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C'est une chose étrange à la fin que le monde



Description ajoutée par astree 2015-10-16T12:22:53+02:00

Résumé

Si les mystères du monde nous étaient contés

L'illustre académicien nous livre ici, au crépuscule de sa vie, à la fois le fruit de son (immense) érudition et de ses (profondes) interrogations sur l’Histoire du monde, son origine, le devenir de l’homme et le sens de la vie. Force est en effet de constater, nous dit-il, que les multiples progrès et découvertes scientifiques enregistrés au fil des siècles et scrupuleusement recensés dans cet ouvrage improprement, mais volontairement dénommé roman, «n’ont jamais rien changé à notre humaine condition : naître, souffrir et mourir».

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Classement en biblio - 78 lecteurs

extrait

La vie est le plus banal des miracles. Elles est si évidente qu'elle échappe à toute définition. Selon une formule célèbre et négative qui révèle notre impuissance à la cerner de plus près, elle est l'ensemble des forces qui résistent à la mort.

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Commentaires les plus appréciés

Argent

Le livre est intéressant, captivant , bien écrit ... J'ai beaucoup toute les allusions à l'histoire, à Ulysse , aux grands penseurs et grands hommes .

Bref, pas mal , évidemment on ne ressort avec aucune réponse à cette question : Qui a t-il après la mort ? Y'a t-il quelque chose au moins ? Ces questions on y pense tous, elle nous font peur , nous obsèdes même parfois ...

De ce livre on retient aussi que dans le doute , il faut profiter de la vie , car on ne sait pas , demain tout pourrait s'arrêter .

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Argent

Hello,

A lire absolument afin de bien remettre les idées en place sur la réalité des choses de ce monde et sur nos connaissances et bien d'autres choses encore... Merci Jean de nous avoir offert ce merveilleux livre...

Par des réponses, des réflexions personnelles et des explications, l'auteur nous guide sur les questions de la religion, la science, le sens de la vie, la philosophie, l'histoire, l'univers...Dans un style clair, il nous raconte l'histoire du monde et des hommes. C'est un peu "fourre-tout", mais devant l'ampleur du sujet, il était certainement impossible qu'il en soit autrement. J'ai personnellement beaucoup appris à la lecture de ce livre passionnant.

excellent!!!marquise66

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Commentaires récents

Lu aussi

Deuxième lecture de Jean d'Ormesson pour moi, et toujours la même conclusion : c'est un livre à caractère autobiographique, encore une fois, mais du monde cette fois ! Une très belle cohésion des pensées et des évènements, ponctuée de citations justes et touchantes qui donnent à réfléchir.

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Argent

Un bon roman, mais pas mon préféré de Jean d'Ormesson. On le suit quand même avec plaisir dans ses divagations autour du monde et à travers le temps. Quelques redondances parfois cependant.

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Lu aussi

livre par bien des côtés aussi étrange que le monde qu'il tente de décrypter. Une manière très intéressante de partager le savoir et non savoir de l'univers.

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Or

Un livre assez inclassable, original et poétique, qui évoque l'histoire du monde et le sens que cherchent les hommes à leur vie. Jean d'Ormesson avait une plume superbe, ce livre se lit très facilement et apporte une vraie culture générale. J'ai regretté d'avoir de si maigres connaissances en science et astronomie, qui ne m'ont pas permis de pouvoir vraiment comprendre les théories sur la naissance de notre univers...

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J'ai aimé ce livre qui se lit comme un poème et qui m'a donné une véritable bouffée d'air frais... Une jolie philosophie de vie y est inscrite, je vous le recommande!

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Bronze

Un grand livre, une belle réflexion sur l'existence, sur la vie...A découvrir ...

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Diamant

Ce livre fait bien partie de mes livres de chevet. Un grand souffle d’émerveillement, par lequel on a juste envie de se laisser porter jusqu’aux dernières pages, où on arrive ébouriffé, apaisé, heureux.

Thèmes, rythme, style, tout est fait pour nous combler.

Pourtant, j’aimerais reprendre ce que Jean d’Ormesson dit de l’agnosticisme pour y apporter un autre éclairage. « L’auteur ! L’auteur !, écrit-il, il est agnostique. Il ne sait pas. Il aimerait bien savoir. Ou du moins en savoir un peu plus. » Et plus loin : « Je ne sais pas si Dieu existe mais, depuis toujours je l’espère avec force. » Et plus loin encore : « Il faut toujours penser comme si Dieu existait et agir comme s’il n’existait pas. »

Alors, agnostique Jean d’Ormesson ?

J'ai du mal à le croire. Il y a en cet homme, si minime soit-elle, une conviction élémentaire sur l'existence possible de Dieu. Chez l'agnostique, il n'y a pas trace de cette conviction, si minime soit-elle. Le doute radical, seul maître du terrain.

D'ailleurs, dans son dernier livre, "Comme un chant d'espérance", Jean d'Ormesson lève enfin le voile sur cette question : "Je crois en Dieu parce que le jour se lève tous les matins, parce qu'il y a une histoire et parce que je me fais une idée de Dieu dont je me demande d'où elle pourrait bien venir s'il n'y avait pas de Dieu." Emouvante révélation, qui se démarque enfin clairement de l'agnosticisme et efface la confusion jusque là entretenue.

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Diamant

Ce livre fait bien partie de mes livres de chevet. Un grand souffle d’émerveillement, par lequel on a juste envie de se laisser porter jusqu’aux dernières pages, où on arrive ébouriffé, apaisé, heureux.

Thèmes, rythme, style, tout est fait pour nous combler.

Pourtant, j’aimerais reprendre ce que Jean d’Ormesson dit de l’agnosticisme pour y apporter un autre éclairage. « L’auteur ! L’auteur !, écrit-il, il est agnostique. Il ne sait pas. Il aimerait bien savoir. Ou du moins en savoir un peu plus. » Et plus loin : « Je ne sais pas si Dieu existe mais, depuis toujours je l’espère avec force. » Et plus loin encore : « Il faut toujours penser comme si Dieu existait et agir comme s’il n’existait pas. »

Alors, agnostique Jean d’Ormesson ?

J'ai du mal à le croire. Il y a en cet homme, si minime soit-elle, une conviction élémentaire sur l'existence possible de Dieu. Chez l'agnostique, il n'y a pas trace de cette conviction, si minime soit-elle. Le doute radical, seul maître du terrain. C'est ce qui m'a fait écrire à Jean d'Ormesson, dans ma lettre ouverte du 24 décembre 2013 :

"Je vous en supplie, cessons de semer la confusion en jouant sur les mots. Le dialogue, si on le cherche vraiment, ne peut se faire qu’à ce prix : reconnaître la spécificité de l’autre.

Cessons de jouer sur les mots, ça fait trop mal à certains – et peut-être trop de mal à tous dans la confusion stérile ainsi entretenue."

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Or

j'ai adoré la première partie mais un peu moins la deuxième. Mais dans son ensemble, c'est un bon roman par un grand auteur.

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Lu aussi

Jean d'Ormesson s'interroge sur cette chose étrange qu'est le monde. Pourquoi tout plutôt que rien? Dieu existe-t-il? L'univers et ses lois ont-ils un sens? Dans une première partie assez intéressante et bien construite, d'Ormesson nous livre un récit chronologique des conceptions philosophiques et des découvertes scientifiques, de Socrate à Newton en finissant par le Mur de Plank. Se glissent dans ce qu'il appelle "le fil du labyrinthe" quelques réflexions philosophiques et émotionnelles (le rêve du Vieux) toujours très intéressantes. La seconde partie du livre est un questionnement personnel sur l'existence de Dieu, sur le sens de la vie et sur l'après mort.

Si j'ai apprécié la poésie de l'auteur qui pour moi est la clé de voûte du livre, j'ai beaucoup moins apprécié la réflexion philosophique que je trouve, autant être franc, prétentieuse. Je m'explique : si d'Ormesson souligne à juste titre le caractère absurde de l'existence (pourquoi existe t-on et non pas l'inverse?), il se dégage de ce livre une certaine glorification de l'être humain qui n'a pas lieu d'être et qui m'exaspère. Page 150 : "On dirait une blague : treize milliards sept cents millions d'années ne trouvent un début d'explication [...] que depuis l'apparition de la pensée". L'univers a-t-il eu besoin d'attendre la pensée humaine pour exister ? Non. L'univers existe en dehors de toute pensée. Il récidive, page 243 : "Les Hommes surgissent. Pour le meilleur ou pour le pire, ils prennent le relais de Dieu à la tête des affaires" (!).

Lorsqu'on a la prétention d'écrire un livre sur l'Univers et ses mystères, il faut a minima avoir la modestie de ne pas insister sur l'apport de l'Homme à cet ensemble. 13 milliards d'années de complexité absolue, de mystères insolubles, de vie cosmique réglée au millimètre et voilà que d'Ormesson nous parle de l'Homme comme étant l'aboutissement ultime de ce processus. Jean d'Ormesson en sa qualité d'éminent normalien est d'une prétention qui m'étonnera toujours...

Il n'y a hélas pas que ce décalage co(s)mique entre l'immensité de l'Univers et la petitesse de l'Homme qui me dérange dans ce livre. Il y a aussi et surtout des affirmations de l'auteur qui me sidèrent : P 162 à propos du caractère imprévisible du futur : "l'ascension de Staline et de Hitler, la chute du Mur de Berlin étaient imprévisibles". Je pense au contraire que l'étude des l'Histoire, le contexte socio-économique de l'époque, l'évolution des mentalités sont des choses potentiellement prévisibles. P. 212 à propos de la science : " ce qui est impossible, c'est qu'elle fournisse la clé de l'énigme" : je donne rendez-vous à Monsieur d'Ormesson dans quelques millénaires pour en reparler ! P.218 : "Si Dieu n'existe pas, la mort est la fin de tout" : cette phrase est un non-sens : quel est le rapport entre Dieu et la mort? L'après-vie est elle conditionnée par l'existence de Dieu? Je ne le crois pas. P.244 (en parlant des Hommes) : "Les faibles gagnent à tous les coups du moins que les forts finissent toujours par perdre" : on voit là toute la naïveté d'un d'Ormesson qui a grandi dans un milieu privilégié et qui n'a pas dû avoir beaucoup à se battre pour obtenir quoi que ce soit. Comment peut-on parler objectivement des faibles lorsqu'on a grandi dans le camp des forts?

Pour faire le lien avec mon dernier paragraphe, ce qui m'a le plus dérangé dans ce livre, ce ne sont pas tant les affirmations péremptoires ou les réflexions philosophiques à la gloire de l'Homme mais plutôt une certaine lacune dans la connaissance de l'âme humaine. Jean d'Ormesson le dit lui même : "cette vie étrange et si brève m'a été indulgente. Je l'ai beaucoup aimée" (p.259). Or, ce livre parle avant tout de l'humanité sans aborder le caractère douloureux de l'existence même de ceux qui la constituent. La vision d'Ormessonnienne de l'Homme est faussée par la clémence que la vie a donné à l'auteur, lequel est issu d'un milieu social favorisé, lequel a fait des études, a voyagé, a grandi dans un environnement protégé du malheur et de la détresse humaine. Ce livre manque de douleur, d'aspérités, de tourments. L'existence de l'Homme face à l'immensité de l'Univers est une angoisse permanente : comment parler de ce qui nous torture lorsqu'on n'est pas soi-même torturé ? La partie obscure de l'âme humaine est une partie du mystère qui échappe complètement à l'auteur. On sent donc ici les limites d'un d'Ormesson trop policé pour s'attaquer à des questions aussi complexes et douloureuses.

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Date de sortie

C'est une chose étrange à la fin que le monde

  • France : 2010-08-19 (Français)

Activité récente

kyterie l'ajoute dans sa biblio or
2023-12-22T01:23:25+01:00

Évaluations

Les chiffres

lecteurs 78
Commentaires 13
extraits 18
Evaluations 18
Note globale 7.28 / 10

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