Commentaires de livres faits par Thetiis
Extraits de livres par Thetiis
Commentaires de livres appréciés par Thetiis
Extraits de livres appréciés par Thetiis
Ca a été un plaisir de suivre le développement de Lila, de la jeune voleuse banale à l'Antari puissante. C'est plaisant de voir qu'elle a évolué et qu'elle a gagné en maturité (j'entends par là qu'elle arrête enfin de fuir et jouer les dur à cuire).
C'était un plaisir d'en apprendre (enfin) davantage sur le mystérieux Holland, cet Antari blanc qui, d'abord antipathique, devient finalement attachant. Le contraste entre lui et Kell est d'ailleurs saisissant. Si, au début, on prend Kell pour un Antari puissant, expert car à côté, Lila n'est qu'une débutante, on comprend en fait que Kell n'en est encore qu'à ses débuts parce qu'il y a Holland. Holland, qui s'est forgé dans le froid et l'acier de son monde. J'ai vraiment beaucoup apprécié le personnage de Holland dans ce volume et je trouve que la fin qu'il a est à la hauteur de son personnage et des épreuves qu'il a traversées. Il était temps, pour lui, de trouver la paix.
L'histoire est tantôt calme, tantôt mouvementé et le rythme s'accélère drastiquement autour des 200/150 dernières pages lorsque les morts s'enchaînent de tous les côtés. Au palais d'Arnes comme sur le Fantôme, personne n'est épargné. Il ne devait en rester que 4 pour écrire la fin d'Osaron.
Bref, j'ai passé un très bon moment dans cet univers. Si ce tome conclut l'intrigue d'Osaron, il ne fait aucun doute que la source de son pouvoir reste bel et bien vivante. Il le dit d'ailleurs, lorsqu'il fait référence à Vitaris, un pouvoir similaire au sien mais différent. Il ne fait aucun doute qu'une menace similaire va prendre forme dans la prochaine saga qu'il me tarde de découvrir. Par ailleurs, il y a fort à parier que le capitaine Maris (me semble que c'est son nom) se rappellera au bon souvenir de Lila et réclamera sa dette.
Un univers vraiment chouette que j'ai été ravie de découvrir par hasard.
Remarque : un peu déçue par moment des nombreuses redites d'événements déroulés aux tomes précédents. Certes, il y a un temps entre chaque volume mais j'ai eu l'impression de perdre un peu mon temps dans des résumés d'évènements que je connaissais déjà. Après tout, si on lit le tome 2 ou 3, c'est qu'on a lu les précédents.
Pour commencer, le fait que 99% du casting soit entièrement féminin (bon j'exagère, 98,9%) m'a perturbée. D'accord c'est une réécriture, d'accord c'est féminisé mais là, à mon sens, c'est dans l'excès. Mais soit, passons. Je suppose que c'est un parti pris et, comme tous les partis pris, il trouve ou pas son public.
Le casting mis à part, j'ai tout de même apprécié ma lecture pendant la première partie du livre et puis, la deuxième, lorsque l'on découvre les véritables origines de Zéphyr, je suis tombée de ma chaise et je me suis dit "mais qu'est-ce que c'est que tout ça ?". Je n'étais pas du tout préparée à ce retournement de situation qui était, d'abord brutal, puis quelques peu barbant. Vraiment, la partie dans les cieux ne m'a pas du tout plu. J'en suis venue à me demander ce que je faisais là.
Fort heureusement, la troisième partie du livre nous fait revenir sur le champ de bataille (de façon plutôt surprenante il faut le reconnaître mais j'ai trouvé ça appréciable, étonnement).
Même si l'histoire nous offrent de nombreux retournement de situations (la relation de Zéphyr et sa petite sœur était vraiment intéressante lorsqu'on en arrive aux dénouements), force est de constater que certains éléments sont comme bâclés ou traités par dessus la jambe. La stratège la plus compétente du camp ennemi qui se pointe à votre porte pour vous dire "coucou je change de camp, faut me croire parce que je le dis" c'est un peu fort de café, surtout lorsque l'on nous présente Miasma comme une ennemie redoutable, calculatrice et intelligente. Un peu comme si ce changement de camp n'était pas le plus important et était une simple bagatelle pour justifier le rapprochement entre Zéphyr et Choucas. La romance passe au premier plan, au détriment de l'intrigue.
Est-ce que je lirai le prochain tome ? Je me tâte. D'un côté, je suis curieuse de voir comment la relation entre Zéphyr et Choucas va évoluer, d'autant plus que l'on sait maintenant à qui Choucas prête véritablement allégeance. Mais j'ai quelques craintes concernant la partie "mythologique" (je ne sais pas quel mot employer) de Zéphyr prenne le dessus et casse le rythme du livre, comme ce fût le cas pour ce premier volume.
On en apprend un peu plus sur le fonctionnement de cet univers, notamment l'existence des fameux "Trois sages" et on nous présente Berdalute, un mage vraiment très excentrique. Mais qui aura offert une chouette leçon à nos jeunes héroïnes : surprendre un grand sorcier ne signifie pas réaliser quelque chose de très technique. Et c'est une nouvelle épreuve qui permet de nouer un lien encore plus étroits entre les jeunes sorcières.
Parlant des sorcières, on profite aussi de ce volume pour nous présenter une nouvelle facette d'Agathe, plutôt surprenante mais qui en dit beaucoup sur les raisons de son comportement. J'ai hâte d'en apprendre davantage sur la famille Achrone ainsi que les fameuses grandes familles qui ont survécu au jour de la conjuration.
On découvre ici une nouvelle partie de l'univers, occupée cette fois par un peuple un tantinet despotique puisque présenté comme dirigé par un chef tyrannique et un poil risible. On peut, sans aucun mal, comprendre que l'auteur s'est inspiré des peuples d'Orient pour la création de cette partie de l'univers, pour un résultat un tantinet caricatural, il faut le reconnaître mais ça rentre tout à fait dans la vision manichéenne qui est adoptée.
On a également droit à une certaine leçon d'humilité à travers Bree, un cheval narnien particulièrement orgueilleux du fait d'avoir évolué au milieu de chevaux ""normaux"".
Ce qui est également intéressant c'est de constater que Cair Paravel n'est pas le seul royaume qui s'étend sur Narnia, ce qui en fait un univers un peu plus riche. Il est également fait mention d'autres peuples, notamment celui de Telmar qui, chacun sait, sera au centre du livre suivant.
C'est, pour le moment, le livre le moins intéressant à mes yeux. Je dois reconnaître que j'ai bien plus appréciée la découverte de l'univers avec Polly et Diggory que de voyager avec Shasta et Aravis à travers le désert aride.
On découvre ENFIN un visage de la confrérie, et quel visage. Pas étonnant que les sorts de transformations aient été interdit quand on voit le résultat. On découvre également de nouveaux personnage parmi la Milice Magique, des énergumènes assez originaux. J'ai hâte de voir ce qu'ils vont faire quand la Confrérie va décider de se pointer lors de la célébration de la conjuration parce que c'est évident qu'ils le feront.
Je sens que cette épreuve ne va pas être de tout repos, parce que la confrérie du capuchon ne décide absolument pas de rester inactive. Cette histoire de magie interdite est vraiment intrigante, j'ai hâte d'en apprendre davantage.
Je trouve également que les messages qui sont passés à travers cette histoire, notamment à propos de l'apprentissage, sont très pertinents et inspirants. Pour ma part, en tout cas.
Agathe est un personnage qui, je pense, va se révéler moins antipathique au fil des tomes.
J'ai beaucoup aimé le personnage de Tarta, notamment son étrange maladie. L'univers se révèle riche ! Notamment dans l'infinité possible des sorts qui peuvent être, recopiés et imités certes, mais surtout inventés et réinventés.
Je trouve l'entrée en matière vraiment chouette, l'univers est tout à fait original, notamment dans la manière dont la magie est pratiquée et, surtout, dissimulée aux yeux des "ignorants".
Je trouve que c'est un très bon premier tome.
Je trouve l'écriture tout à fait abordable pour les jeunes lecteurs, qui débutent dans la lecture de "gros romans" et l'enfant qui est en moi est terriblement déçue de ne pas avoir pu les lire dès son plus jeune âge.
Point bonus pour les deux petites recettes à la fin du livre, c'est original et appréciable.
Pour commencer, je pense qu'il s'adresse parfaitement au public visé, notamment dans la façon dont il est composé : chapitres courts, l'action qui s'enchaîne sans perdre de temps, les illustrations qui viennent compléter l'histoire.
Suivre les aventures de Paul, c'est comme suivre les aventures d'un ami et il ne fait aucun doute que les enfants n'auront aucun mal à se plonger dans cette histoire rocambolesque. Les nombreuses références faites entre la vie "réelle" de Paul et son "rêve" (même si elles sont expliquées par la suite pour celui qui n'aurait pas fait le lien) permettent au jeune lecteur, s'il est concentré, d'associer les éléments et de faire son idée quant à savoir si Paul rêve ou s'il vit véritablement l'aventure. La fin, quant à elle, vient tout chambouler l'idée que l'on a pu se faire au court de l'histoire (même si, en tant que grande lectrice, je l'avais vu venir dès le début). Elle offre au jeune lecteur tout le loisir de rêver et de s'imaginer sa version de l'histoire : rêve ou réalité ?
J'ai été particulièrement surprise par le vocabulaire riche concernant la navigation. Non seulement ce livre s'adresse aux enfants rêvant d'aventure, mais il leur permettra également de se familiariser avec quelques notions que le jeune Paul prend le temps d'expliquer (j'en ai même découverte quelques unes).
Gros point bonus pour la publicité faite à la Bretagne (oui, mon côté chauvin s'exprime).
J'aime beaucoup le style d'écriture, la façon dont l'histoire est racontée : on a vraiment l'impression de suivre une histoire racontée par un vieil oncle, qui y va de ses nombreux commentaires parce que, lui, connait la suite ainsi que toutes les autres histoires qui découlent de cette première aventure.
Et quelle aventure ! Digory et Polly forment un duo fantastique, leur complicité et leur dynamique est vraiment touchante. Avec eux, on assiste à la destruction d'un monde, la création d'un nouveau mais, également, la progression d'un terrible mal.
On est tout de même sur un récit très manichéen, d'un côté les gentils caractérisés par leur capacité à comprendre Aslan et apprécier ce qu'il créé, et les méchants motivés par l'appât du gain et repoussés par tout ce qui touche à Aslan, mais également à la beauté et la bonté.
L'histoire s'enchaîne relativement rapidement, on ne perd pas de temps en détails superflus, ce qui ne nécessite pas d'être raconté ne l'est tout simplement pas (et c'est souvent mentionné par le narrateur). C'est un récit différent de ce que j'ai l'habitude de lire et j'aime beaucoup. Je suis impatiente de lire les prochaines aventures.
J'ai trouvé intéressant de découvrir l'histoire de façon plus littéraire, à défaut de visualiser les expressions des personnages, on les lit, on les imagines peut-être différemment.
En tant qu'inconditionnelle fan de l'histoire, j'achèterai la suite (en plus des manga) parce que c'est comme ça.
J'ai adoré cette plongée au cœur du Vatican, l'enquête de Sandra, l'histoire de Marcus qui se mêle à la sienne... Ecrire ces quelques lignes me donne envie de lire à nouveau cette histoire (ce que je compte faire prochainement).
Je dirai, pour commencer, les que les films font une très bonne adaptation des livres, c'est remarquable. Je dirai ensuite que, même si je mets ce livre dans ma liste d'or, j'ai eu du mal à le lire. L'histoire est extrêmement lourde en détails (c'est ce qui fait que l'univers est riche, me direz-vous), certains passages sont d'une lenteur abominable (Tom Bombadil, je te fixe fort du regard). Le style d'écriture m'a un peu refroidi parce que je n'ai pas pris le temps d'ouvrir un quelconque autre ouvrage de l'univers. Ce n'est pourtant pas faute de les avoir (presque) tous.
Ca reste un très bon livre, avec un univers incroyable. Je pense que je le relirai, pour m'en faire un deuxième avis (et peut-être aurais-je moins de mal à me plonger dans l'histoire, cette fois).
L'hypnose, sous toutes ses formes, est au cœur même de l'ouvrage et le pauvre Pietro en fait les frais. Elle est présente dans ledit jeu de cartes, mais aussi à travers des messages subliminaux. On se lance, avec Pietro, à la poursuite d'un marionnettiste qui utilise les êtres humains comme de simples pantins, c'est à la fois fascinant et terrifiant.
Le retournement de situation est également bluffant. L'idée que je me faisais du récit de l'ogre et de l'enfant c'est vérifiée mais, le retournement concernant la disparition de Nikolin et sa mère Mira... J'aurais pourtant dû m'y attendre, depuis le temps que je lis du Carrisi mais je suppose que je suis (trop) bon public.
Si le premier livre m'a fait me dire "oui ok, c'est chouette", celui-ci me laisse terriblement sur ma faim et je n'ai plus qu'une idée en tête : me munir du troisième livre pour en apprendre davantage sur le garçon, l'ogre et sa bien aimée.
C'est terrible de nous laisser ainsi ! Non seulement on en apprend encore davantage sur Jinshi mais c'est surtout Mao Mao qui en apprend plus sur lui. Et j'ai adoré le quiproquo entre elle et Jinshi à propos de la fameuse grenouille...
Non vraiment, je suis beaucoup trop impatiente de lire le prochain tome et je suis frustrée de ne pas savoir quand va sortir la suite !
C'est une première partie très prometteuse ! Je suis impatiente de voir comment la suite va être mise en œuvre.
Je m'étais cependant attendue à beaucoup (beaucoup) plus de temps en mer mais en réalité, ça ne correspond qu'à une courte partie de sa vie. J'ai été trompée par le titre, et trahie par sa légende. Non, je vais être honnête, je m'étais imaginée qu'elle avait fait pirate pendant de nombreuses années mais il suffit de quelques mois pour devenir une légende, et pas nécessairement toute une vie en mer.
Mon côté breton apprécie d'autant plus cette histoire en raison du théâtre dans lequel se déroule les événements.
Sinon c'est un livre qui se lit rapidement, je n'ai pas souvenir m'être ennuyée. Même si, comme je l'ai dit, j'ai été déçue de voir que les événements de pirateries n'apparaissaient qu'à la fin du livre, je ne me suis pas lassée de suivre Jeanne dans ses périples terrestres, aux côtés de son mari, ses amies et ses enfants.
Une chouette biographie, certes très romancée, mais ça ajoute au charme du personnage.
Mais Ellana n'est bien évidemment pas la seule à avoir évolué. Salim est également au centre de cet ouvrage puisqu'il est en pleine formation. On retrouve avec nostalgie les enseignements que Jilano avait administré à Ellana. Son ombre plane toujours, guide constant. Et puis les mercenaires du Chaos. Ceux qu'on avait eu le déplaisir de découvrir dans le premier tome, de revoir dans le deuxième, les voilà à présent plus menaçant que jamais. Et Nillem. Quelle évolution pour lui aussi.
Je suis cependant un peu déçue (je ne sais pas si c'est le bon mot) par les motivations des mercenaires du Chaos qui ne souhaitent...que le Chaos. Et c'est amusant parce qu'il souhaite faire sombrer le monde dans le chaos mais ils sont d'une organisation militaire, ce qui est aux antipodes de leurs ambitions chaotiques. Tout ça pour dire que c'est assez (peut-être trop) manichéen. Les méchants veulent le chaos, font appel à des créatures monstrueuses, tandis que les gentils (aka les marchombres puisque les mercenaires du chaos sont leur opposé) combattent pour l'harmonie. Mais il faut reconnaître que la philosophie marchombre est terriblement poétique et on ne s'en lasse pas (enfin moi en tout cas).
Mais il ne faut pas oublier que c'est un livre de littérature jeunesse donc je ne sais pas si ma critique est constructive, finalement. Passons.
Je ne parlerai pas de la prophétie mais j'ai trouvé le dénouement...risible ? C'était amusant mais dans le même temps je reste un peu sur ma faim...ou alors un détail ou deux m'ont échappé.
En tout cas, c'est un super clap de fin pour cette trilogie que j'ai dévoré. Que j'ai adoré. Que j'ai eu un mal fou à lâcher. Tout est beau : l'univers, l'écriture, le développement des personnages. Je prendrai plaisir à les relire, c'est certain.
Et plus globalement, l'écriture est fluide, les événements s'enchaînent bien. Point noir pour l'écriture inclusive (un ".e" n'a rien à faire dans un dialogue puisqu'il est imprononçable à voix haute). Un bon point pour la couverture que je trouve très jolie.
J'ignore si je lirai les prochains volumes, je n'ai pas eu d'attrait particulier pour les amis de Camélia.
J'ai passé un excellent moment aux côtés d'Ellana et de son cheminement sur la voie. C'est un véritable parcours initiatique qui, je dois l'avouer, est très inspirant. Certaines leçons données par Jilano ont eu beaucoup d'écho, pour Ellana certes, mais parfois pour moi aussi. J'avais presque l'impression d'arpenter, moi aussi, la voie Marchombre.
L'intrigue concernant la fameuse prophétie se met en place, on découvre que la guilde, que l'on pensait inébranlable, est soumise à des guerres intestines et se montre aveugle aux menacent extérieures. Même les marchombres, ces êtres exceptionnels, ne sont pas immunisés contre l'excès de confiance. Ellana est également mise à rude épreuve, elle perd des êtres chers, par mort ou trahison. On retrouve aussi certains personnages de la quête d'Ewilan, comme je me suis sentie bête quand j'ai finalement compris qui était Til' Illan.
Un formidable voyage en Gwandalavir, une évolution d'Ellana qui grandit, en âge et par la force des événements. Une transition pour nous mener dans le vif du sujet : la fameuse prophétie.
L'auteur nous offre des personnes plus sombres et plus profonds. La pauvre Sophie bataille pour ne pas interférer dans cette nouvelle ligne temporelle, c'est devenu sa raison de vivre et, malheureusement, le destin est capricieux et les évènements doivent se produire, avec ou sans elle (mais évidemment, elle est au cœur de toute l'histoire).
Dimitri, Dimitri... Que dire. Je suis un peu mitigée. Il se rend, en premier lieu, pour représenter son pays avec toutes les conséquences que cela implique, on entrevoit un début de négociation avec le roi de Fréhenne, sa fille puis.... Plus rien, il faut attendre 200-300 pages plus loin pour les revoir. De plus, il se prend dans les aventures précieuses de Sophie avec beaucoup trop de légèreté pour un prince qui pourrait, à tout moment, déclencher une guerre entre ces deux pays. Alors oui, c'est le monde qui est en danger et c'est plus grand qu'une guerre entre deux pays mais...quand même. C'est passé par-dessus la jambe.
En revanche, toute l'intrigue concernant la part sombre qui grandit en lui, contre laquelle il lutte ardemment, était bien menée.
Elias. Que dire. J'avoue, je n'ai compris qu'au moment où Sophie et Dimitri sont allés interroger l'horoanima. Quelques lignes avant qu'il ne donne son nom. Et je me suis dit "oh non". Ce que j'en déduis, c'est que la part d'ombre qui a grandit dans le vieux Dimitri avait sa propre personnalité. J'ai peut être mal compris de quoi il en retournait lorsque ça avait été expliqué dans le premier volume. En tout cas, je ne l'avais pas vu venir. C'était franchement bien ficelé. Mais une fois que l'on découvre le pot aux roses, le reste n'est pas difficile à deviner. La seule chose qui m'a surprise, et m'a fait verser quelques larmes, c'est Farandole.
Bon. C'est long. En résumé, j'ai passé un très bon moment. L'évolution de la relation entre Sophie et Dimitri est superbe. Le Temps qui lui offre sa bénédiction est une superbe note de fin qui clôture agréablement l'histoire. La grand-mère de Sophie est un personnage haut en couleur mais le véritable héro de toute cette histoire, c'est Farandole et personne d'autre.
Un très beau clap de fin.