autour de moi, j'avais la sensation de vivre des scènes de 2, 5 ou encore 10 minutes ! On ne m'a jamais fait aucune réflexion… ! J'en ai déduit que cela devait ressembler pour eux à une absence de quelques secondes tout au plus.

Karmaone : Comment avez-vous réagi à l'époque ?

Anton Parks : La première année fut très difficile. J'avais le sentiment de devenir fou. Les images que je recevais ressemblaient à de la pure science-fiction. Etait-ce moi qui m'envoyais tout cela ? D'où de telles connaissances pouvaient-elles provenir ? Je lisais très peu, et absolument pas de science-fiction. Les personnages parlaient un langage totalement inconnu que je saisissais sur l'instant, mais qui n'avait rien à voir avec la langue française… ce n'est que tardivement, à la fin des années 90, après bien des péripéties que j'ai finalement compris qu'il s'agissait du sumérien ou plutôt d'un langage dont est issu le sumérien…

Il m'a fallut plusieurs mois à l'époque avant de me décider à en parler à ma mère. Vous savez, à 14 ans, recevoir ce genre d'images peut créer des troubles profonds de la personnalité. Heureusement, et ce n'est sans doute pas un hasard, j'ai eu une très bonne écoute et un soutien extraordinaire du côté maternel… on arrive jamais par hasard dans une famille. Je me doute que ça n'arrangera pas tout le monde d'entendre cela, mais c'est une réalité. Je crois profondément à la réincarnation. Avant de descendre, et en fonction de ce qu'il nous reste à expérimenter, on remplit sa "boite" et on choisit les grandes lignes de son destin. Personne ne le fait à notre place, inutile de chercher des responsables cachés dans l'astral ! Nos guides peuvent parfois nous inciter à prendre une voie plus qu'une autre mais sauf exception, nous avons toujours le choix. Lorsque nous sommes "là-haut", entre deux vies, nos guides nous conseillent et n'hésitent pas à nous signaler si nous avons été trop "gourmand" dans nos décisions. Le problème, c'est qu'on est terriblement têtu et plein de dynamisme avant de redescendre… On se dit souvent, mais non pas de problèmes, ça passera : Il m'arrivera telle ou telle chose importante, je rencontrerai telle ou telle personne (parfois que l'on connaît déjà), bref tout est possible et dans l'absolu – à ce moment précis entre deux vies – on est en connexion avec notre moi profond. Le voile est en partie retiré, la vie et la mort terrestre ne font qu'un et ne génèrent aucune peur. Idyllique n'est-ce pas ? Pourtant, la descente et la vie sur Terre sont éprouvantes et on l'oublie souvent avant de redescendre…

En ce qui me concerne, j'ai l'impression d'être resté en contact avec quelque chose ou quelqu'un et c'est aussi cela qui m'a permis de tenir bon. Ceux qui ont eu la gentillesse de lire mon premier ouvrage auront sans doute remarqué la dureté de certains passages. La vie que je décris est assez impitoyable. Je ne sais pas si j'ai un lien direct avec cette histoire et si j'ai été le personnage de Sa'am dont je retrace la destinée. Toujours est-il qu'à chaque fois que j'ai reçu ces "flashs", je me trouvais à l'intérieur de son corps !

J'ai cette histoire à raconter. Il s'agit de la transcription d'une partie des annales qui proviennent du cristal dont Sa'am était le propriétaire. Ai-je été en contact direct avec le contenu du cristal ? Sa'am ayant été en rapport fréquent avec ce cristal (Gírkù) et la plus grande partie de ses chroniques y ayant été consignées par ses soins, que dois-je en conclure ? Je me suis posé beaucoup de questions à l'époque et ça a bien failli me rendre dingue. Mon côté égotiste serait tenté d'affirmer, «OUI ! J’ai été cette entité» et mon côté modéré dirait plus simplement que j'ai été en contact avec des entités qui possèdent le cristal, bien que ces deux probabilités ne soient pas incompatibles.

Bref, peu importe de savoir si j'ai été ou pas ce personnage aux mains palmées dont le premier nom était Sa'am. Tout ceci a suffisamment bouleversé ma vie pour en conclure que ce n'est pas un "hasard". Lorsqu'en 2001-2002 j'ai finalement décidé de mettre par écrit toute cette histoire, mes vies sociale et affective se sont littéralement désintégrées ! Je me suis retrouvé comme "accidenté" sur le bord de la route… J'ai une chance inouïe d'être soutenu par quelques membres de ma famille, des amis fidèles totalement extraordinaires, et aujourd'hui un éditeur qui croit fermement à ce projet. Mais vous savez, lorsque l'on s'engage dans cette voie, on est terriblement seul et je pense que c'est un passage obligé.

Je suis manifestement porteur d'un message. Je le fais à la fois pour les lecteurs qui le liront et bien sûr pour moi, car cela me libère d'un poids incommensurable. J'ai vraisemblablement choisi de recevoir ces informations et ensuite de les transmettre à qui voudra bien les entendre. Sans vouloir influencer qui que ce soit, j'ai la conviction au plus profond de mon être que toute cette histoire est véridique. J'ai ma conscience pour moi et je sais ce qu'il coûte de mystifier son prochain, car il n'y a pas pire juge que soit-même en-haut ! L'histoire rédigée dans cette série de trois volumes est la stricte transcription de ce que j'ai reçu pendant 10 longues années.

Karmaone : Pourquoi ne recevez-vous plus ces "flashs" aujourd'hui ? Que s'est-il passé?

Anton Parks : Tout simplement parce que ce phénomène prenait trop de place dans ma vie. J'ai vécu près de 18 ans avec une femme remarquable. Elle était assez cartésienne et j'ai dû jongler avec ces "flashs" et ma vie quotidienne. Une dizaine d'années après les premières manifestations, j'avais la sensation de ne pas pouvoir vivre une vie "normale" si je laissais ces flashs continuer à bouleverser mon existence. Il était temps pour moi de profiter enfin de la vie. Comme je l'ai dit, je ne maîtrisais pas ce phénomène, j'en étais même prisonnier. Il y a eu un ras-le-bol et je me suis forcé à ne plus rien recevoir, j'ai donc tout fait pour bloquer le processus. Mais le mécanisme était tellement ancré qu'il n'a pas disparu du jour au lendemain. Au fil des semaines et des mois, le phénomène s'est estompé, l'image devenait de moins en moins précise, par contre le son a eu plus de difficulté à s'éclipser. Cela ressemblait peu à peu aux distorsions d'une radio lorsque l'on essaye de la régler. Au bout de 4 à 5 mois, le phénomène avait totalement disparu, c'était en début 1991, en pleine Guerre du Golfe version 1!

Après cela, j'ai tenté de mener une vie ordinaire tout en digérant tranquillement toutes ces informations sans trop savoir quoi en faire. J'ai découvert petit à petit des ouvrages qui traitaient de sujets similaires. Cela m'a amené progressivement vers les tablettes sumériennes. Ça a été un véritable choc pour moi et les personnes qui m'entourent de découvrir ces documents et de constater qu'ils racontent pratiquement la même histoire que j'ai reçue. Je me suis donc intéressé au sumérien et c'est comme cela que j'ai découvert le code linguistique des "dieux". Sans ces "flashs", jamais je ne l'aurais décelé et décrypté aussi vite…

Karmaone : Avez-vous pu vérifier la qualité de vos informations sur la base des travaux de chercheurs ayant travaillé sur les nombreux textes sumériens ? Quels ont été les rapprochements les plus surprenants entre vos visions et les textes et analyses d’auteurs, comme Sitchin par exemple ? Avez-vous remarqué un auteur plus valable qu’un autre ?

Anton Parks : Oui et non. Bien entendu, dès que j'ai pu faire ce rapprochement entre ce que j'avais reçu et les tablettes sumériennes, j'ai essayé de me procurer le plus de documentation possible. J'ai examiné les travaux de traduction de Samuel Kramer, Jean Bottéro, Marie-Joseph Seux, Thorkild Jacobsen, René Labat ou encore André Caquot… J'ai tout de suite remarqué que les transcriptions étaient souvent différentes les unes des autres. Cependant, le sujet central restant le même, mes proches et moi n'avons pu que constater la surprenante similitude entre mes "flashs" et l'histoire fondamentale produite sur ces tablettes d'argiles vieilles pour certaines de plus de 5 à 6 000 ans ! D'un autre côté, j'ai tout fait pour ne pas me plonger trop profondément dans ces traductions afin de préserver intacte l'histoire telle que je l'avais reçue, car de très nombreux éléments inédits paraissent totalement absents des tablettes.

Parmi ce qui me semble le plus singulier au niveau des similitudes est qu’il existe de nombreux points communs comme celui du clonage qui est assez détaillé sur les tablettes et que des auteurs modernes comme Zacharia Sitchin, R. Boulay et David Icke ont bien remarqué. Mais, il y a surtout tout ce qui entoure le personnage central qui se nomme Sa'am dans le premier tome et qui portera d'autres noms sur la Terre. Mais je ne peux en parler pour l'instant sous peine de dévoiler par avance certains détails importants du deuxième ouvrage qui n'est pas encore édité à l'heure où je réponds à vos questions.

Karmaone : Vous travaillez énormément sur le langage, la décomposition des mots sumériens, pour y analyser les significations profondes et le lien avec certains mots de nos langues modernes. Vous êtes vous basés sur un travail d’intuition et de documentation ou bien certains éléments de cette langue sont «imprimés» en vous ?

Anton Parks : Comme je l'ai dit précédemment, lorsque j'ai reçu ces informations, j'ai bien perçu que le langage utilisé n'avait rien à voir avec le français, même si sur l'instant je le comprenais comme s'il s'agissait de ma langue natale. Cette histoire de codification du langage était très présente et est due à l'existence de castes chez les Gina'abul (lézard(s) en sumérien). J'ai cru pendant plusieurs années qu'il s'agissait de l'hébreu, mais mes quelques incursions "héroïques" dans cette langue ne m'ont absolument pas mis sur la voie d'une codification grâce à son syllabaire (NDR : un syllabaire est un ensemble de signes ou de symboles qui représentent des sons. Système d'écriture, voire un manuel de lecture, qui présente les mots d'une langue découpés en syllabes. Le découpage de « mots » en « syllabes » permet de travailler sur le sens en investiguant sur la combinaison de plusieurs termes qui combinés ensemble forment un mot et un concept plus ou moins complexe). Ce n'est que bien tardivement, vers la fin des années 90, que la piste Sumer s'est définitivement présentée à moi. J'étais au bout de tout. J'avais réussi à mettre un début et une fin à ces "archives" que j'avais reçues pendant toutes ces années dans le désordre, mais le langage mère me manquait et du coup certaine compréhensions aussi. Lorsque j'ai eu en main mon premier syllabaire sumérien, j'ai aussitôt décomposé certains termes bibliques et cela a fonctionné. Pour réussir la décomposition d'un mot, il faut connaître le contexte qui a conduit vers l'assemblage de tel ou tel terme.

Prenons par exemple, le vocable sumérien Gina'abul (lézard(s)). Une fois décomposé, cela donne GINA-AB-UL, soit "véritable(s) ancêtre(s) de la splendeur". Lorsque l'on connaît la vanité maladive des êtres dont je décris en partie l'histoire, on ne s'étonnera pas d'une telle appellation! Prenons un autre exemple simple : le nom « Adam » n'est absolument pas, comme on souhaite nous le faire croire, de l'hébreu en relation avec les termes "adama" (glèbe) ou encore adôm (rouge)… Je m'étonne encore aujourd'hui qu'aucun auteur n’ait relevé que ce terme existe en sumérien en tant que Á-DAM et veut dire : "bêtes, animaux, troupeaux" ou encore "prélèvement, établissement, installation ou colonisation" et sous forme verbale : "infliger" ! Si Á-DAM était utilisé pour désigner des personnes, cela donnerait : "les bêtes, les animaux, les prélevés, les établis, les installés ou encore les colonisés, les infligés"… L'idée d'un être esclave totalement soumis aux "dieux" est renforcé dans l'équivalence du terme Á-DAM en akkadien qui est Nammaššû et qui se traduit phonétiquement en sumérien en nam-maš-šû, soit littéralement : "la demi-portion à charge"… Je pense que l'on ne peut être plus précis !

Karmaone : Paul Von Ward, un auteur américain spécialisé dans l’étude des civilisations anciennes et qui travaille sur l’hypothèse de l’influence extraterrestre sur ces civilisations antiques, pense que les langues anciennes comme le sanscrit, l’akkadien et le sumérien sont les vestiges des langages que nous auraient enseignés ces visiteurs extraterrestres «colonisateurs». Ces langues seraient dotées d’un réel pouvoir : un pouvoir créateur, magique et évocateur. Toujours selon Von Ward, tout cela aurait été perdu. Qu’en pensez-vous ?

Anton Parks : Le véritable pouvoir que je peux identifier est avant tout un pouvoir de codification comme je l'explique de long en large dans mon premier ouvrage. Les syllabes sumériennes et akkadiennes permettent de décomposer les principaux mots de langages ancestraux, comme le chinois, l'hébreu, le grec ancien, le latin, les langues germaniques et amérindiennes, etc… Cela fera sans doute bondir tous les linguistes, mais je pense avoir été suffisamment précis dans le premier tome. D'ailleurs, mon éditeur et moi avons décidé de placer tous les numéros et accents des syllabes que je décompose de façon à ce que n'importe quel curieux puisse vérifier mon travail.

Je précise simplement à tous ceux qui n'auraient pas lu "Le Secret des Etoiles Sombres", que le syllabaire sumérien (l'Emenita = langage mâle) était uniquement utilisé par les mâles Gina'abul, alors que les femelles, créatrices de l'ensemble du syllabaire Gina'abul, jonglaient adroitement avec les particules sumériennes et celles que l'on retrouve dans l'akkadien. Cet ensemble formait en quelque sorte une version intégrale dénommée Emešà (le langage matrice). Bien entendu, tout ceci n'est pas inscrit sur les tablettes, les Gina'abul tenaient trop à leur code ! Quant à savoir pourquoi le langage (et le syllabaire) akkadien – qui est apparu totalement formé du jour au lendemain– semble à première vue ultérieur au sumérien, vous aurez cette réponse dans le volume 3 : "Rising Nebheru" (L'Eveil de Nebheru)…

Karmaone : Zecharia Sitchin a présenté les «Anunnakis» comme une seule race, un groupe monolithique composé de plusieurs clans d’une même famille qui s’opposent, Enki s’opposant à Enlil, etc.. Or, lorsqu’on lit votre livre, on s’aperçoit que l’histoire est bien plus complexe et que ces entités qui seraient venues sur terre, ou qui s’y seraient intéressée, représenteraient plusieurs races dissemblables dont certaines proviendraient même d’autres dimensions : il y a la race reptilienne, en général représentée par le terme Gina’abul, race comprenant les Sutum, les Amasutum, les Kingu, les Musgir, etc.

Pourriez-vous détailler ces clans, ces différentes races et nous expliquer brièvement si ces créatures ont des caractéristiques physiques différentes des nôtres et d’où elles viennent. Quel est le statut précis des Anunnakis ? Pourquoi les tablettes sumériennes évoquent particulièrement ces entités et d’où vient ce nom, les Annunakis.

Anton Parks : J'ai du respect pour Zecharia Sitchin, il est un précurseur en la matière. Grâce à lui, bon nombre de personnes se sont familiarisées avec l'univers mésopotamien. Son esprit de déduction et ses interprétations l'ont souvent mené à des conclusions très intéressantes. Cependant, lui comme les autres auteurs se sont-ils attachés à l'origine des Nungal (NDR : race de planificateurs reptiliens mâles) d'Enki (les Igigi en akkadien) ? Se sont-ils intéressés aux souches Kingú, Imdugud (Anzu) et Mušgir ? S'ils l'avaient fait un tant soit peu, ils auraient très vite compris qu'il s'agit d'éléments séparés appartenant à la même lignée que les Anunna, mais pour la plupart en conflit avec ces derniers. Les autres termes comme Amašutum, Mìmínu, etc… ne semblent pas présents sur les tablettes, cependant, je donne clairement leurs définitions dans mon livre.

Oui, toutes ces souches, appartenant aux Gina'abul, possèdent souvent un physique différent. Les Mušgir (litt. "reptile furieux"), par exemple, sont des dragons ailés. On les retrouve aussi sous le nom assyrien « Pazuzu ». Ils peuvent circuler sans aucun problème de la 1ère à la 3ème dimension. Les Mìmínu sont les extraterrestres dénommés "Gris". Ce terme se retrouve chez les Dogons du Mali et veut dire "fourmi". Quant aux Kingú, que l'on identifie à l'akkadien Quingu, ils sont comme la racine de ce nom l'indique la souche royale des Gina'abul. Décomposé en sumérien cela donne KIN-GÚ "ordonner la terre (ou les régions)". Les Kingú sont en guerre contre les créateurs des Anunna, les Ušumgal (litt. "Grands Dragons", terme repris plus tard par les Sumériens pour dénommer leurs dieux et leurs souverains). Les Kingú sont de 3 types différents, les blancs (les grands royaux), les rouges (les guerriers-nettoyeurs) et les verts (le peuple, lui aussi guerrier). Les tablettes akkadiennes présentent, du reste, un certain Quingu comme un complice de la reine Tiamat(a), elle-même en guerre contre les Anunna…

Ce sont les différentes guerres qui jalonnent le monde Gina'abul qui ont séparé toutes ces souches les unes des autres. C'est la guerre qui a entraîné les Anunna sur la Terre. C'est pour cette raison que ces exilés forcés seront nommés plus tard Anunnaki ("les Anunna de la Terre"). La plus grande majorité des tablettes sumériennes relatent les aventures des Anunna sur la planète bleue. C'est une sorte d'ode à rallonge aux guerriers Anunna. Il s'agit de chroniques plus ou moins détaillées qui relatent leur établissement et surtout leur mainmise sur l'humain qu'ils transformeront génétiquement en bétail pour leur plus grand plaisir, car les Anunnaki sont plutôt paresseux ! D'où le fait qu'ils soient considérés comme des "dieux" (ou carrément Dieu) aux yeux de l'humanité. Mais le vrai "Dieu" est ailleurs et ses "émissaires angéliques" ne sont pas loin…

Ceux qui s'intéressent aux "anges" et aux fréquences élevées ne doivent pas perdre de vue que dans l'univers, les opposés s'unissent toujours pour créer l'unité. Dans un monde de séparation comme le nôtre, ne jurer que par les anges est un peu comme se voiler la face et ne croire qu'aux sociétés secrètes et aux reptiliens revient à donner de la puissance à ces derniers…

Karmaone : Justement, dans votre livre vous évoquez l’existence d’une sorte de caste de « planificateurs », les Kadistus. Qui sont-ils? Représentent-ils une race particulière ou plutôt une communauté de races extraterrestres d’origines différentes ? En quoi sont-ils proches de la source originelle ? Quel est leur rôle ?

A cet égard, lorsque vous parlez de «source originelle», parlez-vous de la source ultime et originelle de toutes les dimensions, de tous les univers ?

Anton Parks : Les Kadištu sont les émissaires de la Source Originelle ("Dieu") dont nous sommes tous issus. On retrouve ce terme sous la forme akkadienne « Qadištu » qui évoque une prêtresse de haut rang dont l'équivalence sumérienne est NU-GIG "la non malade" mais aussi "l'image du mal"… Aux yeux des mésopotamiens, la Qadištu était une prostitué sacrée. J'insiste suffisamment sur le rôle du sexe et sa relation avec le divin dans le premier ouvrage, je ne reviendrai donc pas dessus. Il me faut, par contre, rappeler que chez les Gina'abul, les femelles (les prêtresses Amašutum) sont des émissaires de la Source et font partie des Kadištu. Il n'est donc pas étonnant de retrouver ces prêtresses avec des définitions comme "l'image du mal" (à l'instar d'Eve qui représente le péché de chair parce qu'elle fut initiée au principe "du bien et du mal") et en tant que "non malade" du fait qu'elles connaissaient les vertus de la sexualité sacrée qui écarte la maladie… D'ailleurs, le terme akkadien Qadištu décomposé en Emešà (le langage matrice) donne KAD4-IŠ7-TU, litt. "ancien(s) assembleur(s) de vie". Ce vocable est par ailleurs à rapprocher du mot latin « caducéus » (caducée) (NDR : symbole de deux serpents entrelacés représentant l’art de guérir employé aujourd’hui par les médecins et les pharmaciens). Qu'il s'agisse des prêtresses élevées Qadištu des traditions akkadiennes ou des Kadištu (les planificateurs), tous possèdent le secret des chakras symbolisés par le caducée. Une bonne maîtrise de l'ensemble des chakras permet l'élévation de la conscience que ne souhaitent justement pas les Gina'abul mâles qui manipulent ce monde en coulisse depuis des millénaires !

La collectivité des Kadištu est assez présente dans l'histoire que je raconte car elle est en conflit avec une grande partie des Gina'abul. Il s'agit plutôt d'une communauté de différentes races extraterrestres. Son rôle est d'unifier les espèces de notre univers au nom de la Source de toute chose que l'on associe à Dieu sur la Terre. Il faut savoir que les Kadištu sont très puissants. Mais ils disposent d'un principe fondamental qui est celui de ne pas trop interférer dans les affaires des êtres à fréquences réduites qui sont en pleine évolution. L'humanité terrestre actuelle fait partie de ce type d'êtres à cause de la manipulation millénaire des Anunna. Malheureusement, pour ces derniers qui dirigent en secret les affaires des Hommes, l'être humain est en pleine mutation et va bientôt sauter de dimension… C'est un moment historique très attendu dans l'histoire de l'humanité. Les Kadištu nous surveillent plus que jamais et nous envoient des messages par l'intermédiaire de personnes qu'ils contactent directement (par abductions) ou de façon allusive, (par contacts télépathiques), bien qu'il faille parfois rester vigilant, car la plupart des personnes contactées de cette façon sont souvent de bonne foi, mais peuvent aussi faire de mauvaises interprétations de ce qu'elles ont reçues. Dans le cas des abductions, précisons que les "Gris" en pratiquent aussi, alors qu'ils sont habituellement au service des Gina'abul…

Les Kadištu sont en quelque sorte les Elohim de la Bible, c'est-à-dire les Anges de "Dieu" (de la Source Originelle). Ils vivent dans les dimensions supérieures et très peu d'entre eux peuvent se mouvoir dans la troisième dimension, ce qui ne facilite pas le contact direct et qui explique leur façon détournée de nous approcher. En sumérien l'ensemble des dimensions supérieures est dénommé Angal, c'est-à-dire "Grand Ciel", remarquez comme ce terme est proche du vocable anglophone Angel (ange) !

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Commentaires récents

Or

Etant passionnée d'archéologie antédiluvienne, j'ai adoré ce livre.

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Or

très original et instructif, cela donne envie de lire les autres tomes qui deviennent difficiles à trouver !

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Or

Voilà un livre qui nous amène sur l'hypothétique exogénèse de l'humanité. Après lecture de cette fiction on a envie de creuser davantage le sujet. L'ouvrage parle d'une caste reptilienne dominante qui détient les clés de la procréation assistée de plusieurs espèces dont l'Homme. Une partie de notre cerveau s'appelle "cerveau reptilien" et ses caractéristiques cadrent parfaitement avec les spécificités de cette espèce humanoïde reptilienne. Etant ouverte à tout j'étudierai d'autres auteurs qui traitent de cette éventualité.D'autant que le temps passant, l'humanoïde reptilien se laisse découvrir de ci de là aux quatre coins du globe par la mise en lumière de nombreuses statues et représentations archéologiques.Je ne pense cependant pas qu'il puisse s'agir de la représentation d'une race extraterrestre mais plutôt de formes de vies éthériques, des entités...voire même des démons.

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Argent

Excellente hypothèse de la naissance de notre évolution. J'adore !

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Date de sortie

Les Chroniques du Ǧírkù, Tome 1 : Le Secret des étoiles sombres

  • France : 2013-06-26 - Poche (Français)

Activité récente

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