Commentaires de livres faits par ArthemisV
Extraits de livres par ArthemisV
Commentaires de livres appréciés par ArthemisV
Extraits de livres appréciés par ArthemisV
[...]
- Dis moi ce que tu veux.
- Non... ne vous en faites pas...
- Bon... Tu ne me laisses pas le choix.
Je vais acheter tout le magasin.
[...]
- Moi, je veux être comme vous "
- Oh, merci Brume ! J’avais super faim !
- Calme-toi, c’est pour Hubert, il n’a pas pris son petit déjeuner. »
- Oh, question commérages, on est pire qu’une bande de matronnes dans un cercle de couture, intervient un soldat qui se tenait à côté d’elle. »
"[...] Inutile de ma lancer dans ce genre de futilités. A un moment ou à un autre, tu finiras par pleurer toutes les larmes de ton corps et je m'en délecterai."
[...] Je m'esclaffe en levant les yeux au ciel. Combien de fois ai-je déjà entendu ça ? Je ne veux plus être cette personne, cette carpette sur laquelle tout le monde peut s'essuyer les pieds. [...]
[...] Je reprends la tasse, déterminée à la poser dans l'évier et à me tirer d'ici le plus vite possible. Mais c'était sans compter la chose la plus inattendue et la plus mignonne que je découvre, planquée derrière la cafetière, dans un recoin sombre : un mini riquiqui cactus rond à longues épines, dans un mini riquiqui pot avec des yeux et un sourire. Le coup de foudre est violent ! [...]
Keleana : [...] Mais la mort était à la fois son don et sa malédiction, une amie qui lui était restée fidèle pendant ces longues années.
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<< Si tu cherches le soleil au fond de tes chaussures, tu n'y trouveras que des ampoules >>
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Il faut savoir qu'il est impossible d'être à l'aise à même le sol puisque ce dernier se compose avant tout de terre, de cailloux et autres petites choses pointues, c'est bien pour cette raison que personne n'en rembourre ses matelas.
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Au-delà de la destruction des ouvriers de mon malheur, j'aspire de tout mon cœur à l'édification d'un monde meilleur. Après l'éternel hiver, le printemps doit éclore.
Dissipant les Ténèbres, la lumière doit revenir sur le monde.
Tel est désormais mon idéal. Et Naoko vient de me le rappeler, au moment où j'étais sur le point de laisser mes vieux démons reprendre le dessus.
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- Mon dieu, marmonna-t-il.
Il se rapprocha en baissant encore la voix.
- Peut-être connaissez-vous le mot latin : masturbari.
Helen se figea. Oui, c'était bien ce qu'elle pensait.
Il se recula sur sa chaise.
- Cette activité n'étant pas réservée aux Abuseurs, ce n'est pas un élément décisif.
- Mais une femme pourrait-elle...?
- Ce n'est pas non plus réservé aux hommes, lady Helen.
- Oh.
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Nous ne sommes pas définis par ce que nous faisons lorsque nos vies sont en jeu. Nous ne nous excusons pas pour ces gestes-là. Ils t'ont peut-être brisée, Theo, mais cela fait de toi une arme plus aiguisée. Et il est temps que tu serves.
[...]
Le vide m'étreint. Je ne sais plus si je respire. Un trou se creuse dans mon cœur, je le sens physiquement, et c'est comme si toute mon âme s'en échappait sans que je puisse la retenir.
- Désolé, je parle pas l'octopute.
Elian, chapitre 38.