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« Statistiquement, la probabilité qu'une analphabète née dans les années 1960 à Soweto grandisse et se retrouve un jour enfermée dans un camion de pommes de terre en compagnie du roi de Suède et de son Premier ministre est d'une sur quarante-cinq milliards six cent soixante-six millions deux cent douze mille huit cent dix. Selon les calculs de ladite analphabète. »
Tout semblait vouer Nombeko Mayeki, petite fille noire née dans le plus grand ghetto d'Afrique du Sud, à mener une existence de dur labeur et à mourir jeune dans l'indifférence générale. Tout sauf le destin. Et sa prodigieuse faculté à manier les nombres. Ainsi, Nombeko, l'analphabète qui sait compter, se retrouve propulsée loin de son pays et de la misère, dans les hautes sphères de la politique internationale.
Lors de son incroyable périple à travers le monde, notre héroïne rencontre des personnages hauts en couleur, parmi lesquels deux frères physiquement identiques et pourtant très différents, une jeune fille en colère et un potier paranoïaque. Elle se met à dos les services secrets les plus redoutés au monde et se retrouve enfermée dans un camion de pommes de terre. À ce moment-là, l'humanité entière est menacée de destruction.
Dans sa nouvelle comédie explosive, Jonas Jonasson s'attaque, avec l'humour déjanté qu'on lui connaît, aux préjugés, et démolit pour de bon le mythe selon lequel les rois ne tordent pas le cou aux poules.
Né en Suède en 1961, Jonas Jonasson, ancien journaliste et consultant pour les médias, est l'auteur du Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire, son premier roman, qui a connu un immense succès dans la trentaine de pays où il a été publié. L'Analphabète qui savait compter est son deuxième livre.
Livre un peu déjanté qui se lit facilement. Je ne m'attendais pas à un sujet politique. D'ordinaire, je déteste ça, mais écrit dans la bonne humeur et sous un ton humoristique c'est très passé.
Les personnages sont sympathiques et leurs aventures pittoresques. Le style de l'auteur est bon et donne bien le rythme.
Nombeko vit à Soweto et travaille dans les latrines municipales, qu’elle doit vider avec un seau toute la journée ; mais elle aide aussi son chef avec sa comptabilité, car si elle est analphabète, Nombeko sait compter.
Nous allons suivre Nombeko dans de nombreuses péripéties, toutes aussi loufoques les unes que les autres, sur fond de géopolitique, nous allons croiser les personnages éminents de nombreux pays tels que la Chine, la Russie, Suède et Afrique du Sud que la demoiselle va prendre plaisir à manipuler. Donc c’est drôle mais loin d’être idiot.
L’auteur a une imagination débordante et un sens de l’humour incroyable. Si vous aimez les livres sérieux, passez votre chemin, si vous avez envie de vous payer une bonne tranche de rire, ce roman est fait pour vous.
En bref, une histoire complètement déjantée, tout est improbable mais il y a un fond de vérité à méditer. Personne trop sérieuse s’abstenir !
À lire le plus loin possible des toilettes, installé(e) sur une couette, avec un thé vert Sencha et des perles de coco (pâtisserie asiatique).
L'histoire loufoque de ce roman reste dans la même veine que celle du vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire. Mais justement, j'ai trouvé ça trop dans le même esprit. Divertissant mais avec des longueurs.
Je ne savais pas du tout de quoi il parlait, et je pensais que ce serait juste un livre léger et humoristique, et au final je me retrouve à lire une sorte de chronique de la politique et géopolitique des années 1960 à 2000.
Le mariage est des plus réussi, et donne un livre excellent.
J'ai lu ce roman sans trop savoir à quoi m'attendre et je n'avais vraiment pas du tout anticipé un tel concentré d'événements insensés ^^ Les personnages et les situations sont totalement caricaturaux et on rit d'incrédulité devant l'absurdité des choses en tentant de tourner les pages plus vite pour savoir comment notre héroïne se dépêtrera de toutes ces histoires.
Je me suis fait la remarque vers la fin que le livre aurait pu faire 200 pages de moins si l'auteur avait "éliminé" quelques uns des boulets accrochés à la jambe du personnage principal, mais ça aurait été moins drôle non ? ^^
Une livre dans la veine des première, une écriture simple et en même temps pleine d’humour. Cependant j’ai trouver que l’intrigue avait du mal à avancer
J'ai finalement abandonné ce livre après 100 pages, chose que je fais rarement mais j'avais l'impression de perdre mon temps.
Dès le départ, ça part un peu dans tous les sens avec cette petite videuse de latrines en Afrique du Sud qui cherche à améliorer sa condition et, à l'autre bout du monde, le Suédois qui développe une obsession pour le roi Gustave V. Je suppose qu'un lien se forme finalement entre ces deux personnages mais, n'ayant réussi à m'attacher ni à l'un ni à l'autre, je n'ai pas la patience d'attendre jusque là.
Ce livre se veut humoristique mais je pense être totalement hermétique à ce type d'humour, aucune page ne m'ayant fait sourire. Pourtant, j'avais bien aimé "Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire". C'est ce qui m'a fait persévérer, je voulais retrouver cette veine absurde que j'avais appréciée. Mais cette fois-ci, l'auteur m'a déçue. Et comme l'histoire part vraiment dans tous les sens, j'ai bien des difficultés à rester concentrée...
Est-ce la plume de l'auteur qui a perdu sa magie ou bien ai-je mal vieilli depuis la lecture du "Vieux" ?
Lu dans le cadre d'une lecture commune, j'ai enfin eu l'occasion de sortir "L'analphabète qui savait compter" de ma pal, un énième livre qui y dormait depuis trop longtemps. C'est donc ravie que j'étais quand il a été proposé, puis sélectionné. Mais un peu moins finalement maintenant que je l'ai lu, mon ressenti étant plus que mitigé.
L'action se déroule en pleine période de guerre froide et d'apartheid. Une partie se déroule en Afrique du Sud, l'autre en Suède. Historiquement et politiquement parlant, l'auteur maîtrise plutôt bien son sujet. Il en fait un peu à sa sauce, mais le contexte de cette époque est bien implanté et bien exploité. Rien à dire de ce côté-là.
La plume de l'auteur est dynamique et enjouée. C'était donc une lecture facile.
Mais alors, il y a ce côté absurde dans le récit qui prédomine, tant au niveau de l'histoire que des personnages. Ça se veut humoristique, mais c'est tellement gros, insensé, balourd, que ça ne m'a que très rarement fait rire. Ça part dans tous les sens, c'est invraisemblable, beaucoup trop farfelu, un peu niais même. Je n'ai malheureusement jamais adhéré à ce genre d'humour. Et ici, il y en a partout, du début à la fin. Ça en devient lourd, lassant...
Je n'ai donc pas accroché, ni avec l'histoire trop abracadabrante, ni avec les personnages trop extravagants (pour ne pas dire "bébêtes" pour la plupart d'entre eux, bien que ça soit certainement voulu). Il n'y aura que le contexte historique et politique qui ne m'aura pas déplu, ce qui est loin d'être suffisant...
La première chose que je me suis dit en le terminant, après "Ouf enfin fini", a été "C'était n'importe quoi ce bouquin".
Résumé
« Statistiquement, la probabilité qu'une analphabète née dans les années 1960 à Soweto grandisse et se retrouve un jour enfermée dans un camion de pommes de terre en compagnie du roi de Suède et de son Premier ministre est d'une sur quarante-cinq milliards six cent soixante-six millions deux cent douze mille huit cent dix. Selon les calculs de ladite analphabète. »
Tout semblait vouer Nombeko Mayeki, petite fille noire née dans le plus grand ghetto d'Afrique du Sud, à mener une existence de dur labeur et à mourir jeune dans l'indifférence générale. Tout sauf le destin. Et sa prodigieuse faculté à manier les nombres. Ainsi, Nombeko, l'analphabète qui sait compter, se retrouve propulsée loin de son pays et de la misère, dans les hautes sphères de la politique internationale.
Lors de son incroyable périple à travers le monde, notre héroïne rencontre des personnages hauts en couleur, parmi lesquels deux frères physiquement identiques et pourtant très différents, une jeune fille en colère et un potier paranoïaque. Elle se met à dos les services secrets les plus redoutés au monde et se retrouve enfermée dans un camion de pommes de terre. À ce moment-là, l'humanité entière est menacée de destruction.
Dans sa nouvelle comédie explosive, Jonas Jonasson s'attaque, avec l'humour déjanté qu'on lui connaît, aux préjugés, et démolit pour de bon le mythe selon lequel les rois ne tordent pas le cou aux poules.
Né en Suède en 1961, Jonas Jonasson, ancien journaliste et consultant pour les médias, est l'auteur du Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire, son premier roman, qui a connu un immense succès dans la trentaine de pays où il a été publié. L'Analphabète qui savait compter est son deuxième livre.
Traduit du suédois par Carina Bruy.
[Source : Éditions Presses de la Cité 2013]
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