Les Loups de Sirius, Tome 1 : Le Cercle d'Orion

Je n'ai honnêtement rien trouvé d'intéressant dans ce livre. Peu d'action finalement et j'ai trouvé les personnages super plats et prévisibles. Je ne continuerai pas ma lecture de la série.

Je ne savais pas trop à quoi m'attendre exactement au départ mais je suis plutôt satisfaite.

Par contre, les âmes sensibles devraient s'abstenir. Tout n'est pas rose et la violence est bien présente.

Il s’agit d’une relecture et je cois que j’ai encore plus aimé que la première fois ! Evidemment, les reproches que j’avais faits n’ont pas miraculeusement disparu, comme par magie (il y a des limites aux pouvoirs de Sirius quand-même !), mais j’aurais tendance à me dire, dans ma nouvelle grande sagesse que peut-être, les réponses que j’attendais, ainsi que les approfondissements, viendront avec les tomes suivants ?

Malgré les quelques défauts qu’une centaine de pages supplémentaires aurait pu gommer, il n’en reste pas moins que l’univers dans lequel évoluent mes nouveaux loups préférés est dense et complexe. Il se dessine lors d’une scène de première rencontre que j’ai adorée... Mon côté guimauve ? Non, parce que c’est sombre et fort, et surtout poignant. Et surtout, ça a le mérite de plonger directement le lecteur dans l’action. Et de péripéties en rebondissements, de douceurs en drames, on suit Aden dans sa reconquête de lui-même, après avoir été enfermé et torturé pendant des mois.

Heureusement, il n’est pas seul pour ça mais peut compter sur une triade Alpha sexy et bouillante, en plus d’être irrésistible. Et même si j’aurais apprécié pouvoir lire dans l’esprit de chacun, je dois dire que l’auteur a construit ce ménage à 4 de manière équilibrée, entre tendresse et passion, confiance et abandon. Je crois que j’ai un peu craqué pour eux... suffisamment, en tout cas, pour avoir envie de foncer directement sur le tome suivant !

J'avais adoré la série H.E.R.O. alors je me suis lancée avec envie dans cette trilogie car j'apprécie cette auteure. J'étais d'autant plus heureuse qu'il s'agit de métamorphes et surtout d'un ménage.

Globalement, j'ai apprécié ma lecture. Les personnages sont intéressants en particulier Conner. Il est touchant avec son empathie et il a un côté presque humain. Darric aussi est pas mal dans son genre. J'aime le côté sensuel qu'il dégage. Celui que j'ai le moins apprécié, c'est Blaze. Il est trop en retrait, distant. En même temps c'est le personnage et son rôle. Il est le chef, censé être le plus fort. Mais justement il est trop...tout, limite parfait. À voir dans les tomes suivants. Et concernant Aden, je l'ai aimé à des moments pour le détester à d'autres. Il est touchant et ce qu'il a vécu dans son ancienne meute attire forcément la sympathie, la compassion. Pour autant, sa tendance à ne pas avoir confiance en lui, à se dénigrer sans arrêt, m'a soulée parfois. Il se complait trop dans son rôle de petit oméga faible, soumis et persécuté. Cependant, je sais aussi que cette attitude est en grande partie liée à son passé et les persécutions vécues. Donc je suis assez mitigée sur lui. Mais son attitude à la fin du tome l'a fait remonter dans mon estime. J'espère que par la suite, Aden va s'affirmer et devenir plus fort mentalement.

Pour le ménage à quatre, les scènes intimes, pas trop nombreuses, m'ont laissée dubitative sauf quand elle n'était pas à quatre justement. Parfois, j'ai du relire plusieurs fois un passage pour comprendre qui faisait quoi avec qui... Je sais que c'est difficile à écrire mais pour avoir lu le tome 1 de La Meute Hayes de Nora Phoenix je n'avais pas eu ce problème. Et c'était aussi un quatuor. Donc à voir si l'auteur s'améliore par la suite.

Concernant l'intrigue en elle-même et cette histoire de loup-garous, censés faire le lien entre les metamorphes et les humains, notamment en étant intégrés a l'armée, j'ai trouvé cela original et intéressant. À voir par la suite comment le cercle d'Orion va gérer tous les problèmes et les réticences. Je sens que le docteur diabolique va se rappeler à leur souvenir. Surtout avec le début de Mpreg ...

Bon, il y a des points négatifs dont j'ai un peu parlé et qui ont surtout été développés avec talent par de nombreux commentaires précédents (cliché avec le grand et fort alpha, ultra dominant et le pauvre petit oméga, faible, des personnages à la psychologie peu développée et une histoire rocambolesque en autre !) Mais pourtant, je me suis laissée prendre au jeu car j'ai trouvé l'univers intéressant, cette histoire de déesse et de cercle d'Orion prenante. J'ai envie d'en savoir plus donc je lirai le tome suivant !

Bon livre. Personnages super.

Aden est un oméga et pour sa meute, ça signifie qu’il est là pour endurer les pires sévices.

Mais quand il se croit à bout et voit enfin la mort le délivrer, il est sauvé par un loup garou impressionnant qui n’hésite pas à tuer son alpha.

Quand Blaze lui explique qui il est et qu’il rencontre Darric et Conner, il a du mal à croire à ce qui lui arrive et encore pire à cette connexion entre eux.

Quand son passé le rattrape et qu’il ne fait pas les bons choix, comment peut-il s’en sortir ?

Les alphas pourront-ils refaire confiance à Aden?

Un livre captivant, bien expliqué, bien détaillé, ce qui fait qu’on comprend bien les choses, même si certaines choses nous choquent, enfin certaines pratiques de personnes peu scrupuleuses.

On plonge dans l’histoire de ses alphas qui ne sont pas là par hasard. Ils sont hot, mais gay… Le monde est cruel envers nous, les femmes !!!

Aden, jeune garou oméga, est le souffre-douleur de sa meute. Battu, humilié, affamé, torturé, enfermé dans une cage par un alpha sadique à qui il sert de défouloir et soigné à minima par un médecin tout aussi malfaisant, il a vu ses parents se faire massacrer en tentant de le protéger. Ce soir, ses bourreaux l’ont libéré de sa cage pour jouer, le laissant s’enfuir dans la forêt pour le courser, le chasser, par pur plaisir du sport. Est-ce que la chasse est un sport, ça, c’est une autre question…

Quand Aden après une brève course qui a épuisé ses maigres forces se fait rattraper par la meute, il renonce… à quoi bon tenter de fuir, de toutes façons, ils le rattraperont et puis après tout, il est inutile et ne sert à rien, donc…

Et là, un homme magnifique s’interpose et tient tête à son alpha Richard, sans paraitre une seule seconde le craindre. Il est très vite rejoint par deux loups absolument sublimes, qui déciment en quelques secondes plusieurs gammas de sa meute. Et l’un de ces loups semble en plus avoir le pouvoir de guérir ses blessures… C’en est trop pour Aden qui s’évanouit juste après avoir vu son alpha perdre la tête sous l’assaut d’un loup noir immense…

A son réveil, il fait la connaissance de Darric, Conner et Blaze. Les trois garous qui sont venus à son secours vont alors lui raconter la légende de Sirius et du cercle d’Orion, où il est destiné à jouer un rôle essentiel. Mais il est difficile pour lui de croire qu’un oméga insignifiant et inutile tel que lui puisse jouer un rôle aussi important auprès de ces trois alphas puissants et magnifiques. Et le nouvel alpha de son ancienne meute veut absolument le récupérer …

Bien bien bien… sur le papier, ça avait l’air intéressant. Des garous, une vieille légende pour sauver le monde, un oméga ingénu, des alphas puissants, des bagarres de meute, et surtout un auteur dont j’apprécie la série H.E.R.O.

Autant dire que pour moi, ça n’a pas marché du tout. Le personnage d’Aden ne m’a pas touchée, là où l’auteur a sans doute voulu faire passer un manque d’assurance et des insécurités, j’ai ressenti de la stupidité. Les trois alphas plus que centenaires, censés être les sauveurs de l’humanité, qui se font berner par l’autre meute qui envoie un émissaire pour venir récupérer leur compagnon, on en parle ? De plus, je n’ai pas ressenti de lien amoureux entre l’oméga et ses alphas mais plus une histoire d’hormones en ébullition. La révélation finale sur l’état d’Aden est bien entendu évidente pour tout le monde sauf pour eux et même si j’ai trouvé les derniers chapitres un peu plus intéressants (un peu plus d’action, les projets militaires et médicaux et l’intervention de Sirius), la série se poursuivra sans moi, ce qui ne sera pas un problème au vu des critiques assez positives que ce premier tome a reçues.

Un livre que j'ai commencé après avoir lu en avant-première un autre des titres de l'auteure. J'avoue que j'ai été agréablement surprise de voir un ménage à quatre. Je suis une très grande adepte des threesome (ménage à trois) qui sont déjà un peu compliqué à trouver. Alors un à quatre, j'étais obligé de tenter le coup.

En somme, j'ai apprécié ce livre. Au début, j'étais plutôt réservé notamment parce que les personnages, surtout Blaze et Aden, sont assez clichés. On a le beau, grand, fort et ténébreux dominant Blaze, et le pauvre, petit, faible et mignon oméga qui doit être sauvé. Cliché. Mais j'ai aimé Conner et Darric. Surtout Conner en fait.

La plus grosse difficulté dans un ménage, c'est d'équilibrer la relation et les personnages. Déjà, à deux, ce n'est pas toujours simple d'avoir des personnages bien construit. À trois, ça se corse vraiment parce qu'il ne faut pas mettre un des amants plus en avant ou de côté. Alors à quatre je ne veux même pas imaginer ! Je dirais qu'ici, c'est pas mal. Pas parfait (et la perfection n'existe pas) mais ça aurait pu vraiment être plus casse gueule (si vous me permettez l'expression). En fait, j'ai eu ce sentiment que Blaze était plus à part que les deux autres Alphas. Il est LE dominant, LE plus fort, LE plus viril aussi (c'est ce que m'ont fait ressentir les descriptions en tout cas). Alors que normalement, Conner et Darric sont ses égaux. Il y a bien une espèce d'explication par rapport à leur rôle et leur "pouvoir" mais franchement ça ne m'a pas convaincu. Le pouvoir de Conner est sans doute le plus intéressant. Celui de Darric... je le plains et surtout il n'a pas vraiment été mis en avant dans ce tome. À voir s'il sert vraiment dans la suite. Quant à Blaze. Bon bah on a notre dominant qui gère tout, qui doit tout régler lui-même, qui est le porte parole et j'en passe.

Je n'aime pas le personnage de Blaze (c'est subjectif). Il ne correspond pas à un personnage avec assez de variation d'émotion et de caractère pour me plaire. J'ai l'impression qu'il est sur un seul plan alors qu'une personne en a une multitude.

Conner n'est pas non plus parfaitement construit mais je le trouve plus "humain". Dans ce tome, on peut voir sa faiblesse alors qu'il est l'un des trois grands Alphas choisit/envoyé par la déesse Sirius. Il a plus de tons différents je dirais. Plus que Blaze en tout cas.

Darric est entre les deux je dirais. En fait, sur la fin du tome j'ai un peu l'impression qu'on en parle moins. L'auteure, me semble-t-il, s'est plus focalisée sur l'inquiétude et la colère de Blaze et l'état en voie de guérison de Conner. C'est l'impression que j'ai eu et j'en suis désolée pour Darric car il mériterait d'être plus développé sur son caractère.

Parlons d'Aden. Ah Aden, si bon, si juste. En vérité, je le critique mais il m'a fait pleurer. Il y a tout un passage très sombre où j'ai adoré le voir sombrer dans un désespoir tel qu'il ne voit plus qu'une seule issue. Oui, j'ai pleuré et pas qu'un peu. Parce que c'était poignant, touchant, très sensible. Ce passage est l'un des plus réussis à mon goût. Il a su faire naître en moi une émotion assez forte pour m'arracher des larmes. C'est ça que je recherche, en tant que lectrice, lorsque je commence un roman : de l'émotion.

Outre ce passage, Aden est parfois un peu énervant. En fait, lui aussi manque de variation de tons dans son caractère. Il est foncièrement gentil, généreux et aimant. Un peu trop blanc à mon goût. Il a parfois des réactions étranges, ou alors zéro réaction. Sur la fin du livre, j'ai trouvé excessif cette idée encore que Blaze ne l'aime pas. Au début, ok. Il y a des raisons. Mais pas à la fin ! Ce n'est pas parce que Blaze est un tout petit peu contrarier qu'il ne l'aime pas, qu'il ne le désir pas ! J'ai eu l'impression que ce sentiment était forcé, qu'il n'était qu'un prétexte pour réunir les quatre amants.

C'est ça qui est assez mitigé dans ce livre. Il y a des scènes vraiment géniales, et d'autres qui sonnent vides à mes oreilles. C'est dommage.

Il y a peu de scènes de descriptions dans ce livre. C'est seulement le deuxième que je lis de cette auteure mais j'ai l'impression que ce n'est pas son fort. C'est vraiment dommage parce qu'ici, ça manque un peu parfois. En revanche, je n'ai rien compris à certaines scènes intimes entre les loups. Ils sont quatre, alors forcément, c'est assez compliqué de décrit les scènes de sexe. Du moins, c'est plus difficile qu'avec seulement deux personnages. Le problème, et je le redoutais, c'est que parfois, je ne comprenais pas du tout qui était où et faisait quoi. J'ai été plusieurs fois perdu, ne comprenant pas la position des personnages, si Aden faisait dos à tel Alpha, ou qui lui faisait face etc. C'est dommage, ça me faisait décrocher de l'instant quand ça arrivait.

En vérité, je m'attendais à plus de scènes de sexe après avoir jeté un coup d'oeil aux commentaires ici. J'avais vraiment peur qu'il n'y ait que ça, mais au final, ça va. Oui, il y en a. Et c'était inévitable, aussi bien parce qu'on a une relation entre quatre hommes, mais en plus c'est une histoire de métamorphe (et pardonnez le cliché, mais souvent, c'est pire dans ce genre d'histoire. Limite c'est un prétexte). Je trouve qu'il n'y en a pas tant que ça pour ces conditions. La qualité est cependant médiocre à mes yeux, et je l'ai expliqué plus haut pourquoi.

L'intrigue en elle-même est plutôt intéressante. Bon, il y a des côtés forcés, comme avec le médecin de l'ancienne meute d'Aden, mais il y a une certaine cohérence. Ça ne sort, pas trop, de nulle part. C'est correct, je dirais. L'auteure, semble-t-il, s'est arrangée pour rester en terrain connu en rapatriant ses Alphas aux Etats Unis alors qu'ils sont originaires du Nepal. Ah vous allez dire que ce n'est qu'un détail mais pourquoi toujours les Etats Unis ? Ça aurait été grandiose au Nepal, non ?

Il y a cette histoire de terrorisme où je suis sur la réserve. C'est un sujet sensible et je ne suis pas contre le mettre dans des romans. J'attends simplement de voir comment Victoria Sue va le modeler. Pour que ce soit réussi, il va falloir être subtile et sans doute abandonner ce terrain américain connu. Il va falloir pousser au détail et jouer des mots. J'insiste dessus parce que ça peut vite partir sur quelque chose d'extrêmement cliché, d'incohérent et d'agaçant à lire. C'est un pari risqué.

La plume de l'auteure n'est pas l'une de celles que je préfère mais elle se lit bien. C'est simple et efficace. Ça se lit avec fluidité, avec un vocabulaire qui n'est ni trop lourd ni trop pauvre. Les dialogues sont parfois un peu bizarre dans le sens où certain, je n'en ai pas vu la logique. Je ne sais pas si c'est la traduction ou si l'auteure a été trop dans le sous-entendu mais parfois je suis restée dessus sans comprendre l'intérêt ou le véritable sens d'une réplique.

En outre, j'ai passé un bon moment à lire ce livre malgré ces quelques points négatifs. J'ai envie de connaître la suite et surtout j'espère que les personnages principaux vont être davantage développés !

J'attends la suite avec impatience !

Bof. Livre hyper décousus par moment on ne comprend pas trop l’histoire. C’est un peu brouillon. Tout se passe vite. Je lirais la suite pour suivre notre cercle