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Commentaires de livres faits par Camille77150

Extraits de livres par Camille77150

Commentaires de livres appréciés par Camille77150

Extraits de livres appréciés par Camille77150

- Je ne cherche pas mon premier amour. Je cherche le dernier.
Avez vous apprécié cet extrait ? +7
L’amour ne s’accompagnait pas de mode d’emploi. Il ruisselait sur une personne avec l’espoir pour seul courant. Il n’y avait pas une liste de directives à suivre pour s’assurer qu’on en prenait soin correctement. Il ne vous donnait pas d’instructions pour le garder pur. Il se pointait tout simplement, sans bruit, en priant pour que vous ne le laissiez pas vous glisser entre les doigts.
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
Ceux qui croient en vous quand vous n’y croyez pas vous-même sont ceux qu’il faut garder près de vous.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
– Logan, pour parler plus sérieusement, il faut vraiment que je te demande quelque chose de réellement important…
Je soupirai, sachant que je ne pourrais pas éviter les questions qu’un tas de gens avaient à me poser. Le même genre de questions que Sadie m’avait balancées à la figure au motel. C’était comment la désintox ? As-tu replongé ? Tu penses toujours à la dope ?
– Comment tu fais pour que tes cheveux soient toujours aussi beaux, bordel ? Ils brillent comme ce n’est pas possible. Et ce volume ! Merde.
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
date : 01-06-2017
— Oz !
Elle couine et les gens au bout de l’allée se retournent sur nous.
— On ne s’assied pas sur les tombes !
J’observe la pierre anthracite avec attention et les trois noms inscrits dessus avec un lettrage qui laisse à désirer, puis je détourne le regard sur celle adjacente où repose ma grand-mère.
— Je fais ce que je veux, c’est ma famille.
Avez vous apprécié cet extrait ? +5
date : 25-05-2017
-Racontez-moi votre dernière pensée la moins avouable.
Recroisant les mains derrière la tête, il fixe son regard sur moi.
- J’ai envie de vous baiser.
Avez vous apprécié cet extrait ? +6
date : 01-05-2017
Qu’est-ce que tu vas faire ?
– Lui demander pardon à genoux.
Delia ricane.
– C’est un homme. Si tu t’agenouilles, tu ne pourras pas lui demander pardon : tu auras la bouche pleine.
Avez vous apprécié cet extrait ? +10
On ne peut pas être vraiment amoureux si on n’est pas un peu fou.
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
Lorsqu’ils arrivèrent au bungalow de l’administration, Chase ouvrit la porte et la tint pour laisser passer Della.
Elle leva les yeux au ciel d’un air exaspéré.
– Pitié, ne fais pas semblant d’être un gentleman juste parce que tu portes un costard, râla-t-elle.
– Je ne fais pas semblant, je suis un gentleman.
– Ah bon ? Ce n’est pas toi qui as grimpé sur des toilettes pour regarder par-dessus la cloison pendant que j’essayais de faire pipi ? Ce n’est qu’un exemple, mais si tu me donnes cinq minutes, je suis sûre que je pourrai t’en citer d’autres.
– Tu as une mémoire d’éléphant, ma parole ! s’écria-t-il en riant.
– Et toi, tu as les manières d’un babouin, rétorqua-t-elle.
– Le zoo, c’est par ici ! lança Burnett depuis le bureau de Holiday.
Avez vous apprécié cet extrait ? +9
Il céda sans discuter, mais alors qu’il avait une jambe dehors, il lui jeta un regard taquin.
– Juste un détail.
– Quoi ? râla-t-elle.
Il sourit de plus belle.
– Non, en fait. Deux.
– Quoi ? répéta-t-elle d’un air exaspéré.
– Premièrement, ce baiser, là… Tu en avais envie. C’est toi qui m’as embrassée.
Elle fronça les sourcils sans rien dire. Elle préférait ne plus y penser.
– Deuxièmement, tu t’es trompée de jour.
– Hein ?
– Tu portes une culotte vendredi. On est dimanche.
Elle lui lança l’oreiller, puis baissa les yeux. Il avait raison, l’animal.
Avez vous apprécié cet extrait ? +3
— Je crois que je t’aime.
Daemon resserra son étreinte et embrassa ma joue rougie.
— Je te l’avais dit.
Ce n’était pas la réponse que j’avais attendue.
Il ricana et roula sur le côté, sur moi en fait.
— Le pari ! J’ai gagné. Je t’avais dit que tu m’avouerais ton amour pour le jour de l’an.
Enroulant mes bras autour de son cou, je secouai la tête.
— Non, tu as perdu.
Daemon fronça les sourcils.
— Comment ça ?
— Regarde l’heure, lui dis-je en lui montrant l’horloge. Il est plus de minuit. On est le 2 janvier. Tu as perdu.

Pendant un moment, il observa l’horloge comme s’il s’agissait d’un Arum qu’il comptait envoyer en orbite. Puis, il me regarda dans les yeux. Il sourit.
— Non. Je n’ai pas perdu. J’ai quand même gagné.
Avez vous apprécié cet extrait ? +3
Ton don pour raconter des histoires, Evie ? Ce n’est pas parce que tu te réfugies dans ta tête ou que tu vis dans un monde imaginaire. Ça provient de la beauté de ton cœur. C’est parce que tu es capable de te détacher des situations les plus horribles. C’est l’une des raisons pour lesquelles je t’ai aimée chaque jour depuis mes onze ans.
Je veux que les derniers mots que je lui adresse soient des mots d’amour.
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
— Je ne me défile pas… Mais attends, bredouilla-t-elle en pâlissant encore – si tant est que cela soit possible. Tu m’aimes aussi ?
— Évidemment que je t’aime ! Tu es intelligente, drôle, généreuse, chaleureuse, belle, que ce soit de l’intérieur ou de l’extérieur. En plus, tu as une super culture musicale et tu adores mon groupe. Bordel, comment je pourrais ne pas être amoureux de toi ?
— Je ne sais pas. C’est juste que… Je ne sens plus mes pieds.
— Pas grave. Moi, je ne sens plus mes mains
Avez vous apprécié cet extrait ? +6
– Tu sais, si nous étions en couple, dit-il en passant son bras le long du dossier juste au-dessus de mes épaules, ça serait le parfait canapé pour nous. On ne se lèverait plus jamais. Nous serions obligés de rester assis l’un contre l’autre pour toujours. 
– Dieu merci, ça n’est pas le cas. 
Il passe son bras autour de mes épaules, sa main m’attire à lui. 
– On n’est pas si mal, dit-il d’une voix un peu rauque, qu’en dis-tu ? 
– Je n’y crois pas, tu me fais des avances chez IKEA?
Avez vous apprécié cet extrait ? +14
date : 28-06-2016
- J’ai besoin de toi dans ma vie, Rylee. J’ai besoin que tu m’aides à continuer à voir la couleur, à ralentir. À me permettre de sentir les choses. J’ai besoin que tu sois mon étincelle…

Il se penche sur moi et effleure mes lèvres des siennes, si tendrement. Il me supplie en les faisant papillonner contre moi:

– S’il te plaît, sois mon étincelle, Ry…
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
Avant de mourir, je veux vivre un jour parfait.
Avez vous apprécié cet extrait ? +7
Comme sur un gigantesque tableau noir, je lis en grosses lettres blanches : Avant de mourir… En dessous, il y a des lignes et des lignes, des colonnes et des colonnes de Avant de mourir, je veux… et le reste de la phrase est complété à la craie de toutes les couleurs, à moitié effacé par la pluie, la neige, dans des centaines d’écritures différentes.
Nous longeons le mur en lisant : Avant de mourir, je veux avoir des enfants. Vivre à Londres. Avoir une girafe apprivoisée. Sauter en parachute. Savoir diviser par zéro. Jouer du piano. Parler français. Écrire un livre. Partir sur une autre planète. Être un meilleur père que le mien. Apprendre à me supporter. Aller à New York. Connaître l’égalité. Vivre.
Finch me tend une craie bleue.
Je proteste :
– Il n’y a plus de place.
– On va en faire.
Il écrit : Avant de mourir, je veux… et trace une ligne. Puis il recopie la même phrase une bonne dizaine de fois en dessous.
– Et quand ce sera rempli, on pourra continuer tout autour du bâtiment. C’est une bonne manière de comprendre ce qu’on fait ici.
Et par « ici », je sais très bien qu’il ne veut pas dire sur ce trottoir.
Il commence à écrire : Jouer de la guitare comme Jimmy Page. Composer une chanson qui changera le monde. Trouver la « grande affirmation ». Compter pour quelque chose. Être celui que je suis censé être et que ça me suffise. Savoir ce que c’est d’avoir un meilleur ami. Servir à quelque chose.
Je reste longtemps plantée là, à lire, avant de prendre la craie à mon tour pour écrire : Arrêter d’avoir peur. Arrêter de réfléchir en permanence. Remplir les trous du passé. Recommencer à conduire. Écrire. Respirer.
Finch est juste derrière moi. Si près que je sens son souffle. Il se penche et ajoute : Avant de mourir, je veux vivre un jour parfait.
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
– On ne choisit pas sa famille ni d’où on vient, Jet. Tout ce qu’on peut choisir, c’est qui on veut devenir malgré eux et à cause d’eux.
Avez vous apprécié cet extrait ? +7
Il nous rejoignit sur le canapé et déposa un hot-dog sur une assiette en porcelaine liserée de platine. Les sourcils froncés, il entreprit de le manger à l’aide de son couteau et de sa fourchette, et en découpa soigneusement un morceau.
—Sullivan, avec les mains.
Il piqua un morceau de hot-dog avec sa fourchette tout en me regardant.
— C’est plus distingué ainsi.
— C’est plus distingué ainsi.
Je pris une autre gigantesque bouchée.
—C’est surtout plus coincé, dis-je la bouche pleine.
— Ton respect à mon égard, Sentinelle, est époustouflant.
Je lui souris.
— Je te respecterais davantage si tu mordais dans ton hot-dog.
—Davantage que quoi ? Tu ne me respectes pas du tout.
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
— Je te préviens, je sens que je vais être une vraie dure à cuire.

Mallory sortit de la cuisine en ricanant.

— Ouais, eh bien, la dure à cuire, elle a un marshmallow violet

collé au menton.
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date : 18-04-2016
– Je… je me suis réveillée et… je veux m’en aller.
Il me prend par la taille pour essayer de me faire remonter avec lui, mais je le repousse. Mon expression indignée doit achever de le convaincre qu’il n’a pas à me donner d’ordres. J’ouvre la bouche pour continuer mais il me devance :
– Pas tant que tu n’auras pas arrangé ma coiffure.
Oh !
Il ôte sa casquette, passe une main dans ses cheveux en bataille.
– J’espère que tu les coupes mieux quand tu n’as pas bu.
Je me couvre la bouche pour étouffer un rire. Deux énormes mèches dépassent de la masse, dont une au beau milieu du front.
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
Je suis un mec, et les mecs sont un peu bêtes. Je reconnais avoir besoin de semer un peu la pagaille parfois.
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L’amour, c’est donner à quelqu’un le pouvoir de te détruire totalement, en espérant qu’il ne le fera pas.
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– Est-ce que tu penses que ton lien avec Chase est de nature romantique ? reprit-elle.
– Tu savais que les poissons faisaient pipi et caca dans l’eau ? lança Della tandis que Holiday tendait la jambe pour tremper son pied dans le lac.
La fée leva les yeux au ciel.
– Oui. Et c’est le pire changement de conversation que j’aie jamais entendu.
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– Euh… J’ai besoin de sortir, si vous voulez bien m’excuser.
– Pourquoi donc ?
– C’est personnel, dit-elle en espérant qu’il cède.
S’il insistait, elle n’hésiterait pas à déployer l’argument infaillible de la gent féminine, même si c’était un mensonge.
– J’aimerais des explications un peu plus précises jeune fille, rétorqua-t-il d’un air agacé.
Tant pis pour lui. Une main sur la hanche, elle soutint son regard.
– Mes règles viennent de commencer, et j’ai peur que ça ne déborde. Enfin, je ne vous demande pas de comprendre…
M. Yates écarquilla les yeux, bouche bée, mais ne l’autorisa pas à sortir pour autant. Elle se vit donc dans l’obligation de poursuivre.
– Je veux dire, je sais bien que vous êtes un homme et que les hommes ne comprennent rien à tout ça, mais…
M. Yates se mit à rougir, d’abord le cou, puis le visage, comme un personnage de dessin animé, gardant pourtant le silence.
– … sérieusement, si vous vous mettiez à saigner du pénis une fois par mois, vous…
– Sortez !
Le hurlement du professeur fut presque couvert par les rires des autres élèves.
Avez vous apprécié cet extrait ? +10
Quand on s’entoure de faux-semblants, tout ce qu’il y a de vrai finit toujours par tomber en miettes.
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