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Mon premier Collen Hoover dont j'en attendais beaucoup et je ne suis pas déçue. Bien que cette lecture ne soit pas un coup de coeur j'ai énormément aimé la thématique qui est originale et le lien particulier qui unissent Fallon et Ben. L'autrice a su rendre ces six années addictives, réalistes, et sans longueur. Cependant, certains éléments manquent de profondeur. J'aurais aimé en savoir plus sur leur quotidien entre chaque 9 novembre. L'intrigue tient la route, et je n'ai même pas vu venir quelques révélations ! Les personnages sont attachants, bien que banals, ça change des clichés que l'on retrouve en romance. J'ai davantage apprécié Ben, Fallon étant à mon goût, un peu trop plate et passive parfois. En conclusion j'ai passé une très agréable lecture, qui a su me toucher et m'émouvoir à la fin. Je recommande !

Poèmes simplistes et beaucoup dans le cliché, style particulier que je n'ai pas trouvé élégant. Je n'ai pas compris l'engouement pour ce recueil, ceci dit quelques textes que je retiens m'ont plu.

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Ce qu'ils n'ont pas pu nous prendre est un livre qui m'a énormément touchée. Cependant quelques éléments m'ont déplu, et sans ça, je pense que ça aurait fait toute la différence.
Nous suivons Lina jeune fille de 15 ans lituanienne déportée avec sa famille. Malheureusement je n'ai pas accroché avec le personnage. Au début du récit j'ignorais son âge et je lui donnais 13 ans (j'avais oublié le résumé et je vous conseille de ne pas le lire car il en dit trop). Elle est immature et beaucoup trop enfantine. Son portrait que l'on en fait au départ ne correspond pas à ce qu'elle donne dans le livre. Je m'attendais à plus de caractère, je l'ai senti absente malgré qu'on soit dans sa tête.
Et à l'inverse son frère fait bien plus qu'un enfant de 10 ans. Jonas qui est son nom est adorable et il m'a fendu le coeur à plusieurs reprises.
J'ai bien aimé la mère également, mais je n'ai pas réussi à me sentir proche de la famille jusqu'à la dernière partie. La façon dont les faits sont racontés donne l'impression que Lina et sa mère (on excusera Jonas) les vivent passivement. Alors que l'on est du point de vue de Lina je n'ai pas ressenti suffisamment de colère, de révolte, de tristesse et de souffrance. Mise à part lorsqu'elle dessine. L'autrice a bien retransmis ses sentiments et j'ai donc pu très bien visualisé les dessins.

Les blessures, les injustices se passent comme s'ils étaient écrits dans un livre d'histoire et que les personnages n'étaient qu'à moitié concernés. Pourtant c'est ce genre de fiction qui permet justement de mieux se rendre compte de ce qu'ont pu vivre ces populations et ça n'a pas été le cas ici.
Bien que ce livre soit jeunesse il est pauvre en informations historiques, presque pas documenté. Sûrement raison pour laquelle Lina ne s'interroge que très peu sur la situation. Ce qui ne m'a pas paru réaliste.
J'ai d'ailleurs noté quelques incohérences ou idées floues. Lina qui a un opinion bien tranché sur Staline ne connait rien de ce qui se passe politiquement. Et quelques fois alors qu'elle est sensée ignorer certaines informations on se retrouve avec des sauts dans le passé où finalement elle les sait.
La plupart de ce qui se veut être des « révélations » sont devinables à l'avance. On sait tout de suite où l'autrice veut en venir car pas du tout subtile. D'un autre côté il y a des questions auxquelles je n'ai pas eu réponse...

Pour ce qui est de l'amourette entre Lina et Andrius je n'ai pas aimé ce dernier qui est rancunier, pas très aimable parfois, et un peu immature sur les bords (pour faire fumer un enfant de 10 ans, je n'ai pas compris pourquoi sa mère a accepté ?). Pour la place que ça prend dans le livre, ce n'était pas nécessaire. Du jour au lendemain les adolescents s'aiment, sans que rien ne se passe au final. J'aurais aimé que ce soit plus présent ou tourné autrement afin de donner à leur amour plus de crédibilité. Ca aurait apporté une touche de douceur dans cette horreur.

La dernière partie est celle que j'ai préféré car la plus émouvante, les événements qui se déroulent sont d'une extrême dureté. Je me suis enfin sentie proche de cette famille et des autres déportés (coup de coeur pour le Chauve qui m'a plusieurs fois fait sourire).
Dommage que la fin soit expéditive, ce qui a aussi été le cas pour de nombreuses scènes qui s'interrompent brusquement alors qu'elles méritaient d'être plus développées. L'épilogue ne m'a pas non plus satisfaite.

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Dans la lettre de Lina on sait qu'elle retrouve Andrius et se marie avec lui, mais on n'a pas assisté aux retrouvailles ce qui est vraiment frustrant. On ne sait pas non plus si son père a survécu. On ne sait pas ce que Jonas est devenu. Et on apprend qu'ils sont restés douze ans dans ces goulags ce qui est le plus déchirant finalement. Ils ont passé tant d'années dans cet enfer, leur jeunesse sacrifiée, et j'ai ressenti une profonde injustice.

J'aurais souhaité beaucoup plus de détails ! Qu'on suive cette famille plus longtemps.
Néanmoins j'ai appris. On a tendance à faire focus sur Hitler, ce qui est arrivé aux juifs, et on met un peu de côté cette autre partie de l'histoire. Mais ce livre à mon goût, aurait pu être bien mieux exploité. Je reste hantée par leur histoire, le plus effrayant étant, que c'est réellement arrivé il y a peu de temps.

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Un classique dans le genre que je me devais de lire. Ce fut enfin chose faite !
Je ne vais pas vous présenter ce livre mondialement connu, je pense que vous en avez assez entendu parler pour vous être fait une idée de l'univers.
Univers en bonne partie représentatif de notre époque, d'autant plus impressionnant que l'année de parution date de 1949.
Pas seulement la surveillance que George Orwell anticipe mais aussi la manipulation, la propagande, que nous subissons indubitablement via les médias, les sondages, et tout ce que l'on peut nous sortir comme étant la vérité vraie.
L'esprit critique tend à disparaître, aidé de cela par la réflexion qui se veut de plus en plus médiocre malgré une instruction obligatoire. Le langage s'appauvrit de génération en génération (et ça a son importance), les gens s'abrutissent sans même s'en rendre compte.
Comme le livre nous le décrit si bien, tout se joue dans l'inconscient collectif où il n'est plus possible de faire la part des choses, entre réalité et mensonge. Cela passe par le novlangue, le contrôle de la pensée, mais aussi le contrôle de l'enseignement, de l'éducation, en somme il s'agit d'une main mise totale de l'individu.
Aujourd'hui on nous déverse mensonges, incohérences, et peu de personnes s'en interrogent.
1984 reflète très bien ce que devient notre société et ce qu'elle pourrait facilement devenir à l'extrême.
Cependant ayant conscience de beaucoup d'éléments dont on fait parallèle à notre monde actuel lors de la lecture, je n'ai pas vraiment appris. Mais il est intéressant de suivre concrètement ce qui peut découler d'un tel régime, et les idées qui y sont développées, ainsi que la mise en garde.

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On suit Jem qui a perdu son meilleur ami Kai suite à un suicide. Ce dernier n'a pas supporté la vidéo compromettante qui a été diffusé de lui.
Ce que je n'ai pas compris c'est comment peut-on se donner la mort pour si peu ? J'imaginais au départ que Kai subissait déjà un harcèlement antérieurement, mais il s'est avéré que non. Alors je pensais qu'après la publication une partie de l'histoire allait se centrer sur l'acharnement qui en découlerait. Mais là non plus… Il s'est suicidé trois jours après sans même s'être confronté aux élèves du lycée.

J'ai trouvé ça précipité et pas du tout crédible. Qui se donnerait la mort aussi facilement sans essayer de se battre un minimum ? Le motif est trop léger et insuffisant pour prendre une telle décision. Des gens endurent bien pire avant de se suicider. Kai était heureux, n'était ni dépressif, ni harcelé et pourtant il s'est suicidé en deux-trois mouvements. J'ai l'impression que l'autrice a été expéditive pour vite passer à l'histoire de Jem. Car en réalité c'est son histoire plus que la sienne et j'ai trouvé dommage que ce ne soit pas plus équilibré. Il y aurait eu de quoi approfondir sur Kai.

Immature, contradictoire et hautaine, je n'ai pas du tout aimé l'héroïne. Malgré tout, entre les lignes, on ressent sa détresse et c'est la seule chose qui m'a touchée chez elle. En revanche Kai avait l'air d'être un personnage plus intéressant mais qui n'a pas été exploité. Il apparait peu dans le livre, et on le connait finalement qu'à travers quelques lettres…

Là encore je m'étais fait une toute autre idée des lettres. Je pensais qu'elles aideraient Jem dans son enquête ou que son meilleur ami allait lui révéler des secrets, la guider sur des pistes. Alors que ce sont juste douze lettres qui se ressemblent un peu toutes même si elles sont parfois émouvantes compte tenu de ce qui est arrivé au garçon… en bref ce n'était pas folichon.
Jem n'a donc pas enquêté plus que ça sur l'auteur de cette vidéo puisqu'elle s'est bêtement laissée convaincre par un simple mot anonyme portant les noms des trois sois-disant suspects. Je sais bien que c'était volontaire de la part de l'autrice mais quand même ! Avec le tempérament de Jem il aurait été plus cohérent qu'elle cherche à tout prix le coupable, qu'elle s'en assure sincèrement plutôt que de se laisser aller dans la facilité et prendre ce qui lui arrange !
Et la vengeance ? Où est-elle ? Au final on a plus suivi le quotidien d'une ado banale que de Jem déterminée à se venger tout en passant du temps avec les responsables de la mort de Kai. J'ai été déçue de ce côté-là aussi. Revanche ne porte pas bien son nom...

La coupable n'est d'ailleurs pas une surprise, je pense que tout le monde l'a deviné dès le début. Presque tout est prévisible, tout est trop simple, de la relation entre les personnages à leurs caractères. Ce qui explique qu'ils soient tous plus clichés les uns que les autres, même si je m'y suis légèrement attachée vers la fin. Puisque c'est seulement là qu'on découvre leurs failles, leur réactions sincères et étant donné ce qui se passe ils sont forcément un peu plus différents.

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Malgré tous ces défauts la fin m'a un tantinet chamboulée, j'espérais un happy end. L'autrice a conduit le suicide de Jem d'une façon vraiment très émouvante et surtout frustrante ! Ses dernières pensées sont tellement tristes… A cause d'une simple vidéo deux vies ont été détruites, ainsi que celles de leur famille. Ca méritait un épilogue. Je me demande comment Lucas, Sasha, sa famille ont réagi, comment il s'en sortiront?

Pour conclure, c'est une déception je m'attendais à beaucoup mieux, je n'aime pas le style de l'auteur trop adolescent à mon goût j'ai lu des livres jeunesse avec un langage plus soutenu que ça, mais ce fut quand même une lecture sympathique.

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Un peu mieux que le premier, plus d'actions, mais toujours aussi prévisible. La romance absolument pas convaincante, et les nouveaux personnages non plus, trop extrêmes dans les clichés. Une fin facile et qui m'a tirée peu d'émotions.
L'engouement de ce diptyque est pour moi, toujours un mystère...

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Je m'attendais à beaucoup, le synopsis vend quelque chose qu'on ne retrouve pas dans le récit. Le scénario est prévisible du début à la fin, les personnages sont fades et sans saveur (qui plus est insupportables l'héroïne comme sa soeur), il y a peu d'action, excepté vers la fin, mais là encore rien de transcendant.
C'est plat, il manque de profondeur et de détails dans tout. J'avais l'impression que l'histoire se déroulait à notre époque, simplement après une guerre nucléaire.
Je m'attendais à plus de rivalités, de détermination concernant le rôle d'Ivy et à un monde différent.
J'ai noté quelques incohérences.
Ce qui se cache derrière la barrière reste intriguant et c'est seulement ce qui me poussera à la lire la suite.

"À la fois histoire d’amour torturée, thriller psychologique et dystopie cruelle" : ABSOLUMENT PAS.

Ca fait plusieurs années que j'ai lu le premier tome de cette trilogie. J'en ai gardé que très peu de souvenirs, j'ai même réussi à oublier Warner, c'est vous dire ! Je n'ai pas été perdue pour autant, l'auteure fait pas mal de rappels. En revanche ça a été une totale redécouverte des personnages, car j'avais oublié leur personnalité.
J'ai beaucoup aimé de tome-ci. L'intrigue en soi est assez classique pour un univers de science-fiction, mais la force du livre provient des personnages.
Au début j'ai eu du mal avec Juliette, puis petit à petit j'ai commencé à la comprendre, et n'importe qui aurait vécu quelque chose de similaire se serait comporté de la même manière. Je n'ai donc pas apprécié la dureté de certains personnages envers elles. Cette fille n'a rien demandé et elle n'a que 17 ans ! Elle se retrouve contre son gré, parce qu'elle a un pouvoir, dans une guerre dont elle ne sait pas grand-chose au final. Elle doit se réhabituer à vivre en communauté et c'est pas facile.
Kenji et Castle ont parfois peu d'indulgence. J'ai d'ailleurs pas bien accroché avec Kenji. Sa personnalité excentrique est marrante mais ça peut vite être gênant.
Adam est plus effacé cette fois-ci et Warner davantage présent pour mon plus grand plaisir ! Je crois qu'il est devenu mon personnage masculin favori après Darcy.
Ce qu'il y a de beau dans ce livre, c'est la plume de l'auteur. Elle est vraiment spéciale, poétique, et pleine de détails. Au final les dialogues sont pas très nombreux, et ce qui les remplace ce sont les regards, les mimiques des visages, les émotions que Juliette ressent. C'est encore plus puissant que les mots. J'ai eu l'impression de voir un film sous mes yeux tellement les expressions des personnages sont bien décrites. Ce procédé d'écriture donne énormément d'intensité à l'histoire.
Je n'ai encore jamais lu un style de ce genre pour tout vous dire, et je trouve ça mieux, ça rend les personnages plus vrais, plus réalistes, on se sent plus proche d'eux car c'est comme si on était devant et qu'on lisait sur leur visage.
Bien évidemment c'est un coup de coeur.

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Un petit coup de coeur pour cette romance toute mignonne et attendrissante. L'auteure a réussi à rendre cliché ses personnages, tout en les rendant originaux à la fois. Leur histoire est assez fleur bleue, et pourtant… l'intensité, l'émotion sont au rendez-vous. Les événements sont prévisibles, mais ça ne gâche rien. C'est rare que l'on ressente un amour aussi fort entre des enfants et adolescents, l'auteure a su retranscrire la force de leurs sentiments avec finesse. Le livre et les phrases sont courtes, mais les mots restent poignant. Ca correspond totalement à la devise de l'un des personnages.
Poppy est adorable, c'est un personnage féminin que j'ai beaucoup aimé, et c'est pas souvent que ça m'arrive. Elle donne une leçon de vie, elle dit des choses très sensées, c'est une fille courageuse dont on apprend beaucoup.
Rune est tout aussi mignon mais certaines choses m'ont dérangé, notamment sa relation avec ses parents. Ce qui est gênant c'est que leur amour prend le dessus sur tout, et même sur leur famille. L'auteure a voulu rendre ça tellement fort, qu'elle a fait ce choix. Mais il est vrai que c'est troublant, et que Rune paraît ingrat même si c'est un gentil garçon.
Ce qui est intéressant c'est que leur idylle naît alors qu'ils sont enfants, et même si on ne les suit que par petites périodes, le fait de le savoir rend leurs sentiments réalistes puisqu'ils s'aiment depuis très longtemps.
On ressent vraiment la bulle que forment ces deux ados, cette exclusivité, cette appartenance. C'est beau et touchant. Et pour une fois ces personnages font vraiment adolescents et non pas adultes comme dans les livres jeunesse classique.
Un livre que je conseille vivement si vous voulez passez un bon moment, faites attention la petite larmichette peut cependant couler.

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Cette fois-ci le second tome est un peu mieux que le premier. Nous suivons deux personnages qui sortent un peu des clichés, mais seulement célibataires. Car une fois qu'ils se retrouvent ils deviennent gnangnan à souhait, surtout Westcliff. Je m'attendais à ce qu'il garde le fameux charisme dont il faisait preuve dans le premier volume, mais dès qu'il est en présence de Lillian il devient une autre personne.
Les personnages sont très importants dans cette saga puisque toute l'intrigue se repose sur eux. Et finalement ces deux là ne sont pas plus intéressants que les autres.
La romance est présente dès le début, et malgré que le couple s'avoue leur attirance ils préfèrent l'ignorer, alors qu'ils ne cessent de se trahir dans leur gestes et leurs paroles. Ca a donc rendu leur histoire d'amour complètement ridicule. L'auteur ne les a pas laissé se découvrir, flirter, elle a préféré les plonger dans le bain directement et afin de mettre un peu de piment, leur faire nier leurs sentiments. Je n'ai pas aimé c'était trop « gros ».
Il n'y a rien eu de captivant, c'était banal et redondant.
Cela dit le style est plus appliqué que dans le tome 1, il y a davantage de descriptions, on s'immerge mieux dans l'époque.
La fin est intéressante mais survolée, c'est pourtant le seul passage exaltant du livre.
En bref dans cette suite, on y découvre pas grand-chose de plus, ça se lit bien, mais sans plus.
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Encore une déception pour cette fois-ci ce roman, dont je ne comprends toujours pas l'engouement. Je m'attendais à quelque chose de saisissant, émouvant… mais je ne suis passée par aucune de ces émotions. Le thème abordé est pourtant sensible, il s'agit de la violence familiale. Emma que l'on suit en est victime par sa tante.
L'idée est bonne mais pas suffisamment exploitée. Dans ce livre on suit principalement la vie d'une lycéenne lambda, peu nombreux sont les moments violents qui ne m'ont d'ailleurs pratiquement pas touché. Car on ne comprend ni les motivations du bourreau, ni la logique de la victime, qui en passant, est d'une banalité affligeante.
Au début ca commence bien, les émotions sont bien décrites, on sent que le personnage ressent un mal être mais ça s'efface vite à l'arrivée d'Evan. Leur romance n'a rien apporté, si ce n'est des dialogues sans intérêt. Par conséquent leur relation n'a rien de captivant, car moi-même je me demandais ce qu'ils se trouvaient l'un l'autre puisqu'ils ne parlaient de rien, si ce n'est de futilités.
Bref tout ça est bien dommage car je n'ai pas réussi à aimer Emma qui fait preuve d'une incohérence tout le long de l'histoire. Pourquoi révéler son secret la mettrait en danger ? Pourquoi vouloir protéger des enfants si c'est pour les laisser sous l'emprise d'une folle ?
La fin est étrange et bâclée. Cela dit, je lirai la suite par curiosité, en espérant que ce soit mieux que le précédent tome.

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Immense coup de coeur pour cette histoire. Bien que le roman soit court et un peu trop évasif à mon goût j'ai adoré du début à la fin. J'ai aimé Madeline, sa façon de surmonter sa maladie, sa rencontre avec Olly, découvrir son quotidien, la suivre tout simplement. Cette histoire est émouvante, et très mignonne. Ce que je regrette c'est qu'elle soit trop courte. La façon dont l'auteur anime son livre est parfait et correspond à l'ambiance, à la fois légère, pesante et attendrissante.
Cela dit je reste sur ma faim car j'aurais aimé connaître davantage les personnages, assister à leur évolution. Par conséquent leur couple n'est pour moi, pas le mieux réussi dans tout ce que j'ai pu lire, mais j'ai quand même beaucoup aimé.
La plume de l'auteure est bouleversante, elle utilise des mots justes et poignants. Il suffit de quelques mots bien placés pour être touché.
Je ne sais pas si je suis la seule, mais cette lecture a été difficile pour moi, dans le sens où j'étais vraiment en harmonie avec le personnage et que plus d'une fois j'ai versé quelques larmes même si la situation ne s'y prêtait pas forcément.
Pour conclure, c'est un livre que je conseille à tous et pour tous les âges. J'ai hâte de voir le film qui sort prochainement.

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Un livre dont on a beaucoup entendu parlé avant sa sortie. Le résumé m'avait aussi beaucoup intrigué. Malheureusement je suis quelque peu déçue. J'en attendais sûrement trop. L'histoire reste bien, ça se lit facilement et rapidement, mais l'univers manque cruellement d'approfondissement. Le fonctionnement de cette société n'est pas assez détaillé à mon goût, il manque des éléments, comme l'explication du moyen qui permet de rendre les hommes immortels. Les personnages sont ennuyant, ils n'ont rien de spécial. Je dirais que leur seul point positif c'est leur évolution.
Ce qu'il y a de bien dans ce livre, c'est l'idée originale des faucheurs, le sujet de la mort. Ceci dit malgré que ce terme soit abordé durant tout le livre, cela ne m'a pas effrayé plus que ça.
En bref je n'ai pas accroché mais ça reste une bonne lecture. Je pense d'ailleurs que la suite sera plus intéressante car les personnages prennent un nouveau chemin. Et je vois très bien « La Faucheuse » adapté au cinéma rien que pour les scènes d'action.

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Quel a été le grand de plaisir que de retrouver Mr Darcy ! Alors certes, il n'était pas question de la plume de Jane Austen mais c'était bon quand même ! Après ma lecture d'Orgueil et Préjugés, j'avais ressenti un goût d'inachevé, les personnages me manquaient, Mr Darcy me manquait !
Et Amanda Grange a fait un excellent job. Dans son livre nous retrouvons des scènes déjà vécues qui proviennent du livre initial, et par conséquent les même dialogues, mais du point de vue de Darcy. Et c'était très agréable de les revivre, non seulement parce que les répliques de Jane Austen sont toujours bonnes à relire mais aussi parce que nous avons connaissance de toutes les pensées de Darcy. L'auteur a rendu tout cela cohérent, les émotions s'accordaient au personnage, sa plume s'accordait à celle de Jane Austen. Ca faisait réaliste.
Grâce à cette adaptation j'ai d'ailleurs encore mieux saisi certains agissement de Darcy. Les nouvelles scènes que nous offre l'auteur sont très bien liées aux év2nements de Orgueil et Préjugés.
La forme journal intime est une bonne idée, car les passages sont raccourcis, le temps aussi... bref on a là l'essentiel. Pas besoin de trop de descriptions car on connaît déjà le décor, tout a été très bien ficelé de manière à ce que ce ne soit pas redondant.
Ce que j'ai aussi aimé, c'est cette fin qui a été poussée et que beaucoup de fan de Orgueil et préjugés auraient voulu connaître.

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J'ai globalement apprécié ce tome HS, qui pour moi, est nécessaire pour ceux qui lisent la trilogie. Elle complète ses quelques manquements, notamment sur le passé des garçons comme vous pouvez vous en douter. J'ai donc un nouveau regard sur certains des pionniers, Mozart et Alexei en l'occurrence. Et le russe m'a particulièrement touché. Grâce à cette lecture je comprends ses réactions parfois trop brusques, ses maladresses, son désir de famille parfaite. Dommage que ce côté là n'ait pas été plus exploité dans ce livre.
Ceci dit, j'ai trouvé que l'auteur partait trop dans les clichés en ce qui concerne les pays des garçons. Des choses m'ont dérangée. J'ai même trouvé des passages insultant vis à vis de la religion, quand il s'agissait de Samson. L'auteur a fait passer la chrétienté pour quelque chose de débile, et de superstitieuse. Je n'ai pas aimé.
Le passé de Kenji m'a laissé sceptique au début, puis finalement ça tenait à peu près la route.
Quant à celui de Marcus que j'attendais avec impatience… il ne m'a pas déçu, j'ai eu réponse à mes questions. Et la fin m'a quelque peu choqué. Je me demande donc ce que nous réserve le tome 4. Il serait vraiment intéressant que Léonor rencontre une personne en particulier.
Et en parlant de cette dernière, j'ai trouvé son comportement très incohérent, ses décisions ne tenaient pas la route malheureusement… encore des passages tirés par les cheveux. (Ce n'est pas le seul)
L'auteur a l'air en effet, très porté sur les sectes farfelus.

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Quelques mots pour résumer : addictif, scénario en béton, riche en rebondissements et originalité. J'ai énormément apprécié ce troisième et presque dernier tome. Bien que je sois mitigée sur certains de ses aspects, notamment en ce qui concerne le personnage Marcus et la fin ! Je suis à la fois déçue, triste, et contente de ma lecture. Car l'auteur a su une fois de plus nous surprendre, nous emmener sur de fausses pistes, créer des retournements de situations intelligents. Son histoire est riche en détails, traite subtilement de l'actualité, et de nos temps modernes. La romance m'a un peu manquée dans ce tome-ci, vous comprendrez mieux pourquoi dans mon prochain article.
Je reste quand même sur ma fin, beaucoup de questions sans réponse, quelques événements tirés par les cheveux, des comportement également incompréhensibles chez certains personnages ! L'auteur a l'air de s'être un peu perdu, même si la base de son histoire reste très bien ficelée.
On en apprend plus sur les personnages, leurs défauts se dévoilent ainsi que leur passé (même si ce n'était pas suffisant, en effet l'histoire était cette fois ci beaucoup plus concentrée sur ce qui se déroulait sur terre). Il m'a manqué aussi cette angoisse que l'on ressentait dans les tomes précédents, cette pression et ce dilemme constant... Ce relâchement m'a gêné.
Pour autant, je ne me suis pas sentie plus proche des pionniers, ce qui est dommage. Alexei est bien saugrenu, et un peu bête sur les bords (même si malgré tout il m'a pas mal fait rire), le reste est soit mouton soit insignifiant… et Léonor n'a malheureusement pas relevé le niveau.
Malgré ses quelques défauts, je classe ce troisième tome qui complète presque la saga (car un 4ème tome est prévu même si c'est une suite sans en être une), en liste d'or !
J'ai pris beaucoup de plaisir à lire cette trilogie, que je conseille à tous.

J'ai enchaîné le tome 2 directement après avoir achevé le premier. Victor Dixen a le don pour nous rendre addictifs à son histoire à la fin de ses livres. Ce qui s'est bien entendu encore produit pour Phobos 2 que je vous présente aujourd'hui.
Les premiers chapitres le furent tout autant, mais au milieu l'intrigue est devenue plus monotone, un peu plus calme, du même rythme que la vie des personnages. Chose qui s'était également déroulée dans le premier tome.
Même si pour moi ça reste un petit moins, il est nécessaire que la lecture se fasse moins méfiante, moins vive, pour que à la fin, les rebondissements chocs soient encore plus frappants.
Ceci dit la romance, le suspens, les mystères, et la décision qu'ont pris les personnages dans ce livre étaient intriguant, et j'ai aimé les suivre.
Leur petite romance est plaisante, d'autant plus qu'on découvre toujours de nouveaux éléments sur le passé des prétendants.
L'auteur aime nous surprendre, et ça fonctionne. En plus d'avoir une imagination et une plume qui nous embarquent facilement dans l'espace, univers qui nous est presque totalement inconnu. Tout ceci fait réaliste.
Cette trilogie en devient addictive, j'en garde un avis très positif, que je classe dans ma liste d'or.

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L'histoire s'installait doucement, progressivement, et c'est devenu de plus en plus addictif ! j'ai défilé les 100 dernières pages en moins de 2. Une excellente lecture, un univers plein de suspens, de mystères, d'énigmes, et de rebondissements !
l'auteur a fait un très bon travail pour nous emmener sur des pistes qui s'avéraient êtres fausses ! nous surprenant de page en page... et sa plume collait parfaitement. Les personnages bien qu'avec une apparence un peu cliché parfois, sont riches, et ont des caractères bien à eux. La romance quant à elle est très bien aussi, et Leo est un personnage que j'ai beaucoup aimé suivre. Une héroïne qui fait des erreurs, qui fait vrai.

Déçue de ma lecture, je m'attendais à plus original, à des personnages plus profonds, à un langage de l'époque plus vrai et donc plus soutenu. C'est une romance assez gnangnan et bourrée de clichés, trop de dialogues, l'ambiance de l'époque n'est pas assez décrite on ne la ressent pas.
Cela dit j'ai quand même un peu apprécié cette romance, donc je suis curieuse de lire la suite... westcliff me semble être intéressant.