Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 982
Membres
1 014 604

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Moi les hommes, je les déteste



Description ajoutée par Alteliane 2020-10-02T11:31:50+02:00

Résumé

Je vois dans la misandrie une porte de sortie. Une manière d’exister en dehors du passage clouté, une manière de dire non à chaque respiration. Détester les hommes, en tant que groupe social et souvent en tant qu’individus aussi, m’apporte beaucoup de joie – et pas seulement parce que je suis une vieille sorcière folle à chats.

Si on devenait toutes misandres, on pourrait former une grande et belle sarabande. On se rendrait compte (et ce serait peut-être un peu douloureux au début) qu’on n’a vraiment pas besoin des hommes. On pourrait, je crois, libérer un pouvoir insoupçonné : celui, en planant très loin au-dessus du regard des hommes et des exigences masculines, de nous révéler à nous-mêmes.

Afficher en entier

Classement en biblio - 165 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par MSNordlys 2021-07-22T09:03:20+02:00

Outre le fait qu’elle décrédibilise la cause des femmes, il paraît que la misandrie est très difficile à vivre pour les hommes : une violence insoutenable qui, à ce jour, totalise l’intolérable forfait d’exactement zéro mort et zéro blessé.

Afficher en entier

Commentaire le plus apprécié

Lu aussi

Un livre très instructif qui, loin de prôner la haine, explique au contraire très bien la différence entre misandrie et misogynie. En revanche certains propos ne sont peut-être pas compréhensibles par tous, par manque de développement, parce qu'ils demandent d'avoir déjà réfléchi aux sujets abordés. L'autrice expose son avis de manière synthétique et efficace, je la comprends sur de nombreux points !

Afficher en entier

Ajoutez votre commentaire

Ajoutez votre commentaire

Commentaires récents

Or

Ce livre devrait être obligatoire pour les jeunes dès le collège. Son titre choc découle d'une triste réalité dans notre société : les problèmes du patriarcat et les mœurs qui ne changent pas. La misandrie, dont je suis adepte, y est excellemment bien expliquée. J'ai fait lire les pages que je jugeais importantes à mon merveilleux copain, qui a tout compris. Il comporte également un chapitre intitulé « Maqué à un mec », qui nous explique en quoi la misandrie ne nous empêche pas de s’épanouir avec un homme SAIN. Franchement, lisez-le, il n’a rien de « on déteste les hommes », je vous le promets.

Afficher en entier
Or

https://lessortilegesdesmots.blogspot.com/2024/03/moi-les-hommes-je-les-deteste-de.html

Il a fallu qu'un député demande l'interdiction de ce livre pour qu'il fasse parler de lui. On se demande bien pourquoi j'ai voulu le lire. L'autrice est féministe mais ça c'est évident. Elle a écrit cet essai pour expliquer pourquoi il est nécessaire de l'être. J'ai jubilé la plupart du temps tant son essai est bien fait et en accord avec moi la plupart du temps. Parce que oui, on peut ne pas être d'accord sur tout.

Pour être franche, c'est la fin qui m'a posé problème. De mon point de vue, il n'y a pas lieu de politiser à ce point un sujet qui est évident. Tout le monde devrait être féministe dans l'idée d'une égalité. Je le précise au regard de la diversité du féminisme. On est d'accord que c'est utopique de souhaiter l'égalité quand on sait que la loi sur l'égalité salariale n'est même pas appliqué mais c'est une autre histoire.

L'autrice remet en question la société patriarcale et surtout aborde des sujets qu'on ne voit que trop peu. Je pense notamment au célibat choisi par les femmes. Je suis la première à vous le dire : c'est mal vue encore aujourd'hui. La société (hommes comme femmes) considère qu'il est impensable qu'une femme puisse rester célibataire comme si elle ne pouvait pas s'en sortir sans un homme dans sa vie. (ça me rappelle qu'une personne m'a demandé il y a longtemps si je n'étais pas lesbienne parce que célibataire depuis trop longtemps...C'est vous dire le niveau).

Elle montre aussi que les femmes doivent se battre bien plus que les hommes pour être reconnu. On peut ajouter des thèmes plus souvent abordés dans la société comme les violences (le harcèlement...Quelle femme ne l'a pas subi au moins une fois?!) Bref, ça vous donne une idée. C'est extrêmement bien écrit avec beaucoup d'ironie et de mordant ce qui permet une lecture beaucoup plus fluide. Je pense que ce député aurait du réfléchir avant de vouloir l'interdire et surtout se poser les bonnes questions : pourquoi ce livre l'a choqué? Et bien, il a la réponse maintenant. (d'ailleurs je ne me souviens plus de son nom...Pas envie de chercher).

En bref, cet essai et des plus intéressants et je pense que ces messieurs devraient le lire même si leur égo en prendra forcément un coup. Personnellement, j'ai apprécié cette lecture qui m'a défoulé même si je ne suis pas d'accord avec la fin bien trop politique pour moi (je n'aime pas la politique de base. Peut-être pour ça)

Afficher en entier
Or

Le titre est choc mais le contenu est plutôt soft. Loin d'être des propos révolutionnaires, Pauline Harmange remet en place la définition de la misandrie et par quels aspects celle-ci n'est pas opposable à la misogynie.

Elle explique également pourquoi il est normal d'être misandre et comment cela peut cohabiter avec un couple hétérosexuel.

Un livre très inspirant qui devrait être lu par toustes car sa plume naturelle avec une pointe d'humour rend la lecture très facile !

Afficher en entier
Or

J'ai adoré cette lecture, ça rassure, ça soutient, ça énerve, ça nourrit <3

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Biblys 2022-12-09T16:19:56+01:00
Bronze

Peut-être que je lis un peu tardivement, peut-être que j'ai juste déjà - je l'espère - des idées féministes suffisamment ancrées en moi, mais pour moi cet essai n'est pas révolutionnaire et globalement les idées qui s'y trouvent ne sont pas nouvelles à ma cause. Un regret que j'ai aussi, fréquemment, avec les ouvrages féministes - français surtout - c'est la binarité des discours. Quid des hommes trans? des personnes non binaires ? Ou les placer dans ce discours très sororité vs les hommes. Vu la longueur je me doute bien que ce n'était pas la priorité de Pauline Harmange, et cet essai est après tout très personnel et reste très bon, mais c'est un regret que j'ai souvent face à ce type d'ouvrage.

Cela étant dit, cela peut très bien être un bon ouvrage à mettre entre les mains de vos ami-es encore un peu timides niveau féminisme, pour justement pousser un peu plus la porte, surtout si iels ne savent pas par ou commencer pour lire sur le sujet - le livre de Pauline à l'avantage d'être court et d'aller assez à l'essentiel.

Afficher en entier
Or

Un roman dont on a parlé en cours qui a éveillé ma curiosité et je n'en suis pas déçue. Il était incroyable

Afficher en entier
Lu aussi

Ah, il fait peur ce titre, n'est-ce pas ? Et pourtant, ce court essai ne prône pas la haine envers les hommes. Il y a de la colère, certes. Mais je la trouve plus que justifiée et méritée. Elle remet les choses en place, et les arguments avancés sont très intéressants. L'autrice est cash mais je n'ai senti aucune agressivité, seulement des faits et des réalités trop souvent niés.

Mais en dehors de ce ras-le-bol envers la gent masculine, il s'agit avant tout d'un essai sur le féminisme, sur les différences hommes/femmes au sein du couple, inculquées dès l'enfance, sur l'appel à la sororité et à l'estime de soi. Ce que j'en retiens : apprendre à prendre confiance, à prendre de l'espace, à s'énerver quand on en ressent le besoin. Bref, apprendre à se comporter comme les mecs (mais en mieux ! Haha)

Une lecture sympa à découvrir.

Afficher en entier
Bronze

Un livre vraiment très bien qui, malgré son titre volontairement provocateur, parle en fait surtout de sororité, et seulement un peu de misandrie. Dedans sont regroupées beaucoup de notions que je connaissais déjà, mais il sera parfait pour quelqu'un qui a envie de s'informer sur le féminisme sans avoir à se farcir de la théorie obscure.

Afficher en entier
Argent

Le titre de ce petit livre ou devrais-je dire fascicule ne peut qu'interpeller. D'autant qu'au verso, il est précisé qu'il avait été menacé d'interdiction. Quid? La censure aurait-elle peu d'humour, ou bien ce livre était-il un brûlot envers la gent masculine. Je ne pouvais que le livre afin de m'en assurer moi-même.

Je ne savais quoi penser en en commençant la lecture. Bonne surprise, si le titre est sarcastique, son contenu ne l'est pas. Les constatations de l'auteure, femme réfléchie et féministe, sont intéressantes sans pour autant verser dans le militantisme à tous crins, elles nous incitent à la réflexion.

S'il est vrai que les sociétés ont été créées par les hommes pour les hommes, jusqu'à il n'y a pas si longtemps les femmes en étaient totalement exclues, infantilisées et soumises, au père, frère, etc... De nos jours, même si ce n'est pas la panacée et bien qu'elles se disent invisibilisées, en raison d'une évolution lente peut être, mais qui ne fait que croître, leur permet d'exister et de s'exprimer en tant que telle (du moins dans les pays occidentaux).

Dans son livre l'auteure met en parallèle les misandres et les misogynes tout en soulignant que les conséquences en dangerosité ne sont pas les mêmes. Et que ces deux termes ont pour racines communes le sexisme. Ce que je ne peut qu'approuver. Idem quant à ces réflexions sur la médiocrité de certains hommes leur permettant d'évoluer dans le monde du travail au détriment de femmes plus qualifiées, et la responsabilité de la charge mentale dans le couple, incombant majoritairement à la femme (notamment la gestion des enfants).

Si une grande partie de ces réflexions sont justes, il est à noter que certaines femmes ont leur part dans ces attitudes égoïstes, violentes, arrogantes, voire indifférentes. Beaucoup d'entre elles mettent également beaucop de pression sur les épaules masculines. Elles considèrent qu'un homme se doit d'être fort pour les protéger, leur assurer une sécurité financière, et lorsqu'elles l'ont, sont prêtes à supporter des "abominations" pour les garder.

Les enfants ça se fait à deux. Si les femmes (et les hommes) élevaient leur garçon non comme un dieu à qui tout est toléré sinon permis, mais comme un être se devant de respecteur leur soeur, leurs copines, et leur accordait moins ou autant d'attentions et de restrictions qu'à leur soeur, les mentalités changerait pour beaucoup. Dans ma famille ont m'a toujours dit qu'un homme se jugeait à table et/ou au lit. Si votre mari, ou votre compagnon se permet de satisfaire ses envies qu'elles qu'elles soient avant vous (sa femme ou sa famille), si lorsque vous dormez, il vous "viole", désolé mais vous avez épousé (ou vous vivez avec ) un porc et il y a peu de chance que cela s'arrange. En vieillissant les défauts s'accentuent. A vous de voir si vous le tolérez... !

Quant à la culture du viol, malheureusement, elle existe depuis la nuit des temps et ne disparaîtra pas. Elle est la résultante de pauvres types et de minables" dangereux sans aucune doute, pour lesquels la justice se doit d'être sans pitié. Ce pouvoir de domination qu'on certains hommes sur leur compagne, par impossibilité de communiquer par des mots leur ressenti, pour asservir des peuples en violant et mutilant leurs femmes porteuses présentes et/ou futures d'enfants susceptibles de remettre en cause ledit asservisement. S'approprier le corps de l'autre pour le soumettre, le réduire à néant, le transformer en chose qu'on utilise puis qu'on jette résulte d'une stratégie utilisée par toutes les armées.

Quant aux réunions, assemblées, manifestations de femmes squattées par les hommes qui bien que les jugeant "futiles et ridicules, s'y incrustent sans crier gare, y mettent leur grain de sels de façon préremptoire, une solution : les mettre dehors sans état d'âme. Pourquoi ne pas créer comme au Royaume Unis, des clubs réservés aux femmes ou vous pourriez, mesdames, vous retrouver, pour lire, discuter et pratiquer des activités sportives ou autres sans le regard voyeur ou désapprobateur des hommes ? Je ne crois pas que la France serait hostile à de tels clubs....

En fait toutes ou presque les attitudes dénoncées par Pauline Harmange pourraient trouver une solution avec un peu d'organisation et de compréhension du pouvoir en place. Je sais que de tels endroits existent dans des pays d'Asie et d'Orient, mais on en arrive à une séparation assez stricte des sexes. Quid de la mixité, de la laïcité, et de l'égalité....

Afficher en entier
Bronze

Une lecture simple et efficace, qui dit l'essentiel. Pour moi la réflexion peut et doit aller plus loin, mais c'est déjà un pavé dans la mare (et comment en être autrement avec un tel titre ?), qui m'a fait du bien et qui m'a fait hocher la tête tout au long de ma lecture. Evidemment j'adore le titre, mais dans la mesure où c'est une lecture très accessible, je regrette l'effet repoussoir qu'il aura sur un tas de gens qui justement gagneraient à en prendre connaissance, ne serait-ce que pour avoir un délic. C'est le genre de livres que j'aimerais mettre dans les mains de mes copines dont le féminisme est encore hésitant, qui supportent avec une patience vaillante et triste des petits-copains, des pères, des frères, des amis qui ne savent pas les écouter, qui font le strict minimum dans leur relation et qui sont, au mieux, un frein dans leur vie. Tout mon soutien à l'autrice qui, pour avoir osé ce titre, a essuyé des vagues de violences qui ne font que confirmer la nécessité de son travail.

Afficher en entier

Date de sortie

Moi les hommes, je les déteste

  • France : 2020-10-01 (Français)

Activité récente

Lizu l'ajoute dans sa biblio or
2024-03-17T22:06:35+01:00
Beyd l'ajoute dans sa biblio or
2024-02-20T12:40:13+01:00

Distinctions de ce livre

Évaluations

Les chiffres

lecteurs 165
Commentaires 20
extraits 17
Evaluations 55
Note globale 8.13 / 10

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode