Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 951
Membres
1 014 394

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Commentaires de livres faits par b_renice

Extraits de livres par b_renice

Commentaires de livres appréciés par b_renice

Extraits de livres appréciés par b_renice

Ensemble, ils avaient affronté les ténèbres, la souffrance et le désespoir. Ils les affrontaient encore. Alors ce sourire... Ce sourire le stupéfiait à chaque fois qu'il le voyait et comprenait qu'il lui était destiné.
Rowan resta immobile au milieu de la chambre tandis qu'Aelin montait dans le lit et soufflait les bougies. Il l'a contempla dans l'obscurité.
- Tu me donnes envie de vivre, Rowan, dit-elle doucement. Pas de survivre ni d'exister. De vivre, tout simplement
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
Et je l'ai choisi. Je l'ai choisi parce qu'il m'a fait découvrir que j'étais autre chose que la Pucelle, et il m'a vu alors que personne d'autre ne l'avait jamais fait. Il m'a fait me sentir vivante. Il m'appréciait pour ce que j'étais et n'essayait pas de me contrôler. Alors, lorsque j'ai compris la vérité sur qui il était et pourquoi il était entré dans ma vie, j'ai eu l'impression que tout n'avait été qu'un mensonge.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Je pleurais sur ce que nous avions été, sur ce que nous aurions pu devenir... Je pleurais pour lui, parce que j'avais fini par le décevoir, parce que je lui avais brisé le coeur, parce que j'avais réussi à lui faire connaitre l'amour pour ensuite lui démontrer que ce sentiment n'existait pas, pas sans douleur en tout cas, et que cette douleur pouvait marquer à vie.
Je pleurais pour cette Noah-là, la Noah qui avait été avec lui : une Noah pleine de vie, une Noah qui, malgré ses démons intérieurs, avait su aimer de tout son ceur. Oui, j'avais su l'aimer plus que je n'aimerais jamais personne, mes larmes coulaient pour cela aussi. Quand on rencontre la personne avec laquelle on a envie de passer le restant de sa vie, il n'y a déjà plus de retour en arrière possible. Beaucoup n'arrivent jamais à éprouver ce sentiment; ils croient avoir rencontré cette personne, mais ils se trompent. Moi, je savais, je sais que Nick était l'amour de ma vie, celui que je voulais pour être le père de mes enfants, celui que je voulais avoir à mes côtés dans la joie comme dans le malheur, dans la santé et la maladie, jusqu'à ce que la mort nous separe.
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
L'homme de ce siècle à tant appris que je n'arrive pas à comprendre comment il est arrivé à ce point de non-retour. L'homme a oublié qu'il n'avait qu'une seule maison et danse, insouciant, entre ses murs prêts à s'effondrer.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
"Tu es l'enfant d'une femme,
Et le fils d'un homme,
Et le frère de ton frère,
Et le père des hommes.
Tu es la mémoire de ce qui a été
Et qui a disparu
Tu es la source de ce qui est advenu
Et de ce qui adviendra
Tu es le chant de tous les possibles
Le juge de l'homme et le seul accusé
Et ton nom, entends-le, est écrit dans ton sang."
.
La bulle noire chante puis se tait.
Elle danse dans nos regards et avale nos mémoires.
Elle est le passé, le présent et l'avenir.
Je le sais, je le sens.
Cette bulle connaît mon histoire.
Celle de la destruction, celle de ma mort et de ma renaissance....
.
Le Maitre, 25 mai (soir), Capri, Villa Jovis.
p.208.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Iollan et Lomé :
" - Comment peux-tu dire une chose pareille ?
Je le pousse des deux mains, mais il ne bouge pas d'un millimètre.
- Je dis ça parce que c'est ce que je pense, bougre d'imbécile !
Tu ne vois pas que tu me fait souffrir ? Que je suis morte
d'inquiétude ? Que je n'ai que toi au monde ? Que tu es la première personne dans mon existence qui se soucie assez de moi pour risquer sa vie dans le but de me sauver ? Que je t'aime assez pour ne pas vouloir retourner dans mon monde ? Que je suis perdue sans toi ?
Des larmes coulent sur mes joues, à présent.
- Tu comptes plus pour moi que personne dans cet univers. Et j'ai peur, Iollan. J'ai peur que tu m'abandonnes. Si tu le fais, je serai définitivement perdue."
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
Une chose rigide me frôle soudain la cuisse. Je hurle par reflexe et tourne sur moi même en essayant de pointer ma jambe hors de l'eau, mais mon manège ridicule n'a pour conséquence que de me faire perdre tous mes repères. Une main agrippe alors mon épaule avant de me relâcher aussitôt. Si je me doute qu'il s'agit d'Harper, mes nerfs prennent le dessus sur ma raison et me poussent à crier de plus belle malgré le risque que j'encours en gardant la bouche grande ouverte.
- J'ai senti quelque chose sur ma cuisse pleurniché-je à moitié.
- Oui, c'était mon pied. Je n'y vois rien quand je nage et j'ai préféré ralentir pour ne pas te perdre.
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
Avez-vous déjà eu l'impression, en lisant un livre que vous en connaissiez déjà la
fin ? Vous sentez les ténèbres approcher, vous voyez le piège se refermer sur les personnages qui vivent et respirent au fil des pages. Mais vous êtes happé par le récit, vous ne pouvez ni le lâcher ni changer son cours.
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
Jem à Will :
"Écoute-moi, dit-il. Je m'en vais mais je suis vivant. Je ne disparais pas tout entier, Will. Quand tu te battras, je serai encore à tes côtés. Quand tu marcheras, je serai la lumière qui t'éclairera, la terre solide sous tes pieds, la force qui meut l'épée dans ta main. Nous sommes liés l'un à l'autre au-delà de notre serment. Les Marques n'y ont rien changé. Le serment n'y a rien changé, il a seulement mis des mots sur quelque chose qui existait déjà."
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
date : 05-08-2020
Parfois, je me dis que "l'au-delà" et peut-être une invention des hommes pour adoucir le chagrin de la perte, pour rendre supportable notre séjour dans le labyrinthe. Peut-être n'était-elle que matière. Or la matière se recycle.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
date : 12-05-2020
Même de là où elle est, Lela peut voir une lueur rouge qui clignote à l'interieur de la voiture, le flot codé d'un ordinateur portable renversé.
" C'est ce que je vous disais." Juniper ne range pas son arme dans son holster, mais la garde à la main quand il passe le bras autour des épaules de Lela, dont les narines sont brûlées par l'odeur du souffre. "La paranoïa. C'est un prérequis si vous voulez survivre."
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
date : 29-04-2020
- Tu me trouveras, j'en suis sûr, et si ce n'est pas moi, tu me trouveras dans le regard d'un autre, dans son coeur, dans sa jeunesse et tu l'aimeras de toutes les forces que je t'aurai données. Ce sera ton tour de m'offrir un moment d'éternité. Tu lui diras que nous aurons été les premiers assez fous pour avoir fait un pied de nez à la mort et tu riras de nos intelligences. Ce sera la seule et dernière fois que tu lui parleras de moi, après, il faudra que tu lui laisses de la place.
- Tu te rends compte de ce que tu dis ? Ton histoire, mon Josh, c'est l'horizon à l'envers.
- Peut être, mais crois-moi, il sera plus beau qu'à l'endroit.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Iollan et Lomé :
- Je n'ai pas fini.
- Ah bon ? Eh bien moi si. Alors lâche moi, pauvre...
Il me fauche les jambes, un geste si rapide que je me retrouve sur le sol avant même de m'en rendre compte. L'instant d'après, ses mains sont plaquées de chaque côté de ma tête.
- Je ne suis pas disposé à te partager Lomé. Je t'aime et je n'accepterai pas qu'un autre que moi te touche.
A ces mots, en plus de la peur qu'il m'inspire, le désir s'invite dans la partie. J'ai envie de l'embrasser, là tout de suite. J'ai envie qu'il me touche. Je veux...
Comme s'il avait lu dans mes pensées, il se baisse et écrase sa bouche contre la mienne. Je laisse échapper un gémissement quand sa langue s'insinue dans ma bouche et qu'il me saisie par les cheveux.
Son baiser n'a rien de doux ou d'apaisé, comme c'est souvent le cas. Il est brusque, presque violent.
Punitif.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
-Dis-moi que tu m'aimes.
Il cherche la réponse à ses questions dans mes yeux.
-Cass...
-Dis-le moi !
J'ai quasiment hurlé.
Il plonge son regard océan dans le mien, et je me sens instantanément apaisée.
- Je t'aime, Cassiopée O'Brien Paricio. Pour toujour et à jamais.
Je passe ma main dans ses cheveux, les saisit vigoureusement. Je respire une dernière fois l'odeur de sa peau. Je le prends dans mes bras et il me serre avec ferveur.
- Je t'en supplie, pardonne-moi, je murmure dans un souffle.
Et je le pousse de toute les forces.
Avez vous apprécié cet extrait ? +3
Je lève la main et la pose doucement sur la joue de Gabriel. Ses yeux sont grands ouverts. Ils sont de cette magnifique couleur bleu outremer. Il ne semble pas savoir comment réagir
- Ca va, Gab ? Tu as l'air d'aller mieux, je suis tellement rassurée, si tu savais.
Il lève la main et la pose sur la mienne, puis il plisse les yeux et je sais qu'il va me poser une question.
- Excuse moi... Je suis sûr que je t'ai déjà vue. On se connaît non ?
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
-Tout ça pour un dessin.
Thorn avait énoncé ce constat sans la moindre expressivité. Pourtant, à peine l'eut-il fait que sa raideur se fissura. Les lignes dures de sa figure cédèrent les unes après les autres. L'armature de sa jambe ploya comme si elle ne pouvait plus porter le poids de ce corps devenu intolérablement lourd. Dans un vacarme d'acier, Thorn se laissa tomber à genoux. Il se cramponna des deux mains à Ophélie avec une telle poigne qu'elle faillit en perdre l'équilibre. Elle tint bon. Ici, maintenant, si ébranlée fût-elle à l'intérieur, c'était à elle d'être solide pour deux. Thorn n'en finissait plus de s'effondrer sur lui-même, la tête fléchie en avant, les épaules contractées à se briser. Il enserrait Ophélie comme s'il voulait à la fois s'y raccrocher et la tenir à l'écart.
Empêcher ses griffes de faire une nouvelle victime.
L'abîme dans lequel il était en train de sombrer était de la même nature que le vide entre les arches. Une chute infinie dont nul ne revenait.
Avez vous apprécié cet extrait ? +7
Le soleil, ce 16 Novembre, se lève sur notre nouvel "il était une fois...". L'histoire d'un père et d'un fils qui s'élèvent seuls, sans l'aide de l'astre auquel ils ont prêté allégeance.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Bjorn, je suis désolée mais tu dois abandonner ton armure.
- Quoi ?
- Tu as très bien entendu. Si tu la gardes, tu n'atteindras jamais le
sommet.
- Tu sous-estimes ma puissance physique, jeune femme. Je serais tout à fait capable de grimper là-haut en portant mon cheval, crois-tu vraiment que quelques kilos d'acier m'effraient ?
Ellana poussa un long soupir.
- Nous allons nous encorder, Bjorn et, si je ne sous-estime pas tes muscles, je ne me fais pas non plus d'illusions sur ton poids. Tu es lourd. Suffisamment pour qu'en cas de faux pas tu nous entraînes avec toi. Si mes échelons sont résistants, ils ne sont pas conçus pour résister à la chute d'un pachyderme.
- Un pachyderme ? Sais-tu que tu t'adresses à Bjorn Wil' Wayard, chevalier de l'Empire, pourfendeur de monstres et dévoreur de quêtes épiques ?
- Il n'y a pas que les quêtes que tu dévores ou alors tu les choisis trop grasses, rétorqua Ellana sans se démonter. J'ai toutefois beaucoup de respect pour toi et je retire volontiers le mot pachyderme. Maintenant soyons clairs, si tu n'enlèves pas immédiatement ta panoplie de pourfendeur de monstres, je m'en occupe à ta place. Tu risques d'être surpris du résultat...
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
La douleur infinie de celui qui reste,
Comme un pâle reflet de l'infini voyage
Qui attend celui qui part.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
- Ne me dis pas que, pour une fois que tu t'intéresses à un garçon, il a la mucoviscidose.
- Je l'ai juste aidé à organiser son chariot Poe ! Je m'exclame, exaspérée. Il y a une différence entre désirer que quelqu'un vive et le désirer tout court.
Je ne suis pas intéressée par Will. Je ne suis pas du genre suicidaire. Et si je voulais sortir avec un connard, j'aurais l'embarras du choix parmi ceux qui ne sont pas malades. C'est ridicule.
N'est ce pas ?
- Je te connais, Stella. Ordonner un chariot, pour toi, c'est l'équivalent des préliminaires.
Il étudie mon visage cherchant à savoir si je mens ou non. Je lève les yeux au ciel et ferme mon ordinateur avant qu'aucun de nous n'ai pu le déterminer.
- Et les bonnes manières dans tout ça ? J'entends la voix énervée de Poe crier à l'autre bout du couloir, suivie par le claquement de sa porte quelques secondes plus tard.
Mon téléphone vibre et je vois un message de Will.
Une scène de ménage ?
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
Ellana retint de justesse la question qui lui était montée aux lèvres. Les mots sont des armes, les mots sont des dons, les mots ne se gaspillent pas.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Quand vous avez tué une fois, vous pouvez tuer deux fois. Et quand vous avez tué deux fois, vous pouvez tuer l'humanité tout entière. Il n'y a plus de limites.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Et je vois.
Le ciel sombre.
Cent millions d'étoiles.
Plus d'étoiles que j'ai jamais vu auparavant. Mes yeux me laissent voir plus loin, mais ils ne me montrent pas la seule chose que je veux voir. J'échangerais toutes les étoiles de l'univers si je pouvais juste le récupérer.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
RIVES
- On trouvera un autre moyen, j'ai dit, désespéré de ne pas réussir à la faire réagir. Je ne peux pas m'imaginer ma vie sans toi, et je n'ai pas envie d'essayer. Je ne laisserai pas Nil gagner.
Une larme a coulé sur le visage de Skye.
- Elle a déjà gagné, fini-t-elle par murmurer.
Avez vous apprécié cet extrait ? +1


Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode