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Les gens de Bilbao naissent où ils veulent



Description ajoutée par Coetseslivres 2023-12-22T13:38:48+01:00

Résumé

Espagne, juin 1943. Une prostituée obèse de Bilbao donne vie à un garçon, qu’elle confie aux jésuites. Plus tard, en Galice, une femme accouche d’une fille, qu’elle abandonne dans un couvent. Les deux orphelins connaissent la misère, Franco, mais se rencontrent, se marient et s’installent à Paris. Victoria devient femme de ménage, Julian, gardien du théâtre de la Michodière. Ils auront une enfant, la narratrice. À vingt-sept ans, Maria croyait s’être affranchie de ses origines : la loge de ses parents, la violence paternelle, les silences maternels… Mais un tirage de tarot va tout chambouler et l’obliger à fouiller le passé, et Bilbao, où naissent les secrets.

Étourdissant de style et d’énergie, ce premier roman mené tambour battant nous embarque instantanément.

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Classement en biblio - 59 lecteurs

extrait

Le coup de corne du mari sera une fois de plus stérile. Autour d’eux, leurs amis font des enfants, deux, trois. Pour l’Espagnol modeste en temps de dictature, l’enfantement est la seule valeur, le produit intérieur brut. Mais Victoria et Julian restent pauvres.

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Commentaires récents

Or

Les bébés volés du franquisme reste le fil conducteur de ce roman. Un couple d'orphelin s'installe en France pout gagner leur vie. Ne pouvant avoir d'enfant ils adoptent une fille. A l'age adulte elle apprend qu'elle a été adoptée et part à la recherche de ses véritables parents.

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Bronze

Une histoire intéressante sur les temps troubles des adoptions en Espagne.

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Argent

Maria a vingt-sept ans mariée et mère c'est à Paris qu'elle vit.

Réalisatrice et femme accomplie elle a réussi à fuir son passé difficile,mais en consultant une tarologue celle -ci se retrouve confrontée à une réalité qui pourrait bien tout changer.

"Ton père n'est probablement pas ton père"

Le doute s'installe même si elle a toujours eu des sentiments étranges sur ses origines elle doit en avoir le cœur net et demande à sa mère la vérité.

Difficile face à une mère silencieuse un père violent et alcoolique ,la narration l'amène vers leurs origines franco basque un passé qu'ils ont fuit il y a bien longtemps déjà pour se reconstruire une nouvelle vie dans les années 70.

💫 Dans ce roman nous comprenons très vite que l'histoire n'est pas n'importe quelle histoire puisque c'est une autobiographie de l'auteure ou plutôt pour être plus précise celle de ses parents.

Que de stupeurs en écoutant cette narration,je découvre un homme et une femme marqués par une enfance terrifiante.

L'un basque l'autre galicienne leur rencontre,leur amour les unis à tout jamais, ensemble ils vont fuir et démarrer une autre histoire en fuyant à Paris dans les années 70.

Née d'un père gardien d'un théâtre et d'une mère femme de ménage l'enfance de Maria sera marquée par la gêne la honte de la différence sociale qu'elle subit au près de ses camarades.

Dans ce roman nous prenons conscience que malgré le désir de fuir des parents les enfants sont souvent aussi victimes de leur raison sociale.

Secret,honte,colère et résignation sont leur quotidien, pourtant l'auteure est bien décidée à percer le secret de sa naissance de celle de ses parents.

Je m'aperçois d'une sorte de détachement de la part de la narratrice qui au fil de mon écoute se détache de ses parents ,les pronoms deviennent impersonnels quoi de plus naturel en apprenant la vérité de sa naissance.

Une autobiographie qui ne laisse certainement pas de marbre.

N'est-il pas humain d'être en quête de ses origines ou celles de nos parents ?

La génétique est elle plus forte dans nos veines ou nos sentiments plus fort par le lien d'amour ?

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Argent

Après *Le Soldat Désaccordé* de Gilles Marchand, j’ai poursuivi ma découverte de la sélection du Prix Audiolib 2024 avec *Les Gens de Bilbao naissent où ils veulent* de Maria Larrea.

Et je dois avouer avoir été beaucoup moins emballée par cette deuxième écoute.

*Les Gens de Bilbao naissent où ils veulent* est un roman autofictionnel et social où l’autrice nous raconte la vie de ses parents. Julian et Victoria, deux Espagnols abandonnés à la naissance, élevés dans des établissements religieux, émigreront plus tard à Paris pour vivre dans une loge de concierge. Alors que l’une s’épuise à la tâche, l’autre s’enfonce dans l’alcoolisme. Là-bas, ils vont élever Maria, une petite fille chérie et aimée mais qui se sentira toujours mal dans sa peau, tout en ayant le désir de s’élever socialement pour sortir de la condition parentale. En arrière-plan, nous avons Bilbao, la ville où tout a commencé et où la famille retourne à chaque vacances estivales. Là où, aussi, Maria mènera un jour une enquête en dents de scie pour tenter de percer à jour les secrets de ses origines et de sa naissance.

—Un flop pour Les Gens de Bilbao naissent où ils veulent—

Dans l’idée, pourquoi pas. Mais dans les faits, de trop nombreuses choses m’ont dérangé dans cette lecture - la principale étant le style de l’autrice. Je l’ai trouvé très familier, souvent vulgaire et dégageant une impression d’exagération, comme si le ton et les formules employés étaient forcés. Je peux entendre que cela ait été fait dans le but de coller à la condition sociale qui nous est dépeinte… Mais ça n’a clairement pas fonctionné avec moi.

D’autant que le style en lui-même avait vraiment quelque chose de déroutant. D’abord parce que je trouve très étrange la manière dont les phrases sont formées, mais aussi notamment à cause d’un défaut de ponctuation qui m’a beaucoup perturbée lors de mon écoute - soit parce que l’autrice (qui est aussi la narratrice du livre audio) n’arrivait pas à régler sa respiration sur le texte, soit parce que cela vient de l’écriture en elle-même.

Paradoxalement, je ne pourrai pas dire que *Les Gens de Bilbao naissent où ils veulent* est un mauvais roman. Celui-ci est ponctué de phrases et d’images chocs qui ne peuvent que nous marquer, agrémentées de beaucoup de mots et expression en espagnol qui m’ont beaucoup plu. Et puis, il y a surtout le destin de cette famille de trois qui est si tragique que ça peut parfois sembler absurde.

Même si je ne me suis attachée à aucun personnage (ni de près, ni de loin), j’ai été comme entraînée dans cette fresque familiale. Et par-dessus tout, je voulais savoir si Maria réussirait finalement à déterrer les réponses à ses questions. Mais il n’empêche que même si j’aurai adoré me sentir concerné par cette histoire et ses thématiques terriblement lourdes et importantes, je ne me suis absolument pas sentie concernée par cette lecture qui m’est totalement passée au-dessus.

Et au fond, peut-être que cela vient aussi du fait que j’ai eu l’impression de lire un roman formaté, qui devait coller aux standards de la littérature blanche d’aujourd’hui : autofiction, roman social, quête d’identité, écriture verbale et acide… Toutes les cases sont cochées. Ce qui m’a donné une impression de déjà vu, qui est vite devenue lassante.

—En bref—

En bref, *Les Gens de Bilbao naissent où ils veulent* de Maria Larrea est roman qui n’est pas parvenu à me convaincre. Entre son style d’écriture beaucoup trop brut et bancal et ses personnages auxquels je n’ai pas réussi à m’attacher, cette lecture m’est totalement passée au-dessus. Et pourtant, j’aurai tellement aimé me sentir concerné par cette histoire et ses thématiques graves… Mais ça ne peut pas fonctionner à tous les coups.

https://desrevesdanslamarge.com/les-gens-de-bilbao-naissent-ou-ils-veulent-maria-larrea/

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Lu aussi

Il s’agit là plus d’un récit autobiographique que d’un roman à proprement parlé, l’auteure nous emporte dans les turbulences de sa quête vers ses origines. Par-delà les thèmes de l’abandon, de l’adoption, elle aborde le scandale des fausses adoptions pratiquées dans l’Espagne franquiste et postfranquiste.

Malgré le suspense haletant particulièrement présent dans la seconde partie du roman, je n’ai pas réussi à éprouver de l’empathie pour les personnages et ne saurai réellement en expliquer les raisons. Le caractère introspectif tendant vers l’écriture comme thérapie et le style très familier, parfois cru, voire grossier ne m’ont pas permis de m’identifier et de m’attacher aux protagonistes.

Incontestablement un bon roman mais un rendez-vous manqué pour moi.

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Argent

Curieux, cette mention "Roman" sous le titre: au fur et à mesure du déroulement de l'histoire, avec un certain suspense, j'ai ressenti de l'admiration pour la sagacité et le talent de l'autrice qui donnait un tel air de vérité à sa fiction, et puis je comprends qu'en fait il s'agit d'un récit largement autobiographique, puissant, impressionnant, émouvant.

Quelle est la part d'autobiographie, quelle est la part de fiction romanesque? Un jour, peut-être, cette question donnera à un étudiant en littérature l'idée de départ pour une thèse...

Deux lecteurs font remarquer que cette oeuvre s'inscrit dans un genre littéraire à part entière: la recherche de ses origines chez les personnes adoptées ou nées sous X ou nées d'un don de sperme ou d'ovocyte. Mais si ce genre existe, si éditeurs et lecteurs en ont fait un genre et un succès de librairie, c'est que, au-delà de ces personnes privées d'informations sur elles-mêmes, un grand nombre de gens ont des questions plus ou moins taboues, par exemple sur des secrets de famille soupçonnés, sur les conditions de leur conception, des questions parfois obsédantes, et se heurtent à des dérobades frustrantes, à des mystères traumatisants - je le sais d'expérience intime.

Loin d'être anecdotique, donc, cette oeuvre s'inscrit dans une quête humaine fondamentale, elle nous parle à tous, lecteurs et lectrices, riches ou précaires, autochtones ou immigrés.

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Argent

Dans ce court roman l'autrice nous raconte l'histoire de ses parents, mais aussi la sienne.

En Espagne une femme accouche d'une petite fille, ne pouvant l'élever elle la confie au couvent et reviendra dix ans plus tard la chercher. La petite fille c'est Victoria, la mère de l'autrice. Elle a la beauté du diable,  jamais elle ne parviendra à quérir l'amour de sa mère et subira les assauts de son père.

Quatre ans après sa naissance, une prostituée met au monde un petit garçon, Julian qu'elle confiera aux jésuites. C'est le père de Maria.

Victoria et Julian tomberont amoureux dès le premier regard, ils se marièrent et partirent vivre en France dans l'espoir d'une vie meilleure que celle qu'ils vivent en Espagne.

Là-bas Victoria deviendra femme de ménage et Julian gardien du théâtre de la Michodière. Le couple a du mal à avoir un bébé mais après plusieurs mois d'attente naîtra Maria.

Maria nous parle de son enfance, elle fille d'immigrés espagnole connaît les moqueries des autres camarades, cette différence elle la ressent. Mais le sang chaud coule dans ses veines et cette fille du pays basque a du caractère.

A 27 ans pourtant c'est le ciel qui s'abat sur sa tête quand elle découvre que son père n'est pas le sien. En quête de la vérité, en colère contre ses parents qui lui ont menti, elle part à Bilbao, là où les secrets se terrent. Une quête de famille et d'identité.

J'ai été touchée par Maria et par l'histoire de ses parents. Un roman qui se compose de deux parties. La première met en parallèle l'enfance de Victoria et Julian avec celle de leur fille. La deuxième est axée sur la révélation et la quête des origines de Maria.

J'ai aimé ce voyage qui nous emmène en Espagne et en Galice et qui nous parle du franquisme.

L'écriture de Maria est vive, j'ai été happée dès les premières pages par son histoire. J'ai également une partie en audio, (lu par l'autrice) et j'ai trouvé cela très immersif.

C'est une lecture rythmée par les moments douloureux , violents mais où la comédie, les moments joyeux viennent reprendre le dessus.

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Or

Un roman vers lequel je ne serais pas forcément allé de moi-même et qui a été une excellente découverte !

C’est un parcours de 3 vies. Celle de Victoria, née en Galice en 1947. Abandonnée dès la naissance, et placée chez les « bonnes sœurs ». Elle y vivra 10 ans, jusqu’à ce que sa « mère » vienne la récupérer.

Celle de Julian, né en 1943 à Bilbao. Abandonné lui aussi, il est confié aux jésuites. Il en sera renvoyé, après avoir découvert que sa mère est une prostituée

Ces deux-là vont se rencontrer, se marier, et partir à Paris pour une vie qu’ils espèrent meilleure.

La petite Maria vient agrandir la famille. Elle est la narratrice du roman.

On va suivre parallèlement l’enfance, l’adolescence puis l’âge adulte de ces trois personnes.

Pour Victoria et Julian, des vies très difficiles, sans véritable amour parental, dans une Espagne franquiste. Pour Maria, une vie moins misérable, mais la jeune fille n’est pas à l’aise. Elle a « honte » de ce qu’elle est (« tu portes le même prénom qu’une bonne »), on se moque d’elle. Une enfance cabossée, mais un rêve : devenir réalisatrice.

Elle a tendance à parler de ses parents beaucoup plus par leur côté négatif que par le positif. Probablement une façon de faire ressentir son mal-être.

Et puis à 27 ans, alors qu’elle pensait être « affranchie de ses origines », un tirage de tarots va tout bouleverser. Et la mener dans une quête qui vire presque à l’obsession, celle de ses origines réelles.

J’avoue que j’ai eu un peu peur en lisant l’accroche. Peur de tomber dans une surenchère de misérabilisme, avec des personnages hyper caricaturés. Mais, en fait, pas du tout.

Bien sûr, ils n’ont pas connu la belle vie et c’est triste par moments. Mais c’est écrit avec justesse et sensibilité, sans chichis, sans fioritures inutiles. C’est parfois dur et cru. Sans pour autant verser dans le larmoyant à outrance.

L’auteure nous parle abandons, non-dits, conditions de vie des immigrés espagnols. C’est authentique, franc, parfois tendre parfois beaucoup moins. Et même avec des pointes d’humour par moments.

C’est difficile à expliquer, voire impossible, mais j’ai eu la sensation qu’il y avait une sorte de lumière au milieu de ce monde noir. Je serais bien incapable de voir pourquoi et comment, de vous dire ce que c’est. Comme si ce noir avait une porte de sortie vers quelque chose de moins sombre.

En tout cas, ce roman a été une excellente découverte, je pense que vous aviez compris. Ce n’est pas forcément ce que je lirai tous les jours, mais c’est un moment touchant, avec une écriture qui vous entraine à la suite de Victoria, Julian et Maria ; l’auteure personnage. Un premier roman plus que réussi.

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Bronze

Des histoires de famille, une quête d'identité et surtout de ses origines.

Un récit plutôt bien mené mais qui n'innove pas vraiment le genre. Un contexte qui met un peu de relief à cette histoire : que ce soit la dictature, la misère.

On a donc un roman qui a de bonnes bases, mais pour ma part, je n'ai pas réussi à accrocher. Ca manque d'originalité et d'un petit truc en plus vraiment poignant.

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Lu aussi

Je remercie NetGalleyFrance et Audiolib. Ils m'ont permis de découvrir Les gens de Bilbao naissent où ils veulent lu par l'autrice, Maria Larrea.

Le roman est une quête des origines, celles de Maria Larrea, l'autrice elle-même.

En Espagne en 1943, entre Pays basque et Galice, deux femmes accouchent d’un enfant. L'une accouche d'une fille avec une forme d’indifférence froide avant de l’abandonner à un couvent voisin, tandis qu'à Bilbao, une prostituée met au monde un garçon qui est le fils d’un de ces clients, et le confie à des religieux.

L'Espagne ploie sous la dictature de Franco, la vie est rude et les deux enfants nés sans amour, grandissent dans la misère. La vie les fera se rencontrer.

On les retrouve plus tard à Paris, lui gardien de théâtre, elle femme de ménage avec leur fille Maria.

Maria qui va apprendre plus tard qu'elle est une enfant adoptée et qui va chercher à retrouver qui elle est et d'où elle vient.

Entre colère et soif de comprendre, l’autrice aborde les sujets de la filiation, de la construction d’identité, de l’immigration, de l’alcoolisme, des séquelles du manque d’amour …

Ce qui m’a frappée dans le roman, c’est cette violence sous-jacente, violences familiales, violences de la misère, de la dictature, la violence des gens à qui on n’a pas donné d’amour, la violence du franquisme, la violence de la vie qui ne fait pas de cadeau.

J’ai aimé voir évoluer Victoria et Julian, les deux enfants qui ne connaissent pas l’amour mais la misère et la violence. Cette violence, verbale et des sentiments que j’ai ressenti tout au long du roman et qui aura été sans doute l’élément qui m’aura gênée dans ma lecture. Je dois avouer que j’ai moins accroché à la seconde partie du roman, plus personnel pour l’autrice.

Un sentiment mitigé donc à la fin de cette écoute…

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Date de sortie

Les gens de Bilbao naissent où ils veulent

  • France : 2022-08-17 (Français)

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Note globale 7.28 / 10

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