Commentaires de livres faits par Animia8
Extraits de livres par Animia8
Commentaires de livres appréciés par Animia8
Extraits de livres appréciés par Animia8
Tout simplement une réussite je me suis laisse transporter par l'ouvrage !
Ce que j'ai surtout aimé, c'est la façon dont le livre aborde les personnes surdouées (ou superefficiente, comme le préfère Beirdo :). C'est un sujet que je ne connais que trop peu, mais j'ai pourtant eu l'impression de le comprendre grâce à ce livre. On y apprend beaucoup, notamment sur les tests de QI et leur élaboration, ainsi que sur les ressentis des adultes (qui étaient autrefois des enfants) et leurs façons de penser. Certaines pages nous restent en mémoire. On sent que l'auteur a vraiment fait un travail de recherche approfondi et a réfléchi à la meilleure façon d'expliquer le sujet.
Ce livre devrait être disponible dans les écoles, collèges, universités... car il est à la fois pédagogue et captivant.
Je vous le recommande vivement !
Le Silmarillion , c’est le Livre d’Histoire de la terre du milieu . La Mythologie d’un monde imaginaire créé par un Professeur de langues d’Oxford . C’est aussi un recueil de contes et légendes , que l’auteur aime à nous faire croire qu’ils ont bien existé et qu’aujourd’hui encore , on en garde le souvenir … c’est la richesse d’une écriture qu’on oublie trop souvent dans notre modernité , et que les Éditions Christians Bourgeois ce sont employés avec talent à traduire et fluidifier, sans jamais enlever son authenticité ! Un régale de lecture …
Alors oui , les nombreux dieux , familles et autres noms des personnages illustres à cet univers peuvent parfois nous dérouter, nous perdre , ou nous emmêler les pinceaux , mais c’est vite pardonner par leurs incroyables aventures ! J’ai remarqué aussi tout au long de ma lecture , le Féminisme très présent d’un Homme qui portait au nue le courage et la sagesse des femmes , et qui pour honorer l’amour qu’il portait à son épouse , lui en a écrit la plus belle légendes qui soit , faisant la pars belle a Luthìen sauvant des Dangers son Beren , leurs noms a jamais graver sur la tombe de leur auteur et de sa femme .
Je finirai par dire , que la série les Anneaux de Pouvoir est égale au respect de l’œuvre, que l’était le Seigneur des Anneaux et le Hobbit. Tous trois rendant hommage à leurs manières , à des récits considérés comme LES chefs d’œuvre de l’Imaginaire et de la fantasy . N’ayez pas peur de vous plonger dans l’étude de ce monde , vous en sortirez avec le sentiment d’y avoir vécu .
Ce monsieur a un parcours hors du commun et a connu la brutalité humaine comme peu avant lui.
Tout simplement une leçon de vie à méditer.
Une très bonne lecture.
Si la plus grande partie de l'histoire est le déroulement d'un match et que ce thème peut en rebuter certains, le réalisme des scènes et charme de l'écriture est tel on s'y croit tellement qu'on en oublie où on est. Et c'est me rongeant les ongles que j'ai terminé la nouvelle.
Car jusqu'à la toute fin, le suspense est maîtrisé.
Et c'est aussi l'histoire d'un jeune couple, qui découvre l'amour pour la première fois, et ce match de boxe, doit leur changer la vie puisque que la prime de cent dollars en cas de victoire doit leur permettre de s'installer.
Le couple découvre donc les émois de l'amour, et ce monde étrange et étranger qu'est l'autre sexe et qu'aucun jusqu'ici n'avait réellement cotoyé ni regardé avant le passage de Cupidon. Ce qui entraîne des incompréhensions de part et d'autre.
Le point d'incompréhension étant axé autour de la boxe, la jeune femme allant jusqu'à la personnaliser, en faisant une rivale.
Du coup, quand elle va voir son homme disputer son ultime match de boxe avant leur mariage, on ne peut s'empêcher de se demander qui s'affronte sur ce ring : les deux boxeurs, ou les deux rivales ? Et qui va l'emporter sur l'autre ?
A vous de le découvrir !
Martin Eden est le récit d'un homme qui se découvre une ambition : devenir un écrivain célèbre. Il est idéaliste (autant concernant le monde du livre que celui de la femme qu'il aime, Ruth, et son milieu bourgeois).
Martin va consacrer sa vie à ce rêve et ne cède pas malgré les difficultés. Grâce à son énergie et son intelligence il va s'élever mais la désillusion sera amère.
C'est un roman avec une vision de la vie sombre et une critique de la société au scalpel. Un livre marquant et bien écrit et même bouleversant à certains moments. Il me hantera longtemps. Seul bémol je l'ai trouvé un peu manichéen dans les personnages.
Une accumulation de dépêches diverses et variées dont la tâche est de transporter nos neurones dans une sorte de tout venant aussi surprenant qu’improbable.
Déstabilisation constante et surtout consternante pour un adepte de la fluidité quasiment absente à laquelle il faut s’adapter, si l’on désire maitriser du mieux possible ce récit ayant davantage l’aspect d’un exercice de style innovant, rutilant de bout en bout dans ses impertinences novatrices.
Bref un chef d’œuvre certes cassant, illisible et perturbant mais reproduisant malgré sa déconfiture narrative et ses incessantes cassures de rythmes un nouveau concept d’écriture se servant comme toile de fond de l’imagerie d’un futur aussi déconcertant aussi déstabilisant que les mots servant à le décrire.
Une nouvelle dimension bien au delà d’un confort de lecture ronronnant.
Ici c’est la visite d’un ailleurs situé sur une planète ingérable ou tout surgit de nulle part sans crier gare dans un contexte servant de pitance hallucinogène à un environnement dont chaque ressource ne reproduit que la démesure de chacun de ses concepts.
Il faut batailler ferme et ceci quasiment sur chaque phrase noircissant les pages d’un pavé de bonne taille se nourrissant des déchirures de sa charpente sur pratiquement toute sa longueur mais indispensable si l’on désire découvrir une autre manière d’écrire.
Sans vouloir trop entrer dans l'analyse culturelle et compagnie, je pense qu'il est nécessaire de prendre un certain recul en lisant ce genre d'œuvre et je trouve que l'autrice nous invite trop peu à le faire. Car en effet, le seul intérêt du bouquin est de découvrir comment fonctionne le monde de l'entreprise au Japon et de témoigner de ses effets destructeurs sur l'autrice. Certaines choses sont véridiques et encore d'actualité comme le sens de l'appartenance à l'entreprise et du respect de la hiérarchie, le reste est passé de date et/ou ne concerne que les entreprises les plus grosses du pays.
Ainsi, je ne vois pas trop en quoi il vaut encore le coup de lire ce livre. Un atout certain serait la plume de l'autrice mais que l'on peut aussi retrouver dans ses autres livres. Dernière remarque : second livre que je lis d'Amélie Nothomb, seconde fois que de nombreuses remarques grossophobes figurent à de multiples reprises.
Sur beaucoup de plans, un livre qui se devait super original à sa sortie il y a 30 ans et qui maintenant, est complétement désuet.
En tant que première lecture de Christophe Paviot, la découverte du style d'écriture de l'auteur a été très surprenante pour moi et souvent même inconfortable ou agaçante : des mots bruts, parfois inutilement vulgaires, des virgules n'importe où qui m'ont demandé un effort pour en faire abstraction, des paragraphes quasi inexistants, des dialogues au sein même d'une phrase narrative etc etc.
Après m'y être habituée, j'ai pu savourer les bons côtés. Il est en effet difficile d'installer un climat de mystère dans une biographie, et c'est pourtant ce qu'il se passe : un saut dans le temps qui a rendu la lecture encore plus intrigante car on découvre notre personnage principal après avoir pris une vingtaine d'années. On découvre le nouveau Marty et on en apprend plus sur ces années omises dans le récit.
Finalement, ce livre est surtout un livre sur les tragédies et malchances de la vie et comment une personne parmi d'autres vit à travers ça. On assiste à tellement de drames que cela devient parfois prévisible et un peu trop
Au delà de ça, j'ai trouvé plusieurs scènes dans la seconde moitié du livre très touchantes.
En parlant de la fin, je ne vois pas en quoi elle est si grandiose. Au contraire, je l'ai trouvée assez neutre, ni décevante ni surprenante. Enfin quoi que, un peu too much quand même.
Finalement, le rythme est pas mal, adapté à une lecture de salle d'attente d'aéroport, en contradiction avec la mise en page que j'ai trouvé détestable (des petites étoiles partout et des changements de chapitres qui n'ont ni queue ni tête).
Je critique beaucoup car je pense qu'il y avait un grand potentiel dans l'idée mais malheureusement trop d'éléments polluants.
Tout d'abord, choisir Madeleine comme personnage principal, ça fonctionne bien mieux que ce à quoi je m'attendais en commençant ma lecture.
On retrouve aussi un scénario ponctué de drames soit tragiques, soit grotesques, et cela fait partie de ce que j'ai adoré retrouver avec l'écriture de l'auteur - en plus d'une narration très bien construite, avec un point de vue assez surprenant parfois.
Et puis, sur la continuité du premier tome, un milieu et un contexte historique qui, bien que moins omniprésents et développés que dans le premier tome, nous permettent de voyager un peu dans le temps.
Le principal défaut serait le rythme selon moi, qui était irrégulier et pas toujours adapté aux situations.
Un roman pas parfait mais qui ne m'a pas fait regretter de m'être penchée sur ses 500 pages.
Tout y est : un ancien monde peuplé de dragons divins, des vivernes volant , chevauchées par des guerriers , des êtres mi serpent, mi humains, des rois, des princes alliés ou ennemis, une entité maléfique L'Obscure , des complots.
Lorn est un personnage attachant, effrayant, complexe . L'écriture est vivante, pas de temps mort , pas de longueur . Pourtant nous nous représentons très bien les lieux et les personnages. Nous découvrons peu à peu qui est Lorn , et son rôle .
Le final est surprenant et nous invite efficacement à lire la suite.
Si vous aimez Robin Hobb , vous allez adorer et cocorico c'est un auteur français
Dans une écriture coupée et accessible, l'auteur nous fait vivre l'enquête du désormais ancien flic Fabio Montale, contraint de mener une enquête personnelle pour régler une affaire familiale. Une enquête moins axée sur le passé et qui laisse place à des thèmes politiques : l'essor conjoint de l'extrême-droite et de l'islamisme dans la cité phocéenne.
Je ne vaux pas revenir trop longtemps sur le talent exceptionnel de Jean-Claude Izzo pour décrire sa ville. Les lecteurs du préquel Total Khéops savent à quel point cet auteur peint Marseille, autant dans la poésie que dans la dénonciation, et peut-être avec un peu trop de nostalgie, à travers les yeux de son personnage Fabio Montale. Je ne dirai qu'une chose : ce portrait de la ville toujours aussi réussi, et n'est pas redondant, Jean-Claude Izzo nous emmenant dans d'autres paysages que ceux du volume précédent, de la Bigotte à la Joliette. Que les non-connaisseurs s'arment d'une carte de Marseille pour ne pas se perdre dans les toponymes !
J'ai beaucoup apprécié que l'enquête aborde des thèmes un peu à l'écart du grand banditisme traditionnel : l'islamisme et l'arrivée de l'extrême-droite. L'histoire reste trempée dans les affaires des mafieux, ce que j'apprécie, mais j'aurais aimé que les deux thèmes susdits aient une place plus centrale dans l'histoire. Petite déception donc.
Un défaut du roman reste selon moi son rythme lent. Hormis dans les derniers chapitres, je n'ai pas senti un suspense dévorant. À se perdre en peintures de sa ville, j'ai eu l'impression d'un certain décrochage du personnage principal par rapport à l'histoire. C'est peut-être un effet recherché, mais qui nuit un peu au suspense... dommage car c'est ce que beaucoup recherchent dans un roman policier. Il faut plutôt voir cette oeuvre comme un roman noir. Car en dehors du problème du rythme, l'histoire racontée est ficelée avec justesse, et l'ambiance et les thèmes criminels sont pesants.
Très grande qualité en revanche, par rapport à Total Khéops : les personnages m'ont paru bien plus humains, et je me suis réellement attaché à certains. L'écriture a réussi à me transmettre les émotions ressenties, ce qui manquait dans le préquel. La relation entre Montale, l'ancien flic, et son intermédiaire amical mais distant Loubet, flic droit dans ses bottes, est selon moi une réussite totale.
En bref : une suite dans la droite lignée du roman noir, violent mais poétique, qu'était Total Khéops, avec un défaut de rythme mais des personnages bien plus intéressants que dans le préquel. Curieux de m'attaquer à l'ultime volume de cette saga !
Ce roman est dur et malgré sa petite taille, il m'a fallut plusieurs jours pour le terminer, il a fallut que je digère les pages lues. Le livre est tellement bien écris qu'on se sent happé dans la vie de ses trois femmes. Même si plus j'avançais, plus ça devenait facile, le courage et l'espoir prends le pas sur tout le reste.
Une merveilleuse réussite. Une ode à la vie, tout simplement, malgré ses tragédies, ses obstacles, ses difficultés. Il faut toujours aller de l'avant et essayer de faire toujours mieux.
Bref, sinon, j'ai une fois encore adorée l'héroïne que SJ Mass nous propose, elle change un peu des autres
Bon après, gros point négatif, la taille du livre, 900-1000 pages ? Hmm oui-oui c'était long à lire (perso 5 jours qui dit moins ? >0<) et son prix ouille ! Mais là je vais pas me plaindre j'ai emprunté le livre à une amie (MERCI LILAAAA si tu passes par là).
Donc peut-être un peu de longueurs excessives qui auraient peut-être pu être évitées et auraient rendu le livre moins lourd et galère à lire XD mais bon personnellement un fois plongée dans l'univers qui soit dit en passant est très riche et complexe, (de mon point de vue, ça ne concerne qu'ici ma façon de lire, faites en ce que vous voulez), le début de l'intrigue n'a pas été si compliqué à comprendre. Perso ce que je conseille c'est de se laisser porter par l'histoire et ne pas trop réfléchir (c'est peut-être pour ça que j'ai trouvée le début nickel, ou juste je suis une grande habituée de ce style de livre aussi ? Qui sait.) sur "qui c'est", "où on est ?" "elle raconte quoi elle" et de profiter des NOMBRREUX retournements de situations [spoiler]qui sont peut-être trop nombreux non ? (après on peut aussi dire que c'est réaliste, histoire compliquée=retournement compliqués. Ptit EX pour illustrer ce que je veux dire : oh Danika a été tuée par Briggs, oh non c'était par le kritallos, oh non enft c'est D. qui s'est tuée elle même, OMD, OH C'EST MICHEE !!! voilà ... héhé
Lisez ce livre quand vous voulez mais peut-être pour le bien de votre travail, c'est mieux pendant les vacances vu qu'il est loooooong 0*0...
Donc en gros je vous le conseille quand vous avez le temps, il est pour moi pas transcendant mais plutôt cool à lire quoi) considérez aussi qu'il y a une polémique/ un non consensus sur l'autrice et sur sa façon d'écrire et de de décrire les personnes LGBTQ+ en plus de glorifier certains mecs avec des comportements abuseurs (je parle ici de Rhys et de Tam) mais bref c'est un autre sujet, si vous voulez en savoir plus, chercher sur internet pour vous faire votre propre idée sur le sujet. (même si pas grand monde en France en parle contrairement aux pays anglophones)
C'est tout pour moi les loulous, je vous laisse, je vais travailler, ce que je n'ai pas fait depuis que j'ai ouvert ce ptn de livre ahah ...
Les personnages sont sympathiques, Will est un protagoniste attachant, sa relation avec Halt se construit doucement et ce tome (je ne sais pas ce qu'il en sera des autres) est plus centré sur les liens qu'il entretien avec Horace tandis que le reste de sa bande d'amis sont plus en retrait, néanmoins l'évolution de leur amitié est des plus intéressantes. Je lirais la suite avec curiosité.
Franchement, pour ceux qui sont fan de combats mais aussi de quêtes, ce livre est fait pour vous,vous ne le regretterez pas.
J'ai dévoré ce livre et très rapidement, j'ai voulu la suite.
bonne lecture !!!!
N'hésitez pas à me donner votre avis sur cet ouvrage.
Je ne suis pas contre lire le deuxième tome, mais je crois que le fait de ne pas arriver à retenir tous les noms de royaumes et de dieux risque de gâcher ma lecture. A suivre... ou pas.