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Commentaires de livres faits par Caly

Extraits de livres par Caly

Commentaires de livres appréciés par Caly

Extraits de livres appréciés par Caly

Histoire sympathique au premier tome, ce second tome ne démérite pas et permet même de combler quelques lacunes en améliorant la connivence entre les différents protagonistes. Ce n'est pas parfait toutefois et donne par moment une impression de factice. Les protagonistes gagnent malgré tout en profondeur et mentalité avec notamment Will et Kerrigan qui deviennent beaucoup moins irritants qu'au premier tome.
Quelques petits nouveaux feront leurs apparition dont la troublante Isaura ou encore Sayce qui gagnerait vraiment à être approfondie dans le prochain tome et à contrario, certain semblent passer à la trappe comme Résolu qui semble avoir du mal à se rappeler aux bon souvenir de l'auteur.

Le rythme effréné est la encore, toujours présent et si les grandes batailles du premier tome laisse place à des plus petites, leurs nombres va croissant. L'auteur est toutefois un peu trop succinct à mon gout et les combats ont vite tendance à tourner court même si on sent que Michael A. Stackpole connait tout ses classiques du genre. Les événements finaux sont quand à eux, des plus surprenant, et on se demande vraiment comment va se dérouler le dernier tome de la saga en espérant que ce dernier ne déméritera pas après l'audace dont fait preuve l'auteur à la fin de ce tome (audace qui risque bien de ne pas être du gout de tout le monde. Pour ma part, j'attends de voir avec le tome 3 avant de me prononcer).

Un second tome que j'ai pris plaisir à lire même si il manque la petite étincelle qui en ferait une saga excellente. Le rythme est toutefois assez soutenu pour ne pas que l'on s'ennuie et fait de ce second tome un livre dont on prend plaisir à tourner les pages mais je n'irais pas jusqu'à comparer la série aux ténors du genre.
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En commençant cette trilogie, ma première impression est que l'auteur Michael A. Stackpole aime la fantasy et le montre en créant une œuvre qui parle à un public contemporain. Ce premier tome en lui même n'est pas original et demeure de la high fantasy des plus classiques et jouer avec les noms ne changera rien. Pour autant, l’œuvre se démarque par un dynamisme sans borne et peu d'ennui en perspective avec des événements qui défilent à toute allure. Il faut dire que l'auteur évité les redondances de certaines séries à rallonges pour se concentrer sur la quête principale. Mais si le début est prometteur, j'avoue que l'nthousiasme c'est un peu fendillé par la suite.

Le début se concentre entièrement sur le héros Will et nous permet de découvrir ce monde. Pas toujours évidents de s'y retrouver d'ailleurs et un petit lexique n'aurait sans doute pas fait de mal aux lecteurs qui est un peu perdu avec les noms propres et la politique même si cela s'arrange par la suite. On suit donc les périple de Will, accompagné par Corbeau et Résolu et qui semble destiné à de grandes choses en tant qu'élu... sur le papier. Car si Will semble être le héros, c'est une tout autre musique passé le premier tiers ou ce dernier ne semble être qu'un sac à patate que l'on trimballe partout. On attend d'un héros qu'il vive des événements, s'investit, évolue... seulement très vite, ce dernier semble juste devenir une figure de proue et ce fait voler la vedette par la princesse Alexia et l'initié Kerrigan. Même le final ne change pas cet état de fait ou Corbeau, Alexia, Kerrigan et Cies brillent par leurs faits d'armes tandis que le héros ne fait que tenir un second rôle.
Manquant d'événements marquant qui le forge, Will devient dès lors très vite un personnage qui n'évolue que peu et n'arrive pas à véritablement acquérir la sympathie du lectorat. Ses motivations sont d'ailleurs assez superficiels pour le moment ce qui est un problème pour le héros du premier tome d'une trilogie. Un autre problème de ce premier ouvrage est que si le rythme est frénétique, la connivence des personnages est superficiels voir inexistante. Hormis Alexia et Corbeau, chacun semblent être dans son coin et ne donnent absolument pas l'impression d'une communauté qui marche de concert.

J'ai pris plaisir à lire ce livre avec un auteur qui n'est pas avare en scènes épiques et n'oublie pas les grandes batailles du Seigneur des Anneaux. Pour autant, je pense qu'il rate un peu le coche au niveau des personnages avec un héros sans consistance et ses compagnons qui manquent complètement de connivence entre eux pour être une vraie "communauté de l'anneau bis". espérons qu'il rattrapera tout cela sur le prochain tome "La Furie des Dragons".
Avez vous apprécié ce commentaire ? +16
Cette série ne m'avait guère attiré de prime abord. Bien que j'aime assez bien la couverture, le synopsis du roman faisait retentir une alarme : "comme ce bel inconnu qui vient me rendre visite toutes les nuits dans des rêves torrides". En une phrase, le livre étai de suite relégué à l'oubli. Pourtant, les avis enthousiastes et l'absence du logo "sexy" de Milady en 4éme de couverture m'ont fait changé d'avis.
Pour autant, les avis enthousiasmes n'ont pas réussi à enlever ce que je redoutais du récit en ce qui concerne la "romance". Je suis peut-être vieux jeu mais pour moi, une romance commence par ce connaitre l'un l'autre et pas par une partie de jambe en l'air. Pourtant, sans même réellement le connaitre, Charley est déjà cruellement amoureuse d'un homme divinement sexy à l'air dangereux et qui a semble t-il, mains mise sur la libido de cette dernière (amis du cliché, bonsoir...). Toute la production du genre est-elle tombé à ce point dans la facilité que les auteures ne savent plus écrire une véritable romance? Le lectorat est-il vraiment satisfait de tel raccourcis?

Le plus dommageable dans tout ça, c'est que le reste est vraiment bon. Charley est vraiment attachante avec de très bonnes réparties. Comment ne pas rire face au coup du "je fais semblant de téléphoner pour parler aux morts en public" et autres truc plus ou moins loufoque qui en font vraiment une héroïne originale. Il faut dire que la faculté de parlé au mort quand les autres ne le peuvent pas a de quoi créer quelques bonnes scènes cocasse et l'auteure retranscrit très bien l'utilité et la malédiction d'un tel don. Utilité pour l'aide que cela apporte à la police et à son oncle Ben), malédiction car elle devient alors en quelque sorte une paria. Charley le vis malgré tout avec philosophie même si l'auteure fendille la carapace de temps à autre. A ce sujet, le flashback vers la fin du roman est vraiment touchant et me fait un peu regretter que Darynda Jones n'est pas encore plus approfondis cette partie la de Charley.
L'intrigue policière pour sa part, sans être original, est plutôt bien structuré et suffisamment prenante pour qu'on désir en connaitre le dénouement. Quand à l'intrigue sur le mystérieux inconnu des rêves, les révélations finales offriront de belles perspectives pour la suite même si je crains du coup que cela parte trop dans le fantastique.

Ce tome 1 de Charley davidson est donc une bonne surprise et aurait méritait la note maximale sans cette facilité prise par l'auteure au niveau de la romance. Ce livre devrais toutefois plaire à tout fans de Bit-lit et je le recommande les yeux fermés.
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Une note de l'auteure en début de tome annonce que d'une certaine manière, les 6 premiers tomes de la série formaient un premier cycle et que les 3 qui suivent en formeront un autre. Je n'ai pu m'empêcher de sourire en lisant cela car je me suis dit que les 3 tomes de ce cycle réunis en un seul aurait surement de quoi faire un livre "normal". Car oui, nouveau cycle pourquoi pas, mais le nombre de pages reste toujours inférieur au 300 et ce tome 7 se lit presque aussi vite que lorsqu'on regarde un film.

Avec ce nouveau cycle, peut on parler de renouveau? Pas vraiment avec une Betsy et son entourage toujours fidèles à eux mêmes. Les vannes fusent toujours autant mais il s'en dégage un aspect routinier. Cela reste plaisant à lire, tout comme les dialogue croustillant mais la petite fraicheur des premiers tomes s'est éteint depuis plusieurs tomes déjà et l'auteure peine à se renouveler. En revanche, je dois dire que je suis assez satisfait de l'intrigue. Sans être très profonde et restant d'un niveau inférieur au tome 6 (et du tome 1 il va s'en dire), cette dernière tient la route et permet de conserver un fil conducteur à l'ouvrage (ce qui ne fut pas toujours le cas dans les tomes précédents).
En faite, la surprise vient de 2 points. Le premier (et le moindre), c'est que l'auteure semble s'abstenir de rajouter une scène chaude puisque cette dernière se termine presque aussi vite qu'elle a commencé. Certes, la série n'a jamais été très envahissante (ou dérangeante) de ce coté la mais n'étant pas un grand fan de ce genre de passage (et encore moins du quota 1 scène/1 livre), je ne peux que me réjouir en espérant que ce n'est pas juste un oubli. Mais le point principal qui me surprend dans ce récit est son final. Le tome 6 était déjà un peu plus sombre que les précédant mais pour ce tome 7, l'auteure semble clairement nous dire que le Conte de fée est finie avec une fin bien amère.
Le précédent tome m'avait encouragé à continuer une série sur le déclin et ce tome 7, sans me rassurer entièrement pour autant, laisse présager que le meilleur n'est pas forcément derrière. Ce tome 7 annonce donc un nouveau cycle qui risque d'être un peu plus sombre que précédemment. C'est tout le mal que je lui souhaite car c'est ce qui faisait cruellement défaut à cette série jusqu'alors.
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Avec ce tome 4, Dawn Cook mets fin aux aventure d'Alissa avec une série qui n'aura eu de cesse de se sublimer au fil des tomes. Ce tome mets en avant les Maitres qui avaient disparus avant la naissance d'Alissa et notamment Keribdis dont le nom est souvent revenu dans les précédents tomes sans que l'on sache vraiment qui est-ce. Cette dernière sera d'ailleurs le seul Maitre avec Yar-Taw et Silla à sortir du lot et n'aura de cesse de nous apparaitre antipathique. Ce tome sera d'ailleurs une confrontation d’idéologie entre une Keribdis orgueilleuse et Alissa et dont les échanges n'auront de cesses de s'envenimer jusqu'au point de non-retour.
Ce sera aussi l'occasion pour ce tome de conclure le triangle Alissa/Strell/Lodesh. Pas de véritable surprise dans ce domaine même si j'apprécie la vision du bonheur teinté d'amertume qui s'en dégage et qui évite le trop "Happy end".

La saga Vérité n'est pas une saga épique et n'en a pas les ambitions. Loin des grandes batailles et autres bravoures, elle se concentre sur une poignet de personnage et s'attache beaucoup à l'aspect humain avec d'excellent personnages tel Alissa, Bestiale, Redal-Stan, Serre... L'univers est lui aussi très travaillé avec une magie au système bien étudié et qui change du "simple" coup de baguette. Mais ce qui me frappe avec la fin de ce tome 4, c'est de voir à quel point l'auteure avait pensé à son cycle dès le début. Certaines réactions, certains détails du début de saga ne prendront signification que dans les dernières pages de la saga et prouve que Dawn Cook a toujours su ou elle allait dans le moindre détail.
Vérité n'est pas un cycle qui plaira à tout le monde, comme je l'ai dit, il en ressort souvent un coté intimiste avec des personnages qui sont tout sauf des va-t-en-guerre et des conclusions qui restent bien loin de feux d'artifices dont on a souvent l'habitude en Fantasy. Cela n'est absolument pas un défaut mais change de la fantasy classique et donc la vision que certains en ont. Ce serait toutefois dommage de ne pas laisser sa chance à une série dont les qualités ne cesse de grandir de tome en tome et avec un univers admirablement bien construit. Une série que je ne saurais donc que vous conseiller de par ses nombreuses qualités.
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Une chose est sure, il n'aura pas fallu longtemps à ce tome 3 pour être attractive. Si le tome 2 mettait fin à l'intrigue du tome 1, ce tome 3 offre plus une aparté mais qui n'en oubli pas d'être passionnant. Ainsi, Alissa retourne dans le passée et pas n'importe quand puisque c'est quelques années avant les événements tragiques d'Ese' Nawoer. Certaines identités comme le couple maudit de la malédiction seront révélées ainsi que bien d'autres éléments qui éclairciront le présent. Le nombre de personnage fait la aussi un bond avec plein de nouveau dont Redal-Stan, Connen-Neute ou Sati. Toutefois, cette dernière n'a malheureusement pas toute l'attention qu'elle aurait du avoir. Il faut dire que toute la souffrance qu'elle emmagasine de par son statu de Shaduf (le fait de connaitre sa propre mort et celle des autres) méritait, à mon sens, un traitement beaucoup plus approfondi que n'en a fait l'auteure. De même, l'intrigue du roman s'en retrouve, quand à elle, encore plus modeste que les 2 précédents tomes.
Ne faisons toutefois pas la fine bouche puisque à défaut d'une véritable intrigue (Alissa doit juste retourner dans son temps), c'est tout un pan passionnant de cet univers qui nous est conté, faisant de ce récit un roman encore plus addictif que les précédents. L'interaction d'Alissa avec les personnages du passé est d'ailleurs très touchants avec quelques scènes cocasses et sympathiques.
Au final, ce tome 3 n'en oubli pas son coté un brin intimiste mais ce révèle encore plus passionnant à lire de part les mystères qu'il révèle. J'ai maintenant hâte de lire le tome 4 qui mettra un terme aux aventures d'Alissa.
Avez vous apprécié ce commentaire ? +5
Premier constat avant d’entamer la lecture, la couverture. On ne peux pas dire que la série ait brillé dans ce domaine mais on vire désormais dans le grand n'importe quoi. Si je n'ai rien contre la jolie jeune femme de la couverture, franchement, une jupe écossaise? Et ne parlons pas du katana qu'elle tient comme une machette ni de l'intégration (vive photoshop!). Anne-Claire Payet nous avait habitué à bien mieux en matière de couverture donc message à Milady : les lecteurs ne vont pas s'enfuir en courant si vous leurs proposez de belles couvertures (surtout qu'on est maintenant au tome 5)!

Pour en venir à l'histoire, on suit les événements quelques peu après le drame à la fin du tome 4. L'ouvrage ne propose d'ailleurs guère de grand changement vis-à-vis des autres romans. On a donc toujours cette aspect politique qui m'est cher et une intrigue posé. Comprenez par la que nous n'avons pas de grand coup d'éclats et que Merit, bien que forte, ne fait guère montre de démonstration de ses capacité en terrassant 10 ennemis.
L'intrigue se concentrera avant tout sur l'enquête des perturbations des éléments (Eau, air...) de la ville de Chicago et en déterminer l'origine. Enquêtes qui permettra d'en apprendre un peu plus sur les nymphes, les sirènes et les mages. Dommage en revanche que les métamorphes soit absents de l'ouvrage même si éviter le "défilé des seconds rôles" n'est pas un mauvais choix pour autant.
Mais le meilleur aspect de l'ouvrage demeure les événements qui se déroule dans la maison Cadogan ou les choses vont de mal en pis et s'ajoutent à la tension de l'intrigue. Les seconds rôles comme Luc, Malik... sont, bien entendus, de la partie et on appréciera de les côtoyer une fois de plus. En faite, mon regret vient plutôt de la fin de l'ouvrage. Si l'auteure avait frappée comme la foudre à la fin du tome 4, voici que le tome 5 prend le partie de la facilité et de ne pas décevoir les fans. Je trouve vraiment dommage le manque d'audace d'autant qu'on rajoute à cela le revirement d'un personnage beaucoup trop abrupte et la scène climax, encore une fois, beaucoup trop vite expédiée.

J'ai pris plaisir à lire ce tome 5 mais j'avoue que la fin m'a laissé un avis mitigé. Non qu'elle soit mauvaise mais j'espérais que Chloe Neill ne prendrait pas le chemin de la facilité comme c'est pourtant le cas ici. Note toutefois que beaucoup devront être ravis de cette fin.
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Ce tome 2 montre que j'ai eu raison de poursuivre la lecture après le tome 1. Ci ce dernier manquait de rythme, cela s'arrange grandement sur ce second volume. Ce n'est pas une action effrénée pour ainsi dire mais la lecture est facile et les éléments intrigant afflux. On prend plaisir à voir Alissa évoluer dans l'apprentissage de la magie et dans sa relation avec les autres. Les explications de la magie sont toujours de la partie et on prend gout à découvrir ce système bien construit et cohérent d'autant que les prédisposition d'Alissa ne cesse d'intriguer le lecteur quand a savoir ce qu'elle est.
Le nombre de personnage du roman demeure toutefois très restreint (tout juste 4) mais permet une très bonne connivence entre chacun avec une mention pour le personnage d'Inutile qui est celui qui intrigue le plus. Ses dialogues avec Alissa sont d'ailleurs savoureux et ont sourit plus d'une fois quand à "leurs" livre.

Ce second tome sera aussi l'occasion de mettre un terme aux événements du premier tome mais attention toutefois, Vérité n'est pas une saga épique et se joue très souvent à théâtre fermée. Les dialogue et les relations prédominent sur l'action qui, bien que présente, peu décevoir. Le final par exemple manque énormément de grandeur (même si les enjeux sont bien là) et devrait frustrer les fans de high fantasy à la recherche de grandes batailles. Ce n'est pas un mauvais livre, loin de la mais présente une autre ambition que les romans de fantasy classique. On peut aimer ou détester ce genre presque intimiste mais il serait dommage d'arrêter au tome 1 tant le tome 2 s'améliore et que tout le monde est d'accord pour dire que la suite est encore mieux. Pour ma part, j'ai déjà le tome 3 à coté de moi.
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J'ai cru comprendre que les deux premiers tomes de lœuvre de Dawn Cook n'en était qu'un seul à l'origine. Sans doute ne voulait-on pas faire fuir le lectorat avec des pavés de 1000 pages puisque ce texte semble visé un public de jeunes adultes. Cela a toutefois un inconvénient de taille puisque les événements tardent à se mettre en place et que les choses deviennent sérieuses qu'une fois les dernières pages survenues.
Autant dire que cela déserve en partie la série puisque nombreux n'iront pas plus loin que ce tome 1 qui manque cruellement d'action. Mais si on ne prend ce tome 1 pour la première moitié d'un tome, cela prend beaucoup plus de sens d'autant que j'ai pu lire ci et là que l'intérêt ne cesse de croitre de tomes en tomes.

Ce tome 1 est donc plus une mise en bouche à mes yeux. L'auteure plante son univers sans se précipiter et préfère établir les bases. Les personnages, peu nombreux, sont vite attachants d'autant que l'auteure prend le temps de bien préciser leurs caractères (seule le comportement disproportionné et subite de la mère d'Alissa au début du récit m'a fait lever les sourcils).
Autre qualité de l'oeuvre, c'est le don qu'a Kim Harrison pour la description et l'invention d'un système de magie. Bien que cela reste avant tout instinctif pour le moment, il n'en demeure que nous somme face à un fonctionnement tangible de celle-ci ce qui est loin d'être souvent le cas en Fantasy.

Kim Harrison, de son vrai nom Dawn Cook nous a avec sa série phare Rachel Morgan, déjà préparé a un premier tome un peu longuet et qui mets surtout en place l'univers et les personnages. La série Vérité ne déroge pas à la règle et si ce Vérité Première reste un peu palot, c'est avec une quasi-certitude d'un intérêt croissant au fil des tomes et peut-être même que cette série deviendra une autre pépite dans le même genre que Rachel Morgan. Inutile cela dit de vous dire que pour cela, il faut aller plus loin que le premier tome et d'accepter 500 pages de mises en bouche
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Ce dernier tome de la Trilogie des Tempêtes ne m'a malheureusement pas plus convaincu que ne l'ont fait les précédents et la trilogie des Vents. Les causes à cet avis mitigés sont toujours plus ou moins les mêmes : trop de longueurs, d'inactions et des choix narratives pas toujours très judicieux (certains événements prometteurs passent sous silence tandis que d'autres demeures assez barbants). Le coup final porter à cette trilogie et sans aucun doute l'absence d’ennemi "concret" qui empêche la moindre tension narrative.
Tout n'est pas noire pour autant avec notamment l'univers que l'auteure nous a construit petit à petit et quel approfondis de tomes en tomes. Pourtant, que ne donnerais-je pas pour retrouver la magie des premiers tomes qui ne concernaient que le Collegium et les hérauts sans Griffon et autres "super" adeptes.

A noter que si la fin est, comme trop souvent avec Mercedes Lackey, vite expédié, la trilogie des tempêtes vient apporter le point final à l'intrigue commencé par L'envol de la flèche. Mais au final, cette trilogie m'est apparue tout juste "digeste" et je crains de plus en plus de ne plus retrouver l'attachement que j'avais pour les premiers livres dans l'univers de Valdemar.
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Second tome de la trilogie des Tempêtes et je dois dire que je reste un peu déçu. Je n'ai pas trouvé de grande révolution par rapport à "L'Arrivée des Tempêtes" avec un récit qui demeure lent et peu enclin à l'action. Si les premiers tomes de la saga étaient trop condensés (Les Flèches de la reine, Serments et Honneurs...), l'auteure à depuis rectifiée le tire d'une étrange façon et nous offre des romans de deux voir trois fois l'épaisseur de ses premiers récits... Seulement voila, sur les 500 pages de ce tome 2, je n'ai pas vraiment l'impression d'avoir assisté à plus d'événement que dans les premiers tomes avec Talia (qui faisaient moins de 300 pages en gros caractères). Mais point de grandes descriptions ici (ces dernières sont même très rare), on se retrouve plutôt avec pas mal de dialogues et énormément d’introspections de la part des personnages centraux. On est donc pas dépaysé sur un récit qui ne se centre que sur 4 personnages (dont Karal principalement). Un peu dommage par certain point car Mercedes Lackey nous prive de point de vue et d'événements que l'on aurait aimé connaitre comme les négociations vers la fin du tome. Ce n'est d'ailleurs pas la première fois que l'on nous prive d'un point de vue passionnant (cf. le voyage de Talia à Karse qui demeure un mystère). Cela semble d'ailleurs devenir une marque de fabrique de l'auteure qui, a trop vouloir centré son intrigue, nous limite dans les événements intéressant.
C'est donc un tome en demi-teinte encore une fois. On préfèrera très certainement le personnage de Karal à celui de Elspeth de la précédente trilogie et l'apparition d'anciens protagonistes demeure toujours un plus mais il manque l'étincelle des premiers tomes (Flèches de la Reine, Dernier Héraut-Mage). Dommage car l'univers et l'inspiration sont bien la.
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Suite à un avis mitigé sur la trilogie des Vents, j'ai mis un peu de temps pour me replonger dans l'univers de Valdemar malgré les avis enthousiastes sur la trilogie qui lui fait suite.

Je ne vous cache pas qu'après avoir finis le premier tome, je suis un peu déçu pas cet "Annonce des Tempêtes". Tout comme les Vents du Destin, le premier tome mets longtemps à démarrer. Il faut attendre plus des 2 tiers du livres pour que l'on aille une direction quand à l'histoire. Pour positivé, cela reste contre-balancé par le plaisir de revoir nos personnages fétiches. Si ils n'ont pas le premier plan, ils sont tous la : Talia, Alberith, Kerowyn, Selenay... C'est d'ailleurs cet aspect qui sauve ce tome 1 la ou le premier tome de La Trilogie des Vents était d'un ennui mortel. Mais si voir l'univers de Valdemar et les Hérauts d'un œil diffèrent en la personne de Karal est intéressant, cela ne peut toutefois pas se substituer à une véritable intrigue qui, au final, ne sera qu'une mise en bouche de 500 pages.

Autre point noir à soulever, la Trilogie des Vents faisait référence à des événements en Karse avec le personnage de Talia. Point d'éclaircissement de ce coté la ce qui reste assez frustrant. Existe t-il un livre qui viendra plus tard et traitera de cet événement entre Talia et Solaris? Toujours est-il que l'on demeure dans le flou total quand à ces allusions ce qui est un peu rageant quand cela concerne l'un des personnage que je préfère de l'univers (Talia).
Je ne dirais pas que ce fut un mauvais livre, la lecture fut plaisante mais cela est du avant tout en la présence des nombreux personnages connues des livres précédents. Autant dire que quelqu'un qui n'aurait pas lu les autres romans ne trouveraient donc que peu d'intérêt.
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Troisième tome de la série Kara Gillian et sans aucun doute le meilleur à mes yeux. Le récit est peut-être un peu plus court mais le tout est parfaitement huilé. La partie enquête est bien menée et l'auteure n'est pas avare dans le fonctionnement. Ce que j'apprécie, c'est le fait que cela n'a rien à voir avec les experts ou autre Derrick mais que l'on nous dépeint des procédures et des moyens qui sentent le réalisme et fait un parfait pied à terre avec la partie fantastique du récit. J'ai d'ailleurs était bien plus enthousiasmé par cette enquête que celle du tome 2.

Pour ce qui est du reste, l'auteure distille de manière intelligente les mystères concernant Ryan et Rhyzkahl à savoir suffisamment pour que l'on se sente frustré et nous pousser à vouloir connaitre le fin mot de l'histoire. Cette intrigue annexe sur le long terme est toutefois encore peu claire mais semble très prometteuse et offre de très bonnes perspectives pour la suite.
L'héroïne en elle même ne subi pas de grand changement si ce n'est sa relation avec les autres. Le syndrome du hérisson qu'elle a avec Ryan est toujours présent ce qui est un peu redondant mais saupoudre cette relation d'un réalisme assez humain (les mots plaisent sans le vouloir..). A noté que la partie "chaude" que l'on avait sur les tomes 1 et 2 m'a sembler encore plus en retrait que précédemment ce qui n'est pas plus mal à mes yeux.

Si je ne qualifierai pas cette série de chef d'oeuvre, elle m'est très sympathique et ne me déçoit pas avec des ingrédients savamment distillés. Une série que je ne saurais que trop conseiller pour qui a déjà fait le tour des incontournables du genre.
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Troisième tome des aventures de Sabina Kane qui reprend peu de temps après le tome 2. Ce dernier nous laissait un peu sur notre fin puisque la sœur de Sabina venait d'être enlever et c'est donc avec joie que j'ai accueilli ce "Démon de la Vengeance".

Pas de grand changement ni de grande originalité dans ce tome. La machine huilé fonctionne toujours autant et le livre se lit sans déplaisir. Après, contrairement à certain, je pense que l''héroïne s'humanise bien trop vite et du coup, perd un peu cette éclat qui faisait sa singularité. Rien de dramatique toutefois et l'action est toujours présente même si arrivant un peu sur le tard.
Pour ce qui est des autres personnages, ce sont Gighul et Adam qui, sans trop de surprise, s'en tire le mieux. Si l'humour de Gighul fait un peu moins mouche, on se rattrapera toutefois sur l'évolution de la relation entre Adam et Sabina. Je regrette toutefois la quasi absence (un peu normal) de Maisie et espère bien que le tome 4 se rattrapera à ce niveau (surtout vu les événements finaux).

Ce tome 3 ne se démarque pas des précédents et font de Sabina Kane une histoire sympathique mais dont il manque indéniablement l'étincelle qui ferait de cette série un "must have". Ne perdons toutefois pas espoir car certaines séries comme L'exécutrice on trouver cet éclat à partir du Tome 3 mais avec deux tome restant pour Sabina, cela risque d'être dure. N'en demeure pas moins une lecture très plaisante, sans prise de tête et dont la fin, bien qu'un peu rapide, ne nous laisse pas un gout amère comme ce fut le cas du tome 2.
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Voici donc le tome 5 tant attendu par tout les fans (et ils sont nombreux) de la série phare de Jeaniene Frost. On reprend donc là où le tome 4 nous avait laissé (reprit entre temps par les spin off La première goutte de sang et L'Etreinte des Ténèbres) avec le nouveau statut de Cat des plus intrigants.
L'une des grandes forces de cette série, c'est avant tout les personnages et l'auteure le sait parfaitement. Ainsi, c'est un véritable défilé des seconds rôles auquel on assiste une fois encore. Mencheres et Kira, Spade et Denise (avec en gros sous-entendu "j'espère que vous avez acheté les 2 spin off déjà sorti sur ces 2 couples"), Tate, Ian, Vlad... L'auteure n'en oublie aucun seulement voilà, si c'est toujours un plaisir de retrouver tout ce petit monde et leurs joutes verbales (mention pour certaines scènes cocasses bien sympathique dont le clin d'œil à Anita Blake), le livre n'est pas plus épais que les précédents et l'intrigue semble avoir subi un régime "slim fast". On se retrouve donc avec une intrigue qui gravite autour des personnages et non l'inverse. Le plus flagrant restant le revirement final qui arrive tel un coup de baguette magique : "abracadabra et hop, le problème et résolu".
Maintenant, comme je l'ai dit, le roman n'oublie pas d'exceller au niveau de ses personnages toujours hauts en couleurs mais je ne cesse de me dire que la série gagnerait si les aventures de Cat et Bones avaient une meilleure structure narrative. C'est vraiment le petit truc qui empêche cette série d'atteindre l'excellence d'une série comme Chroniques de MacKayla Lane ou Kate Daniels (que je vous conseille si vous ne les avez pas lus).
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Cette série, c'est presque un rêve d'enfant!
Il s'agit d'un space opéra militaire. Genre pas si représenté que cela mine de rien. Il met en scène le personnage de Honor Harrington, officier spatial de la Flotte Manticorienne. Le royaume de Manticore constitué de plusieurs planètes est en paix depuis des années mais la guerre gronde de plus en plus avec la République populaire du Havre.
La vision de l'auteur est un peu étriquée avec les gentils et loyale monarchiste de Manticore et les républicain véreux du havre mais ce n'est pas le sujet le plus important du récit d'autant que cela gagnera beaucoup en ambiguïté par la suite.
Non, ici, on est bien face à du "vrai" space opéra militaire. Le premier tome, Mission Basilic commence avant la guerre et met en scène Honor en tant que "simple" capitaine de vaisseau léger. Petit à petit, de tome en tome, la guerre va éclater et les faits d''armes d'Honor vont la voir monter les échelles hiérarchiques de capitaine de croiseur léger à croiseur lourd, croiseur de combats... De commodore en charge d'une flotte légère de croiseur à Amiral avec sous son commandement des dizaines de super-cuirassés. De même, ce qui était un duel de "petit" vaisseau dans le premier tome se transformera petit à petit à des confrontations de centaines de supers cuirassés de milliers de tonnes qui s'affrontent à coups de bordés de milliers de missiles et dont les pertes humaines dépassent le million. Autant le dire, rarement une série aura fait autant dans la démesure pour notre plus grand plaisir. Bien que d'aspect militaire, les personnage sont très attachants et on est bien loin de protagonistes trop guindés comme pour la série La flotte perdue avec Honor en tête. Il s'agit d'une excellente stratège et tacticienne qui conduira à des victoires les plus improbables mais il s'agit aussi de quelqu'un avec une volonté de fer qui finira par évoluer aussi bien dans la passerelle d'un vaisseau que dans l'arène politique. D'ailleurs, l'auteur en fait même un peu trop et finira par en faire une véritable légende vivante mais on s'en manque tellement cela s'avère jouissif.

N'allez surtout pas croire que parce que c'est le premier tome, l'histoire est loin d'être aussi intéressante car ce serait faux. Certes l'évolution d'Honor ce fera sur des milliers de pages mais les premiers tomes, même si moins spectaculaires sont tout aussi jouissifs que les prochains. On apprend à connaitre les seconds rôles, certains mourront au combats, d'autres évolueront tout comme Honor dans la hiérarchie (parfois pour mourir ensuite...). L'important, c'est que ces personnages sont attachants et l'auteur n'est pas avares en scènes "jouissifs" de tout acabits.
Je pourrais parler de cette série pendant des heures vu le nombre de relecture que je lui est fait subir mais l'important, c'est que si comme moi, vous conservé une âme d'enfant cette série est faite pour vous. Attention toutefois, si je parle "d'âme d'enfant", il s'agit d'un récit mature mais le coté "évolution hiérarchique" et "bataille démesurée" sont la pour faire rêver les petits garçons au même titres que l'avait fait les gigantesques batailles du Seigneur des Anneaux en son temps.
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Critique qui fait suite à la première partie de l'ouvrage Honor Harrington, Tome 12-1 : En mission puisque l'on parle ici d'un unique tome scinder en 2. Merci Atalante! Devrais-je aussi remercier l'illustrateur pour la couverture qui spoil sans vergogne les événements du récit? (vous pouviez au moins éviter de mettre le nom du bâtiment qui saute en gros sur la face avant...)

La première partie terminée sur un passage assez mémorable pour relancé l'intérêt de ce tome 12 mais malheureusement, on revient très vite au travers connu de la série des derniers tomes. Pire, cette seconde partie manque d'action et la lueurs d'espoir finale ne se concrétisera pas puisque le roman se termine quand cela aurait pu être intéressant.
En faite, ce qu'il faut retenir de ce tome, c'est qu'il s'agit d'un roman de transition qui oriente sur une nouvelle guerre à venir. Du coup, c'est la politique qui demeure le focus de ce tome 12 même si heureusement, ce dernier est quand même moins indigeste que ne le fut Plaies d'honneur. On reste bien loin de excellentissime des 9 premiers tomes mais j'ai toujours la lueur d'espoir que l'auteur revienne sur un style plus proche des premiers tomes. j'ai d'ailleurs eu un peu moins cette impression d'un récit trop gonfler artificiellement mais il est vrai que ce tome 12 est bien moins long que les 3 tomes précédents.
On demeure bien loin des meilleurs tomes de l'auteure et c'est dommage car son univers reste toujours aussi cohérent. Si David Weber pouvait se convaincre que revenir à la narration plus fluide des premiers tomes ne serait pas une récession, on serait alors de nouveau face à des hits en puissances.
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Voici donc le tome 12 des aventures d'Honor qui revient une fois de plus chez nous scinder en 2. Ce n'est plus une surprise mais cela reste une attitude affligeante de la par des éditeurs comme Atalante ou Pygmalion d'autant que ce tome 12 est loin d'être un pavé aussi important que ne le fut les précédents tomes. Le "pompon" revient au fait que le lexique de fin de roman se retrouve seulement au tome 2 donc si vous en avez besoin pendant la lecture de ce tome 12-1, il vous faut le tome 12-2 juste à coté!

Mais revenons au livre lui même. Je suis un grand fan de la série principale de Weber à n'en pas douter. Rarement des livres ont aussi souffert d'une lecture, relecture et re-relecture pourtant, la ou les premiers tomes me transformaient en No-life jusqu'à ce que j'atteigne la dernière page, je suis devenu de plus en plus modéré à partir du tome 9 au point de mettre plusieurs mois pour me mettre à lire ce tome 12. Alors non, ce n'est pas mon état d'esprit qui a changé puisque je relis avec autant de plaisir les premiers tomes. Non, mon ressenti revient de l'évolution qu'apporte David weber a sa série. La ou les premiers tomes étaient beaucoup centrés sur le personnage d'Honor et son équipage, Weber s'en détache de plus en plus et additionne les point de vue. On passe de plus en plus de temps dans les méandres de chaque partie politique. Chaque décision ou non-décision devient des dizaines de pages, chaque action même bénigne se retrouve couchée par écrit pour justifier un comportement 200 pages plus loin. A première vue, tout cela semble pour le mieux mais cela fini surtout par plomber le récit. Trop de personnages à l'importance fictif, trop de discussions interminables pour un résultat qui pourrait être apporter en quelques lignes. L'auteur veux trop en faire et ce qui était une série efficace et dynamique devient un pavé rébarbative. Même la gargantuesque bataille du précédent tome qui aurait du être l'apogée de la série se retrouve flingué par une narration trop lourde. Qu'est devenu le talent de narration de Weber comme la bataille d'Hancock du tome 3? Celle de Cerbère du tome 8 ou encore la seconde bataille de Grayson du tome 5?
Pas de vrai changement pour ce tome 12-1 qui, de part son nombre de page plus restreint, m'est quand même apparu plus digeste que le tome 11. Cela cache toutefois un problème de taille : la quasi absence de batailles spatiales. Un comble pour un space opéra militaire mais l'auteur avait montré son savoir faire dans le tome 4 "Au champ du déshonneur" quand il s'agit d'orienter un tome uniquement sur la politique. Seulement cette fois la, pas de miracle pour un tome qui souffre, sans surprise, des mêmes problèmes que les derniers tomes en date. Du coup, Honor fait juste de la figuration et on se retrouve avec un livre sans "vrai" protagoniste mais uniquement des seconds rôles. Une petite note d'espoir toutefois avec le dernier quart de cette première partie qui nous offre un combat sympathique bien qu'un peu court. Reste à voir ce que donnera la seconde partie de ce tome 12.
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Avec ce tome 12, Laurell K. Hamilton continue la déchéance de sa série phare. Toujours plus de pages, plus de métaphysiques, plus de jambes en l'air... Le plus sidérant reste le n'importenawake de l'auteure qui fait penser à l'imagination d'une adolescente en découverte de la puberté.
On retrouve donc Anita empêtrer dans des pseudos liens métaphysiques à n'en plus finir. Car oui, Anita ne cesse de créer des liens "par erreur" mais pas de soucie, Jean-Claude, Richard et toute la clique sont toujours la pour dispenser un cours de 15 pages grâce à leurs savoirs incommensurables. Tout ces liens qui rendent notre (plus très chère) Anita si puissante. Du moins en théorie car moi tout ce que j'ai remarqué, c'est qu'elle passe plus de temps affaiblie qu'autre chose et voila donc le grand sujet du livre : il faut nourrir l'ardeur! Mais comme elle devient plus puissante, elle doit se nourrir plus souvent (bravo Mme Hamilton, on ne l'avait pas vu venir!) et au lieu de 2 fois par jour, on passe à 3. Mais comme Anita reste un peu prude (c'est la grande trouvaille de ce tome, faire admettre à l'héroïne qu'elle c'est un peu dévergonder!), l'auteure nous invente toujours plus de n'importenawak pour la faire coucher à droite et à gauche. Car oui, comme Anita est une grande philanthrope dans l'âme, elle saute au secours de son amant n°1 pour recharger les piles de ce dernier grâce une partie de jambes en l'air. Peu après, ce sera l'amant n°5 qui aura besoin d'être secouru de la même manière... Mais quel inventivité!
Et l'histoire dans tout ça? Non seulement elle n'est pas très intéressante mais ne doit vraiment se dérouler que sur les 100 dernières pages (1/10 du bouquin consacrer à l'intrigue en gros) et en plus, n'offre même pas de résolution satisfaisante. En faite, je crois que la véritable intrigue du livre, c'est Nathaniel, couchera ou couchera pas avec Anita?

Mais au risque de me faire beaucoup d'ennemies, ce que je trouve le plus dommage, ce sont les avis que je peux lire à droite et à gauche. Que l'on aime ce genre de livre, c'est une chose dont je ne polémiquerais pas (chacun ses gouts après tout) mais comment peut-ont parler d'évolution de la série? Dois-je rappeler que Anita tome 1 à 5, c'est zéro scènes de jambes en l'air et le souhait du mariage avant l'acte (une scène pour le tome 6 et 1 pour le tome 8)? Dois-je rappeler la proportion que prenais l'intrigue des premier tomes vis-à-vis de tout le reste? Si dés le premier tome, Anita c'était mis à avoir autant d'amants qu'une équipe de foot compte de joueur, je n'aurais certainement pas commencer cette série. Non, je ne me voile pas la face, depuis le tome 10, l'auteure à belle et bien trahie sa série d'origine et je comprend parfaitement que de nombreux lecteurs se sentent trahis. Mais le plus frustrant? C'est de voir des séries excellentes comme Kate Daniels ou Rachel Morgan peiner à trouver le succès qu'elles méritent alors que les orgies d'Anita s'arrachent par milliers d'exemplaires en France.
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"J'ai Lu" nous fait bien rire avec son intégral puisqu'il s'agit ni plus ni moins que le découpage d'origine des romans qui formaient une trilogie (merci qui? Merci Pygmalion). Ce tome reprend donc les parties 1 et 2 sortie chez nous en grand format et en poche pour en revenir a son découpage d'origine en vo.

Ce premier tome est un peu particulier car il suit l'enfance de Tobin. L'ambiance qui en ressort s'avère un peu angoissante et toute la première partie joue énormément sur l'ambiance. Les fans de grandes épopées peuvent donc se sentir trahis par ce roman mais il serait vraiment dommage de ne juger que sur ce premier tome.
Moi même, j'avoue avoir eu un peu de mal avec ce tome 1 et surtout la première partie mais cela n'empêche pas l'auteure d'avoir fait un excellent travail sur les personnages, l'ambiance et l'univers. On vit en même temps que Tobin ses peines et ses douleurs et on adore les seconds rôles tout aussi bien travaillé (Ki, Lhel, Tharin...).
La seconde partie du roman revient un peu sur les standards de la fantasy avec Tobin qui évolue en apprentissage mais ce dernier reste jeune et on reste loin d'une action trépidante. Non, pour cela, il faudra attendre les tomes 2 et 3 qui nous offrira notre lot d'intrigues, de batailles rangées et de guerres civils... Mais à cela, certain devront peut-être insister sur ce premier tome tandis que d'autres risquent d'adorer ce premier tome et se sentir trahis par une suite plus conventionnelle.
Un tome 1 qui est donc en déphasage avec les tomes 2 et 3 et fera donc diverger les avis. Pour ma part, il s'agit d'un tremplin vers ce qui s’avérera par la suite l'une des meilleurs séries de Fantasy que j'ai lu.
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Attention, il s'agit d'une série exigeante à la lecture. Beaucoup de descriptions, un début laborieux, un univers très (trop?) complexe...
Presque tout est réuni pour faire lâcher ce premier tome mais si vous allez au-delà, vous serez face à l'une des plus belle trilogie de Fantasy qui soit.
Des personnages à la complexité très fouillé, un univers happant et original... Tout est réuni pour faire de cette série un chef d’œuvre et c'est bel et bien le cas.. Donc fans de Fantasy de haute volée, cette série est pour vous.

La seule chose négative que j'aurais a formuler, ces cette manie de Pygmalion (reprit par j'ai Lu) de scinder les tomes en 2. Et oui, La Symphonie des Siècles est une simple trilogie et pas une série de 6 tomes
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Je ne vous cache rien, je fus incapable de finir ce livre. J'ai été attiré par le synopsis aguicheur mais fut très déçu au final. Entendons nous bien, si l'histoire à l'air peu originale de prime abord, son héroïne est tout sauf manichéenne. A tel point que c'est une véritable anti-héros, imbu d'elle même, manipulatrice et surtout une véritable fanatique religieuse dont à aucun moment je n'ai ressenti la moindre empathie à son égard. J'ai donc très vite arrêter les frais mais je préfère prévenir. Si comme moi vous chercher une histoire un tantinet manichéenne avec les bons d'un coté et les méchants de l'autre (qui mine de rien, est ce que la majorité d'entre nous recherche même si c'est à divers degrés), et bien passé votre chemin, on est très très loin de la gentille paysanne qui deviendra une grande reine (c'est plus de la tyrannie à ce niveau). Ceux qui recherche une expérience plus complexe pourront toutefois se laisser séduire par ce tome.
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Nous y sommes, le tome 5. Bien que la série soit prévue en sept tomes, c'est par le tome 5 que prendra fin le combat de l'Araignée contre Mab.
Les autres tomes n'ont fait que servir de tremplin à l'Araignée ou chaque combat la rapprochée un peu plus de l'invincible Mab. Toutes les bonnes actions ne seront d'ailleurs pas fortuites et presque tout les personnages que l'on connait depuis le tome 1 répondront présent pour le final.
Un tome qui se retrouve donc bourré d'action avec un rythme endiablé, notamment la seconde partie qui ne laissera aucun repos au lecteur jusqu'au dénouement final. Beaucoup de second rôles font juste de la figurations cela dit mais on pardonne facilement pour le bonus non négligeable que l'auteure nous offre : un peu du passé des sœurs Deveraux ce verra révéler. En revanche, j'ai trouvé Bria un peu en retrait sur ce tome. Bien que j'apprécie toujours autant le personnage, Jennifer Estep n'a, à mon humble avis, pas assez travaillé sur la psychologie de cette dernière pour le tome 5.
Quand à la romance, cette dernière suit son cours et évoluera une fois de plus grâce à un Owen et une Gin tout en sensibilité. Gin va encore un peu ébrécher sa carapace pour le plus grand plaisir du lectorat qui ne l'appréciera que davantage.

Un excellent tome qui se trouve dans la droite lignée des précédents. Un peu moins sentimental, il fait la part belle à l'action et conclu admirablement bien l'arc principal de la saga. Mon seul regret serait sans doute une issue un peu trop porté sur le happy end et la psychologie des seconds rôle en retrait. Il n'en reste pas moins un très bon bouquin qui laisse quelques portes ouvertes pour les 2 prochains tome à venir.
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Second tome et seconde enquête pour linspectrice Kara Guillian. Cette fois, il s'agit de supposés suicides qui ont lieux et semble sans aucun rapport entre eux. Seulement Kara est la seule à pouvoir se rendre compte que leurs essences vitales a été arraché par magie arcanique.

J'ai un peu crains avec ce début de tome que l'on se retrouve avec une chasse aux démons mais il n'en est rien puisque tout comme le premier tome, nous avons belle et bien enquête humaine associé aux pouvoirs arcanique. Cette seconde enquête est assez différente du premier tome pour que l'on ne ressente pas trop de similitude mais demeure tout aussi bien construite pour ne pas que l'identité du/des coupable(s) et les motivations soient trop évidents. On a donc une partie très "série policière" même si on reste très loin des Experts avec des policiers qui agissent avec les maigres moyens du bord.
L'auteure continue de décrire admirablement bien tout ce qui est en rapport avec la magie arcanique et parvient à faire évoluer de manière intelligente son héroïne. On retrouve aussi dans ce tome les autres personnages et notamment Ryan et Rhyzkahl dont chacun voit son mystère s'épaissir un peu plus. Il s'agit clairement de sous intrigues qui devraient nous suivre sur plusieurs tomes afin de percer le mystère de Ryan et les motivations de Rhyzkahl. Je regrette juste que l'auteure ne s'attarde pas sur d'autres personnages comme Jill ou même Crawford.

Un tome qui se trouve donc dans la droite lignée du précédent. Pas de grandes révélations et ceux qui ont aimé le premier tome devraient apprécier ce second sans problème. Pour les autres, il sera surement inutile d'insister comme cela peut parfois être le cas dans d'autres séries.
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Voici donc venir le second tome de la pentalogie Strange Angels. Premier constat avant la lecture du livre, l'éditeur Castelmore n'a pas réitéré la couverture de style métallisé du premier tome. Dommageable pour la continuité des 5 tomes, cela reste toutefois anecdotique face à d'autres pratiques tel que le changement de format en cours de route. J'aurais toutefois apprécié une certaine cohérence...
Pour l'histoire, on reprend donc la série à peu prêt la ou nous avions laissé Dru la première fois. Direction donc la Schola, sorte de lycée pour créatures surnaturelles ou on apprend aussi à se battre contre les vampires. Sauf que rien ne se passe comme prévu, au lieu d'apprendre à se battre et découvrir sa vraie nature, Dru est traitée comme une poupée de porcelaine. Que cache donc ce comportement étrange des enseignants de la Schola?

Comme je l'avais dit dans le premier tome, Strange Angels est une série tout en continuité. Concrètement, quand l'auteure termine l'intrigue sur chaque tome d'un Jill Kismet, ici, chaque tome fait parti d'un tout ce qui est à la fois une force et une faiblesse... Ainsi, on rentre assez vite dans le vif du sujet et on évite la mise en place un peu longuette du premier tome. En revanche, on reste un peu insatisfait face à une intrigue qui répond bien moins aux questions qu'elle n'en pause. D'ailleurs, ce tome 2 ne résout rien et ne nous donne que quelques suspicions avec une scène climax un peu palote (pour ne pas dire fade tellement cela manque d'envergure).
L'héroïne quand à elle est toujours égale à elle même. J'apprécie beaucoup son tempérament même si certain monologue interne (une spécialité de l'auteure) semblent parfois un peu longuet voir répétitif. Par contre, j'apprécie un peu moins la carotte que nous tend Lili St. Crow quand à l'éveil de la maturité de Dru (Dru va t'elle enfin se réveiller à sa nouvelle nature? Oh, ça se rapproche, oui, oui... ah bin non) qui une fois de plus, fait que Dru semble plus subir qu'elle n'agit.
Pour les autres personnages, hormis Christophe qui reste égale à lui même, Graves en revanche évoluera à plus d'un titre même si ce ne sera pas toujours pour le mieux au vu de son comportement. En revanche, le personnage de Dibs et surtout Ash ont piqué ma curiosité et je pense qu'il sera intéressant de les voir évoluer par la suite (beaucoup d'espoir pour Ash).

Mon avis n'est sans doute pas très positif à première vu mais cela tient beaucoup de la frustration de ne pas avoir le tome 3 sous la main pour poursuivre l'aventure. Car si nous n'avons pas vraiment de clifhanger, "Trahisons" ce termine avec la promesse d'événement toujours meilleurs à venir. On peut donc difficilement pénalisé un roman sur ce point même si, du coup, l'attente entre chaque tomes risque d'être longue. Je ne peux toutefois que conseiller cette série qui fait partie des meilleurs romans pour jeunes adultes que j'ai pu lire avec des personnages et un univers qui ne prennent pas le lecteur pour plus bête qu'il ne l'est (problème souvent récurent dans les romans jeunesse).
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Je l'ai attendu ce tome 3 qui allait enfin faire revenir Elena à New York. En suis-je satisfait? oui et non.
Nalini Singh ne joue plus avec l'attente du lecteur comme ce fut le cas pour le second tome et pourtant, je referme le livre avec une petite pointe de déception. La cause? La romance.
Alors avant de me faire incendier par toute une armada de lectrices, permettez moi de vous expliquer mon ressenti. Depuis le premier tome, Nalini Singh a énormément travaillé la relation Elena/Raphaël et j'admets volontiers que c'est l'une des plus belles romances du genre. Mon problème, c'est plus comme le chocolat : à petite dose, c'est un délice mais à haute quantité... Je sais que les deux premiers tomes étaient eux aussi assez prononcés dans ce domaine mais c'est vraiment sur ce tome que cela me saute aux yeux. Le truc, c'est que dès que Elena et Raphaël se retrouvent ensembles (et seuls il va s'en dire), cela finit par des mamours à n'en plus finir. Parfois court, parfois plus longues, c'est scènes chaudes deviennent dés lors prépondérantes au roman et éclipse tout le reste. Donc même si Elena revient enfin à New York, j'ai le sentiments que l'auteure n'a pas assez approfondi le sujet. Pas assez de mots sur la réaction de la ville de New York au retour d'Elena. Ses amis, sa famille, tout cela est en grande partie éclipsée avec une Sara qui fait juste de la figuration et même les sept de Raphael semblent juste faire acte de présence alors que jusqu'alors, l'auteure avait toujours pris de les approfondir un peu plus.
Le livre n'est pas mauvais pour autant, loin de la. Comme je l'ai dit plus haut, même si je trouve que l'équilibre est rompu, la romance est sans conteste l'une des meilleures du genre avec une Elena toujours aussi vivantes. L'intrigue est plutôt bonne elle aussi même si on semble un peu en terrain vague parfois.
Nous sommes donc face à un tome 3 bien rythmé et qui devrait plaire à tout les fans de la série. Pour ma part, appréciant la romance à petite dose, j'ai quand même eu un peu de mal par moment et recommandera cette série avant tout à ceux qui cherchent de la romance.
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