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Spiral



Description ajoutée par Audrey81 2020-07-24T17:42:21+02:00

Résumé

La lande bretonne.

Un demeure isolée, au coeur de laquelle serpente un vertigineux escalier. Un pièce interdite. Un propriétaire inquiétant et ses invités. L'océan et le mystère se déchaînent. Tout bascule. Pas de réseau, aucune communication possible.

Mélanie, qui s'imaginait passer des vacances tranquilles, s'affole et tente de prévenir son ami Quentin.

Saura-t-il enrayer cette spirale infernale?

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Classement en biblio - 77 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par babaOM 2012-03-05T10:56:29+01:00

1. Où l’on parle de l’escalier en spirale

Dans la sal le du gymnase Maur ice-Genevoix à

Montrouge, on aurait entendu voler une mouche.

Ou presque. Les anneaux gémissaient légèrement sous les efforts de Quentin Leroux, qui exécutait un enchaînement difficile. Parfaitement maîtrisé

jusqu’ici, il faut le dire, d’autant qu’il venait de réussir une impeccable croix de fer, sous le regard admiratif de l’assemblée. Il était du reste le seul de son

âge, au club – Quentin avait seize ans –, à réussir cette figure. Son entraîneur souriait, sans pouvoir cacher sa fierté. Il ne lui restait plus qu’à exécuter une sor t ie sal to, s imple formal i té pour un gymnaste de son talent, avant d’entendre crépiter les applaudissements.

C’est alors que, dans ce silence presque religieux, les Beatles se mirent à brailler : « She loves you, yeah, yeah, yeah… » En douceur au début, puis avec une intensité accrue.

Cette musique, il la connaissait bien. C’était la sonnerie de son portable. Son choix avait d’ailleurs fait l’objet d’une polémique parmi ses amis. À part sa copine Mélanie, presque tous l’avaient jugé ringard.

Mais il avait tenu bon, car il adorait cet air-là. Quoi qu’il en soit, une grande partie de l’assistance était en mesure d’identifier la musique rageuse qui montait de sa veste de training, posée près de l’entraîneur. Or celui-ci, homme très à cheval sur la discipline, avait toujours exigé que les portables restent éteints et ne quittent pas le vestiaire. La gymnastique, professaitil, était une discipline qui exigeait une concentration parfaite et ne souffrait aucune distraction.

Et il n’avait pas tort dans le fond, convint Quentin, alors qu’il se laissait tomber sur le tapis de réception sans avoir exécuté son salto.

Les Beatles s’étaient tus. L’admiration peinte sur les visages s’était muée en sourires moqueurs. Tandis qu’il s’emparait de sa veste, penaud, tête baissée, son entraîneur lui jeta ironiquement :

– Pas mal, Quentin. Tu as fait des progrès. Mais un peu plus de sérieux ne gâterait rien!

Le jeune homme regagna le vestiaire, en maudissant celle qui avait eu l’idée saugrenue de l’appeler

à cet instant. Il était sûr que c’était Mélanie. Elle avait un don particulier pour l’appeler au mauvais moment.

Et il ne se trompait pas : l’écran de son mobile aff ichai t une pet i te enveloppe à côté du nom de

MÉLANIE.

Il prit une douche sans se presser et attendit d’être dans la rue pour consulter sa messagerie, qui lui dit en grésillant : « Mauvaise nouvelle, Quentin. Viens vite me rejoindre au Brook. Je t’attends. Bisous. »

Il secoua la tête, toujours furieux et légèrement inquiet. Mélanie avait la manie de l’exagération et un comportement fantaisiste. Mais elle n’avait pas l’habitude de dramatiser. Il commença par composer son numéro, puis se ravisa. Inutile de montrer qu’il s’en faisait. Sa réputation de garçon blasé aurait pu en pâtir.

Pourquoi s’en faire, d’ailleurs ? songea-t-il en promenant ses regards dans la rue animée et dorée de solei l . En ce début d’après -midi du 19 juin, l ’été

ouvrait grand ses portes sur des vacances qui s’annonçaient prometteuses.

D’un pas tranquille, il prit la direction du Brooklyn, leur quartier général, un bar sympa situé à deux pas, juste à la sortie du lycée. Parvenu à l’intersection, il aperçut son amie devant l’établissement. Elle lui tournait le dos et semblait l’attendre. Non sans une pointe d’émotion, il admira sa souple chevelure blonde qui tombait sur sa taille svelte. Il ne lui connaissait pas ce chemisier violet, mais il lui allait bien. Il s’approcha d’elle à pas de loup, puis il lui banda les yeux de ses mains.

– Hello, Mélanie, c’est moi!

Le visage surpris qui se tourna vers lui était ravissant, il ressemblait un peu à celui de son amie…

mais ce n’était pas le sien!

Après l’avoir considéré quelques instants, la jeune fille lui répondit, rieuse :

– Je m’appelle Mélanie, mais j’ai peur de ne pas vous connaître…

Quentin recula, déconfit.

– Excusez-moi. Je… je vous ai pris pour quelqu’un d’autre ! Une certaine Mélanie Rivière qui…

– C’est bien ce qu’il m’a semblé…

Elle n’était pas froissée, elle paraissait même franchement amusée. Il est vrai que Quentin n’avait rien de repoussant, avec sa masse de cheveux châtain, ses yeux clairs, son petit sourire en coin irrésistible, surtout lorsqu’il était embarrassé – ce qui était le cas à

cet instant. Plutôt grand, il dégageait une impression de puissance tranquille, résultat de plusieurs années de pratique assidue de la gymnastique.

– Je suis désolé, bredouilla-t-il. J’étais persuadé

que… Si j’avais su, je n’aurais pas…

– Bondi sur moi comme un fauve? J’espère que ce n’est pas votre habitude !

– Bien sur que non ! Mais comment faire pardonner ?

La jeune fille lui répondit par un sourire de sphinx.

Puis, avec un geste de la main, elle lâcha d’un ton mystérieux :

– À une prochaine fois, peut-être.

Là-dessus ,elle tourna les talons . Quentin la regarda s’éloigner en émettant un petit sifflement, se demandant s’il ne venait pas d’avoir une touche. Puis il haussa les épaules et s’engouffra dans le Brook.

Quelques instants plus tard, à une table du fond, il rapportait sa méprise à son amie d’un air parfaitement détaché, pensant susciter sa jalousie.

Mélanie n’eut pas la réaction attendue. Elle affecta simplement une mine amusée avant de replonger dans ses pensées. Quentin la sentait lointaine et tourmentée.

Ses grands yeux bleus avaient une expression inquiète, assez inhabituelle. Elle avait seize ans comme lui, mais paraissait plus âgée ce jour-là. Il l’avait toujours connue rieuse et insouciante. Leur relation remontait à trois ou quatre mois, ce qui, aux yeux de leurs amis, leur conférait un statut de couple bien établi.

Après avoir vidé son verre de Coca, Quentin estima que le moment des explications était venu.

– Eh bien, je t’écoute, ma puce. Quelles sont ces mauvaises nouvelles ? Tu repiques ta seconde ? Tes parents déménagent ?

La jeune fille haussa les épaules. Après avoir écarté

une mèche blonde de son visage, elle se tourna vers la baie vitrée.

– Je n’ai pas envie de rire, Quentin. Ce qui m’arrive n’est pas drôle. Je t’ai déjà parlé de ce stage de voile que je comptais faire début juillet en Bretagne ?

– Oui. Je sais que tu y tiens beaucoup.

– Eh bien il est annulé.

– Mince alors ! Toi qui aimes tant la mer, mademoiselle Rivière !

– Très drôle. La mer, reprit-elle avec un regard assombri, je vais quand même en profiter, mais pas dans les conditions souhaitées…

– Explique-toi, alors…

– Je vais devoir passer quinze jours chez l’oncle

Jerry. Mes parents qui partent faire un trekking au

Maroc ne veulent pas me laisser seule et ont décrété

que j’irais chez lui. Je n’ai pas le choix. Impossible de discuter avec mon père. Si tu savais à quel point il est vieux jeu!

– Comme ce tonton Jerry, j’imagine ?

Mélanie tourna de grands yeux inquiets vers son ami.

– Tu ne le connais pas, Quentin. Sinon, tu n’en parlerais pas avec tant de légèreté !

– Tu ne m’as jamais parlé de lui.

– La dernière fois que je l’ai vu, j’avais huit ans.

J’en ai gardé un souvenir détestable. Et je pèse mes mots.

Après un silence étonné, Quentin demanda :

– Mais encore ?

Mélanie réfléchit longuement avant de répondre dans un soupir :

– Déjà, s i tu voyai s le décor ! Imagine un viei l hôtel abandonné, accroché au bord d’une falaise, battu par les vents et hanté par le cri des mouettes !

Un monde hostile, hérissé de rochers, isolé de tout…

Il y a juste un village minuscule à trois ou quatre kilomètres.

– Et où se trouve cet endroit charmant ?

– Quelque part près de Dinard.

– Ce n’est pas le bout du monde!

– Non. Mais il y a aussi et surtout l’oncle Jerry.

– Sévère comme ton père?

– Oh non! Pas du tout. C’est plutôt le genre doucereux. Et bizarre… D’abord quelle idée d’avoir racheté

ce vieil hôtel abandonné pour en faire sa résidence principale!

– Il y a des gens qui aiment la solitude.

Mélanie répondit en comptant sur ses doigts.

– Un, il est célibataire. Deux, il passe son temps à

lire, à rêvasser, à réfléchir à on ne sait quoi. Et il a toujours un horripilant petit sourire moqueur.

– Et il est riche, ce monsieur Jerry Rivière ?

– Euh… oui, enfin non. Je veux dire non pour le nom.

– Pardon?

– Son nom est Lemaître, Jerry Lemaître. En fait, c’est le frère de ma mère. Pour ce qui est d’être riche, oui, je le pense. Car il doit vivre de ses rentes.

– Physiquement, comment est-il ?

Mé l a n i e ma r q u a u n e h é s i t a t i o n , c omme p o u r mieux rassembler ses souvenirs.

– Mince, la quarantaine, cheveux roux, un peu dégarni, de grands yeux brillants, une certaine prestance, je dois dire, de bonnes manières.

– Je ne vois là rien de détestable, réfléchit Quentin.

À moins d’avoir une aversion pour les rouquins !

M é l a n i e l e v a v e r s l u i d e s y e u x e m p r e i n t s d e gravité :

– Tu ne comprends pas, my love ! J’ai passé quinze jours seule avec lui, dans cet endroit sinistre, et j’en suis revenue terrorisée ! Quinze jours ! Et quinze nuits épouvantables, grelottant de peur dans une chambre isolée, au sommet d’une tour… Avec pour toute compagnie les plaintes du vent, les grincements dans l’escalier et des bruits inexplicables… Certes, il me rassurait chaque matin, mais c’était parfaitement hypocrite. Je suis sûre que c’était lui qui s’amusait à

me faire peur !

– Simple supposition. Et c’est tout ?

– Oui. Mais essaye de comprendre, je n’avais pas dix ans !

Avec un sourire protecteur, Quentin prit la main de son amie.

– Je crois surtout que ton imagination t’a joué des tours.

– Tu parles comme mes parents quand je leur ai tout expliqué à mon retour !

Quentin réfléchit avant de rendre son verdict.

– Le problème avec vous, les nanas, c’est que vous réfléchissez toujours avec vos tripes.

Mélanie secoua la tête.

– Épargne-moi ton petit numéro de macho. Malgré

tes gros bras, ça ne te va pas du tout!

– Réfléchis, ma puce. Prends un peu de recul, et tu comprendras qu’il ne s’agit que d’une impression provoquée par l’isolement et une atmosphère particulière. Il est probable que l’oncle Jerry n’était pour rien dans tes angoisses. À mon avis, il y a autre chose…

– Que veux-tu dire ?

– Qui sait, tu souffres peut-être d’une phobie ?

– Une phobie, tu crois ?

Un nouveau silence s’installa, au terme duquel

Mélanie finit par hocher la tête.

– Possible, avoua-t-elle en déglutissant. C’est peut-

être à cause de cet escalier en spirale, celui qui mène

à la chambre de la tour. Il paraissait interminable, et me donnait le tournis… comme celui de la maison de mes grands-parents.

– Je crois que nous y sommes ! déclara Quentin d’un air entendu.

Mélanie avait un regard fixe, comme si elle était sous l’emprise d’une angoisse rétrospective. Après un silence, elle poursuivit :

– Je dormais toujours en bas, parce que j’avais peur du grenier, surtout depuis que nous avions vu

La Belle au bois dormant. Tu te souviens de ce dessin animé ?

– Bien sûr, je connais mes classiques. Je préfère tout de même ce que font Pixar ou les studios Ghibli aujourd’hui!

– À un moment, la princesse Aurore, envoûtée par la méchante sorcière, suit une étrange lueur verte qui la mène à un sinistre donjon. Elle monte un interminable escalier en spirale, poussée par une force mystérieuse. Elle sait que la sorcière l’attend en haut pour la piéger, mais elle continue de gravir les marches, une à une, inexorablement. Cette scène m’a inspiré une terreur sans nom, et le soir, c’était plus fort que moi, il fallait à tout prix que je jette un coup d’œil dans le grenier avant de m’endormir. Pour être certaine que l’horrible sorcière ne s’y trouvait pas.

Sinon j’étais incapable de trouver le sommeil. Pour ne pas réveiller mes grands-parents, j’empruntais un escalier en spirale menant directement aux combles.

C’était une véritable épreuve. Je transpirais à grosses gouttes. À chaque marche, j’avais l’impression de me rapprocher de la sorcière tapie dans les ténèbres.

C’était comme dans un cauchemar. J’essayais de reculer, mais une force mystérieuse me propulsait dans cette spirale infernale… Je croyais distinguer une petite lueur verte tout en haut, dans le grenier…

Évidemment, il n’y avait rien. Ni lumière ni sorcière.

Quentin observa un nouveau silence, puis déclara :

– Comme dit mon prof de maths, poser correctement le problème, c’est le résoudre à moitié. Tu as bien fait de m’en parler, non?

– Oui, tu as raison, soupira Mélanie.

– Et puis, n’oublie pas que je suis là. (Il désigna son portable.) Tu pourras m’appeler quand tu veux.

Je le laisserai allumé en permanence. Tu pars quand?

– Le 1er juillet.

– Tu m’appelleras dès ton arrivée, hein?

Une lueur de tendres se br i l la dans les yeux de

Mélanie :

– D’accord, my love. C’est la première chose que je ferai!

– Parfait. De mon côté, si j’ai le temps, j’essayerai de te rendre une visite éclair.

La jeune fille parut soudainement alarmée :

– Non, surtout pas ! Je… je ne crois pas que l’oncle

Jerry apprécierait!– Comme tu veux.

– Tu me le promets, Quentin, n’est-ce pas ?

– Tu me connais, je n’ai qu’une parole, affirma-t-il.

Douze jours plus tard, sur le quai de la gare Montparnasse, ils se quittèrent après avoir échangé un baiser passionné. Tandis que le train s’ébranlait dans un grincement d’essieux, Mélanie lui adressa un dernier signe derrière la vitre de son compartiment.

Quentin remonta le quai, soucieux malgré lui. Il

était loin d’éprouver l’assurance qu’il avait affichée ces jours-ci, tandis qu’il s’employait à la rassurer de son mieux. Et puis il y avait cette image qu’il ne parvenait pas à chasser de son esprit : celle d’une spirale mouvante, absorbant une Mélanie qui se débattait désespérément et l’éloignant de lui à jamais.

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par cafelaitfalcon 2019-01-02T21:51:42+01:00
Lu aussi

Lu au collège, ce roman m'avait beaucoup plus. Mais je ne pense pas que j'aimerai autant si je le relisais maintenant.

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Commentaire ajouté par Kattnis 2018-10-10T08:44:37+02:00
Pas apprécié

Histoire et intrigue insipides. A réserver uniquement pour jeunes enfants qui débutent les intrigues (9 - 10 ans). Une lecture qui pourrait vraiment les intéresser.

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Commentaire ajouté par Aurore2 2016-01-12T19:05:33+01:00
Bronze

Normalement, ce n'est pas un livre que je lis, mais je n'est pas du tout été déçus.

Il y a beaucoup de rebondissements ceux qui fait que je n'ai pas vu passer les pages.

L'enquête est intéressante et donc elle nous tient jusqu'à la fin.

Les personnages sont bien, a part la deuxième Mélanie, ( c'est mon avis).

Je le conseil vivement et je vous promet que vous ne vous ennuierez pas !!!!!!!

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Commentaire ajouté par meg3838 2015-11-06T12:40:02+01:00
Lu aussi

J’ai un avis plutôt mitigé sur ce roman, je ne m’attendais pas du tout à ça…

C’est un mélange de « Dix petits nègres » d’Agatha Christie, de Cludeo et d’Hercule Poirot. L’auteur a mélangé tous çà dans une histoire qui se passe à notre époque. Or, pour moi ce n’est pas compatible, certaines choses m’ont gêné. En effet, les « My love » et autres surnoms ridicules, le fait que Quentin puisse faire autant d’aller-retour en train à 16ans sans que ses parents ne s’inquiètent de ce qu’il se passe, une histoire de meurtre géré par des ados ... Enfin beaucoup de choses que j’ai trouvé incohérentes. Sinon l’écriture est plutôt fluide et agréable à lire. J’avoue qu’à certains moments j’ai eu un peu peur avec ces histoires de fantômes et de bruits dans la nuit ^^ mais ce n’est pas un roman que je conseillerais car j’ai été assez déçue.

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Commentaire ajouté par lecturedeClara 2015-01-23T12:34:24+01:00
Argent

Un bon thriller, j'adore cette collection et encore une fois elle ne m'a pas déçu.

L'auteur arrive à nous faire douter du coupable.

Il arrive à nous faire penser "oui je suis sur que c'est lui" et l'instant d'après "Mais pourquoi ça ne serai pas plutôt lui?"

J'ai passé un bon moment pendant cette lecture.

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Commentaire ajouté par Musicabook 2014-10-11T13:50:15+02:00
Argent

Très bon livre plein de suspense et d'appréhension. L'histoire est très proche de "Dix petits nègres", mais n'en est pas moins captivante. Une intrigue à couper le souffle qui tient en haleine jusqu'à la fin. On échafaude des théories, on émet des hypothèses, on est sûre de soi. Et tout bascule, de nouveaux éléments voient le jour et nos réflexions tombent à l'eau. Alors on reprend à zéro : on réfléchi, on re-réfléchi encore et encore. C'est comme cela que nous sommes entraîné dans cette spirale infernale qui ne cesse de nous emporter et de tourner. 

Dans ces styles de livres je suis épatée par la coordination dont l'auteur fait preuve. Et là, il n'y a pas seulement que de la coordination... Il y a aussi une imagination sans faille qui fait preuve d'originalité. J'ai passé un moment inoubliable qui m'a transporté dans cet hôtel sinistre où un crime a été commis et ou le moindre détail est un énorme indice. L'atmosphère est pesante et angoissante. A lire assurément!!!!

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Commentaire ajouté par zazon 2014-05-25T19:16:26+02:00
Argent

J'ai lu se livre pour le lycée et je les bien aimer .

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Commentaire ajouté par phenixAD 2014-04-09T17:14:31+02:00
Argent

un tres beau thriller dont certains passages m'ont fait beaucoup penser à un sherlock holmes. a lire et a relire

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Commentaire ajouté par jane88 2014-03-20T21:31:44+01:00
Diamant

Je ne suis pas forcément très fan de thriller mais alors la j'ai adoré. Le scénario est bien construit et je n'ai pas pu m'arrêter de lire ce livre.

Un énorme coup de coeur.

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Commentaire ajouté par Jay117 2013-09-12T18:45:04+02:00
Pas apprécié

Quelle déception!

Ayant lu et adoré Blackzone dans la même collection (Rageot Thriller), je m'attendant à trouver la qualité équivalente. Hélas, je retombe bien bas après avoir refermé ce livre...

Le résumé ne me tentait pas plus que ça au départ, mais j'avais envie de donner sa chance à ce roman, alors je l'ai lu.

Dès le premier chapitre, j'ai eu envie d'abandonner, ce qui m'arrive rarement. Et ce, à cause de l'écriture...

Déjà, celle-ci en elle-même n'a rien d'exceptionnelle, prend souvent des tournures lourdes et provoque un ennui certain.

Puis, il y a les dialogues qui sont une catastrophe. Pas du tout crédibles, et ce pour plusieurs raisons:

- les "My love", utilisés à tout bout de champ par Mélanie. Absolument puérile et stupide comme surnom. Qui ne va pas du tout au personnage!

- Dans l'un des derniers chapitres: la réaction du colonel. Je n'ai jamais lu dans ma vie un passage aussi peu crédible!

Passons à l'intrigue... La seule chose qui m'a plut, c'est la chute. Pas très recherché, certes, mais c'est le meilleur moment du livre. Même si on savait tous qui était l'assassin, je ne vous cache rien.

Pour le reste, je crois que l'on nage dans un fouillis total avec des lettres lourdes et ennuyeuses à lire... On ne sait pas où on va et c'est ce qui m'a le plus déplut.

Et comme l'a si bien dit LecteursJeunesse: "C'est assez peu crédible et mal ficelé. Les clins d'oeil à Agatha Christie et au Cluedo sont trop lourds."

Cela résume tout car les voyages incessant en TGV Paris-Rennes sont quasiment impossibles, sans parler de l'histoire de téléphone, du commissariat (oui, c'est IM-PO-SSIBLE de voir autant d'incompétence chez un policier, l'auteur aurait pu faire un effort. Quand les parents sont absents, on prévient les grands-parents que leur petite-fille a disparu)

Je ne m'étendrai pas davantage sur le sujet, je conclurai juste en disant que c'est une amère déception...

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Date de sortie

Spiral

  • France : 2012-03-07 (Français)

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2017-01-28T16:44:47+01:00

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