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Sanctus, Tome 1



Description ajoutée par Lilinie 2011-09-25T21:30:20+02:00

Résumé

Un moine traumatisé s’échappe du monastère de la Citadelle pour se jeter du haut de la montagne. Sa mort sonne le début d’un combat à mort entre deux communautés : les Sancti, qui vivent dans la Citadelle, et les Mala, leurs ennemis héréditaires. Car pour tous, l’heure de la prophétie est arrivée, porteuse de la révélation ou de destruction... Liv, la sœur du jeune moine, se retrouve piégée dans une guerre sans merci.

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Classement en biblio - 51 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par lamiss59283 2012-02-22T16:52:52+01:00

Un éclair traversa son cerveau quand son crâne vint heurter le sol rocheux.

Puis les ténèbres.

Il perçut vaguement le bruit de la lourde porte de chêne qui se refermait derrière lui et le glissement de la barre dans les crochets de fer.

Il resta un moment étendu là où on l'avait jeté, écoutant le battement de son cœur et le gémissement du vent.

Le coup reçu à la tête lui donnait le tournis, mais il ne risquait pas de s'évanouir : le froid glacial ne le permettrait pas. Un froid immobile, aussi immuable et impitoyable que la roche dans laquelle la cellule avait été taillée. Il l'enserrait tel un suaire, figeant les larmes sur ses joues et sa barbe, lui glaçant le sang qui coulait encore des blessures qu'il s'était infligées en se tailladant le torse au cours de la cérémonie. Des images se bousculèrent dans son esprit, celles des scènes effroyables auxquelles il avait assisté et du terrible secret qu'il avait appris.

C'était l'aboutissement d'une vie de recherche. La fin d'un voyage dont il avait espéré qu'il le mènerait à une connaissance ancienne et sacrée, à une compréhension mystique qui le rapprocherait de Dieu. Mais maintenant qu'il avait acquis ce savoir, il ne trouvait rien de divin dans ce qu'il avait vu, seulement un chagrin et un désespoir inimaginables.

Où était Dieu, dans tout cela ?

Les larmes lui piquaient les joues et le froid s'enfonçait toujours plus profondément dans son corps, tel un étau serré autour de ses os. Il entendit un bruit, de l'autre côté de la lourde porte. Un bruit lointain Un bruit qui avait réussi à remonter jusqu'à lui à travers le labyrinthe de tunnels creusés à la main dans la montagne sacrée.

Ils vont bientôt venir me chercher.

La cérémonie va se terminer, et ils viendront s'occuper de moi...

Il connaissait l'histoire de l'ordre qu'il avait rejoint. Il connaissait les règles sauvages de ses membres – et il connaissait maintenant leur secret. Ils allaient forcément le tuer. Lentement, peut-être, devant ses anciens frères, un rappel de la gravité de leurs vœux collectifs et sans concessions. Une mise en garde pour ceux qui songeraient à les renier.

Non !

Pas ici. Pas comme ça.

Il pressa sa tête contre la roche glacée et réussit à se mettre à quatre pattes. Lentement, péniblement, il remonta sur ses épaules sa soutane dont l'étoffe grossière érafla les blessures qu'il avait aux bras et sur la poitrine. Il rabattit la capuche sur sa tête, s'écroula de nouveau à terre. Il sentait à présent la chaleur de son haleine dans sa barbe. Il se recroquevilla, les genoux repliés contre le menton, afin que la chaleur revienne dans son corps.

D'autres bruits firent entendre leur écho au cœur de la montagne.

Il rouvrit les yeux. Une faible lueur filtrant à travers une fenêtre étroite lui permit de distinguer les principaux détails de sa cellule. Elle était nue et fonctionnelle. Il y avait une pile de gravats dans un coin, indiquant qu'il s'agissait d'une des centaines de pièces de la Citadelle qui n'étaient plus régulièrement utilisées ni entretenues.

Il jeta un coup d'œil vers l'ouverture, guère plus qu'une fissure, dans la roche, une meurtrière taillée des siècles plus tôt pour permettre aux archers de tirer sur les armées ennemies s'approchant dans la plaine en contrebas. Il se releva péniblement et s'en approcha.

L'aube n'était pas encore levée. Il n'y avait pas de lune dans le ciel, seulement des étoiles lointaines. Malgré cela, lorsqu'il regarda par la fenêtre, une lumière soudaine le fit cligner des yeux. Elle provenait de dizaines de milliers de lampadaires, panneaux publicitaires et enseignes au néon qui s'étendaient loin au-dessous de lui jusqu'au pied des montagnes entourant la plaine de tous côtés. C'était la lumière constante et violente de la cité moderne de Ruine, ancienne capitale des Hittites, aujourd'hui destination touristique du sud de la Turquie.

Il contempla cette métropole qui s' étalait sous ses yeux, le monde auquel il avait tourné le dos huit ans plus tôt dans sa quête de la vérité, une quête qui l'avait conduit dans cette antique prison et mené à une découverte qui lui avait déchiré l'âme.

Un autre son étouffé. Plus proche, cette fois. Il allait devoir faire vite.

Il défit la corde qui lui servait de ceinture et fit rapidement un nœud coulant à chaque extrémité, puis il se pencha par la meurtrière. À tâtons, il explora la paroi de roche glacée à la recherche d'une aspérité qui pourrait supporter son poids. Il finit par trouver une protubérance incurvée au point haut de l'ouverture. Il y glissa l'un des nœuds coulants et tira sur la corde pour le resserrer et en tester la solidité.

Le nœud tint bon.

Il ramena ses longs cheveux blonds derrière ses oreilles, contempla une dernière fois le tapis de lumière qui palpitait en contrebas. Puis, le cœur lourd du fardeau du secret immémorial qu'il portait à présent, il vida l'air de ses poumons et se glissa par la fente étroite avant de plonger dans la nuit.

2

Neuf étages plus bas, dans une pièce aussi vaste et richement décorée que celle décrite précédemment était exiguë et austère, un homme se lavait délicatement les mains pour les rincer du sang qui coulait de ses blessures toutes fraîches.

Il s'agenouilla devant une immense cheminée, comme pour faire ses prières. Ses longs cheveux et sa barbe étaient argentés par l'âge, et le sommet de son crâne était dégarni, ce qui lui donnait un air monastique en accord avec la soutane verte qu'il portait serrée à la taille.

Bien que voûté par les premiers signes de la vieillesse, son corps était encore solide et nerveux. Sa musculature jouait sur ses bras tandis qu'il trempait méthodiquement un carré de mousseline dans le bassin en cuivre posé devant lui, puis l'essorait doucement pour en faire couler l'eau fraîche et le passer sur sa chair meurtrie. Chaque fois, il le maintenait en place un instant avant de répéter le rituel.

Quand les entailles qu'il portait au cou, aux bras et sur la poitrine commencèrent à se refermer, il s'essuya avec une serviette et se remit debout en relevant sa capuche sur la tête. Il sentit sur ses blessures le frottement étrangement réconfortant de l'étoffe grossière. Il éprouvait toujours une profonde sensation de paix immédiatement après la cérémonie, la satisfaction de perpétuer la plus grande des traditions de son ordre ancien. Il essayait toujours de conserver ce sentiment le plus longtemps possible, avant que ses responsabilités temporelles ne le fassent retomber dans les réalités terre à terre de sa fonction.

Un coup discret frappé à la porte vint troubler sa rêverie.

Décidément, ce soir, sa béatitude allait être de courte durée...

— Entrez, fit-il.

Il tendit le bras pour reprendre sa ceinture de corde qu'il avait posée sur le dossier d'une chaise.

La porte s'ouvrit et la lumière du feu de bois se refléta un instant sur sa surface couverte de sculptures dorées. Un moine se glissa silencieusement dans la pièce et referma la porte derrière lui. Lui aussi portait la robe de bure verte de leur ordre, et il avait également de longs cheveux et une barbe.

— Frère Abbé... dit-il.

Il s'exprimait à voix basse avec des airs de conspirateur.

— Pardonnez mon intrusion à une heure aussi tardive, poursuivit-il, mais j'ai pensé que vous deviez être informé immédiatement...

Il baissa les yeux et contempla le plancher, comme s'il ne savait pas comment continuer.

— Eh bien, informez-moi donc immédiatement, gronda l'Abbé en nouant sa ceinture et en plaçant sa Crux – une croix de bois en forme de T – sous sa soutane.

— Nous avons perdu frère Samuel.

L'Abbé se figea.

— Que voulez-vous dire, « perdu » ? Est-il mort ?

— Non, frère Abbé. Je veux dire... qu'il n'est plus dans sa cellule.

La main de l'Abbé se crispa sur sa croix jusqu'à ce que le bois s'incruste dans sa paume. Mais la logique dissipant rapidement ses craintes immédiates, il se détendit.

— Il a dû sauter par la fenêtre, dit-il. Faites fouiller les abords et récupérez le corps avant qu'il ne soit découvert.

Il se retourna pour ajuster sa soutane, s'attendant à ce que son visiteur se dépêche de quitter la pièce.

— Pardonnez-moi, frère Abbé, reprit le moine en se concentrant encore plus sur le bout de ses pieds, mais nous avons déjà entrepris des recherches. Nous avons prévenu frère Athanase dès que nous avons constaté la disparition de frère Samuel. Il a contacté nos correspondants à l'extérieur, et ceux-ci ont soigneusement examiné les fondations basses. Il n'y a aucune trace de corps.

Le sentiment de calme que l'Abbé avait savouré quelques instants plus tôt s'était à présent totalement évaporé.

Un peu plus tôt dans la soirée, frère Samuel avait été intronisé dans les Sancti, le premier cercle de leur ordre, une confrérie tellement secrète que seuls les résidents de ces lieux retirés creusés dans la montagne en connaissaient l'existence. L'initiation s'était déroulée de la façon traditionnelle, jusqu'au moment où l'on révélait enfin à l'impétrant l'antique Sacrement, le secret pour le maintien et la sauvegarde duquel leur ordre avait été fondé. Au cours de la cérémonie, frère Samuel avait manifesté des signes indiquant qu'il n'était pas à la hauteur d'une telle connaissance. Ce n'était pas la première fois qu'un moine se révélait ainsi défaillant au moment de la révélation. Le secret qu'ils étaient tenus de conserver était puissant et dangereux, et peu importait avec quel soin on avait préparé le novice, il arrivait qu'il soit trop lourd pour lui le moment venu. Malheureusement, celui qui possédait la connaissance sans pouvoir en supporter le fardeau était presque aussi dangereux que le secret lui-même. Dans de telles circonstances, il était plus sûr, et peut-être même plus charitable, d'abréger aussi vite que possible les angoisses de la personne en question.

Frère Samuel avait été de ceux-là.

Et il avait maintenant disparu.

Tant qu'il était en liberté, le Sacrement était vulnérable.

— Trouvez-le, dit l'Abbé. Reprenez les recherches, creusez partout s'il le faut, mais trouvez-le.

— Oui, frère Abbé.

— À moins qu'une légion d'anges ne soit passée par là et qu'ils n'aient pris son âme en pitié, il est forcément tombé, et pas très loin d'ici. Et s'il n'est pas tombé, il doit être quelque part dans la Citadelle. Surveillez donc toutes les issues et examinez chaque pièce de chaque aile et chaque oubliette jusqu'à ce que vous ayez retrouvé frère Samuel, ou son cadavre. Me suis-je bien fait comprendre ?

D'un coup de pied, il renversa la bassine de cuivre dans le feu. Un nuage de vapeur en jaillit, remplissant l'air d'une âcre odeur métallique. Le moine continuait de contempler le sol, attendant désespérément l'autorisation de se retirer, mais l'esprit de l'Abbé était ailleurs.

Le sifflement se calma, et il sembla en aller de même de l'humeur de l'Abbé.

— Il a dû sauter, dit-il enfin. Son corps doit donc être au pied de la Citadelle. Il est peut-être resté coincé dans un arbre, ou une bourrasque l'aura emporté plus loin, et il se trouve maintenant dans un endroit que nous n'avons pas pensé à explorer. Mais nous devons impérativement le trouver avant l'aube, quand le premier car de touristes ébaubis se présentera.

— Il en sera fait selon votre désir.

Le moine s'inclina et s'apprêtait à sortir quand un coup frappé à la porte le fit sursauter. Il releva les yeux juste à temps pour voir un autre moine entrer sans même avoir attendu que l'Abbé l'y invite. Le nouvel arrivant était un homme de petite taille, assez frêle, dont les traits incisifs et les yeux enfoncés dans les orbites lui donnaient un air d'intelligence tourmentée, comme s'il comprenait plus de choses qu'il ne l'aurait souhaité. Pourtant, il émanait de lui une impression d'autorité tranquille, bien qu'il portât la soutane marron des Administrata, l'échelon le plus bas des guildes de la Citadelle. Chambellan de l'Abbé, Athanase était immédiatement reconnaissable parmi tous les résidents de la montagne, car, contrairement à tous ces hommes rituellement barbus et aux cheveux longs, il était complètement chauve à cause d'une alopécie dont il avait souffert quand il avait sept ans. Il jeta un rapide coup d'œil au visiteur de l'Abbé et détourna aussitôt le regard en voyant la couleur de sa soutane. Selon les règles strictes de la Citadelle, les habits verts – les Sancti – restaient isolés. En tant que chambellan de l'Abbé, il lui arrivait d'en croiser, mais toute communication avec eux était formellement interdite.

— Pardonnez mon intrusion, frère Abbé, dit Athanase en se passant la main sur le crâne comme il avait l'habitude de le faire dans les moments de tension, mais je me devais de vous informer qu'on a retrouvé frère Samuel.

L'Abbé sourit en écartant les bras comme pour accueillir chaleureusement cette nouvelle réconfortante.

— Et voilà, dit-il. Tout est redevenu comme il se doit. Le secret est en sécurité, ainsi que notre ordre. Dites-moi, où ont-ils trouvé le corps ?

La main d'Athanase continuait de caresser lentement le crâne poli.

— Il n'y a pas de corps, répondit-il. Frère Samuel n'a pas sauté au bas de la montagne. Il a réussi à s'accrocher à la paroi et se trouve actuellement à une centaine de mètres au-dessus du sol, sur la face nord.

L'Abbé laissa retomber ses bras et son expression s'assombrit de nouveau.

Dans son esprit, il vit la paroi de granit qui s'élevait verticalement de la plaine glaciale, formant un côté de la forteresse sacrée.

— Peu importe, fit-il avec un geste désinvolte. La paroi à l'est est impraticable, et le jour ne se lèvera que dans quelques heures. Il sera épuisé bien avant cela et fera une chute mortelle. Et même si, par miracle, il arrivait à rejoindre les pentes au-dessous, nos frères de l'extérieur mettront la main sur lui. Il sera trop fatigué pour opposer la moindre résistance.

— Bien sûr, frère Abbé, dit Athanase. Sauf que...

Il continua de se lisser des cheveux qui avaient depuis longtemps disparu.

— Sauf que quoi ? fit sèchement l'Abbé.

— Sauf que frère Samuel ne tente pas de descendre de la montagne.

La main d'Athanase se détacha enfin de son crâne tandis qu'il ajoutait :

— Il est en train de l'escalader.

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par Janine-Nomi 2018-02-24T16:07:48+01:00
Diamant

J ai adoré ce livre. Addictif original personnages attachants, une fin très surprenante. J ai fermé ce livre avec regrets

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Commentaire ajouté par eleos 2015-09-08T11:07:47+02:00
Argent

Pas mal.

J'ai bien aimé le rythme qui crée un excellent suspense, la promesse contenue dans l'histoire qui m'a d'ailleurs convaincue de la lire, l'écriture fluide et cohérente, et le dénouement.

J'ai moins aimé le côté fictif. Il manque un travail de fond. Pour moi l'auteur, a choisi la facilité de la fiction et de l'imaginaire totale. En conséquence, l'histoire est plus fantastique qu'ésotérique. Mais bien sûr, l'histoire reste cohérente en elle-même. On a comparé cet auteur à Dan Brown et pourtant, je trouve que ce n'est pas encore ça. Lui il part d'endroits ou d'éléments qui existent vraiment et crée une histoire autour qui à la fin paraît vraisemblable. Ce n'est pas le cas ici, et c'est ce qui m'a un peu déçue.

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Commentaire ajouté par mag09 2015-01-16T15:55:01+01:00
Bronze

Une histoire qui se déroule au fil de l'eau avec pleins de suspense et une fin qui laisse sans voix.

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Commentaire ajouté par Esclarmonde 2013-10-19T17:23:23+02:00
Or

Les descriptions de la cité et de la forteresse sont l'une des bonnes surprises de ce récit, et l'on a qu'une envie une fois la lecture achevée, c'est de retrouver les lieux évoqués. Ce roman se laisse lire. Un thriller "ésotérique" mené par un duo assez sympathique...

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Commentaire ajouté par poucelimag 2013-09-21T10:38:50+02:00
Or

Très bon livre, on a envie de savoir ce qui se passe, la fin on ne s'y attend pas, intrigue bien menée, j'ai beaucoup apprécié.

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Commentaire ajouté par Silsocrate 2012-08-08T19:18:12+02:00
Or

très bon thriller - la fin m'a surprise je ne m'attendais pas du tout à cela. Je le recommande vivement

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Commentaire ajouté par anaelle 2011-11-18T18:33:30+01:00
Diamant

pour un premier livre, simon toyne attaque fort avec un thriller absolument magnifique du suspense haletant, une fin qui vous laisse sans voix : en un mot : sublime!

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Date de sortie

Sanctus, Tome 1

  • France : 2012-06-07 - Poche (Français)

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Mlchris l'ajoute dans sa biblio or
2017-05-10T19:47:07+02:00
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