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Commentaires de livres faits par LynnRenier

Extraits de livres par LynnRenier

Commentaires de livres appréciés par LynnRenier

Extraits de livres appréciés par LynnRenier

Un premier tome que j'ai littéralement dévoré. Un style plaisant, une lecture fluide et presque addictive. Cornélia Funke nous entraîne dans un monde sans nul autre pareil, où les contes et les légendes prennent vie! Tout pour plaire aux amoureux de fantaisie pure.

Chaque fin de chapitre est un appel irrésistible vers le suivant. Et il est difficile de lâcher le roman, poussé par la curiosité. Les personnages sont profonds, et on ne peut que s'attacher à eux et vouloir les suivre dans leur incroyable aventure. Jacob, chasseur de trésors de contes de fées, nous entraîne à sa suite dans ses fabuleux voyages où lutins et magiciens sont bien vivants. Je n'ai pu que me laisser prendre au jeu.

La précédente série de l'auteur, Coeur d'Encre est un époustouflant voyage, et Reckless est dans sa digne lignée. N'hésitez pas à partir à l'aventure aux côté de Will, Jacob et Fox. Vous ne le regretterez pas! Je m'en porte garante!
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date : 23-11-2016
Un témoignage poignant que l'on devrait tous lire, afin d'éviter que pareille histoire ne se reproduise à l'avenir. Nous ne devons pas oublier toute l'horreur dont l'être humain peut être parfois capable, pour que jamais pareille tragédie ne recommence.

Un récit pour nous faire comprendre aussi que chacun d'entre nous aurait pu être à sa place, que ça aurait pu être nous. Cette histoire n'a rien de fictif, c'est une réalité, une effroyable vérité qu'il ne faut pas oublier.

Le journal d'Anne Franck est là, témoignage indispensable à chacun, pour que notre mémoire ne s'efface pas sur les actes ignominieux de l'être humain envers ses semblables. Nous avons tellement à apprendre de l'Histoire, ne manquons pas l'occasion d'en tirer d'importantes leçons.
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date : 23-11-2016
Profonde déception à la lecture de ce roman. Je ne m'attendais pas à ce que ce soit aussi niais et puéril. Le résumé me parlait bien, mais la lecture est ennuyeuse et sans surprise. Le déroulement de l'histoire m'a profondément déçue, c'est bien dommage. Je ne m'attendait pas à ça. J'imaginais beaucoup plus au vue du résumé.

Lucy est un personnage auquel je n'accroche pas du tout et ses déboires avec ses amis sont incompréhensibles. Je n'ai même pas eu envie de lire les tomes suivants, bien trop dégoutée pour continuer. Clair, net, précis. Pas besoin d'y passer des heures en arguments.
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date : 23-11-2016
Bien que le début soit un peu long en description, on finit par accrocher. Je m'explique. J'ai pris une pause pour digérer la première partie lue pendant l'été (lecture au bord de la piscine) qui amène petit à petit la suite, et qui est très descriptive et détaillée. En effet, elle relate la vie passée de Jake, notre loup-garou suicidaire et blasé. Ce qui est fort utile pour comprendre le personnage central, et qui peut sans doute sembler long pour certains. Mais après avoir repris (deux trois livres lus entre temps), j'ai mis moins d'une semaine pour lire les deux parties suivantes. L'intrigue ayant pris place, les évènements se sont enchainés sans que l'on parvienne à décrocher une minute.

Dans ce premier tome, Jake (Jacob de son prénom et dernier loup-garou de son état) nous relate son passé, de sa première métamorphose à ses derniers mois de vie, par l'intermédiaire de son journal. Car il sait qu'il va mourir et tend à relater son histoire pour qu'elle ne soit pas oubliée. Alors, évidemment, les premiers chapitres sont un peu longs mais utiles pour comprendre.

Rapidement, son journal prend une toute autre tournure et Jake se rend compte que sa personne est un sujet de discorde au sein de l'OMPPO (Organisation Mondiale pour la Prédation des Phénomènes Occultes). Dernier représentant de sa race, la question se pose à savoir s'il doit subsister ou non. Pour Jake, pourtant, la question est réglée depuis longtemps, il veut en finir avec cette vie qui dure depuis plus de deux cents ans.

Seulement, alors que la dernière chasse approche, les chasseurs de l'OMPPO sur ses traces, ses certitudes basculent et il se met à douter de sa décision. Sa rencontre inattendue avec la jolie Talulla lui rend l'envie de vivre, de se battre pour survivre, de vive pour elle. Un revirement touchant devant cet amour naissant et presque immuable entre le loup-garou suicidaire et la jeune louve perdue. Tout pourrait être parfait. Mais c'est sans compter sur les vampires, qui ont décidé de venir jouer les troubles fêtes. Ah je m'en serais bien passée de ces sangsues visqueuses (Jake les appelle aussi ainsi)! Mais pas de loups-garous sans vampires, n'est-ce pas?

Ces morts-vivants ambulants cherchent à capturer le loup-garou car sa morsure pourrait leur permettre de survivre au soleil (blague!). Ne voulant pas finir ses jours en qualité cobaye dans un laboratoire empli de sangsues, Jake fait tout son possible pour protéger Talulla, récemment mordue par un loup-garou et découvrant tout juste le monde dans lequel elle est plongée désormais. S'en suit alors une véritable fuite et pourchasse mêlées. Et c'est là que le livre devient prenant! Dès sa rencontre avec Talulla, la personne de Jake se transforme, son écriture aussi, son opinion également.

Pour ce qui est de la lecture: elle est relativement fluide, plutôt agréable. Parfois empreinte d'émotions fortes, parfois aussi nous fait rire. L'utilisation de la première personne nous plonge immédiatement dans l'histoire. Parfois, Jake s'égare dans ses souvenirs, mais c'est ce qui rend le récit plus vivant. On y retrouve même des faits historiques (Seconde Guerre, Khmers Rouges, Darfour), auxquels le loup-garou a participé ou assisté. Ce qui ne fait qu'accroitre cette impression de réalité.

On rencontre des personnages hétéroclites: ils sont tout autant attachants, drôles, flippants ou répugnants. Entre les chasseurs, les vampires, les relations de Jake et les autres. Un beau mélange de personnalités différentes. Bien qu'on s'attend évidement à ce que certains ne subsistent pas jusqu'au prochain tome.

La fin, inéluctable, arrive et on s'y attend depuis la première page lue. Bien qu'on aurait souhaité que les deux loups-garous puissent avancer ensemble encore un peu, que Jake en apprenne d'avantage à sa douce Lu sur sa nature lycane. Mais tout ne s'arrête pas avec la disparition de Jake, car Talulla est toujours là, que ça plaise ou non à certains! Alors, vampires soyez prévenus: le dernier-loup garou est là!
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Un livre magnifique qui m'a énormément touchée. A l'image du Journal d'Anne Franck, c'est l'histoire d'une fillette qui tente de fuir la guerre et ses horreurs. Misha veut retrouver sa famille, et entreprend alors un voyage inimaginable à travers l'Europe divisée.

On se rend alors compte que les frontières sont tellement subjectives. Que, comme les oiseaux passent de pays en pays, comme les nuages couvrent deux nations sans distinction, elles sont si peu de chose et tellement franchissables.

Je ne pourrais en dire plus, je pense qu'il faut le lire pour comprendre. Et même le fait d'avoir appris plus tard que ce n'est qu'une fiction et non une histoire vraie, n'a rien enlevé à ce sentiment que j'ai eu en le lisant. Une perle de roman où les loups y trouvent une juste place. Et où, pour une fois, ils ne sont pas diabolisés injustement.
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date : 23-11-2016
En deux mots: grosse déception!

En toute honnêteté, je ne m'attendais pas à une telle histoire au vu du résumé. Et la déception ne m'a pas lâché tout au long de ma lecture. On commence dans un monde moderne gouverné par la méchante belle mère de Blanche Neige. On ne comprend pas vraiment, tout semble si complexe. On se lasse même assez vite des possibles péripéties.

L'auteur mélange les contes (Chaperon Rouge, Cendrillon, Blanche Neige, Belle au Bois Dormant) et les met à la sauce "an 2000". Dommage, cela enlève tout le charme de ces récits des frères Grimms. On y retrouve également le Loup, le Traqueur et marraine la Bonne Fée. C'en est presque dérisoire.

Le Loup passe pour un monstre sanguinaire qui ne cherche qu'à tuer nos "chères" princesses de contes. Ce que je regrette profondément. Même si les loups-garous ne sont pas des tendres, ce ne sont pas des êtres aussi abjectes pour autant. Quant à Blanche Neige, que j'appellerais plutôt Blanche Niaise, elle est pathétique et on aimerait bien qu'elle se réveille un peu. Même Virginia, le Petit Chaperon Rouge, qui nous semblait avoir un peu de caractère, finit par nous décevoir quelque peu par la suite. Pour ce qui est de Cendrillon et de la Belle au Bois Dormant, on ne fait que les mentionner. Leur disparition tragique, ou pas, ne nous fait pas plus d'effet que ça. Elles ne manquent pas à l'histoire, croyez-moi!

Le pire sans doute est que les héroïnes ne se souviennent pas de leur passé. Ce qui exaspère un peu plus encore. On le découvre en même temps qu'elles, ce qui n'est pas plus mal et rattrape un peu le tout. Mais ce n'est pas suffisant pour amener un peu de crédibilité à l'ensemble.

On se surprend presque à préférer Marilyn, belle-mère et sorcière, et à l'appuyer dans sa quête d'assassinat des demoiselles. Elle met un peu de piquant à cette histoire morne et sans grand intérêt. Mais si peu. J'irai même jusqu'à dire que j'attendais avec impatience que le Loup dévore les deux jeunes filles crédules. Ce qui n'arrivera pas, tant pis pour moi lol.

On soupçonne le Traqueur et le Loup d'être liés bien plus que par le fait d'être simplement chasseur et chassé. Moi qui pensais y trouver un personnage intéressante, j'ai été profondément déçue. Et pour ce qui est des 7 nains qui ne sont plus que 2, ils nous ennuieraient presque. Puis, quand apparait marraine la Bonne Fée, c'est l'apothéose! Et j'ai oublié de parler du prince charmant, mais en vaut-il vraiment la peine? Blond et pas que de couleur de cheveux, bête à vouloir le frapper, pas vraiment indispensable. En bref, ça promet...

Je n'en dirais pas plus sur un livre qui n'en vaut pas vraiment la peine. La fin est incompréhensible, on en perd le fil de l'histoire. On l'aurait presque prédit, à quelques détails près bien sûr, tellement cela semblait évident. On découvre avec étonnement que les personnages sont tous liés les uns aux autres, et pas uniquement à travers l'histoire, mais aussi de par les contes desquels ils ont été sorti. Cependant, la déception plane jusqu'au bout sans que l'on puisse parvenir à trouver un passage digne d'intérêt. Dommage, le résumé était prometteur. A se demander ce que l'auteur est allé chercher pour écrire un tel dénouement...
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J'aime beaucoup. Un policier rondement mené, dans le style si plaisant de Conan Doyle. On en redemanderait presque. Seul point négatif, le Sherlock Holmes n'est pas aussi sombre que le véritable détective que l'auteur a imaginé. Version ado oblige je suppose. Mais l'intrigue est là, le suspense aussi.

Et moi qui n'accroche d'ordinaire à ce genre de livre, et qui prévois facilement la fin à peine quelques chapitres lus, je n'ai ici pas eu le temps de formuler mes propres hypothèses sur l'enquête. J'apprécie d'être surprise par l'histoire et de ne pas tout deviner à l'avance.

Voilà un moment que je l'ai lu (quelques années déjà) et j'en garde toujours un bon souvenir. Une lecture agréable et fluide. Dans le pur style du célèbre écrivain!
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Dans ce second tome, on a beaucoup de plaisir à retrouver nos trois jeunes héros Matt, Tobias et Ambre dans leur aventure à travers cet autre-monde qu'est devenue notre planète après la Tempête. Partis à la recherche des Pans disparus ou enlevés par les Cyniks, à la découverte de ce que l'on peut désormais trouver au delà de ce que les Longs-Marcheurs (entendez messagers des différents clans de Pans entre eux) et pour fuir le Raupéroden connaissent, l'Alliance des Trois s'en va vers la Forêt Aveugle. Et c'est en ce lieu, appelé aussi Mer Sèche, qui délimite ce que connaissent les Pans, que le trios rencontre alors d'autres jeunes rescapés auxquels ils ne s'étaient pas attendus.

La planète a apporté ses forces aux plus faibles afin de les aider à combattre les plus forts. Et ces êtres faibles, qu'ils soient plantes, animaux ou humains, ont tous développé des capacités surprenantes si ce n'est impressionnantes. Et les Kloranpanphylles ont de quoi étonner dans leur genre. Et tout comme Ambre, on aimerait en savoir tellement plus sur eux! Mais je n'en dis pas d'avantage, pour vous laisser le plaisir de le découvrir si l'envie de lire vous tente. Car ce second tome est aussi prenant que le premier, et on n'a énormément de mal à décrocher. Notre curiosité est mise à rude épreuve. Et on voudrait presque que ça aille plus vite!

On en apprend également plus sur les effets post-Tempête, sur l'effrayante mission des Cyniks, de quoi donner des frissons. Et sur cette Reine Rouge qui se fait appeler Malronce. Mon esprit Sherlock Holmes s'y attendait un peu. Mais saurez-vous découvrir l'identité de cette mystérieuse souveraine autoproclamée qui inquiète tant les Pans? Je vous invite à mener l'enquête!

Je ne reviendrais pas sur ce qui rend cette série innovante, car je m'y suis longuement penchée dans l'avis que j'ai laissé au premier tome. Mais je dois avouer que cette nature reprenant pleinement ses droits est un concept qui me parle énormément et que j'approuve grandement!

Pour ce qui est de la suite, je pense sérieusement à continuer l'aventure aux côté de Matt, Tobias et Ambre dans le troisième opus de la série, qui clôture le premier cycle. L'auteur nous laisse dans l'attente, avec la promesse d'un dénouement épique et des révélations alléchantes. Et aussi histoire d'avoir une finalité à leur quête et pour en découvrir encore plus sur cet Autre-Monde que l'auteur nous fait découvrir à mesure que notre lecture avance!
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Un roman qui se trouvait dans ma liste d'envie et qu'une amie a eu la judicieuse idée de m'offrir pour Noël. Et quand je dis "judicieuse", ce n'est pas ironique. Car bien que j'hésitais grandement à me lancer dans cette série, le premier volume m'a laissé une bonne impression.

Matt est un personnage qui plait. Malgré son jeune âge, il est réfléchi et débrouillard. Car quand il découvre que le monde à changer, il ne peut que compter sur lui-même pour survivre. On se prend au jeu de suivre son périple à travers ce nouveau monde où la nature semble avoir repris ses droits et où les hommes ne sont plus ce qu'ils étaient. Seuls une poignée d'enfants semblent avoir survécus et Matt s'en va les retrouver avec son ami Tobias. Tous deux se mêlent à un système dans lequel chacun à son rôle. Delà dépend la survie de tout un groupe.

Mais certains évènements viennent perturber les rouages de la petite communauté. Les adultes ayant survécus à la catastrophe, devenus dangereux pour les plus jeunes, cherchent à les enlever. Seulement, il semblerait que l'île sur laquelle les enfants survivants se croyaient à l'abri de leurs aînés ne soient pas si protégée que cela. Matt sent que quelque chose se trame et décide de mener l'enquête, Tobias et Ambre avec lui. Ce qu'il découvre alors est au-delà de ce qu'il imaginait. L'intrigue est menée avec main de maître, le thème d'une nature révoltée contre l'espèce humaine est une brillante idée qui pourrait se révéler vraie dans l'avenir. Nous devrions y réfléchir plus sérieusement avant qu'il ne soit trop tard.

Et si Maxime Chattam avait vu juste pour le futur? Ce serait fort possible. Car son analyse est bien fondée, ce qui vaut à ce roman un attrait tout particulier. L'idée que la planète se révolte, que la nature se rebelle et que l'homme se voit obligé de survivre dans un monde qui lui est devenu hostile, tout ça me plaît. C'est pourquoi j'ai bien accroché au récit. Et plus on avance, plus on a envie de savoir ce qu'il va advenir de Matt et de ses amis. Car la curiosité nous prend après le premiers chapitres et l'arrivée de la tempête.

Si un peu de fiction fantaisiste et de sciences et biologie en tout genre ne vous font pas peur, lancez-vous. Car ce livre vaut vraiment le détour! En plus d'un style qui se dévore, il nous offre une vue possible de ce que serait le monde si l'homme continuait à le détruire comme il le fait. Il serait temps que l'on prenne conscience que la nature est à respecter, qu'elle est importante pour notre survie autant que pour celle du monde dans lequel nous vivons. Je recommande donc ce livre à tous ceux qui auront le courage d'apprendre pareille leçon, avec toute l'imagination riche que l'auteur peut nous offrir.
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Graceling est un roman que l'on a du mal à lâcher tant que l'on ne l'a pas fini. C'est un petit bijou d'aventures et on ne se lasse pas une seconde de le lire. La plume de Kristin Cashore est plaisante, enivrante, charmante. Son style plait et nous séduit.

Ses personnages sont riches, complets, passionnant. Suivre Katsa est un véritable plaisir et on a hâte de poursuivre avec Bitterblue, le troisième opus de la série, pour en savoir plus sur l'histoire cette jeune héroïne rencontrée au côté de Pô et de la jeune tueuse.

En espérant que ce tome trois à venir soit à la hauteur de nos attentes!
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date : 23-11-2016
Une histoire qui se lit assez vite, un style plaisant et facile à suivre. Un peu trop simple parfois, je trouve. Un livre court et divertissant, qui se déroule sur plusieurs années, mais qui manque cruellement de belles descriptions plus complètes qui auraient étoffé le récit. Des personnages principaux simples que l'on reconnait tout de suite et dont on sait juste ce qu'il faut en savoir, sans plus. Le chasseur n'a même pas de nom. Et il fait un peu cliché dans le genre.

Il n'y a pas de réelle profondeur à l'histoire. Tout se passe très vite, trop vite. On suit l'évolution de Gris-Loup sans en savoir d'avantage, ce qui est vraiment dommage car la curiosité est bien là lors de la lecture. Une fin qui arrive trop vite, et qui laisse pantois. On ne comprend pas, on veut en savoir plus. Comme si on nous laissait sur notre fin sans explication. De fait, on a (presque) du mal à s'attacher aux protagonistes.

Une jolie histoire, qui nous fait verser une petite larme tout de même, mais qui me donne le sentiment toutefois que le texte a été survolé et peu travaillé par son auteur. Il y aurait tellement eu à dire, à faire découvrir avec une trame pareille, que j'ai eu un petit sentiment de déception en terminant de lire ce livre. C'est l'auteur en moi qui doit parler, désolée.

Ce que je tiens à noter malgré ce: une belle leçon que l'auteur nous offre sur la bêtise humaine, et le besoin que nous devrions tous avoir à tenter de préserver les espèces en voie de disparition. Il aurait seulement dû approfondir un peu plus à mon goût, c'est dommage. Ça en aurait fait un très beau livre et une histoire touchante et plus marquante encore, s'il s'en était donné un peu plus de peine.
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C'est un peu confus. En réalité je ne sais qu'en penser vraiment. Je ne saurais faire un avis constructif sur ce livre.

C'est une histoire courte sur la relation, quelque peu étrange, entre Raoul, un jeune homme de 17 ans, et son énigmatique maîtresse Clarimonde, baronne de Mortemare. Se dire que tout ceci est sans doute une histoire vraie pourrait donner des frissons.

C'est Raoul qui nous compte son histoire et on découvre avec lui les secrets du domaine de Mortemare. On fait la connaissance d'un domestique muet et brute, d'un baron vieillissant et peu loquasse, et d'une dame au physique curieusement éternellement jeune.

Le garçon se retrouve entraîné dans une histoire qui le dépasse. Il en apprend un peu plus sur le passé des autres. Passé un peu sombre il faut l'avouer. On apprend aussi la curieuse disparition du fils de Clarimonde, Jacques. On rencontre également, au détour d'un récit, le mystérieux Hagen, qui se révèlera être la clef de tout ceci.

Les scènes de sexe restent relativement "correctes", surtout après avoir lu plusieurs ouvrages bien plus penchés sur le sujet (les collections Noctures des Editions Harlequins par exemple). Mais les relations adultères, les étranges liens de parentés complexes, l'évidente cruauté cachée de Clarimonde et les descriptions des lieux nous mettent quelque peu mal à l'aise. Rares moments où je reprenais mon souffle: l'arrivée des loups dans le récit.

Comment mettre un avis sur un livre qui me déconcerte un peu? C'est pourquoi je n'arrive à dire vraiment ce que j'en pense. Seulement, ce n'est pas un ouvrage incontournable. A vous de vous faire une opinion à l'occasion.
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date : 23-11-2016
Je connaissais déjà les romans de Pierre Botterro, et j'aimais particulièrement son style, ces mondes qui lui sont propres dans lesquels il nous faisait voyager. Alors, quand on m'a parlé de celui-ci, je n'ai pu résister bien longtemps et ai sauté sur l'occasion de le lire.

C'est une amie qui m'en a parlé. Elle avait adoré en parcourir les pages. Et moi qui avait vraiment apprécié ses deux autres séries (Ewilan et Le Pacte des Marchombres), j'ai été très tentée. Comme toujours avec les livres de Maître Botterro, j'ai aimé me plonger dans sa dernière oeuvre.

Son style toujours plaisant, tout en poésie, a su me charmer une fois encore. La douceur de son texte nous entraîne agréablement dans une histoire passionnante donc on ne parvient à se décrocher. Nawel est une jeune femme à laquelle on pourrait s'identifier. Elle a du caractère, comme souvent les héroïnes de l'auteur. Et c'est ce que j'apprécie principalement aussi.

Les descriptions sont complètes, fluides et sans lourdeur. Le récit nous captive, on se prend au jeu, on veut en savoir plus, toujours plus. On a presque le sentiment d'être aux côtés de Nawel, de la suivre et d'être dans son monde, avec elle.

Les mondes imaginés par Pierre Botterro nous captivent vraiment, ils sont complets, avec des peuples propres, caractéristiques et divers, si bien décrits qu'on y croirait. Au cours de mes lectures, je me serais vraiment cru là bas, au milieu des Douze Cités. C'est un sentiment d'évasion qui me plait et qui enivre. On en redemande. Encore et encore.

La jeune Nawel découvre ce monde dans lequel elle vit, mais qui lui est pourtant si étranger. Les murs de sa prison dorée une fois tombés, elle se rend bien compte qu'elle a été élevée à l'écart du reste du monde. La richesse, la noblesse dont elle est entourée est coupée de la réalité et c'est en s'apercevant de cela que sa vie va changer.

Une histoire qui pourrait être une de celles d'aujourd'hui, si contemporaine derrière l'aventure de l'histoire en elle-même, avec cet aspect de différences entre castes sociales. J'ai apprécié cet angle de vue que l'auteur nous fait partager avec son héroïne un peu rebelle. Et c'est ce qui me fait accrocher à l'histoire pour partie.

Car que dire des romans de Pierre Botterro si ce n'est que ce sont des chefs-d'oeuvre complets, réalisés avec beaucoup de finesse, d'objectivité sur le monde réel et tant d'imaginaire et de fantaisie qu'il nous emporte avec lui dans sa bulle, au milieu des fées et des dragons.

Je ne cacherais pas que je suis une grande amoureuse de ses histoires. Je ne me lasse pas de ces voyages au delà du réel et du temps dans lesquels il nous fait voyager, par la seule magie des mots qu'il manie avec beaucoup de talent.

La fin de ce tome nous met l'eau à la bouche. Mais c'est à nous d'en imaginer la suite, car malheureusement, et c'est mon seul regret, cette série n'a jamais pu être achevée et elle n'aura jamais de suite. Maître Botterro nous a quitté bien trop tôt, nous laissant orphelins de sa poésie fantastique. J'espère que par ses romans, il continuera d'exister et de charmer des générations d'amoureux de belles histoires emplies de magie, de personnages inoubliables et des créatures incroyables.

Si je n'avais qu'une chose à dire: osez vous lancez dans l'aventure d'une lecture magnifique qui vous fera vous évader dans un monde surprenant et qui ne vous laissera certainement pas indifférent!
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En toute honnêteté, c'est la couverture et ce magnifique oeil de loup qui m'ont attiré au prime abord. Et le titre me parlait, alors que demander de mieux. Puis, à la lecture du résumé, je me suis dit "pourquoi pas". Et je me suis lancée dans l'aventure, à la recherche de la "Bête", que j'ai fini par trouver. Pour tout dire, je ne sais pas trop quoi en penser dans le fond, même si je ne me suis pas vraiment lassée. Explications.

L'histoire débute sur la première attaque de la "Bête" et l'intrigue prend alors place. On suit l'enquête aux côtés du commissaire Boissy et du docteur Juillet. De part leur métier, les deux hommes sont souvent côte à côté sur le dossier de la "Bête" de Villeroy, qui est, sans surprise, un loup. Mais la tournure que prend l'affaire laisse quelques surprises. Le commissaire en charge de l'enquête est persuadé que l'homme n'est pas étranger à ces attaques et que l'animal est mené. Je dois dire qu'il n'a pas été le seul à le penser, l'hypothèse m'est venue à peine la lecture commencée. Et sa théorie tend à se confirmer à mesure que la lecture avance.

Mais pas seulement, car les rebondissements sont là pour nous faire douter, de même que les suspects se font plus nombreux. Bien que le Sherlock Holmes en moi n'est pas été dérouté de sa piste et qui, soit dit en passant, ne s'est pas vraiment trompée non plus, une fois de plus. En effet, l'histoire est bien plus complexe que ce qu'il n'y parait. La communauté Rom a une grande place dans ces intrigues qui n'est pas exclusivement tournée vers les attaques de la "Bête". L'histoire de Maria, son jeune frère Django et les siens, est intimement liée à celle de ce loup qui attaque les gens pour les défigurer. Cependant, je ne saurais en dire d'avantage sur ce sujet sans spoiler le roman. Et je vous laisse le plaisir de le découvrir si le coeur vous en dit.

Pour ce qui est de mon point de vue, il est sans équivoque. Et comme le dit si bien Gianni, ce jeune homme meurtri, qui a une place bien plus importante dans l'histoire qu'on ne pourrait l'imaginer: un loup se méfie de l'homme depuis toujours et ne viendrait pas l'attaquer sans raison. Mais si un homme le commande, le loup devient un chien terriblement féroce et dangereux. Ce garçon, travaillant pour les Eaux & Forêts, et préférant la compagnie des animaux de la forêt plutôt que celle des hommes, m'a touché. La forêt et ses habitants n'ont aucun secret pour lui, et bien mal avisé celui qui en douterait. J'ai trouvé l'auteur bien cruel avec ce jeune personnage attachant malgré tout. Et je dois même avouer que j'ai versé une petite larme à la fin du livre.

J'ai bien apprécié le style de l'auteur et la lecture a été fort agréable. Je ne peux dire de mal de ce livre, car il ne m'a pas laissée totalement indifférente. Et, sans pour autant vous dévoiler toute l'intrigue, je vous invite donc à suivre la piste de la "Bête" de Villeroy afin de découvrir les secrets de la forêt.
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Avant d'aller voir le film au cinéma, je voulais m'en faire un avant-goût par le roman. Et je n'ai pas été déçue. Ça répondait à mes attentes et j'ai adoré la version revue et corrigée du Petit Chaperon Rouge.

Le résumé donne l'eau à la bouche et l'histoire pleine de rebondissements. On reste sans voix lorsque l'on découvre l'identité du Loup. Même si nos soupçons commençaient à être fondés, on ne s'attend pas à cette révélation. Le personnage de Valérie est sympathique bien que ses choix en ce qui concerne les garçons laissent à méditer. Personnellement, je n'aurais pas hésité (je me comprends).

Cela correspond tout à fait, à quelques détails près, à ma vision du conte des frère Grimm. Ma passion des loups l'emportant sans doute sur la gamine et la vieille dévorées. On retrouve tous ces personnages, avec un peu plus de profondeurs et de personnalité. Vraiment agréable! Évidement, comme tous les films Hollywoodiens, l'histoire ne se termine pas dans un bain de sang, ou presque.

Quant au film, que je n'ai pas manqué d'aller voir en salles, il est la retranscription quasi parfaite du roman. Ça fait plaisir de voir, que pour une fois, on ne déforme pas l'histoire (je ne citerais pas par soucis de faire de la publicité, mais tout le monde voit certainement de quoi je parle). Les effets spéciaux sont sublimes et le Loup magnifiquement bien fait. On voit que la réalisatrice s'est entourée des mêmes techniciens que pour les films de Twilight (malgré ce que je peux penser de ce film niais où le seul attrait sont à mes yeux les loups-garous). Mais revenons à nos moutons!

Ce livre est pour moi un incontournable. Je sais de quoi je parle, et au regard de ma bibliothèque lupine, je pense que l'idée est passée. J'aimerai que plus de romans de ce genre soient écris et publiés. Ça changerait un peu des vampires boules à facettes et autres suceurs de sang dont je ne supporte plus les histoires redondantes.

Seul point négatif à cet ouvrage: il nous faut aller chercher le dernier chapitre sur le site des Éditions "Michel Lafon". Je ne comprends pas l'intérêt de ne pas le mettre à la fin, comme s'est fait d'ordinaire. A part ça, ce roman nous permet de redécouvrir un des plus célèbres contes à la sauce loup-garou!
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Un style auquel j'ai accroché tout de suite. En effet, cela ressemble un peu à ce que j'écris. De fait, je ne pouvais qu'aimer.

Tout débute dans le monde réel avec un jeune Nathanaël (appelé Naël) en quête d'identité. Son univers bascule quand il se réveille dans un autre monde, plus ancien. Débute alors pour lui une incroyable aventure.

Notre narrateur est son fidèle Anook, un chien de traineau qui l'a suivi sur Huldréane. Et cela donne du vécu à l'histoire. J'ai apprécié d'avoir l'avis d'Anook fils-de-personne pour nous accompagner dans le récit.

La première partie du livre se déroule sur plusieurs saisons. Notre jeune héros se fait à sa nouvelle vie au milieu du peuple des Skyrwen. On suit alors son évolution dans cette communauté de paysans et artisans pour qui les Dieux ont une grande importance. Kéléan, le Dieu bélier principalement. Naël apprend alors à mieux connaître leur croyance et leur mode de vie. La jeune chasseresse Yol'Ana l'y aidant grandement, et pas seulement. Car tous deux semblent très proches à mesure que l'histoire avance. Chut! Je n'en dis pas plus, il vous appartiendra d'en savoir d'avantage.

Dans la seconde partie, les choses s'accélèrent vraiment, et il devient difficile de lâcher le livre. Naël prend la place de guide du peuple Skywen et il lui incombe alors les responsabilités liées à son rang. Les eaux continuent de monter, et l'armée des Sans-Visage ne cessent de persécuter le village de paysans. Une décision importante est à prendre et Naël ne recule pas. Pour défendre ce peuple devenu le sien, il part donc en quête de solutions. Commence alors la véritable aventure! On rencontre enfin les autres peuples d'Huldréane (trolls, garous, amazones, demi-dieux). Et là, s'il nous était seulement permis, on ne pourrait plus fermer le livre avant d'en avoir lu la fin.

Mais les aventures de Naël ne se terminent pas là. La troisième partie du livre nous cache encore bien des choses que la curiosité nous oblige à vouloir en savoir plus. Un lien évident semble exister entre le monde d'Huldréane et le monde réel (le nôtre). Pour découvrir ce qui pousse les eaux à envahir les terres, partez donc à l'aventure et préparez-vous à quelques surprises!

J'ai hâte de pouvoir lire le second tome, qui semble plein de promesses.
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Après avoir lu Tara Duncan, je n'ai pas pu m'empêcher de venir à la rencontre d'Indiana Teller. Et j'ai été ravie de faire sa connaissance. Un univers tout aussi addictif que celui de la jeune sorcière et qui nous rend presque accros. Un personnage que l'on suit sans se lasser. Une histoire qui se dévore. Bref, je n'ai rien à redire sur ce premier tome mis à part que je me suis régalée.

On découvre un monde très proche du nôtre, où loups-garous et autres créatures extraordinaires vivent au milieu des humains en toute discrétion. Enfin, ça c'était avant qu'Indiana ne découvre qu'un complot se trame au sein de la meute de loups-garous d'Amérique du Nord. Et que le secret de l'existence de ces êtres risque d'être révélé à la face du monde. Mais ça, nous y reviendrons plus tard.

Le récit à la première personne nous plonge immédiatement dans la tête du jeune homme. C'est à travers ses yeux que l'on assiste aux évènements, que l'on y prend part. Son langage simple, jeune et son humour indéniable rendent l'histoire plus authentique encore. Et ses déboires en amour le rende attendrissant. La jolie Katerina, humaine de son état, tombera t-elle sous son charme?

On découvre aussi avec lui ses dons particuliers pour les voyages temporels. Un pouvoir qu'il tient de sa mère, rebrousse-temps comme lui. Pauvre Indiana, qui aurait rêvé d'être comme son père: un lycan. Mais ses étranges pouvoirs, qu'il ne parvient pas encore à contrôler, sont d'une aide précieuse. Et il s'en aperçoit au fur et à mesure de l'histoire, pour mieux comprendre ce complot qui se trame et dans lequel il est plongé malgré lui.

A ses côtés, on fait la rencontre d'autres personnages tout aussi sympathiques qu'attachants. Axel, le semi (comprenez humain mordu par un loup-garou et transformé) et Chuck, son fidèle loup-garou garde du corps. Indiana nous apprend le fonctionnement de la meute, ses relations avec vampires, semis, fées, et autres créatures fantastiques. Mais surtout le secret de leur existence et l'ignorance des humains qui doit être préservée. Malheureusement pour Indiana qui tombe amoureux d'une étudiante tout ce qu'il y a de plus humaine...

Enfin bref, je ne saurais vous parler d'avantage de ce premier volume sans tout vous révéler. Car c'est de surprises en surprises que nous avançons dans la lecture, et on ne s'ennuie jamais. C'est donc à regret que je m'arrête là pour cet avis, auquel cas j'en viendrais à trop en dire et vous gâcherais le plaisir de la découverte.

Ce premier tome met l'eau à la bouche, et nous laisse presque sur notre faim. Car rien ne se termine vraiment à la fin, et nous appelle inlassablement à y revenir pour suivre de nouveau Indiana dans ses aventures. On ne peut qu'avoir hâte d'enchaîner sur le deuxième volume de la série. Et je m'en vais de ce pas m'y attaquer!
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date : 23-11-2016
Récit du premier jeu vidéo du nom, ce roman reprend tout l'univers de God of War sans aucune faute. Kratos est tel qu'on le connait dans le jeu, et l'histoire en suit les principales étapes. On a le plaisir de connaître les pensées de ce personnages hors du commun, chose que l'on n'a pas dans le jeu vidéo malgré de très belles cinématiques.

Un langue agréable, qui se laisse dévorer. Ce qui en fait un livre qui se lit relativement vite, d'autant que les actions s'enchainent presque sans interruption et rend ainsi la lecture fluide et attractive. On a du mal à décrocher avant la fin d'un chapitre (qui par chance sont de taille correcte et pas trop longs) ou avant la fin du livre (carrément temps qu'à faire lol).

Moi qui suit une joueuse inconditionnelle de God of War, j'ai eu un grand plaisir à lire le livre. Pas aussi défoulant que le jeu vidéo, mais ça vide tout aussi bien la tête. Et la reprise des grandes figures grecques est un réelle plus, d'autant que c'est très bien fait. Pas aussi bien que Darksiders, mais tout aussi divertissant.
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Déjà tentée par un résumé alléchant, et décidée par les avis que j'ai pu lire à son sujet, je me suis donc lancée dans la lecture de ce premier volume. Un style plaisant, qui se laisse lire. Un langage familier et à la première personne qui plonge aussitôt dans l'histoire. Pas de descriptions plus qu'il n'en faut. Un personnage qui n'a rien de "beau", mais qu'on se plait à suivre et qui nous intrigue. Une intrigue qui prend aux tripes, et qui nous transforme doucement en Sherlock Holmes. On se met à soupçonner tout le monde, le moindre habitant de cette ville presque malsaine que peut croiser celui que tous appelle "Prévôt".
Entre fantasy et thriller, c'est Prévôt qui nous guide à travers ses perceptions, ses impressions, ses souvenirs aussi. Avec lui, on découvre cette ville où règne une atmosphère malsaine, où les ténèbres se cachent à chaque coin de rue. Dans un univers moyenâgeux où on rencontre magie et créatures se mêlent aussi suspense et intrigue: ce mélange des genres marche à merveilles.

Le dealer, ancien soldat et agent pour la Couronne, accros au souffle de farfadet et consommateur de ses propres produits, est mêlé à cette histoire sordide de meurtres d'enfants sans vraiment le vouloir. Le premier cadavre, c'est lui qui le trouve. Et les agents et gardes de Maison Noire (comprenez la milice locale) le soupçonne aussitôt quand d'autres sont retrouvés dans les ruelles de Basse-Fosse. Pour s'en sortir et ne pas finir dans une cage, Prévôt se lance alors en traque de cet assassin d'enfants pour prouver son innocence. Mais est-il si innocent que cela dans cette sombre histoire?...
En suivant les pas de Prévôt à travers la ville, on rencontre d'autres personnages qui semblent croiser son chemin depuis longtemps. Et c'est grâce à eux qu'on en apprend plus sur lui, ce personnage énigmatique et tourmenté qui ne laisse rien transparaître de son passé. Car il ne parle pas de lui, on ne connait rien de lui. On vit l'histoire avec lui, c'est tout. Car lui se connait, et on le découvre simplement au fur et à mesure qu'il mène l'enquête à travers Basse-Fosse. On voudrait en savoir plus, ce qui l'a poussé à devenir dealer dans cette ville où les hors-la-loi font la loi. À mon goût, on en apprend si peu... Juste ce qu'il faut pour comprendre l'histoire et la ville où elle se déroule. C'est presque dommage, mais on s'y fait.

En fin de compte, c'est la ville elle-même qui est le personnage central de cette histoire, avec ses criminels de tous poils, ses représentants de l'ordre de la Maison-Noire, ses sorciers fous et leurs démons, ses parrains de la pègre, ses catins... Basse-Fosse est exactement comme son nom l'indique le coté sombre et crasseux qu'on s'imagine dans les villes du Moyen-Âge. Les rues sont sales, les gens sont sales, les maisons, l'air, tout est sale. Même les riches puent et la corruption est partout. C'est une ville où la loi du plus fort et du plus rusé règne dans toutes les sphères, du noble prétentieux aux dealers et autres mac qui font la loi dans les parties basses de la ville. Et là ou la ville est moche, son héros l'est aussi.

Le pessimisme est de rigueur tout au long du livre. Une noire vision de la société comme je les aime, retranscrite dans un univers où la magie n'a pas que des avantages et attire les ennuies plus qu'elle ne résout les problèmes. La noirceur est jusque dans les personnages, qui ne sont ni noirs, ni blanc. Ils sont tous gris, tous autant qu'ils sont et même les héros ont leur part de ténèbres. Et chacun a son importance dans cette sinistre traque au tueur d'enfants.
Pour ce qui est vraiment de l'histoire, je ne peux en dire d'avantage. La quatrième de couverture suffit à elle-même. Il serait dommage de dévoiler des détails ou quelques subtilités qui perdraient toute leur saveur sortis du contexte du roman. La fin peut surprendre, bien que je l'aie senti venir à mesure que l'enquête du Prévôt avance: les apparences sont trompeuses. On en demanderait plus d'ailleurs sur ce dénouement étrange. Ça nous laisserait presque sur notre faim.

J'ai pas mal apprécié ce premier volume. Et de ne pas voir les deux suivants paraître me laisse un sentiment de déception. J'aurais bien voulu poursuivre mon errance dans les rues sordides de Basse-Fosse encore un peu.
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date : 23-11-2016
Un mot, un seul: déception.

J'ai été attirée par le résumé qui m'a donné envie, mon esprit de Sherlock Holmes réveillé. Le début m'a tout de suite mis l'eau à la bouche. Les meurtres sont macabres mais incroyablement décrits. Ça pourrait presque donner des idées, malgré la façon fantasque dont ils se déroulent. L'inspecteur est un personnage entier, avec une sombre histoire qui le rend plus intéressant encore. L'enquête suit un court normal et on découvre peu à peu des éléments susceptibles d'être valables.

Mais tout cela devient vite n'importe quoi. Et pour cause. On part sur un univers complètement différent, avec des références vaudou et de vieilles croyances oubliées. Ça aurait pu être sympathique mais on est vite entraîné dans une chasse qui n'a pas de sens. Les recherches mènent à des trouvailles incroyables et un peu tirées par les cheveux, il faut le dire. Le personnage principal vire limite fou et se prend à voir des esprits, dont celui de sa femme décédée ou encore de Dieux oubliés. L'enquête qui semblait être du domaine du commun des mortels passe à quelque chose de délirant sans queue ni tête. Le suspect n'est autre qu'un revenant habité par un Dieu en colère. Les enquêteurs vont jusqu'à dépoussiérer une vieille histoire de guerre de sécession pour arriver à le coincer, si le mot peut être utiliser dans ce cas. Et on en vient à se demander si l'auteur n'a pas un peu abusé d'une quelconque drogue pour terminer son roman.

En résumé, on est dépassé par l'histoire qui devient presque ennuyeuse à force de rebondissements sans valeur. Le Sherlock Holmes qui est en moi a été profondément déçu par le dénouement de l'enquête. Les indices donnés n'ont cessé d'être démontés, à ne plus très bien savoir quoi en penser. Maigre point positif cependant: ce livre a au moins eu le mérite de m'occuper une petite semaine.
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date : 23-11-2016
Et bien pour tout dire j'ai été plutôt agréablement étonnée.
En effet, j'étais quelque peu septique sur le livre au départ. Je connaissais le jeu par mon frère, mais n'en savais plus. Je me suis laissée tentée et au fond je ne regrette pas.

On découvre un univers partagé entre cieux et enfers, des mondes aux bords de l'apocalypse où règnent anges, démons et autres créatures improbables. Le récit est plus accès sur le point de vue des Cavaliers de l'Apocalypse, et en particulier celui de Mort qui reste au centre de l'histoire. On a parfois le regard de Guerre ou d'autres sur les évènements et ça permet de reprendre son souffle dans le récit qui n'arrête pour ainsi dire jamais.

Mort est un personnage auquel j'ai curieusement vite accrochée. Sombre et piquant, un savoureux mélange pour un personnage tout en subtilité, aussi secret qu'effronté. Il ne craint de tenir tête au Conseil Ardent, en assumant sciemment les conséquences. Il a la fâcheuse tendance de s'attirer les foudres de tous ceux qui croisent sa route, s'ils ne finissent pas découper en rondelles par Moissonneuse, sa faux. Réfléchi et cynique, il dénote de l'image qu'on pourrait s'en faire (mode grosse brute sans cervelle) et ça plait!

On est agréablement surpris de trouver humour et taquineries à travers ces pages. Qui aurait cru. Et on se surprend à rire en lisant. Poussière est un corbeau trouillard dont on ne saurait se passer, les joutes verbales que Mort entretient avec son frère Guerre ne sont nullement dénuées d'intérêt, au contraire, et certaines à la limite du comique malgré tout le sérieux des deux Cavaliers. Ils ont tous un caractère bien trempé et bien à eux. Ça ferait presque plaisir.

J'ai aimé le fait que bien et mal ne soient pas clairement définis. Les anges sont pas immaculés et purs, et les démons... Restent des démons. Les Cavaliers ne servent ni l'un ni l'autre, quoi que parfois. Ils oeuvrent pour l'équilibre au nom du Conseil Ardent, auquel Mort a tendance à tenir tête. On l'encouragerait presque. A part ça, seul le monde de Lilith pourrait dégouter un temps soit peu. Mais par chance, on ne le rencontre qu'une fois ou deux.

Pour ce qui est de l'intrigue, elle est bien tournée. Même si mon flair de Sherlock Holmes a encore une fois été sans faille. L'histoire suit son bonhomme de chemin sans interruption ni longueur. Peu à peu les petits secrets jalousement gardés par l'aîné des Cavaliers nous sont dévoiler, on découvre avec eux les machinations qui se jouent et la fin laisse son lot de surprises.

Mon seul regret est qu'on n'ait pu voir plus les deux autres Cavaliers Fureur et Discorde. Sinon, je n'ai pas vraiment de critique négative à faire. Un peu trop morbide parfois? Et encore, ça passe au vue de la dominance de l'histoire. On aurait presque l'impression d'être dans le jeu. Ce n'est pas pour déplaire. Je pourrais dire que j'ai eu le même sentiment qu'en lisant God Of War.

Ceci dit, il faut accrocher l'univers. Pour ma part, je me suis laissée entraînée dans la chevauché des Cavaliers de l'Apocalypse avec plaisir. Mais cela ne peut pas forcément plaire à tout le monde.
A vous d'aviser =)
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Ce second tome n'a en rien changé mon avis (déjà fort négatif). Bien au contraire, il n'a fait que l'accentuer...
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J'ai attaqué la série pour me faire mon propre avis dessus. J'en ai tellement entendu parlé qu'il me fallait m'y plongé pour savoir à quoi ressemblaient les aventures d'Anita Blake.

Le monde des vampires et des zombis ne me scie guère. J'ai vraiment du mal avec tout ce qui touche aux morts. Bon, les vampires passent encore, même si je les vois comme de grosses sangsues. Mais les zombis très peu pour moi. Qu'on laisse les morts reposer en paix, bon sang! Ils l'ont amplement mérité!

Cependant, l'univers d'Anita est assez sympa à lire, bien que j'ai eu du mal à y rentrer au début. Son franc parlé me plait bien et je partage sa vision des suceurs de sang. Mais le personnage ne m'est pas attachant du tout. Ce serait presque le contraire. Il est agréable de suivre ses aventures, mais sans plus. C'est sans doute dû au style qui est relativement simple, mais l'héroïne m'exaspère par moment, si ce n'est pas souvent.

Quant à Jean-Claude, incontournable maître vampire, il m'horripile même si son physique a de quoi en attirer certaines, c'est vrai. Son côté hautin et trop sûr de lui ne me plait pas. Il me donnerait presque la nausée (je sais, dit comme ça, c'est violent). Il considère Anita comme sa "chose", et ça me plait encore moins. Bon, il faut noter que les relations d'Anita semblent compliquées avec tous les mecs qu'elle croise, jusqu'à en devenir plus qu'ambigües parfois. Mais avec Jean-Claude c'est limite malsain. Et même si elle ne cesse de le repousser, on sait tous très bien comment tout ça va se terminer.

Ceci dit, le style de l'auteur est sympathique, pas trop lourd, simple. De quoi passer le temps en somme. La première personne oblige à centrer toute l'attention du lecteur sur l'héroïne, et je trouve ça bien dommage. Par moment, je me suis sentie perdue dans ses investigations, à ne plus trop savoir où Anita allait. Il est difficile de la suivre. Et les tomes ne finissent jamais sans un passage obligé aux urgences. Navrant...

Le premier tome m'avait laissé sans véritable avis, le second m'a hérissé le poil avec ses zombis à chaque coin de page. À savoir si je lirais la suite, je ne peux que dire: affaire à suivre...
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C'est toujours la même histoire, le scénario ne change pas et on se lasse complètement. A se demander ce qu'Anita cherche au fond, et ce qui pousse L.K. Hamilton a écrire avec un tel personnage et une telle trame.

A part chercher les problèmes partout où elle passe et avec quiconque elle rencontre, sa visite obligatoire aux urgences (elle aime vraiment prendre des baignes et pisser le sang) et sa relation amoureuse qu'elle détruit bêtement avec Richard alors que c'est un type bien (côté loup-garou y compris), il n'y a rien à dire de plus au sujet d'Anita. C'est un personnage auquel je ne m'identifie pas du tout, bien au contraire. Elle me tape sur les nerfs et m'exècre à la fois. De plus, l'image que L.K. Hamilton donne des lycanthropes et des autres changes-formes ne me plait pas. Comme si les vampires étaient tout puissants, genre l'espèce la plus évoluée qui existe (et puis quoi encore, ce ne sont que des grosses sangsues hypocrites)! Jean-Claude me dégoute de plus en plus avec son air hautain de "Maître de la Ville". Et bien que Richard soit un personnage agréable et touchant parfois, je ne me suis pas attachée plus que ça à lui. J'aurais cru pourtant.

Il n'y a aucune magie, aucun plaisir dans la lecture. Les personnages se multiplient, mais on s'y perd. Quand ils ne nous dégouttent pas, ou ne nous font pas pitié, ils ne savent pas nous enchanter. Par ailleurs, j'ai l'impression que plus ça avance, plus l'histoire perd toute crédibilité. Et c'est sans parler de l'aspect très sexuel que prennent fortement les choses... Quand on est en manque, on ne le fait pas partager à la terre entière à travers ses écrits et on s'équipe du nécessaire... Non mais sans blague!... J'ai jamais vu ça...

Le premier tome ne m'a pourtant pas laissé un aussi mauvais souvenir que les suivants, bien que je n'ai pas accroché plus que ça. L'idée de départ était originale. Mais L.K. Hamilton n'a pas su la conserver et l'exploiter jusqu'au bout. Dommage pour elle. A se demander comme elle a pu écrire une saga de 25 tomes (si elle a enfin décidé de s'arrêter à écrire des conneries). Faut croire que les gens aiment ça, puisque que ça marche pour elle visiblement. Ça me déçoit un peu plus du genre humain. Enfin bon... Chacun ses goûts, chacun ses couleurs, comme on dit.

Pour ma part, je ne lirais définitivement pas la suite. C'est une série qui ne m'enchante pas le moins du monde, bien au contraire. Elle ne m'apporte rien, et ce n'est pas ce que je recherche quand je lis un livre. Que L.K. Hamilton ne semble pas vouloir s'arrêter d'écrire, surtout pour ne rien dire, est un peu navrant... Personnellement, j'arrête les frais. Il y a d'autres lectures bien plus intéressantes qui m'attendent.
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Ayant commencé avec les deux premiers volumes, tant qu'à faire, autant continuer un peu. Histoire de voir ce que ça donne. Et puis, j'attendais l'apparition des loups-garous, alors il me fallait bien avancer ma lecture jusqu'à ce troisième tome. Mais comme pour les deux précédents, bien que ce soit relativement simple à lire, je n'ai guère apprécié l'histoire...

Anita est toujours aussi horripilante, agaçante même. Comme d'autres lectrices l'ont si bien dit: elle est de ces féministes convaincues comme on les déteste. Chère Anita, la galanterie ne fait de mal à personne! Je n'accroche vraiment pas au personnage. Elle n'a rien pour plaire de mon humble avis. Et c'est sans parler du fait qu'elle frôle la mort presque un chapitre sur deux (à croire qu'elle aime ça, c'est presque flippant). De plus, tous ceux qu'elle croise semblent lui en vouloir, et pourquoi? Rien dans ses aventures ne le démontre. Il faut croire qu'elle aime avoir (et chercher) des ennuis à répétition. La seule chose que je partage avec elle est sa révulsion pour les vampires. Ce qui n'est pas grand-chose. C'est pour dire...

Pour ce qui est de l'enquête, elle passe de plus en plus au second plan (quand elle n'est pas totalement oubliée et occultée par les histoires personnelles d'Anita). Dans le premier volume, elle tenait encore la route. Dans le second tome, on la perdait de vue. Mais dans ce troisième tome, on l'en oublierait presque. N'est-ce pas ce qui compte le plus dans l'histoire au final? Parce que les histoires sentimentales d'Anita ne m'intéressent pas le moins du monde. À sauter sur tout ce qui bouge et qui est potentiellement musclé, elle passe plus pour nymphomane que pour réelle enquêtrice réanimatrice digne de ce nom...

Et bien qu'on y croise enfin des loups-garous, on y croise aussi d'autres créatures moins sympathiques à mes yeux: serpents et autres reptiles. C'est bien ma vaine... Comme si les vampires et les zombies ne suffisaient pas, voilà que l'auteur décide d'amener ce qu'elle appelle des Lamies. Charmantes créatures, garous reptiliens à souhait. Je m'en serais bien passée! On retrouve aussi Jean-Claude, toujours aussi exaspérant. En trois tomes, il n'a pas changé. Ça aurait été étonnant aussi... Certes son physique de rêve a de quoi faire fantasmer certaines d'entre nous, mais je vous le laisse avec grand plaisir. J'ai ma préférence pour les loups-garous. D'ailleurs, dans ce tome, ma seule (et maigre) consolation est d'y rencontrer Richard (loup-garou de son état). Il rappelle un peu Philip, rencontré dans le premier volume de la série. Par chance, il n'a pas la même fin tragique.

Petit coup de gueule de ma part: pourquoi les vampires ont-ils le rôle des tous puissants?! Cette image de "maître de la ville", ayant pouvoir sur toutes les autres espèces (en particulier sur les loups et les lycans), me dégoute. Qu'est-ce qui fait de ces suceurs de sang des êtres si vénérables que ça?! Moi, je ne vois en eux que des sangsues sans intérêt, supers pouvoirs ou pas. Les garous ne sont-ils pas assez puissants pour leur tenir tête? À l'origine, ils le sont. C'est sans doute un de ces détails qui fait que je n'adhère pas vraiment à l'univers de l'auteur, et qui fait que je cesse ma lecture au bout de quelques tomes.

En résumé, c'est toujours la même histoire lancée en boucle: vampires maîtres du monde, zombies branlants et autres morts vivants, quelques sympathiques garous en tout genre, une enquêtrice agaçante et une incontournable fin aux urgences! Je crois que l'auteur n'a pas changé grand-chose à sa recette. Il serait pourtant temps!
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J'ai été quelque peu déçue. Je m'attendais vraiment à une aventure prenante, même si les suceurs de sang me rebutent la plupart du temps. De fait, je n'ai lu que le premier tome à cette heure, et n'ai pas eu la motivation nécessaire pour entamer le deuxième. Dommage.

L'histoire est longue à démarrer. Le résumé représente presque la moitié du livre. On a le sentiment que le récit n'avance pas. On en attend plus de Tycho, personnage central du roman (à l'origine). Le petit vampire n'est pas très actif dans ce premier volume. Je le regrette, car j'attendais vraiment beaucoup de ce personnage. Et Giulietta nous lasse par son côté niais. Son esprit trop jeune et irresponsable est à déplorer. J'aurai aimé une jeune femme plus mûre et un peu plus combative dans l'âme. J'ai eu des difficultés à m'attacher aux protagonistes de l'histoire, bien qu'ils soient construits et intéressants.

Toutefois, j'ai apprécié la visite de Venise que nous offre l'auteur, et ce avec beaucoup de détails. C'est très agréable car les descriptions de la ville sont fluides et légères. J'avais presque le sentiment d'y être vraiment. Un point positif pour ce livre qui ne m'a cependant pas charmée. Il y a beaucoup de sujets qui restent sous silence. On veut en apprendre plus sur l'arrivée de Tycho en Italie, connaître son passé, etc. Mais il y a si peu à nous mettre sous la dent. J'espère que le second opus est plus prometteur que son prédécesseur. Et qu'il rattrape un peu la déception que Lame Damnée a pu me laisser. Je ne sais pas encore si je le lirais. C'est à voir. Si l'envie me prend. Mais pour l'heure, j'ai des histoires plus tentantes qui m'attendent. Alors ce ne sera pas pour tout de suite.
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