Cette nouvelle m’avait fait de l’œil lors de sa sortie mais je ne me la suis pas procurée pour autant malgré son faible coût. Merci aux éditions Laskà de me permettre de découvrir ce livre.

Cette nouvelle, c’est la rencontre entre Maël, un jeune étudiant en allemand et Thomas, un jeune allemand venu en échange chez Elodie, une amie de Maël. Ils font connaissance à une soirée en pensant qu’ils ne reverront jamais mais le destin en à décider autrement.

C’est une courte nouvelle (moins de 50 pages) mais bon sang ! que d’émotions ! On s’attache rapidement à nos deux héros surtout que la romance qui s’installe entre eux se fait progressivement, on les voit se séduire tout doucement. C’est le point fort de ce roman, cette relation qui s’installe doucement et l’auteur a choisi de ne pas mettre trop de relations charnelles dans son histoire et c’est un excellent choix.

Mais en plus de cette romance, l’auteur en profite pour nous parler d’autres sujets comme l’homophobie dont Thomas est victime mais aussi les relations à distance. L’auteur réussit à nous véhiculer pas mal de messages en si peu de pages.

L’histoire se passe en partie à Rennes et décrit très bien l’ambiance de ma ville d’adoption. Merci aussi à l’auteur de parler de cette belle ville.

En résumé, un court texte riche en émotions et avec des personnages attachants qui ne m’ont pas laissé indifférente.

Lorsqu’on m’a proposé ce service-presse, je me suis dit pourquoi pas, c’est une histoire simple dont j’ai besoin en ce moment surtout avec la lecture en ce moment d’Harry Potter et l’ordre du phénix.

Cette histoire c’est la relation simple entre Olivier et Sébastien. Enfin pas si simple que ça vu qu’Olivier est marié et père de famille. C’est donc une relation sexuelle purement sexuelle qui s’établit entre les deux hommes au départ. Mais voilà Sébastien s’attache à Olivier et décide de le quitter car il sait que cette relation n’a pas d’avenir.

C’est une nouvelle donc les événements se déroulent très vite et très simplement. Trop simplement peut-être, la résolution du problème d’Olivier et Sébastien est presque irréelle, trop simple.

Bien que courte, cette nouvelle est très plaisante m’a fait passer un bon moment comme toute romance en somme.

Les deux personnages principaux sont touchants et on sent bien la détresse de chacun après leur rupture et leurs efforts pour surmonter leur chagrin.

En résumé, c’est une belle nouvelle romantique simple mais qui fait passer un bon moment.

Pour le challenge 1 mois = 1 consigne, il fallait lire lors du mois d’octobre, un livre dans le registre horreur. Ne lisant pas de livres de ce registre, je me suis rendue à livraddict et à son classement des livres horreur pour établir mon choix. Celui-ci s’est porté sur ce livre parce que je l’avais déjà vu en librairie il y a quelques temps, il avait suscité mon intérêt sans pour autant entrainer d’achat.

Imaginer un monde où à chaque fois que vous mettez le nez dehors, chaque regard avec une créature invisible mystérieuse peut vous rendre fou au point de tuer les autres ou de vous tuer. Malorie est enceinte au moment où cette épidémie se propage au sein du monde. Ce monde où les survivants se barricadent chez eux, calfeutre leur fenêtre avec ce qu’ils peuvent (couverture, carton, matelas) afin que cette chose ne s’infiltre pas chez eux.

Ce roman est découpé en deux parties. Une où Malorie est enceinte au moment du début de l’épidémie et trouve refuge au sein d’une maison avec plusieurs survivants. Et une autre quatre ans plus tard, alors qu’elle a décidé de fuir avec ses deux enfants vers un autre refuge.

C’est un roman qui nous plonge dès ses premières pages dans cet univers terrifiant. On sent tout au long du roman la menace de cette chose sur Malorie mais aussi sur ces proches. On comprend combien ces gens ont peur de cette chose qui peut les rendre fous, ils en ont tellement peur qu’ils en deviennent fous. C’est donc un équilibre à trouver entre se protéger de cette créature et ne pas devenir fou.

Je dois dire que j’aui eu du mal avec le personnage de Malorie. J’ai bien compris qu’elle avait peur terriblement peur de sombrer dans cette folie. Mais je dois dire que le traitement extrême qu’elle fait subir à ces enfants est limite maltraitant à commencer par le fait qu’ils n’ont pas de prénoms.

On sent tout au long du roman l’emprise de cette chose sur les humains mais j’aurai aimé savoir dans les dernières pages ce qu’est exactement cette créature, d’où elle vient. C’est bien dommage car il n’y a pas de tome 2 pour avoir des explications.

Pour terminer je dirai que c’est un roman angoissant avec cette ombre planante tout au long du roman mais un personnage principal pas assez humain pour moi.

J’avais pas mal entendu parler de ce livre lors de sa sortie mais son prix m’avait dissuadé de l’acheter à cette époque-là. Je l’avais un peu oublié et puis il y a quelques mois, je vu dans ma librairie qu’il était disponible au format poche, je me suis empressée de l’acheter.

Ce qui m’a le plus attiré dans ce livre, c’est qu’il parle d’un sujet très peu abordé dans les livres d’histoire ou dans les émissions télé, ce sont les Lebensborn. Littéralement, ce sont des « fontaines de vie ». Dans ces instituts des femmes aryennes (blondes, yeux bleus, grande, aucun juif dans sa famille, …) s’accouplent ou plutôt se font violer par des SS dans le but de créer des enfants parfaits pour repeupler l’Allemagne.

Ce qui m’a le plus surpris dans les premières pages de ce livre, c’est que le narrateur c’est Max qui est encore dans le ventre de sa mère qui a déjà peur de ne pas remplir les critères établis par les scientifiques à sa naissance et surtout il veut naitre le 30 avril 1936, jour anniversaire d’Hitler. Il veut être le premier à naitre de ce programme. J’ai été surprise de voir un nourrisson aussi endoctriner dès ses premiers jours. J’ai été surprise aussi qu’il connaisse autant le double sens de certains mots (« réinstaller » = tuer, « désinfecter »=euthanasier).

C’est un livre qui nous détaille bien ce qui s’est passé dans ces centres mais aussi ce qu’il advient de ces enfants quand ils grandissent. On le voit très bien au travers des yeux de Max. On ne peut s’empêcher d’être indigner par ce que Max nous raconte, toutes les horreurs commises par les nazis que lui ne peut s’empêcher de justifier et de trouver normal.

J’ai eu du mal avec le personnage de Max, c’est un garçon qu’on ne peut s’empêcher de détester parce qu’il trouve normal d’apprendre ce qu’il apprend, ce que font les nazis. Mais en même temps, on ne peut s’empêcher de penser que s’il dit ça et qu’il pense ça, c’est parce qu’il a été endoctriné et pour moi alors ce n’est plus un coupable mais une victime du système nazi. Heureusement en grandissant, à cause des déroutes de l’Allemagne et de sa rencontre avec Lucas, il prend petit à petit conscience que tout ce qu’on lui a appris n’est peut-être pas la vérité. La dernière partie qui se déroule dans Berlin bombardé, est celle que j’ai le plus apprécié parce qu’il y a cette prise de conscience qui n’est pas facile pour lui.

C’est un roman richement documenté, on sent que l’auteur a fait pas mal de recherches pour nous livrer un tel livre.
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Pour terminer, je dirai que c’est un livre dur, sur un sujet méconnu, mais c’est aussi un roman magnifique, que je vais garder très longtemps dans ma mémoire.

J’ai entendu parler de ce livre sur certains blogs et tous en ont dit du bien, du coup j’ai voulu le lire. Je remercie les éditions Talents Hauts pour l’envoi de ce livre.

Et bien je dois dire que ce livre nous fait ressentir pas mal d’émotions alors qu’il fait moins de 100 pages, bravo à l’auteure pour ça.

Nous suivons donc Mia qui attend avec impatience l’arrivée de la puberté et de ses seins, ces passages m’ont fait sourire. Puis lorsqu’ils arrivent enfin, Mia voit le regard des hommes changer et en particulier celui du compagnon de sa mère, Lloyd. La salle de bain qu’elle aimait tant devient son cauchemar puisque Lloyd entre dans celle-ci lorsqu’elle prend sa douche.

C’est un roman qui m’a saisi, on ne peut pas rester insensible à la détresse de Mia qui comprend très vite que quelque chose ne va pas. Je me suis demandé jusqu’où il allait aller.

Mia fait ce qu’elle peut pour échapper à cet homme, elle met en place des stratagèmes pour ne plus se doucher chez elle ou ne plus dormir seule. Mais surtout, Mia ne sait pas à qui en parler, elle a peur de ne pas être cru.

Ce livre très court est très rythmé grâce à ses chapitres assez courts et aussi grâce à la multitude de sentiments qui nous traverse au cours de ces quelques pages, de l’amusement à l’angoisse et la peur.

Ce message parle d’un sujet assez rare dans les livres, en tout cas dans mes lectures, la pédophilie. L’auteur va assez loin dans ce que Mia vit mais pas trop pour que ce livre soit lu par les plus jeunes. Ce livre a pour messages de dire à tous qu’il faut en parler si ça nous arrive, il faut juste trouver la personne de confiance qui pourra nous aider qu’on soit fille ou garçon.

En bref, un roman qui m’a fait passer par pal d’émotions en si peu de pages et qui permet d’aborder simplement le thème de la pédophilie.

J’ai absolument voulu lire ce livre après avoir l’avis élogieux de Lectrice-Lambda il y a quelques mois. Je remercie les éditions Baudelaire de m’avoir fait parvenir ce livre.

Je peux dire que ce livre démarre sur les chapeaux de roues. Puisque dès les premières pages, on assiste à l’enlèvement s’une jeune Amish, Lena, et d’un guerrier Lenape (indien), Loup Gris.

Ce livre m’a donc permis d’assister à la rencontre improbable de deux cultures très différente. J’ai beaucoup aimé découvrir ces deux cultures que je ne connaissais pas. Les Amish sont une population qui a fui les persécutions en Europe. Leur vie est entièrement tournée vers Dieu et la communauté. Les Lenape, eux, sont une population qui a pour ainsi dire toujours vécu en Amérique, c’est un peupla pacifiste et qui respecte la nature à qui ils vouent un culte au travers de plusieurs dieux.

La rencontre entre Lena et ce peuple est donc un choc. Pourtant, elle arrive à s’adapter à leur coutume et apprend petit à petit leur langue, l’unami, aujourd’hui disparue. Mais son cœur est toujours vers sa famille et son fiancé.

J’ai beaucoup appris de cette époque historique qui m’était méconnue. Ce roman rapporte des faits qui se sont réellement passés. Il nous fait voir aussi tous les rites des Lenape, j’ai apprécié de vivre ces scènes de la vie de ce peuple particulièrement au moment des cérémonies, j’ai presque entendu les tambours tellement j’ai été immergée dans leur culture.

Mais ce roman nous laisse entrevoir aussi combien ce peuple a dû lutter pour survivre avec l’arrivée des blancs. J’ai pu voir les horreurs qu’ils ont dû subir.

J’ai aimé que la romance entre Lena et Loup Gris soit en arrière-plan de cette histoire. Ils arrivent à s’aimer malgré toutes les différences qui les séparent. C’est une belle histoire qui nous donne une leçon sur l’acceptation de la différence.

Concernant les personnages il y en a pas mal mais je vais me concentrer sur les deux principaux. Lena est une jeune femme forte mais elle emprisonnée par les règles et les croyances de son peuple, ce qui va par exemple ralentir son histoire avec Loup Gris. Lui c’est un guerrier héroïque mais qui cache de lourds secrets et se cache derrière une carapace que va arriver à fendre Lena qu’il appelle Welàntë (jour radieux).

C’est donc un très bon roman qui m’a permis de découvrir des cultures méconnues, une période historique juste évoquée en cours d’histoire mais aussi de recevoir de belle leçon sur l’acceptation de la différence.

J’avais beaucoup aimé le premier tome de cette saga. J’avais adoré l’univers unique du labyrinthe. J’avais donc hâte de retrouver Thomas et ces camarades.

Les bloquards sont donc en dehors du labyrinthe mais ils ne sont pas sortis d’affaire pour autant. En effet, le WICKED leur réserve bien des tours et ils l’apprendront très vite, l’euphorie de la libération va être de courte durée.

Ce livre apporte encore son lot de questions concernant le WICKED et l’épreuve auxquelles ils sont soumis. Mais on a bien peu de réponse. J’espérais qu’on avancerai un peu sur ce point.

Ce livre est bien moins rythmé que le précédent et j’ai eu beaucoup de mal à rentrer dedans. Il m’a même fallu poser le livre une semaine et le reprendre ensuite parce que vraiment je pense que ce n’étais pas le bon moment. J’ai donc lu d’autres livres et je m’y suis replongé par la suite avec plus de plaisir. Ce qui m’a paru le plus long, c’est la traversée de la terre brûlée car il y a très peu d’événements qui mettent de l’action. Il n’y a plus le huis-clos angoissant du labyrinthe.

Thomas reste toujours la même personne qui arrive à voir ce que le WICKED attend d’eux et évite ainsi de tomber dans ses pièges. Celle qui m’a le plus surprise c’est Teresa, je dois dire que je ne sais pas trop quoi penser d’elle à la fin de ce tome alors que c’est un personnage que j’avais aimé dans le tome précédent.

La dernière partie du roman a été pour moi la plus plaisante et c’est celle qui me donne envie de lire le dernier tome surtout après que j’ai lu les indices laissés à la fin de ce livre.

En bref, l’univers est toujours aussi spécial mais j’ai regretté le manque d’action de ce roman et j’espère bien trouver des réponses à mes questions dans le prochain tome.

Ce roman que je ne connaissais pas du tout avant qu’il ne soit proposé lors des partenariats Livraddict m’a littéralement conquise. C’est un véritable coup de cœur, chose qui ne s’est pas produit depuis bien longtemps.

Ce livre nous plonge au cœur des Etats-Unis dans années 60, dans le Mississipi, l’un des états les plus ségrégationnistes à cette époque. C’est donc une plongée au cœur d’une époque que je connaissais à peine qui m’a été proposée et j’en suis ravie parce que j’ai appris pas mal de choses.

Nous suivons donc Madelyn, une jeune afro-américaine de 17 ans, qui a grandi pendant quelques années au côté de Sebastien et Sean, les enfants (blancs) des patrons de sa mère.

C’est donc une plongée au cœur de l’Amérique ségrégationniste qui nous est proposée. C’est un roman assez dur parce que tout ce que ces personnes ont vécu est impensable pour moi et pourtant bien réel. Parce que l’univers rapporté par l’auteur est riche et bien documenté, c’est une fiction mais j’ai souvent pensé que c’était une biographie. Au début de chaque chapitre, il y a un extrait des lois Jim Crow, des lois ségrégationnistes des états du sud des Etats-Unis, rien que leur lecture nous permet de comprendre toutes les difficultés qu’ont rencontré les personnes noires. J’ai été horrifiée de les lire.

En parallèle de ça, il y a la vie de Madelyn, Sean et Sebastian. La complexité de leur relation est du à cet environnement de ségrégation. On suit donc l’évolution de l’amitié de Madelyn et Sebastien, une amitié difficile à vivre dans cet univers mais aussi les relations plus tendues entre Sean et Madelyn.

Au travers de la vie de Madelyn au travers de cette époque, l’auteur intègre pas mal de personnages secondaires qui permettent d’avoir un récit riche. Chacun apporte sa pierre à l’édifice et nous permette de voir la complexité de ce monde. Surtout qu’il y a alternance de point de vue entre pas mal de personnage.

Madelyn, c’est une jeune femme sérieuse visiblement bonne élève. C’est une jeune femme qui est révoltée par sa situation et elle a bien raison mais qui sait quand même être raisonnable pour ne pas s’attirer des ennuis. Sebastian et Sean sont des frères jumeaux mais tout ou presque les oppose. Sebastien est le meilleur ami de Madelyn, il a conscience que toutes ces lois raciales ne sont pas normale, c’est un garçon tendre et généreux. Par contre Sean a vite assimilé les préjugés à propos des personnes noires et qui donc les rejettent absolument pourtant il ne peut s’empêcher de g arder une certaine tendresse pour Madelyn.

Le roman démarre doucement mais petit à petit le rythme s’intensifie avec l’apparition d’événements souvent malheureux. J’ai eu peur à cause des événements qui se produisaient à Jackson et surtout peur pour Madelyn. L’auteur nous amène ainsi à une fin qui m’a fait mal au cœur. La plume de l’auteur y est pour beaucoup parce qu’une fois commencé, il est bien difficile de s’arrêter.

En bref, je dirai que c’est un roman à l’univers très riche avec des personnages remarquables surtout Madelyn et Sebastien. Une découverte des Etats-Unis très enrichissante mais aussi glaçante.

Je ne connaissais pas ce livre avant de le recevoir dans le cadre des Livres Voyageurs, événement organisé par le blog La voix du livre que je remercie.

Dans ce livre, nous sommes plongés projetés au XXIIIème siècle. Mais dans cet univers, les gens vivent comme au Moyen-Age. Toute forme de technologie a été abolie depuis la Grande Catastrophe qui a décimé une grande partie de la population. Cette société prône donc le retour à la nature. Cet univers est assez riche et très bien développé, c’est ce qui m’a le plus plu dans ce premier tome. Cette Grande Catastrophe cité ici est dû aux abus de l’homme sur la nature et la suprématie de la technologie, quelque chose qui pourrai arriver si on y réfléchit bien. Une sorte de mise en garde donc.

Les deux personnages principaux de ce roman, ce sont donc Claris et Jad. Claris est aussi vive que Jad est posé. Claris est une personne assez franche et vivante depuis que sa mère a disparu. Jad lui est atteint d’une maladie cardiaque depuis cette disparition et est donc devenu quelqu’un de réfléchi, qui aime les activités calmes parce que toute forme d’activité intense lui est interdit et parce qu’il se les interdit aussi. Ses deux personnages sont jumeaux donc fortement liés même si chacun défait petit à petit ce lien en particulier Jad qui veut à tout prix protéger sa sœur de ce qu’il ressent.

Il y a pas mal de personnages secondaires assez bien développer je dois le dire en particulier grâce à l’alternance des points de vues. On passe ainsi de Claris à Jad mais aussi à Eben, leur père ou Blaise leur précepteur. Chaque personnage apporte bien sa pierre à l’édifice et nous permet de mieux cerner l’univers de ce roman.

Mise à part la découverte de ce monde grâce aux nombreuses péripéties de vies des jumeaux, il ne se passe pas grand-chose, à part dans les toutes dernières pages. C’est donc un tome introductif, qui pose les bases de la saga et qui est introduit pas mal de questions et d’éléments étranges.

En bref, j’ai passé un bon moment dans cet univers unique avec ces personnages particuliers mais j’ai un peu regretté le manque d’action. J’espère bien qu’il y aura plus d’action dans le tome 2 que je ne manquerai pas de lire dès que j’en aurai l’occasion.

Il y a pas mal de livres qui font pas mal de tapage médiatique en cette rentrée littéraire. J’ai entendu parler de ce livre dans « Le magasine de la santé » lors de la rubrique de Gérard Collard. Il en a tellement bien parlé que j’ai eu envie de lire ce livre. Je remercie les éditions Verdier pour l’envoi de ce service-presse.

C’est une histoire d’amour improbable entre un vieux clochard, Antonio, et une jeune femme merveilleuse, Rosa, qui nous est contée. Cela peut paraitre surprenant au premier abord mais pourtant toute la partie de ce roman qui concerne la romance est merveilleux.

Car bien plus qu’une romance, le roman nous raconte le quotidien d’un sdf dans une grande ville. On se rend encore plus des difficultés qu’ont les sdf dans leur vie quotidienne et leur retour à une vie ordinaire peut être brutal pour eux.

La seconde partie de ce roman est pour moi un peu plus basé sur de la science-fiction vu ce qui est raconté. Même si ça peut paraitre assez éloigné du premier univers dans la romance, les deux se mêlent bien puisque ici aussi il est question d’amour, sans jamais tomber dans le gnian-gnian.

Antonio, que dire de ce vieil homme qui vit dans la rue depuis des années ? Qu’il est courageux d’avoir toutes ces années comme ça. Il n’arrive pas à croire qu’une jeune femme comme Rosa puisse s’intéresser à lui. Si j’ai trouvé le comportement de cette jeune femme très honorable et altruiste, j’ai eu beaucoup plus de mal avec son comportement dans la fin de la première partie. Heureusement pour elle, elle se rend compte de ses erreurs.

Ce roman ne comporte aucun chapitre, les 126 pages s’enchainent avec heureusement de nombreux paragraphes qui permette d’interrompre la lecture au moment des événements les plus forts.

C’est donc un très beau roman que je vous encourage à découvrir avec son message d’amour mais aussi bien d’autres messages.

J’étais intrigué par le résumé et la couverture de ce roman. Je remercie les éditions Sarbacane pour l’envoi de ce livre.

Nous sommes plongés dans la vie de l’Equipe, composé de cinq garçons : Attila, Dolby, Dudu, Jmenba et Rouge-Gorge. Ces cinq garçons n’ont qu’un but, conquérir la fille de la ville, celle qui les a tant émoustillés l’été dernier. Pour cela il compte sur un élément ; le permis de conduire obtenu récemment par Dudu et surtout la 2CV.

Voilà le cadre est posé, je m’attendais plus à un jeu de séduction en lisant le résumé. Mais la fameuse fille de la ville n’est présente que dans les souvenirs des garçons. Ce roman n’est pas une histoire de séduction mais c’est plutôt la vie de ces garçons et de ce petit village qui nous est rapporté.

L’auteur passe de la vie d’un personnage à un autre, et je me suis demandée : pourquoi il nous raconte ça ? Je n’ai pas toujours vu où l’auteur voulait nous mener.

L’élément central de ce livre n’est pas la fille de la ville mais bien la 2CV. Cette voiture centralise quasiment toutes les aventures que vivent les garçons.

Je ne peux pas dire que je me suis attachée à un personnage en particulier, j’ai eu du mal avec les surnoms et surtout j’ai trouvé leur vie pas assez réaliste.

Par contre j’ai pas mal rigolé à cause de toutes les péripéties des garçons en particulier l’épisode de la castration du maïs.

En bref, c’est un roman sur la vie d’un village et ses habitants, un livre parfois drôle mais il m’a pas mal dérouté.

Nous voilà plongé dans le quatrième tome d’Harry Potter, et le moins que je puisse dire, c’est que l’univers s’assombrit encore plus dans ce roman.

Harry Potter assiste à la coupe du monde de Quiditch et en marge de celle-ci des événements se produisent et semblent lier à celui dont on ne doit pas prononcer le nom. Et Harry fait sa rentrée en quatrième année à Poudlard. Cette année, une compétition exceptionnelle va renaitre de ces cendres, il s’agit du tournoi des Trois Sorciers. C’est une compétition qui oppose les trois meilleurs élèves de trois écoles de magie.

Comme je le disais, ce tome voit un univers assez sombre s’installer de manière permanente semble-t-il avec l’ombre de Voldemort qui plane au-dessus de ça. On se rend compte tout n’est pas fini avec lui.

J’ai trouvé le comportement d’Harry très courageux par rapport à tous ce qu’il va vivre en particulier à la fin du livre à la fin du Tournoi.

J’ai été surprise par contre du comportement de Ron pendant une partie de ce roman, malgré les explications qui sont données. Un ami reste un ami quoi qu’il arrive. Il y a aussi Hermione qui m’a surprise, elle cache bien ses secrets, sous sa façade d’intello se cache une jeune fille comme les autres. J’ai aussi découvert que c’est une jeune fille qui a des convictions et qui est prête à les défendre coûte que coûte. Et les autres personnages restent eux même, que ce soit Hagrid, Dumbledore ou Rogue.

C’est un roman assez riche en rebondissements tout au long de cette année scolaire à Poudlard, les rebondissements se mêlent à la vie quotidienne de l’école. Avec l’apparition d’un nouveau professeur de défense contre les forces du mal comme chaque année. Et cette année encore, ce professeur amènera son lot de surprises.

Mais je dois dire que le comportement du ministre de la magie m’a plus que surprise. Comme peut-il nier l’évidence à ce point ? Son comportement risque de porter préjudice à tous les sorciers.

En tout cas, ces derniers événements me donnent encore plus de lire la suite de cette saga.

J’avais eu un gros coup de cœur pour Avant toi et j’avais passé une bonne lecture avec La dernière lettre de son amant. C’est avec une immense plaisir que j’ai parcouru ce livre. Si ce n’est pas un coup de cœur, je dois dire qu’il n’en passe pas loin.

Jess est une jeune maman de deux enfants qui galère pour joindre les deux bouts à la fin de chaque mois. Surtout que sa fille, génie des mathématiques, veut entrer dans une prestigieuse école au tarif inabordable pour Jess. Elle a aussi un jeune fils, Nicky qui se fait rouer de coup par les ados de son lycée parce qu’il est différent. Elle fait le ménage chez Ed, un informaticien qui est accusé de délit d’initié et qui peut donc tout perdre. Une olympiade de mathématiques va rapprocher ces deux personnages qui n’ont rien à voir l’un avec l’autre.

Ce roman, c’est la rencontre de deux univers qui n’aurait pas dû se rencontrer. Jess et Ed vont évoluer en passant du temps ensemble. Jess malgré ses difficultés est d’un optimisme sans faille, persuadée qu’il y a toujours une solution à chaque problème. Ed, lui était marié à son travail et est persuadé qu’avec cette enquête il va tout perdre mais il a surtout peur de décevoir ses proches et en particulier son père, ce qui peut se comprendre. J’ai vu avec plaisir les personnages évolués au contact l’un de l’autre surtout Ed qui découvrira que le bonheur ne se résume pas à la richesse.

Ce roman est écrit à quatre voix, ce qui permet de bien cerner tout ce qui se passe. Il y a bien sûr les points de vue d’Ed et Jess mais aussi ceux de Nicky et Tanzie, les enfants. D’ailleurs on suit aussi leur évolution et leur rencontre avec Ed va pas mal les aider aussi. C’est en particulier vrai pour Nicky, j’ai beaucoup aimé ce que Ed fait pour l’aider, on sent qu’il a vécu la même chose que Nicky par le passé mais qu’il ne l’exprime pas.

Ce roman outre un magnifique road-trip avec des personnages haut en couleur contient aussi une romance. Celle-ci, comme dans les autres histoires de Jojo Moyes met du temps à s’installer et c’est pour le mieux. La romance ne prend pas toute la place et c’est très bien.

Ce roman est riche en rebondissements, l’auteur joue avec nos nerfs en particulier dans le dernier tiers. Même si j’ai pensé que l’histoire allait bien se finir, l’auteur m’a fait douter jusqu’aux dernières pages. Ce roman m’a tenu éveillé une bonne partie de la nuit parce que je voulais vraiment connaitre la fin de l’aventure de ce quatuor.

En bref, je dois dire que j’ai passé un excellent moment avec ces quatre personnages. Un road-trip, des personnages hauts en couleur et pas parfait et une romance, de bons ingrédients pour un excellent roman. A découvrir si ce n’est pas fait.

Je dois bien avouer que ce qui m’a le plus intrigué dans ce roman, c’est bien son titre et plus particulièrement le terme Néo-Gaïens. J’ai eu la réponse sur la signification de ce terme dans les dernières pages de ce premier tome.

On est donc plongé dans un monde où le virus Z a décimé une bonne partie de la population mondiale. Certains ont quand même survécu, ce sont les normaux ou Norms alors que d’autres sont mort pendant quelques minutes et sont revenus à la vie, on les appelle les modifiés ou Mods. Ceux-ci sont pourchassés ainsi que leurs enfants les Mods2 par le pouvoir en place, l’Ordre. En plus, les Mods ont tous un pouvoir surnaturel.

Nous allons donc suivre la vie de Pimp, une jeune femme Mods2 qui passe son temps a fuir l’ordre pour rester en vie. Mais sa rencontre avec un quatuor de Mods 2 va quelque peu bouleversé sa vie.

Ce livre a un rythme assez soutenu je dois le dire, les actions s’enchainent ainsi que les révélations et je dois dire que j’ai été surprise par les réactions de Pimp face à certaines d’entre elles.

Je dois dire que Pimp est une jeune femme plus que courageuse. Je ne suis pas sure que j’aurai supporté autant à sa place. De plus, je dois dire que son don surnaturel m’a pas plu et s’est avéré particulièrement utile dans pas mal de situation.

Je dois dire que j’ai aussi que j’ai particulièrement apprécié le quatuor de garçons. J’ai surtout apprécié leur complicité et leur entraide.

Ce qui m’a aussi plu, c’est la présence à chaque début de chapitre d’un extrait du journal intime de la mère de Pimp. Cela nous permet de comprendre ce qu’elle a vécu mais aussi les décisions qu’elle a prise concernant sa vie et celle de sa fille.

Un petit bémol, c’est la présence justement un peu trop présente de la romance dans cette histoire. C’est un élément quasi-inévitable des romans mais là, je trouve qu’elle n’apporte pas grand-chose. Les liens entre les différents personnages sont assez forts sans qu’il y ai besoin de ça.

Pour résumé, je dirai que j’ai passé un bon moment dans ce court roman à l’univers unique. La fin se termine en pleine action et donne donc envie de lire la suite. Un univers unique à découvrir.

Ce livre inaugure mon nouveau partenariat avec les éditions Nymphalis que je remercie pour leur confiance. Si l’éditeur est tout nouveau pour moi, ce n’est pas le cas de l’auteur puisque j’ai déjà lu et apprécié plusieurs livres de cet auteur.

Ce livre nous plonge dans un univers situé au Moyen-Âge d’après ce que j’ai compris mais c’est sur une terre qui n’existe pas. C’est donc dans un monde imaginaire que nous suivons Emilie. Des mercenaires ont tué sa famille et son premier amour alors qu’elle n’avait que quatorze ans. Pour survivre, elle a été amenée à choisir d’être soit tueuse soit prostituée. Elle choisira d’être tueuse dans l’ombre de Léon, le fils de celui qui a tué tous ces proches.

La première partie de ce roman est composé des aventures d’Emilie et Léon. J’ai pris plaisir à suivre cette héroïne qui parait être sans cœur et qui tue sans hésiter pour assurer sa survie. C’est vraiment plaisant d’être dans la peau de cette tueuse de l’ombre.

Par contre, la seconde partie du roman est constitué essentiellement de romance même s’il y a encore quelques aventures parce qu’Emilie s’est délivrée des griffes de Léon. J’aurai aimé que l’aventure soit un peu plus présente parce que la romance est un peu trop présente à mon goût.

Emilie est une jeune femme courageuse qui parait n’avoir peur de rien mais derrière cette façade se cache un cœur tendre. Mais lorsqu’elle rencontre son amour, elle se transforme en une jeune fille trop fragile et qui pleure beaucoup. Je comprends très bien que l’amour la transforme mais j’ai eu l’impression d’avoir deux personnages différents sous mes yeux. Léon est quant à lui un horrible personnage qui va faire vivre pas mal de mauvaise chose à notre héroïne.

Même si l’héroïne change pas mal de comportement, j’ai pris plaisir à suivre les aventures d’Emilie dans ce royaume imaginaire. La fin nous laisse sur notre faim, ce qui donne encore plus envie de lire la suite.

J’avais déjà lu d’autres livres de cet auteur dont j’avais apprécié la plume sans avoir de coup de cœur néanmoins. C’est sans appréhension donc que je me suis lancée dans ce tome.

Je voulais commencer par faire une mise au point pour ceux qui ne l’ont pas lu par rapport au titre de ce livre et le sous-titre. Quand j’ai vu marqué indécent, j’ai tout de suite pensé à quelque chose d’érotique alors qu’il n’y a rien de ce côté-là dans ce roman. Pour moi, il n’y a rien d’indécent dans ce roman, peut-être aurait-il du garder son titre original ? Je ne m’étendrais pas non plus sur cette horrible couverture…

Ce roman c’est avant tout pour moi un livre qui aborde le thème du deuil de manière touchante mais sans être pathétique. On suit toutes les étapes d’un deuil avec nos personnages.

Et puis dans ce livre, il y a aussi l’omniprésence de la poésie notamment à cause du slam. Je ne connaissais que très peu cette forme de poésie et j’ai pris plaisir à découvrir cet univers. Les textes sont simplement superbes surtout les deux derniers mais tous nous permettent de bien ressentir les émotions des personnages.

Layken est une jeune femme forte qui a tout fait pour aider son jeune frère Cal à surmonter ce deuil. L’arrivée de Will va la chambouler mais aussi lui apporter un appui précieux malgré que leur histoire d’amour est interdite. Mon personnage préféré est sans doute Eddie, la nouvelle amie de Layken, c’est un tourbillon de folie et de gaieté malgré qu’elle aussi a vécu des choses difficiles dans sa vie. Elle apporte de la légèreté dans cette histoire mais apporte aussi un soutien sans faille à Layken.

Même si leur histoire d’amour rencontre pas mal d’embuches, j’ai trouvé que Layken se résignait trop facilement vis-à-vis de sa relation avec Will. J’aurai aimé qu’elle se batte un peu plus pour cette histoire, car à tout problème il y a une solution.

Une autre chose m’a un peu dérangée, sans gâcher ma lecture, c’est le fait que Layken vive les mêmes problèmes et se retrouvent dans la même situation que Will a vécue quelques années auparavant. Cet effet miroir aident les personnages à tisser des liens mais d’un autre côté, j’ai trouvé que les deux personnages avaient la même vie donc sans surprise.

C’est un beau roman sur le deuil mais aussi sur la poésie que nous amène la belle plume de Colleen Hoover. Une belle histoire de vie. Je lirai la suite avec plaisir pour voir la suite des aventures de Will et Layken même si pour moi l’histoire aurai très bien pu s’arrêter là.

J’avais terminé le deuxième tome de cette saga sur un avis assez mitigé. Mais je voulais quand même savoir ce qui allait arriver à Cassia et Ky.

Nous retrouvons nos héros quelques semaines après la fin du précédent tome. Cassia travaille à Central comme agent de classement et Ky pilote des dirigeables pour le compte de la Rébellion. La rébellion est en marche et profite d’une épidémie pour prendre le pouvoir.

C’est un roman où il y a vraiment plus d’action que dans le précédent tome. Ici on assiste à la prise de pouvoir de la rébellion. Si c’est un événement attendu depuis longtemps par certains, cette prise de pouvoir ne va pas être si simple. Les masques tombent et on est souvent surpris des révélations surtout à la fin de ce livre.

Le roman alterne trois points de vue, ceux de Cassia, Ky et Xander. Je dois dire que j’ai été surprise de la présence de ce point de vue car ce personnage était quasiment inexistant dans le tome 2. Mais dans cette partie de l’histoire, il a un rôle prépondérant à jouer surtout à cause de l’épidémie.

Mais je dois dire que j’ai été déçue par l’apparition du Pilote en chair et en os. Il perd l’aura qu’il y avait autour de lui dans les précédents tomes. Ce n’est qu’un mythe et j’aurai aimé que ce soit il reste complétement dans l’ombre soit on en dévoile plus sur lui.

Je dois dire que j’ai aimé voyagé dans les différentes provinces avec nos héros et j’ai particulièrement aimé les moments où ils étaient dans les villages passerelles à trouver un antidote pour l’épidémie. C’est une nouvelle forme de société qu’ils voient.

J’ai bien aimé ce tome parce qu’il apporte pas mal de réponses aux questions qui sont apparues par le passé. Cependant je dois dire que je n’ai pas eu des réponses à toutes les questions, ou des fois les réponses sont à peine esquisser. J’aurai aimé que la fin s’étalent sur quelques pages de plus pour voir ce que donne la nouvelle société.

Pour finir, je dirai que ce troisième tome conclut bien cette saga et relève le niveau par rapport au tome précédent. Il nous apporte pas mal de réponses. C’est une belle saga originale à découvrir donc si ce n’est pas fait.

J’ai entendu pas mal de bonnes choses lors de la sortie de ce livre il y a quelques mois. Je l’ai acheté au salon du livre de Paris malgré son coût.

Ce livre c’est d’abord le voyage de Sara de Suède jusqu’à Broken Wheel (qui n’existe pas, j’ai vérifié), petit village mourant de l’Iowa. Là alors qu’elle s’attendait à être accueillie par Amy, elle découvre que celle-ci est morte. Elle se trouve à des milliers de kilomètres de la Suède et elle ne connait personne dans ce village.

Dans ce livre, comme son nom l’indique, il est question de livres. Sara est une passionnée de lecture, elle passe des heures dans le monde imaginaire de ses livres pour fuir une réalité qui est bien moins accueillante. J’ai découvert pas mal de livres grâce aux nombreuses citations de Sara.

Mais ce livre, c’est aussi la découverte d’une petite communauté d’américain qui vit dans un village qui est menacé de disparition. La seule chose qu’il y a dans ce coin, c’est des champs de maïs et les commerces du village survivent tant bien que mal. Mais pourtant, c’est une communauté assez soudée, bien que les premières apparences laissent penser le contraire.

Au fil des pages, on découvre pas mal de personnages qui ont pas mal vécu. Avec l’arrivée de Sara dans le village, leur vie change un peu, ce n’est forcément lier à Sara mais il y a de l’amélioration au fil des pages.

Il y a pas mal de personnages donc bien sûr tous ne sont pas approfondis mais leur présence apporte une âme à ce petit coin d’Iowa. Sara, c’est une jeune femme sympathique et chaleureuse bien qu’elle soit réservée et ai peu confiance en elle. Tom, c’est un travailleur assez acharné et surtout qui aime sa communauté.

Un petit point négatif pour moi, c’est que la quatrième de couverture dévoile beaucoup de choses sur l’histoire. Il faut s’arrêter pour moi à « Elle se retrouve seule et perdue dans cette étrange petite ville américaine. ». Ainsi à cause du résumé j’ai trouvé quelle idée folle les habitants ont trouvé pour faire rester Sara, ce qui a peu gâcher ma lecture.

C’est un roman calme, il ne se passe pas grand-chose. C’est la vie de Sara dans ce petit village et son intégration à la communauté.

Malgré tout, c’est un livre agréable à lire et une plongée au cœur de la vie américaine dans l’Iowa. J’ai beaucoup aimé ce livre qui parlent de livres mais aussi d’entraide entre autre.

Voici la suite de ma découverte de l’univers d’Harry Potter avec ce troisième tome. Un univers plus riche que le précédent tome pour moi.

C’est la troisième année à Poudlard pour Harry. Ce que j’ai trouvé bien dans cette histoire, c’est que même si comme les autres livres elle commence avec les vacances d’Harry dans sa famille, il y a déjà l’apparition d’éléments étranges dans cet univers. Le début de l’intrigue ne se fait pas attendre.

Poudlard est toujours aussi magique. J’adore suivre la vie des élèves, les cours plus originaux les uns que les autres, avec l’apparition de nouveaux cours comme la divination ou le soin aux créatures magiques. Par contre, c’est dommage que l’auteur ne détaille pas plus ce qu’est l’arithmancie, cette matière qui passionne Hermione. Et puis j’ai aimé les matchs de quiditch, où on voit apparaitre la véritable personnalité des joueurs sur le terrain. En tout cas, le match Gryffondor-Serpentard restera longtemps dans les mémoires des élèves je pense.

L’intrigue principale de ce roman, c’est bien sûr l’évasion de Sirius Black de la prison d’Azkaban et sa traque par tous les sorciers et surtout par les détracteurs. Ce sont des personnes qui m’ont bien fait frissonner comme tous nos héros. J’ai été surprise par les révélations faite par Sirius Black, comme quoi les apparences peuvent être trompeuses.

Dans ce tome, Harry apprend beaucoup sur sa famille et je pense que ça le fait bien grandir. Par contre, il a toujours le don pour chercher les ennuis, il devrait peut-être écouter un peu plus Hermione. Cette dernière m’a touché par sa détresse au fil des mois même si elle est à l’origine en partie de cette détresse. Par contre, j’ai eu du mal à comprendre comment Ron, Harry et Hermione ont pu mettre en péril leur amitié pour des histoires futiles.

En tout cas, ce tome m’a fait passer un très bon moment. On voit le personnage d’Harry grandir et surtout on en apprend beaucoup sur ses parents. Cela promet bien des aventures pour notre trio dans les prochains tomes.

J’avais aimé les deux précédents tomes de cette saga et j’avais hâte de découvrir le personnage d’Olivia qui semblait avoir une forte personnalité dans ces deux tomes. Mais pourtant, j’ai été déçu par ce tome par rapport aux deux autres.

On suit donc l’aventure d’Olivia, l’une des deux sœurs d’Owen, le héros du tome 1. Celle-ci est folle amoureuse depuis toujours du meilleur ami de son frère, James. Elle hésite à se déclarer et lorsqu’elle apprend qu’il compte partir pour l’Egypte, elle se jette à l’eau.

Quand j’ai vu James la repousser, je me suis dit que la mise en place d’une relation allez prendre pas mal de temps. Or, pour moi c’est trop rapide, James change trop vite d’avis au sujet d’Olivia. Et puis, il faut dire qu’il passe pas mal de temps à se donner du plaisir, j’ai eu plus l’impression d’être dans une romance érotique que dans une romance historique.

Cette histoire manque aussi de rebondissements. Dans les deux précédents tomes, il y avait une menace au-dessus de la tête de nos héroïnes, le chantage pour Annabelle et le tableau pour Daphné. Or, ici il n’y a rien qui mette en danger Olivia, si ce n’est que James n’est pas noble.

Mais cette histoire se lit quand même très vite, et on reste passionné par les aventures de James et Olivia même si on connait déjà la fin comme dans toute romance. Mais c’est une romance qui fait rêver, comme si le conte Cendrillon était revisité mais ici on inverse les rôles, c’est le garçon qui joue le rôle de Cendrillon.

Olivia est une jeune femme qui sait ce qu’elle veut, et je l’admire pour cela même si l’amène à faire des choses sans réfléchir sous l’impulsion de ses sentiments. Par contre je ne sais pas trop quoi penser de James, il est un peu trop plat et change trop vite d’avis. Et je trouve dommage qu’on ne voit que très peu Annabelle, Owen, Daphné et Rose.

Il y a une chose que j’apprécie plus que tout dans ces romans, c’est la découverte de l’Angleterre à l’ère victorienne. Ici, grâce aux péripéties de nos héros, on découvre la campagne anglaise que l’on peut très bien s’imaginer grâce aux descriptions.

En résumé, même si j’ai passé un bon moment, j’ai trouvé cette romance sans originalité. Par contre, je lirai avec plaisir le prochain tome qui sera normalement consacré à Rose, la jeune sœur d’Owen et Olivia. Un personnage qui m’intrigue car on ne la connait que très peu, et si c’est une romance, je ne vois pas qui.

J’aime beaucoup la couverture de ce livre, qui ne rend pas bien en image sur cet article. J’ai reçu ce livre grâce à mon partenariat avec les éditions Sarbacane.

L’histoire, c’est celle de Matt, qui décide de partir refaire la tournée de Pat Boone, le chanteur préféré de son grand-père Gary en compagnie de ce dernier atteint de la maladie d’Alzheimer. Mais quelques jours avant le départ, Dixie se présente chez lui avec un bébé, leur fille et elle lui confie la garde.

Tout d’abord, ce livre c’est d’abord une manière d’abordé la maladie d’Alzheimer, cette terrible maladie qui engloutit les souvenirs. On voit bien que Gary se dégrade lentement. Mais on voit surtout comment cela atteint Matt même si celui-ci fait tout pour limiter la dégradation de son grand-père.

Il y a ensuite l’aventure à travers une partie des Etats-Unis. J’ai aimé suivre cette aventure en compagnie de nos personnages qui ne roulent pas sur l’or, donc les motels sont présents dans ce roman. C’est une découverte de lieux qu’on ne connait et qu’on prend plaisir à découvrir.

Pour terminer, j’ai beaucoup aimé les liens qui se forment entre Matt et Gary et Antonia et Luke, deux personnages rencontrés au hasard au début de leur aventure. C’est une famille qui se créé au fil des kilomètres et qui se soudent grâce aux nombreuses péripéties et révélations présentent tout au long de cette aventure.

Le seul petit point négatif, ou plutôt assez peu crédible pour moi, c’est lorsque Matt apprend qu’il est père. Il l’accepte trop facilement et rapidement pour moi.

En bref, c’est un roman touchant avec des personnages attachant sur un thème peu courant dans la littérature jeunesse.

Je participe cette année au challenge un mois = une consigne. La consigne pour le mois d’Août est Lire un livre jaune. Autant vous dire que je n’avais pas de livre jaune ma bibliothèque. En cherchant chez mon libraire, j’ai vu ce livre avec la mention coup de cœur du libraire. Le résumé me plaisait alors mon choix c’est porté sur celui-ci.

On suit donc dans ce livre Chap, qui enchaine les fugues des foyers dans lesquels il a été placé à la mort de son grand-père. Chap n’a jamais révélé son identité. Dans un foyer, on lui montre la photo d’un jeune garçon qui lui ressemble énormément et qui a disparu depuis deux ans. On lui demande si c’est lui, alors il ne résiste pas à la tentation de s’évader de ce lieu et dis que oui il est bien ce jeune homme, Cassiel Roadnight.

On pense qu’une fois dans sa famille, il va s’y fondre et va vivre une vie heureuse. Mais la famille Roadnight n’est pas des plus stable et on s’aperçoit vite au fil des pages que quelque chose cloche dans cette famille. Au fil du roman, on suit les découvertes que Cassiel fait et c’est assez glaçant.

Cassiel, c’est un jeune homme assez mature pour son âge, à cause de ce qu’il a vecu avec son grand-père notamment. On a aussi des personnages à double facette comme Franck (frère de Cassiel). J’ai eu de la peine pour Edie (sœur de Cassiel) qui n’a pas demandé à vivre dans ces conditions.

Ce roman outre le récit d’une double vie, c’est aussi une quête de vérité. Je dois dire que je ne m’attendais pas à la révélation finale sur l’identité de Cassiel. C’est un livre riche en rebondissements qui m’a fait passer un bon moment.

Voilà quelques mois que ce livre traine dans ma pile à lire depuis que je l’ai gagné à un concours. C’est votre choix pour le vote des lecteurs de ce mois d’Août. Je dois dire que j’avais de plus en plus envie de lire à cause de sa couverture qui est de saison.

Je dois dire que j’ai perçu deux parties assez distinctes dans ce roman. Il y a d’abord le crash de l’avion et la survie des deux personnages sur l’île déserte. C’est une partie que j’ai beaucoup aimé parce qu’ils leur arrivent pas mal de choses plus ou moins agréable. J’ai aimé les suivre dans leur lutte pour survivre dans cet environnement hostile.

La deuxième partie se déroule pour moi après qu’ils aient été retrouvés par les secours. On perçoit ainsi les difficultés du retour au monde civilisé après avoir passé autant de temps sur cette île. Mais j’ai trouvé que cette partie manqué un peu de rythme. Parce qu’il ne se passe plus grand-chose dans leurs vies une fois de retour au Etats unis. C’est dommage, ce sont des longueurs qui auraient pu éviter je pense en se centrant plus sur les difficultés que rencontrent Anna.

Mais le fil conducteur de cette histoire est pour moi, plus que la survie, c’est l’histoire qui se construit entre Anna et TJ. On voit bien que le simple lien prof-élève se transforme petit à petit en amitié puis en plus que ça. Leur relation change parce que TJ passe au fil des mois, du jeune adolescent en rémission à un homme attentionné et plein de charme.

Je dois dire que je n’ai pas lâché ce livre du début à la fin parce que c’est une lecture addictive. J’ai voulu savoir s’ils allaient survivre puis ce qu’il allait advenir de leur relation. D’autant plus que les chapitres sont écrits alternativement du point de vue d’Anna et TJ, ce qui m’a permis de bien cerner leurs pensées.

La fin arrive un peu trop vite à mon goût, j’aurai aimé que l’auteur prenne son temps pour la développer. C’est une lecture très agréable pour cette saison que je vous conseille vivement.

J’ai acheté ce livre lors du salon du livre de Paris attiré surtout par sa couverture. Il est resté quelques temps dans ma Pile à Lire et je l’en ai sorti grâce à une lecture commune de Livraddict.

La première chose que j’ai apprécié dans ce livre, c’est qu’il y ai un changement dans l’histoire du monde. Ici, on peut comprendre ce qui ce serai passé si la révolution américaine avait échoué et donc que les États-Unis seraient une possession de l’empire Britannique.

La seconde chose que j’ai beaucoup aimé c’est la plongée dans l’univers steampunk. On plonge dans un univers où tout est mécanique, où New York est une cité flottante. C’est un univers assez unique rempli de machine unique sorti tout droit de l’imaginaire de l’auteur.

Le roman nous plonge dès les premières pages dans l’univers de la rébellion en suivant le personnage de Charlotte qui se cache avec des autres enfants dans les catacombes en attendant de pouvoir combattre au côté de la rébellion. C’est une jeune femme vive et assez courageuse, elle n’a surtout pas la langue dans sa poche. Mais je l’ai trouvé un peu immature lorsqu’elle conteste les ordres de son frère, le chef des enfants rebelles, justement parce que c’est son frère.

Mis à part Charlotte, on voit passer une multitude de personnages qui sont peu exploités à mon goût et c’est bien dommage. L’essentiel de ce roman se concentre sur la recherche de l’identité d’un jeune homme que Charlotte a recueilli.

Ce tome nous fait espérer pas mal d’action au travers de son titre. Mais en fait, il y en a peu. C’est surtout un tome qui met en place les différents éléments de cet univers si particulier. Il y a bien sûr des révélations mais on nous laisse pas mal de questions, qui j’espère seront résolues dans le prochain tome.

C’est donc un roman que j’ai beaucoup aimé qui m’a permis de découvrir le steampunk avec ses machines extraordinaires. Les questions qui me sont venues à l’esprit pendant cette lecture me donne envie de lire la suite surtout avec cette fin.

Ce livre est le troisième tome d’une trilogie que j’aime beaucoup.

Dans ce roman, il n’y a pas un seul personnage central comme dans les deux tomes précédents à savoir Anna et Peter. Ici, ces deux personnages sont bien sur présents, mais il y a aussi d’autres points de vue comme Jude, le demi-frère de Peter et Richard, le PDG de Pincent Pharma, la firme qui fabrique les pilules de Longévité.

Le fait d’alterner plusieurs points de vue nous permet d’avoir plusieurs révélations sur la longévité. On comprend aussi que Richard est prêt à tout pour conserver son leardership sur le monde. On voit aussi que le gouvernement au pouvoir est aussi capable de tout pour masquer les problèmes que rencontre son système.

Ce que j’ai aussi beaucoup aimé dans ce livre, c’est qu’il commence avec un flashback de plus de cent ans avant les deux précédents tomes. On découvre ainsi la découverte par hasard du traitement de longévité.

Je dois dire que comme les autres tomes, ce roman met du temps à démarrer. Mais une fois parti, les découvertes et non les actions s’enchainent.

Comme je l’ai dit au début, les points de vue alternent donc difficile de s’attacher à un personnage. Mais je dois dire que Jude m’a bien surprise dans ce tome. J’ai aimé qu’il soit moins effacé que dans le tome précédent et qu’il prenne des risques.

La fin de ce roman est remplie de révélations et je dois dire que je ne les ai pas vu venir surtout concernant Paul, le chef de la révolte.

C’est une belle fin pour cette trilogie hors du commun. Cette dystopie sur le thème de l’immortalité est vraiment prenante. Dommage qu’il n’y ai pas eu beaucoup d’action.

Ce livre, je l’ai acheté au salon du livre de Montreuil en Novembre dernier. J’en avais entendu un peu parlé avant à cause de son thème qui est le déni de grossesse.

Je dois dire une chose, c’est que la quatrième de couverture du livre est mensongère. Dans celle-ci, il est indiqué que Louise est entourée et soutenue par ses amis et sa famille après son accouchement. Ce n’est absolument pas le cas, elle est tellement seule qu’on a mal pour elle.

Le thème du déni de grossesse évoqué dans le résumé est à peine évoquer et c’est bien dommage parce que je pense qu’il pourrait y avoir plus sur ce thème. Non ce livre parle surtout de l’acceptation ou non de ce bébé dans la vie de Louise.

J’ai trouvé que Louise est une jeune femme courageuse surtout après ce qui lui arrivé. Mais j’ai trouvé aussi comme le désigne son entourage, qu’elle voulait trop faire plaisir à tout le monde ou paraitre parfait aux yeux du monde. Mais j’ai bien vu sa lutte pour prendre une décision concernant son bébé. J’ai bien vu combien ça lui faisait mal.

C’est un roman qui alterne pas mal de point de vue. Surtout au début, sans doute parce que Louise est inconsciente et que l’auteur veut nous faire comprendre ce qui se passe pendant ce temps-là. Mais je trouve qu’il y en avait trop, on serai resté à Samuel et la mère (ou le père) de Louise, ça aurait amplement suffisant.

La fin arrive vite, trop vite. J’ai trouvé qu’elle prenait sa décision trop vite, comme sur un coup de tête alors qu’elle a été indécise depuis le début, même si son comportement laissait envisagé cette solution.

C’est un livre qui apporte plus sur la reconstruction après un déni de grossesse que sur le déni de grossesse en lui-même. Malgré tout j’ai passé un bon moment même si je n’ai pas toujours compris notre héroïne, mais difficile de comprendre ce qu’on n’a pas vécu.