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Fruit des amours d'un dieu et d'une mortelle, Circé la nymphe grandit parmi les divinités de l'Olympe. Mais son caractère étonne. Détonne. On la dit sorcière, parce qu'elle aime changer les choses. Plus humaine que céleste, parce qu'elle est sensible. En l'exilant sur une île déserte, comme le fut jadis Prométhée pour avoir trop aimé les hommes, ses pairs ne lui ont-ils pas plutôt rendu service ? Là, l'immortelle peut choisir qui elle est. Demi-déesse, certes, mais femme avant tout. Puissante, libre, amoureuse...
" Un charme absolument envoûtant. " Le Monde des Livres
Toute ma vie, je suis allée de l'avant, et à présent, je suis ici. Si j'ai une voix de mortelle, laissez-moi aussi avoir le reste. Je lève la coupe remplie à ras bord à mes lèvres, et je bois.
Circe ou Circé en français est mon plus grand coup de coeur littéraire. Depuis toute petite je suis passionnée par la mythologie.
C’est avec plaisir que j’ai commencé ce livre. Mais je ne m’attendais pas à l’aimer autant.
Tout d’abord, pas besoin de s’y connaître en mythologie. Soit on redécouvre des mythes et légendes, soit on les découvre. Madeline Miller explique avec soin, chaque petit détail compte et tout est bien expliqué. J’ai beau être passionné, ce roman m’a appris tellement de choses et dès que je l’ai terminé j’ai fait de multiples recherches pour mon plaisir personnel.
En plus d’être merveilleusement bien expliqué, c’est divinement bien écrit. Il y a de magnifiques citations et tout est décrit avec beauté et poésie. Néanmoins, Madeline Miller vulgarise la mythologie, ce qui la rend plus compréhensible mais aussi plus moderne. Les dialogues et les thématiques sont actuels.
Et des thématiques il y en a! Ce roman est féministe, on y parle aussi du bien, du mal, surtout du fait qu’il n’y a pas forcément de limite entre les deux. Les personnages sont gris et sont bien définis avec un caractère bien à eux. Même Circé n’est pas parfaite, bien au contraire. On suit son évolution et sa vie (1000 ans), harcelée petite elle devient redoutable. Mais ce livre relève aussi des sujets tels que le viol, la bipolarité, la tromperie, le mensonge, on met à mal la pureté, mais il y a aussi le côté positif des choses: l’amour, accepter les autres tel qu’ils sont, le pardon, l’espoir et la solidarité féminine.
Le scénario regorge de nombreuses surprises et de direction vers lesquelles on ne s’attendais pas, même en connaissant l’histoire de Circé. Le récit est parfois assez lent mais est très relaxant.
Il s’agit réellement d’une lecture enchanteresse, que je ne pourrais jamais m’arrêter de conseiller. La fin est bouleversante et tous les mots de Madeline Miller m’ont touché à jamais.
Mon avis par rapport à cette lecture est extrêmement mitigée. Je m'attendais à adorer ce livre car je suis passionnée par la mythologie grecque, et surtout on m'a présenté ce livre comme relatant l'histoire d'une femme forte, d'une sorcière puissante. Et au final j'ai été fortement déçue du personnage de Circé, et même de l'histoire en elle-même (il a fallu attendre un peu plus de 80% pour que je trouve enfin l'oeuvre intéressante).
Concernant l'histoire, ce que j'ai aimé c'est que j'ai appris beaucoup de choses par rapport à la mythologie grecque. Spoiler(cliquez pour révéler)Par exemple, j'ai été surprise d'apprendre que la mère du Minotaure n'est autre que la soeur de Circé, que Jason a volé la toison d'or au frère de Circé, qu'Ulysse et Circé ont eu un fils qui a entrainé la mort de son père, etc.. Cependant, je regrette qu'il n'y ait pas vraiment de plus-value par rapport aux mythes de la mythologie grecque. J'ai apprécié les moments où l'auteur s'écartait ou interprétait différemment un mythe, mais je les ai trouvé un peu rares, c'est très surement la raison pour laquelle j'ai largement préféré les derniers 20% par rapport à l'intégralité de l'oeuvre.
Selon moi, le plus gros problème de cette oeuvre c'est le style d'écriture auquel je n'ai absolument pas adhéré. Je l'ai trouvé maladroit, expéditif, haché. A plusieurs moments ma lecture était confuse en raison de l'écriture, j'ai eu beaucoup de mal à véritablement entrer dans l'histoire, à m'attacher aux personnages en raison de cela. De plus, on m'a vendu ce livre comme étant féministe et avec une approche sorcellerie/herboristerie/"wicca". Sauf que j'ai trouvé que ce n'était absolument pas le cas. Ces deux thèmes étaient parfois abordés mais de manière beaucoup trop suscinte, ils ne sont pas assez développés. J'aurais voulu plus de choses liées à l'herboristerie (et simplement citer des plantes par ci par là, et encore l'auteure a été radine à ce niveau là aussi, n'est pas suffisant pour moi), et surtout j'aurais voulu que ce livre nous montre vraiment une femme qui apprend à être sure d'elle, à avoir confiance en elle, à être forte (ou voit que de base elle est forte), et non une femme qui se rabaisse toutes les 20 pages et qui répète que vivre seule avec ses animaux c'est "TERRIBLE".
D'ailleurs ceci m'amène forcément à parler des personnages. Donc tout d'abord Circé. Je ne l'ai absolument pas aimée. J'ai vraiment eu l'impression de lire l'histoire d'un personnage qui se dévalorise tout le temps, alors même qu’on se rend compte en tant que lecteur qu’elle est forte. Elle se dit mauvaise fille par rapport à son père, idiote par rapport à ses frères et sœur, naive par rapport aux dangers de la vie, mauvaise mère pour son fils, etc. Mais au final on voit qu’elle cherche à défendre son fils et à le protéger même s’il ne le voit pas forcément, qu’elle est tout aussi voire plus intelligente et forte que ses frères et sœur, qu’elle possède une force de caractère, etc. En tant que lecteur on voit qu'elle est forte, puissante, mais le fait qu'elle se dévalorise en permanence, qu'elle prend trop à coeur les paroles des autres quitte à changer son opinion de ce qu'elle aime en fonction de leur appréciation (elle adorait être seule au début avec ses animaux et ses sorts, et dès que Pasiphaé et Médée l'ont moqué par rapport à ça elle a considéré leurs dires commes des paroles saintes, j'ai même eu l'impression qu'elle stigmatisé ce mode de vie par moment ce qui me fait tiquer). Selon moi, il est difficile d’apprécier un tel personnage qui malgré ses évolutions a du mal à voir tout le chemin qu’elle a parcouru, qui n’a pas confiance en elle, qui se dévalorise, qui ne s’aime pas (j'ai envie de dire difficile d’aimer quelqu’un qui ne s’aime pas de base). Et d'un coup durant les derniers 20% du livre (voire même 10%) on trouve une nouvelle Circé un peu plus sûre d'elle, qui semble avoir confiance en elle, capable d'affronter ses peurs et ses démons passés. Mais j'ai vraiment eu l'impression que cela arrivait comme un cheveu sur la soupe. J'ai récemment lu ACOSF (le 4e tome de la saga ACOTAR), où l'on suit Nesta qui doit apprendre à avoir confiance en elle, à se pardonner ses actes passés, à avancer vers un futur meilleur, et à faire face à ses peurs et ses démons. Dans ce livre on voit bien son évolution, on voit les étapes de sa "transformation". Dans le cas de Circé, on ne voit absolument pas cela selon moi, c'est soudain, comme un coup de baguette magique. Au final j'ai eu l'impression que le développement de ce personnage suivait parfaitement le style d'écriture de l'auteure, c'est abrupt et cela prend au dépourvu.
Concernant les autres personnages, je ne sais si c'est en raison du caractère haché de l'oeuvre mais je n'ai pas réussi à m'attacher à euxSpoiler(cliquez pour révéler)et pourtant il y avait de bons personnages comme Dédale ou Ulysse, mais pour le premier je suis restée indifférente, et pour le second je me souviens que j'adorais lire et regarder ses aventures à la télé, mais l'auteure l'a dépeint d'une façon qu'il m'a fortement déplu. Spoiler(cliquez pour révéler)Concernant Télégonos, je ne comprends pas pourquoi il semble haïr à ce point sa mère, elle l'a élevé seule, elle l'a protégé et défendu toute sa vie et au final il l'a traite comme un chien. Je connais des enfants élevés par leurs seules mères qui sont beaucoup plus reconnaissants par rapport à elles ...Spoiler(cliquez pour révéler)Le seul point à peu près positif par rapport aux personnages est Télémaque (et peut-être un peu Pénélope), qui a un bon développement (un peu court étant donné qu'il n'arrive qu'à la fin de l'histoire) et qui est appréciable. Mais je trouve cela triste que de toute l'oeuvre je ne puisse citer qu'un seul personnage que j'ai apprécié, alors même qu'il n'arrive que durant les derniers 20% de l'oeuvre.
Au final je ressors de cette lecture assez déçue. Quand je voyais les notes et les commentaires pour ce livre j'étais vraiment emballée, mais j'ai vité déchanté. Je crois au final qu'on m'a trop survendu ce livre. Mais je sais que même sans cela ce livre n'aurait pas fait parti de mes meilleures lectures car il manque sévèrement de développement, et est sujet à de trop nombreuses répétitions.
Après mon coup de cœur pour le Chant d’Achille, j’avais hâte de me plonger dans ma lecture de Circé. Je ne m’étais pas attendue à ça, et je dois dire que j’ai été touchée par une plume et une narration d’une extrême beauté.
Très différent de son prédécesseur, Circé revisite le portrait d’un personnage assez méconnu de la mythologie grecque. L’histoire nous amène à découvrir (ou redécouvrir) de nombreux mythes sous un jour absolument neuf. L’univers de Circé est cru, douloureux et implacable, à l’image des histoires que l’on connaît. La sorcellerie y paraît monstrueuse, sombre. Pourtant, il persiste toujours une beauté inhérente à ce livre. Que ce soit la délicatesse des mots et de la poésie du texte, ou encore de l’authenticité rare et brillante que l’on retrouve dans le personnage de Circé. Parfois aussi impitoyable et cruelle qu’une déesse, son côté plus vulnérable, moins divin au final, la rend plus humaine, elle, la déesse qui a appris à aimer les mortels. Le personnage est gris et, Madeline Miller tisse, au travers des différents morceaux de sa vie, un merveilleux équilibre entre sa paranoïa et sa misanthropie d’un côté, sa cruauté même, et les aspects plus doux de sa personnalité.
Parfois, les intrigues peuvent sembler souffrir de quelques longueurs, mais c’est toujours l’illustration d’un ravissant dialogue entre le bien et le mal, dieux et mortels, et la frontière finalement fine entre les deux. Chacun des personnages connus ou méconnus de la mythologie qui y apparaît est une pierre apportée à l’édifice poussant notre réflexion. On apprend à connaître Circé en même temps qu’elle se cherche. De victime, on la voit devenir bourreau, puis faire preuve de sororité et d’humanité. Ce portrait, autant complexe que complet, nous touche de manière irréversible.
Une lecture que je ne peux cesser de recommander à tous les amoureux de la mythologie grecque et des plumes ravissantes.
C'est un magnifique livre , avec l'écriture la plus belle et agréable que j'ai lu jusqu'à présent. Les éléments sont décris sans que ce soit trop , le fait que ce soit une narration interne et bien évidemment les mythes qui y sont référencés.
Circé a été un bon personnage au début et en est devenue un excellent à la fin , évoluant à travers les épreuves de la vie. Elle a eu la fin de reine qu'elle a mérité et c'est sûrement la "déesse" la plus humaine de la mythologie grecque. Et sûrement l'une des plus balaises alors qu'elle commence en étant soumise à sa condition et en se faisant tromper h24 par des hommes. Et mon dieu , quel mère quoi !
J'ai beaucoup aimé Telegonos et Télémaque également pour cité les autres personnages mais concernant le reste... Bah. Même si la plupart des arcs qui sont racontés , certains connaissent déjà le mythe. Je vais éviter de faire une partie spoil mais j'ai eu pas mal de désillusion on va dire.
Cela m'a apprit beaucoup de chose personnellement et de m'aider à faire le lien entre certains personnages dont j'avais déjà entendu les mythes. Exemple , j'ignorais que Circé et Pasiphaé étaient sœurs (et qu'elle ne se limité pas à être la femme de Minos PTDR)
Une très bonne histoire qui nous raconte la vie de Circé, l'une des sorcières les plus marquantes de la mythologie grecque. Circé est la plus "humaine" des divinités donc on s'attache/se reconnait facilement en elle avec ses réactions et ses réflexions. Y'a énormément de passage où la vie est vraiment une garce avec elle. Parfois on voudrait qu'elle réagisse mais en réalité, elle a les réactions qu'on aurait eu à sa place.
On sent le poids des dieux face aux humains, de la destinée, la place des femmes dans ce bordel mythologique, etc.
Sa relation avec sa famille, ses amants est vraiment très bien écrit et à la fois triste et touchant.
J'ai trouvé ce roman peu captivant: c'était parfois long et pas toujours très intéressant. Cela dit, j'ai adoré la fin! Je vous explique tout ça.
Ce roman est découpé en 2 parties. La première évoque l'enfance de Circé, auprès de sa famille (titans et nymphes). C'est cette partie que j'ai trouvé longue. Il n'y a aucune action. Circé est un personnage faible et passif, avec bien peu de qualités, comme lui rappelle sa famille. Je m'attendais à tomber sur le récit d'une femme forte et indépendante, qui prend sa vie en main.
Ce qui nous amène à la deuxième partie. Circé se décide enfin à réagir, à épouser sa condition de sorcière. Elle évolue. Nous découvrons alors une sorcière forte. Mais pas insensible, comme nous le montre la fin du roman, que j'ai trouvé très douce et satisfaisante.
Pour résumer, c'est une lecture agréable mais pas transcendante... Les promesses ne sont pas tenues: Circé n'évolue que tardivement, et il y a des longueurs.
Passionnée de Mythologie Grecque il était normal qu'après avoir lu "le chant d'Achille" je me plonge dans "Circé". Pour être honnête je pense que j'ai mis plus d'une année pour le lire. J'ai trouvé le début très long, très lent, très répétitif que j'avais finis par abandonner le livre. Si "le chant d'Achille" avait été un coup de coeur et me donner l'envie de reprendre la lecture, "Circé" à l'inverse m'avait plongée dans une panne de lecture douloureuse. Ce n'est que dernièrement que j'ai repris le livre, du début, me forçant à passer ces premiers chapitres ennuyeux, que j'ai découvert un livre fabuleux. Fabuleux, mais tout de même long. Mais je l'ai aimé, il n'est pas un coup de cœur, mais j'ai aimé me perdre dans l'histoire de Circé, la sorcière d'Aeaea. J'ai aimé découvrir son histoire de vilain petit canard, la voir prendre ses décisions, son exil, son indépendance forcée et la découverte de ses pouvoirs. J'ai aimé y découvrir les dieux présents dans son histoire, les héros qu'elle a rencontré, les histoires qu'on lui a contés.
Circé est touchante, déesse et sorcière, mais mortel dans son âme et son cœur. Sa relation avec Télémaque est belle, je suis heureuse qu'elle ait eu des années de douceurs dans son immortalité.
Ce livre est lent, nous sommes spectateurs du monde et des histoires qui s'écrivent, nous sommes comme Circé des exilés, comme Circé nous attendons d'entendre les histoires, les nouvelles du monde pour que notre lecture s'anime comme elle pour sa vie. Mais dans le fond je crois que j'ai préféré les moments sur son île, à la voir avec ses herbes, son jardin, sa maison, ses lions et autres animaux.
J'ai aimé ce livre et je le recommande à ceux et celles qui aiment prendre leur temps et qui aiment la mythologie !
Une lecture agréable qui se lit sans difficulté, mais sans plus. Je pense que ce qui m'a empêché de l'aimer c'était la sensation de lire un récit mythologique écrit à l'avance, dont on connait l'histoire à force. C'est à partir des 50 dernières pages que j'ai commencé à vraiment accrocher, quand le récit s'est détaché des récits habituels. Donc je n'ai rien ressenti de particulier et voulait juste le terminer afin de passer à autre chose, mais ça reste un beau récit de l'histoire de Circé :)
Suivre la vie de Circé à travers ses yeux et le temps à été une expérience enrichissante à mes yeux. Le style d'écriture de Madeline Miller est vraiment bon et m'a directement plongée dans l'histoire. Pouvoir suivre les mythes par les dires de Circé m'ont permis de les voir encore autrement, sous un nouveau jour
Résumé
Fruit des amours d'un dieu et d'une mortelle, Circé la nymphe grandit parmi les divinités de l'Olympe. Mais son caractère étonne. Détonne. On la dit sorcière, parce qu'elle aime changer les choses. Plus humaine que céleste, parce qu'elle est sensible. En l'exilant sur une île déserte, comme le fut jadis Prométhée pour avoir trop aimé les hommes, ses pairs ne lui ont-ils pas plutôt rendu service ? Là, l'immortelle peut choisir qui elle est. Demi-déesse, certes, mais femme avant tout. Puissante, libre, amoureuse...
" Un charme absolument envoûtant. " Le Monde des Livres
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