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La Concubine du Vatican



Description ajoutée par Skipere 2016-06-01T14:06:55+02:00

Résumé

Après Le Serpent et la Perle, Kate Quinn poursuit son récit des aventures de Giulia, de son garde à la langue bien pendue, Leonello, et de sa cuisinière et confidente, Carmelina.

De retour à Rome, Giulia Farnese, maîtresse officielle du pape et désormais mère d'une petite fi lle, doit faire face aux nouveaux dangers qui menacent son clan. Sa cuisinière et confidente, Carmelina, est rattrapée par son secret : le couvent dont elle s'est enfuie pourrait bientôt la retrouver et elle n'est plus en sécurité.

Son garde du corps Leonello est quant à lui bien décidé à mettre fin à la série de meurtres qui, étrangement, secoue de nouveau la ville depuis le retour des Borgia. Anna était sa seule amie et il refuse de laisser son crime impuni sous prétexte qu'elle était une simple servante.

L'étau se resserre autour de nos trois héros qui ne peuvent compter que les uns sur les autres.

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Classement en biblio - 28 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par Bribrines-Alami 2019-01-16T13:23:32+01:00

Giulia

« Je me demande vraiment pourquoi les femmes se soucient tant de leurs robes, pourquoi nous faisons tant de manières à propos de la forme d’une coiffure, de la largeur d’une encolure ou de la longueur de chemise qu’il faut tirer à travers les crevés d’une manche. Je suppose que nous le faisons pour notre propre satisfaction, celle de nous regarder dans le miroir en songeant que le monde nous verra sous notre meilleur jour. Ou bien nous le faisons pour les autres femmes, avec l’espoir que toutes, tant épouses que filles vierges, seront bien trop occupées à noter les moindres détails de nos nouvelles manches bouffantes à la française pour écouter le sermon à la messe ».

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par MSNordlys 2022-01-28T09:13:44+01:00
Argent

Malgré quelques longueurs inutiles et quelques situations trop stagnantes, j'ai bien aimé ce roman historique de Kate Quinn,ses personnages, le punch dans ses dialogues et ses rebondissements, sans parler de la belle approche de la famille Borgia et de la Renaissance italienne. Sans être un véritable coup de cœur (je suis nettement plus fan de la trilogie se déroulant dans la Rome impériale, de la même autrice), cela reste une très belle lecture, pleine de charme, d'aventures et de complots dans une époque troublée.

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Commentaire ajouté par luucie65 2021-05-17T01:10:14+02:00
Diamant

Très bon livre, autant que le premier. J'ai adoré.

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Commentaire ajouté par Lildrille 2019-10-10T10:43:39+02:00
Or

Je publie des chroniques littéraires sur lavisqteam.fr et celle de ce roman est présente au lien suivant : http://www.lavisqteam.fr/?p=23519

J'ai mis la note de : 17/20

Mon avis : Ce roman est la suite de Le serpent et la perle, livre déjà critiqué sur le site (http://www.lavisqteam.fr/?p=23116). Il est ainsi impératif d’avoir lu ce premier tome avant de poursuivre, sauf si être « spoilé » ne vous dérange pas spécialement. Sinon, vous êtes prévenus !

Ce roman, comme le précédent, s’articule autour des points de vue de trois personnages : Leonello, le nain, devenu garde du corps de « La Bella », Carmelina, devenue la cuisinière de la demeure où vit la maîtresse du pape, et cette dernière, Giula Farnèse. Cette séparation est toujours aussi plaisante et nous permet d’englober le récit et les actes de chacun d’une manière complète. Chacun des points de vue est détaillé comme il faut pour ne pas nous lasser ou nous en faire vouloir davantage. L’auteure sait gérer son récit à merveille sans nous perturber. Nous retrouvons ainsi le cynisme de Leonello et son humour si particulier, la délicatesse de Giulia et son intimité avec le pape Alexandre VI, ainsi que la fermeté de Carmelina et ses angoisses liées à son passé d’échappée du couvent. Toutes ces émotions forment un tout et finissent par devenir indissociables au fil du récit.

Ce livre débute peu après la capture du convoi de Giulia par les français. La jeune femme avait en effet décidé de rentrer chez elle quelques temps, à Capodimonte, pour séjourner en famille après une terrible nouvelle. Le retour à Rome ne s’est pas très bien passé. Rodrigo, le pape, a dû payer une fortune pour libérer les captifs mais fut tout heureux de revoir sa concubine bien aimée qui lui avait tant manqué. Malheureusement pour lui, il ne saura jamais l’enfer que Giulia a dû subir pour permettre à son équipage et elle d’arriver à bon port et en bonne santé. Cette capture a été une véritable épreuve pour nos protagonistes et cela les a totalement transformés.

L’évolution des trois personnages entre le premier et le second volet est ainsi réellement flagrante. L’épreuve qu’ils ont vécu les a rapprochés et a durci leur personnalité. Giulia est devenue plus sûre d’elle et commence à se poser plein de questions sur son utilité et sa raison d’être. La jeune femme commence à ne plus vouloir être désirée par son pape et se réfugie dans les bras de sa fille, Laura. La vie mondaine, le mépris et la jalousie la fatiguent. Elle rêve de quitter la ville, de se reposer à la campagne avec son mari Orsino, loin de cette famille intrigante et méprisée. Leonello est revenu gravement blessé et a fini par découvrir le secret de Carmelina. Son cynisme ne fait qu’amplifier lorsqu’il finit par découvrir qui se cache derrière la suite de meurtres de ces femmes, littéralement clouées par les mains, violées puis égorgées, débuté au tome précédent. Ce tueur fou ne se doute pas de la haine que lui porte le nain. Carmelina, quant à elle, est effrayée que son secret soit connu d’un autre. La cuisinière ne veut absolument pas retourner au couvent et n’hésite pas à se défendre par tous les moyens possibles, d’abord face à Leonello, puis face à son cousin avant de s’en prendre à un étrange personnage venant de Venise. Son passé finit par la rattraper.

Des personnages de fond apparus dans le tome précédent prennent une place plus importante dans ce roman : l’apprenti de Carmelina, Bartolomeo, devient un garçon fort et courageux qui n’hésitera pas à bafouer quelques-uns de ses principes pour elle et Sancha d’Aragon, la nouvelle épouse de Joffre, de plus en plus impitoyable et qui influence Lucrèce dans ses jeux de séduction, plus proches de ceux d’une courtisane que d’une fille de noble lignage. Juan et César, les autres fils de Rodrigo, font également plus parler d’eux et leur père n’hésite pas à humilier, tromper et tuer pour ses fils adorés. Il n’est pas bon d’insulter un Borgia ! Rodrigo évolue de même, devenant plus cruel encore et essayant de montrer Giulia comme le vulgaire trophée qu’elle est face à ses adversaires politiques. Par ces changements, ce roman est plus sombre que le précédent et laisse présager une fin intéressante.

Outre Rome, nous découvrons Florence, une ville plutôt stricte, dans laquelle les moineaux de Game Of Thrones n’ont rien à envier aux anges de Jérôme Savonarole. Cet homme prêche contre le luxe et la recherche du profit. Les formes féminines sont considérées comme vulgaires, même peintes sur les tableaux de grands noms tels que Botticelli. Le pape Alexandre VI est également raillé, humilié et détesté pour ses mœurs légères. Les intrigues politiques font rage et s’abattent sur le Vatican avec force. Naples et d’autres provinces proches ne sont également pas en manque d’intrigues et finissent par comprendre la puissance des Borgia.

Les évènements et rebondissements sont bien plus nombreux dans La concubine du Vatican que dans Le serpent et la perle. Ils s’enchaînent bien et les intrigues secondaires se voient résolues petit à petit, pour notre plus grand plaisir. La fin est heureuse, du moins en partie et nos trois protagonistes finissent par être réunis.

A la fin de ce deuxième tome, l’auteure donne plus d’informations historiques. Elle décrit la fin des Borgia, les mystères et rumeurs liés à leur famille et ne cache pas que certaines des actions de ses personnages fictifs leur ont été attribuées seulement pour le bon déroulement du récit. Grâce à ces quelques pages d’explication, l’amoureux de l’Histoire s’y retrouve et comprend les choix de l’auteure. Outre les faits historiques, l’auteure a su nous montrer la vie des nobles mais également la vie des plus pauvres, notamment à travers Leonello et Carmelina. Les vies qu’ils mènent dans ce roman auraient pu être véritables, rendant les deux personnages plus crédibles.

En résumé, cette impasse sur les Borgia par Kate Quinn est une vraie réussite !

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Commentaire ajouté par Calypso2000 2019-04-02T10:44:50+02:00
Lu aussi

J'avais eu du mal avec le premier tome, le deuxième également. Je n'accrochais pas à l'histoire et tous les rebondissements, et même la fin, m'ont semblé prévisible.

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Commentaire ajouté par Bribrines-Alami 2019-01-25T11:07:16+01:00
Argent

Ce deuxième tome a été de mon point de vu plus intéressant que le premier. J’ai beaucoup aimé lire l’évolution De nos personnages!

Spoiler(cliquez pour révéler)Cette fin avec la romance de Giulia et Leonello m’a beaucoup surprise et j’etait Ravi de cette histoire!

Spoiler(cliquez pour révéler)Quand à l’evasion De Carmelina, c’etait bien joué! Mais un peu trop facile à mon goût... ^^

J’adore les livres de Kate Quinn qui ne m’on pas déçu! On sent la passion de l’auteure pour l’histoire et ça rend vraiment plaisant la lecture.

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Commentaire ajouté par Maatneferkara 2018-08-25T20:57:39+02:00
Or

Un dernier tome clôturant une fabuleuse histoire, et doté d'une fin belle et surprenante, quoique prévisible. J'aurais toutefois aimée suivre un peu plus longtemps l'aventure de nos quatre protagonistes.

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Commentaire ajouté par Nie-chan 2018-07-12T11:20:34+02:00
Argent

J'ai attendu tellement longtemps que ce livre sorte en version de poche et il valait cette attente !

J'ai adoré tous les livres de Kate Quinn et je regrette qu'il n'y en ait pas plus. Les personnages ont extrêmement bien travaillés, ils sont intéressants, ils sont consistants, ils sont touchants et émouvants, surtout Giulia et Leonello qui traversent tous les deux des moments difficiles.

Les dialogues sont toujours aussi piquants et intéressants, surtout quand Leonello est de la partie.

C'est un véritable plaisir à lire, une véritable immersion à l'époque des Borgia, dans leur monde particulièrement déluré et où les extrêmes se côtoient. On dévore le livre à toute vitesse, entraîné dans ce tourbillon de soirées, de menaces, de volupté et de richesses.

Je ne m'attendais pas à la fin !

Spoiler(cliquez pour révéler)Une histoire entre Giulia et Leonello ? Waouh. Dans combien de livres la belle "princesse" termine-t-elle avec un nain ? Une très joli leçon sur l'amour qui dépasse de loin la seule apparence physique. Je les ai trouvé très touchants tous les deux. J'ai aussi été heureuse pour Bartolemeo que Carmelina termine avec lui, ça paraissait compliqué au début.

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Commentaire ajouté par MissEleanorVane 2016-07-14T07:07:41+02:00
Diamant

Je ne sais même par quel mot commencer pour décrire cette perle.

Magique. Merveilleux. Magnifique. Intense. Unique. Depuis le premier roman que j’ai lu de Kate Quinn, elle n’a cessée de m’émerveiller à chacun de ses livres et ce dernier ne fait que monter le niveau, encore une fois, comment arrive-t-elle à chaque fois faire encore meilleur que le précédent ? Elle est depuis longtemps l’une de mes auteurs favorites, si ce n’est mon auteur favori tellement elle me coupe le souffle à chacun de ses romans.

En grande fane des Borgia que je suis, pour avoir lu énormément de choses sur cette famille, je suis très intéressée et impressionné par la manière dont elle à mis en avant cette famille à la réputation si terrible dans sa duologie. Les Borgia sont souvent représentés comme le symbole de la corruption de l’Eglise, comme un extrême de ce que le Vatican à pu connaître. Mais bien souvent, on exagère et assombri énormément la vrai histoire des Borgia. Y a t il eu inceste, fratricide ? Tout est possible, mais il est très probable que ce ne soit que des rumeurs engendrés par une haine déjà présente envers les Borgia pour deux choses : ils était des Espagnols, des Catalans qui prenait le pouvoir en Italie et les grandes familles italiennes ne supportait pas ça, et l’autre chose est que la corruption de l’Eglise était présente bien avant les Borgia et perdura bien après eux, mais eux, au contraire de tous, ne se sont jamais cachés de ce qu’ils faisait. Il est donc très probable, comme le dit Kate Quinn dans des notes, que les Borgia était davantage haïe pour leurs origines et leur absence d’hypocrisie que pour leur dépravation si célèbre.

Kate Quinn à particulièrement souligné ce fait dans sa saga, elle n’en à rien idéaliser les Borgia, loin de là, mais elle les à montrés sous un jour différent de ce qu’on voit d’habitude et tout aussi réaliste, et j’ai vraiment cela, j’apprécie toujours d’être surprise par un roman sur les Borgia moi qui en ait lu de toute les couleurs et à toute les sauces. Elle à aussi su rendre justice à Cesare Borgia (Ne me dites JAMAIS César Borgia. Il vivait en Italie, il s’appelait CESARE) en nous offrant une version fidèle et fascinante, sombre, terrifiante, unique, rusé comme un serpent. Durant tout le roman, l’ombre dangereuse de Cesare pèse sur le roman, on ne le voit pas mais on le sent comme si il était toujours là, menaçant et j’ai vraiment adorée cela, cette constante ombre qu’on ressent comme si il pouvait surgir n’importe où, n’importe quand, ce qui fait que malgré qu’il ne soit pas le personnage principal de ce deuxième tome où même du premier, il est l’un des personnages les plus marquants de cette saga.

Mais tournons nous vers les personnages principaux qui sont… les rois de cette histoire. Spoiler(cliquez pour révéler)En particulier Leonello et Giulia. J’ai… espérée depuis le début une romance pour ces deux là. Je le shippais au-delà du possible. Mais je pensais que c’était un ship impossible, je n’ai pas osée croire un seul instant que ce couple deviendrait réel. Et pourtant SI !!!!!!! J’en ai hurlée de joie tellement j’étais heureuse. Ce couple… ces deux personnages sont déjà si fascinants, complexe et travaillés l’un comme l’autre, alors ensemble… dans ce tome 2, on découvre un Leonello encore plus sombre et captivant qu’on ne l’a découvert dans le tome 1, on le découvre dans ses faiblesses, ses forces, jusqu’où il est capable d’aller et où son ses limites. Il nous fait toujours rire avec son cynisme et son sarcasme noir, et il nous touche et nous bouleverse plus que jamais avec ses émotions et ses sentiments pour une personne bien précise. Il est mon coup de cœur le plus immense de cette saga, et de loin, je suis juste amoureuse de ce personnage. Giulia est aussi merveilleuse, une femme forte, droite, avec le cœur sur la main, intelligente et juste, elle fait tout ce qu’elle doit faire pour les siens et on ne peut sortir de ce deuxième tome qu’avec un profond respect et un amour pour ce petit bout de femme si forte et si fascinante. Spoiler(cliquez pour révéler)Et leur relation est bouleversante, elle tombe comme un coup de poing intense, et leur amour envoie un message magnifique, le message que l’amour ne se limite pas au physique, Leonello n’est pas tombé amoureuse de Giulia parce qu’elle est la plus belle femme de Rome, Giulia est tombée amoureuse de lui malgré le fait qu’il soit un nain, et c’est le plus vrai et le plus beau des messages : l’amour n’a rien de physique, et on ne choisit pas qui on aime. Leur histoire m’a bouleversée. Elle est réelle, poignante, forte. J’ai énormément aimée suivre l’histoire de Carmelina également, qui évolue en vraiment bien, ma fascination pour elle à été un peu moins forte que pour Giulia et Leonello, mais j’ai quand même adorée les parties avec elle et ce qui lui arrivait.

L’immersion dans la Rome de la Renaissance et des Borgia est totale. Contrairement à la saga Francesca de Sara Poole qui au final est tellement éloigné des Borgia qu’ils n’en sont même plus un décor, la saga de Kate Quinn, elle, réussit à nous mettre vraiment au cœur des Borgia sans jamais dénigrer ses personnages principaux, on voit toute la famille Borgia, le pape Alexandre IV où Rodrigo, les fils Cesare, Juan et Jofré, la fille Lucrezia, et tout les personnages important dans l’histoire de cette famille, l’auteur à parfaitement su rendre justice à cette époque terrible, quand on lit ce deuxième tome, tout comme le premier, nous ne sommes plus à notre époque, nous sommes au cœur de la Renaissance, au cœur de cette Rome sanglante et fascinante. On est plongée dans l’histoire. L’auteur à une manière d’écrire si prenante et donne une telle vie à son récit qu’on est accrochée à chaque page, l’intensité ne redescends jamais, les scènes fortes et marquantes ne cesse jamais et le scénario est si magnifiquement menée et écrit qu’on en ressort épuisée par toute ces émotions, et surtout on à le cœur brisé de laisser les personnages si vite et pourtant, la fin est parfaite. Magnifique.

Ces deux romans, Le Serpent et la Perle et La Concubine du Vatican, sont des chefs d’œuvres. Juste des purs chefs d’œuvres qui marque l’esprit et qui se signe comme comptant parmi les plus grands romans jamais écrits sur la Renaissance Italienne et sur l’histoire fascinante de la famille Borgia.

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Date de sortie

La Concubine du Vatican

  • France : 2018-06-21 - Poche (Français)

Activité récente

Titres alternatifs

  • The Lion and the Rose - Anglais

Évaluations

Les chiffres

lecteurs 28
Commentaires 8
extraits 1
Evaluations 10
Note globale 7.7 / 10

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