Pandore

Livre bien écrit , mais quelques erreurs de la maison d'édition (des mots oubliés ou en trop).

Une histoire fantastique au vrai sens littéraire du terme, c'est à dire que l'on ne sait pas si certains événements sont véritablement surnaturel, ou si ils sont juste une série de coïncidences rationnelles.

Ce fut une lecture difficile pour moi, car elle m'a parue longue. Il y a peu d'action.

En ouvrant ce livre, je m'attendais à une réécriture du mythe de Pandore à la Madeline Miller, le résumé était prometteur d'une lecture riche en aventures …

Autant vous dire que j'ai été déçue !

J'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire qui manque de rythme, d'intrigue, d'actions… Si les antagonistes sont à l'image de ce qu'on pourrait attendre d'un récit mythologique, les protagonistes,eux, fades, et sont, pour moi, nullement attachants.

Les points forts à retenir sont une couverture sublime, une idée de base excellente, la plume de l'auteur agréable et l'animal de compagnie original ( et parfait ) : Hermès

J'aime beaucoup le mythe de Pandore et j'ai été très intriguée par cette réécriture. Je trouve cela original et rafraîchissant de s'inspirer de la légende tout en la transposant à la fin du XVIIIe siècle, en pleine époque géorgienne. En effet, depuis que je m'intéresse à la mythologie grecque et à ses réécritures récentes, j'ai le sentiment que la majorité de ces œuvres s'inscrivent le plus souvent dans la période antique ou à notre époque (pour plus de "modernité").

Ce roman, bien que s'inspirant du mythe, n'en est pas une adaptation pure et dure. Ce qui m'a véritablement permis de découvrir une nouvelle histoire, bien loin de l'idée que je m'en faisais de base.

J'aime beaucoup le personnage de Pandora, à la fois créative, curieuse et sensible tout en étant combative. J'apprécie également la dynamique qui existe entre Edward, Cornelius et Pandora, même si j'aurais voulu que celle-ci soit davantage développée. Mais les grandes lignes sont présentes. On se doute un peu de ce qui va se produire à la fin sans pour autant que cela gâche le plaisir de la lecture.

Si vous aimez les réécritures des mythes antiques qui sortent du lot, je vous recommande cette lecture avec plaisir.

Pandore de Susan Stokes-Chapman est un premier roman sombre et envoûtant, mettant en scène une héroïne qui rêve de s'émanciper, d'être reconnue pour son talent… Ajoutez à cela un zeste de Daphné du Maurier, un soupçon d'Emily Brontë, un arrière-goût de la Peau de chagrin et en toile de fond le mythe de Pandore ! Ah j'allais oublier, pour ceux qui ont dévoré le Miniaturiste de J Burton : allez-y les yeux fermés ! Vous avez désormais en mains les ingrédients principaux de ce roman inventif, bien écrit, de ceux qui créent un univers duquel on a du mal à s'extirper à la fin.

La couverture est délicate, à l'image des bijoux que dessine Pandora Blake, l'or illumine une forme d'amphore, qui entoure le nom Pandore de manière très signifiante. Une pie au plumage arc-en-ciel trouve une place de choix au centre de la couverture. Cette pie, c'est Hermès, l'oiseau domestique de Dora, son assistant plutôt puisque ses trouvailles viennent prendre place dans les créations de sa maîtresse, créations somptueuses qu'elle essaie de vendre pourtant sans grand succès, sa jeunesse et surtout son sexe étant un frein à une quelconque reconnaissance. La jeune femme vit chez son oncle Hezekiah, sorte de Scroodge lubrique qui a fait main basse sur son héritage, s'appropriant sans vergogne le magasin d'antiquité de ses parents et le transformant en antiquaillerie de contrefaçons. Quand un jour, elle fait la connaissance d'Edward Lawrence, un jeune érudit qui tente d'entrer à La Société des antiquaires, pour ce faire il est en quête d'un sujet qui lui en ouvrira les portes et un vieil homme le dirige vers… Pandora Blake ! C'est ainsi que le duo va découvrir que Hezekiah cache un objet d'une grande rareté, un vase antique, qu'il a consciencieusement dissimulé à sa nièce. Mais il y a un mystère plus grand encore que cette trouvaille, car Pandora est parvenue à ouvrir l'amphore qui semblait irrémédiablement scellée jusqu'alors…

Alors vous êtes tentés ?

📚 Chronique et mise en scène photographique à retrouver sur mon Instagram @harper.a.lu.chat 📚

Londres, 1799. Pandora Blake vit chez son oncle et travaille dans la boutique d'Antiquités qu'il a reprise à la mort de ses parents. Lorsqu'une mystérieuse caisse contenant un artefact est livré, le comportement de son oncle change.

J'ai bien aimé ce roman, l'histoire autour des objets antiques, la volonté de Pandora de devenir joaillière et indépendante, l'ambiance un peu sombre et mystérieuse. On a peu d'histoires qui se déroulent autour du commerce d'antiquités.

Mais le rythme était assez lent, ça met vraiment du temps avant de démarrer et l'intrigue autour du mythe de Pandore, qui est ce qu'on nous promet, est finalement plutôt survolée.

Le roman permet néanmoins d'évoquer, grâce à Pandora mais aussi à la gouvernante de la maison, la condition de la femme à l'époque victorienne. En effet, une femme sans ressources ne peut quasiment rien faire seule et est totalement soumise au pouvoir de l'homme de sa famille.

C'était donc une lecture agréable, mais qui n'a pas répondu à toutes mes attentes notamment concernant le mythe de Pandore.

J’ai aimé et pas aimé à la fois.

J’ai aimé toute la partie où était mis en avant les éléments mythologiques.

Mais j’ai détesté la longueur de l’action. Il a fallu un temps beaucoup trop long pour comprendre où ils voulaient en arriver.

On a trois points de vue dont deux dont le lien est évident mais c’est long pour qu’on comprenne la raison de ce choix.

Toutefois, en tant qu’appropriation de l’histoire de Pandore, c’est une franche réussite pour moi.

Je n'ai absolument pas accrocher d'ailleurs je n'ai pas pus le finir , j'étais a la page 160 il ne se passait toujours rien . J'ai donc arrêter , je n'arriver plus a continuer , mon esprit partait vers autre chose bref !

Je n'ai pas aimer.

🏺🏛️📝| Pandore - Susan Stokes-Chapman

[Note : 4/5⭐]

Après l'avoir laissé six mois à prendre la poussière dans ma PAL, j'ai enfin décidé de commencé Pandore. Le nombre d'avis négatifs que j'ai vu passer sur cette histoire après que je l'ai eu acheté m'avait pas mal refroidie à l'idée de la commencer. Au moins, je n'ai pas eu d'attentes démesurées concernant ce livre, ce qui m'a permis de vraiment l'apprécier. Cette lecture a donc été un succès pour moi, j'ai bien aimé ce mythe revisité. Déjà, à cause de l'époque durant laquelle l'histoire se déroule, je suis une grande fan de l'époque géorgienne (et victorienne). J'ai aussi beaucoup aimé l'écriture, que j'ai trouvé vraiment agréable à lire, très fluide. Comme on le lui reproche souvent, le récit est assez lent, l'histoire met un peu de temps à démarrer. Mais même si je reconnais cet état de fait, ça ne m'a absolument pas dérangée. Pour les récits à dimension historique, j'ai tendance à préférer une construction lente qui me permettra de mieux m'immerger dans l'époque. Du coup, c'est un point très positif pour moi. Seul vrai bémol : une fin un peu trop vite expédiée, dont je ne suis pas vraiment convaincue. Il me restait quelques question par rapport au pithos qui n'auront malheureusement pas trouvé leur réponse.

Au niveau des persos, ils pourraient sûrement être plus attachants, mais ils restent agréables à suivre (hormis Cornélius et Hézékiah) et il m'a été facile de m'identifier à eux.

Points + : L'écriture, les personnages, l'époque, l'immersion

Points - : Un rythme lent qui pourrait déplaire à certains, une fin peu convaincante

Effectivement, ce n'est pas le livre de l'année, mais je ne suis malgré tout pas déçue de l'avoir acheté, j'ai beaucoup aimé cette histoire !

On est sur une petite déception😢.

Il s'agit d'un réécriture du mythe de Pandore.

Du coup, je m'attendais à des fouilles ou des clins d'oeil constant à la mythologie grecque. Des secrets en cascade ou même à de la magie. Mais rien de tout cela. On se retrouve juste avec un roman basé sur la cupidité. Seul d'un seul homme qui pour cela a tuer son frère et sa femme. Il a gardé sa nièce sous le coude pour éviter qu'elle ne le soupçonne et gardé la fortune familial.

Pandore, qui est le perso principal, est assez lisse.

J'aurais aimé quelle se secoue un peu. Qu'elle laisse parler sa rage.

En fait, j'ai l'impression que tout le récit reste en surface. Et malheureusement, j'avais deviné la fin dès les premières pages du roman.

Le seul point positif est pour moi l'époque dans lequel est situé cette réecriture. Londres en 1799, cela permette de retrouver le thème de l’émancipation de la femme, surtout à travers Pandore et son rêve d’être joaillière.

J'ai lu ce roman dans le cadre d'une masse critique Babelio.

Le pitch de base m'avait vraiment séduite car je suis fan de la mythologie grecque. L'autrice revisite ici le mythe de Pandore. J'étais vraiment curieuse de voir de quelle façon elle allait transformer cette légende.

Au final, j'ai trouvé que cette histoire était très très longue et très plate. Je me suis beaucoup ennuyée. Habituellement, je lis un livre en maximum 7 jours. Ici, il m'a fallu 10 jours. Vraiment, je n'en voyais pas la fin.

Le récit se déroule dans les années 1800 à Londres, une aura assez gothique plane sur le texte.

Nous suivons Pandora Blake qui vit avec son oncle suite au décès de ses parents. Elle a 21 ans et rêve de se faire un nom dans le domaine de la confection des bijoux. Elle espère ainsi accéder à l'indépendante financière afin de ne plus se coltiner son oncle abominable.

L'oncle en question est un personnage dégoûtant et malfaisant. Par-dessus le marché, c'est un escroc.

Faits historiques, fiction et légende vont s'entremêler.

Cette revisite du mythe m'a paru sans grand intérêt. La découverte finale du pot-aux-roses ne m'a pas emballée plus que ça.

Bref, ce livre n'était malheureusement pas pour moi.