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Commentaires de livres faits par parfumdemots

Extraits de livres par parfumdemots

Commentaires de livres appréciés par parfumdemots

Extraits de livres appréciés par parfumdemots

date : 22-04
J'ai découvert ce roman à l'occasion de sa réédition en auto-édition (il était auparavant publié chez les éditions Elixyria).

Il m'a suffit d'une soirée pour dévorer cette histoire. Ce que je vais surtout en retenir, au-delà de la romance, c'est la jolie morale qui s'en dégage : voir au-delà des différences.

L'autrice traite en effet avec beaucoup de justesse et de pudeur du sujet de l'autisme : l'héroïne est maman d'un garçon de onze ans qui souffre de ce handicap et j'ai aimé suivre cette maman courage.

Certaines scènes sont très touchantes, je pense notamment à celle de la sortie scolaire au zoo où Joséphine reste avec son fils tout l'après-midi derrière la vitre du caméléon parce que Nathan est fasciné par celui-ci.

J'ai même appris des choses et ça c'est toujours un plus aussi dans mes lectures, de pouvoir se nourrir l'esprit et apprendre (je ne connaissais pas la technique du packing, notamment).

Et je dois dire que j'ai vraiment apprécié le choix de l'autrice pour l'épilogue (ça change), j'aurais presque voulu un tome sur Alissa. 🫣

Merci Natacha pour cette belle histoire, douce et sincère, qui fait du bien.
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J'ai acheté ce roman les yeux fermés alors qu'il était en avant-première au Festival du Livre de Paris avant sa sortie officielle en mai. Grande fan des romances avec une correspondance, je savais que cette histoire était faite pour moi et je n'ai franchement pas été déçue, bien au contraire, puisque j'ai eu un joli coup de cœur pour le premier tome de ce diptyque.

Ce roman était extrêmement divin (et je ne fais pas exprès de le dire pour le jeu de mots mais c'est un fait, il l'est). J'ai été extrêmement touchée par les thèmes abordés (le deuil et la guerre), j'ai trouvé également les échanges de lettres entre Iris et Roman profondément beaux car ils révèlent toute leur fragilité et leur pudeur.

Bien entendu, j'ai tourné les pages de façon frénétique car j'étais impatiente qu'Iris découvre qui était vraiment son "mystérieux" correspondant. J'ai adoré aussi les petits moments de tension entre eux et de "proximité forcée" (la scène où elle doit s’asseoir sur ses genoux dans le camion, par exemple haha).

Honnêtement, ce fut une magnifique lecture et une très belle découverte de la plume de Rebecca Ross. Un premier tome à la hauteur et que je vous recommande vivement en tout cas. Bien entendu que je serai au rendez-vous pour le deuxième !
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Je vais être honnête, je ne m'étais jamais intéressée à ce livre avant de savoir qu'il allait être adapté sur Netflix. C'est en voyant la réédition de cette histoire en un seul ouvrage avec l'affiche du film en couverture (que je trouve très jolie soit dit en passant) que j'ai décidé de me le procurer et de le lire avant de voir l'adaptation. D'autant plus que si j'ai pu voir passer de très bons avis sur le livre, ce ne fut pas le cas pour le film...

Sincèrement, je pense que j'ai rarement lu une romance Young-Adult avec une plume aussi belle et poétique. C'est simple : j'aurais pu surligner presque toutes les pages de ce livre. C'est un roman que j'ai vraiment pris le temps de savourer sur une semaine pour m’imprégner de chaque mot, de chaque délicatesse.

J'ai profondément aimé le personnage de Nica qui est d'une douceur et d'une tendresse absolue. Je n'ai pas trouvé qu'elle était le cliché de la jeune fille "naïve" - comme c'est souvent le cas dans ce genre - et j'ai aimé le fait qu'elle soit autant passionnée et amoureuse des animaux (au point même de sauver les escargots).

Rigel quant à lui correspond davantage au cliché du "beau brun ténébreux et mystérieux" et j'avoue avoir un peu de mal avec le schéma du : "Je te martyrise parce que je suis fou de toi". J'ai du mal à comprendre comment on peut s'en prendre à quelqu'un si on l'aime. Aussi, toute la première partie du roman où il ne fait que repousser Nica en lui disant : "Ne me touche pas", "Sors de ma chambre" ou encore "Ne m'approche pas" commençait à être un peu lassante à la longue.

En fait, je pense que ce roman aurait pu facilement faire 100 pages de moins. Certaines scènes étaient, selon moi, assez répétitives et quand on prend du recul sur cette lecture après coup, on se rend compte qu'il ne se passe pas tant de choses que ça et que l'histoire aurait pu être réduite sans problème.

En outre, j'ai parfois été assez frustrée par les dialogues entre les personnages : je trouve qu'ils ne parlent pas beaucoup, ils se disent en général une phrase et c'est tout, j'avais peut-être envie parfois qu'ils expriment davantage de choses à l'oral.

Enfin, certains rebondissements n'étaient pour moi pas forcément "nécessaires". Je parle bien entendu du rebondissement qui arrive aux trois quart du livre environ et qui m'a donné le sentiment d'être là parce qu'il fallait absolument un rebondissement à ce stade de l'histoire. Ce passage dure finalement si peu de temps que je n'ai pas ressenti grand chose en termes d'émotions.

L'épilogue est toutefois très beau et conclut à merveille cette histoire dont je vais surtout retenir la plume de l'autrice qui fut une belle surprise. J'ai aimé sa façon douce et poétique de dépeindre les sentiments amoureux avec une certaine grâce. J'ai aimé également que la première scène intime entre les deux personnes soit décrite de cette façon bien à eux de se définir : lui le loup, elle le papillon.

En somme, un roman que je suis tout de même ravie d'avoir pu découvrir avant de voir le film (qui visiblement est beaucoup moins bon). Une plume envoûtante qui me donne envie de découvrir d'autres romans de cette autrice à l'avenir !
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Pendant un instant, je me suis demandée si ce roman avait vraiment été écrit par Penelope Douglas. Je veux dire... elle nous a toujours habitué à des univers remplis de perversité et de vulgarité si bien que je m'attendais à retrouver ici un protagoniste masculin dérangé du ciboulot. Que nenni.

Et wahou, qu'est-ce que ça fait du bien. Je pense sincèrement que Hawke est le personnage masculin le plus "sain" et "green flag" que cette autrice ait pu écrire. J'en suis tombée amoureuse dès les premières lignes et j'ai même envie de dire : Penelope Douglas devrait écrire plus souvent sur des good boy.

Le résumé de ce roman axe beaucoup sur le fait que Hawke n'ait jamais eu d'expériences avec une fille et c'est ok car, je ne vais pas mentir, c'est ce qui m'a donnée envie d'acheter ce roman. Toutefois, je ne voulais pas que cela tourne qu'autour de ça non plus et que Hawke ne soit défini que par sa "non-expérience".

Or, ce n'est pas du tout le cas, l'autrice n'en fait pas tout un plat, elle nous dépeint simplement un jeune homme qui a attendu la bonne personne et je trouve ça vraiment beau.

Aussi, j'ai trouvé appréciable qu'il n'y ait pas de "dramas" inutiles entre les personnages ou un manque de communication qui donne lieu à des quiproquos (comme souvent dans les romances). Non, ici on est simplement avec deux être opposés qui s'aiment, se le disent, et s'ils ont un problème, ils le règlent correctement.

La relation entre Hawke et Aro est vraiment très mignonne, il y a tellement de passages où j'avais les yeux en cœur. Et je crois que je suis tombée amoureuse de Hawke chaque fois qu'il comparait Aro aux étoiles et qu'il l'aidait en cachette pour se sauver d'un foyer misérable et pernicieux. J'ai aimé sa tendresse à son égard, sa pudeur, sa sensibilité et sa vulnérabilité.

Sincèrement, j'ai dévoré ce roman de bout en bout, je n'ai pas su le lâcher et je l'ai dévoré en moins de 24 heures (en me couchant à 4 heures du matin au passage, ce qui ne m'était pas encore arrivée pour un roman cette année, c'est dire).

J'irais même jusqu'à dire que ce roman a été pour moi celui de la réconciliation avec Penelope Douglas parce qu'il est vrai qu'à part Hate to Love, je n'ai jamais vraiment accroché avec ses autres écrits. Mais Falls Boys est complètement différent et je ne m'attendais pas du tout à avoir un coup de cœur pour ce livre de prime abord.

Aussi, je n'ai pas été étonnée d'apprendre à la fin de ce roman qu'il y avait beaucoup de l'histoire personnelle de l'autrice dedans. Je veux dire, ça se sent. On s'entend qu'un auteur met toujours un bout de lui dans chacun de ses romans mais dans certains plus que d'autres et ici ce fut le cas pour Penelope Douglas. Je ne suis donc pas surprise d'avoir autant aimé cette histoire : parce que je pense que c'est la plus vraie et intime qu'elle ait pu écrire.

Il me tarde déjà de découvrir le prochain tome qui a l'air toutefois assez différent et plutôt en accord avec ce qu'elle écrit habituellement mais je me languis tout de même de retrouver Carnival Tower et ses légendes urbaines...
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J'attendais la traduction de ce livre avec grande impatience et je l'ai finalement abandonné à 50 %... Le début était pourtant prometteur : deux personnages qui se rencontrent dans un centre de redressement, une héroïne dépeinte comme vide de tout sentiment, vide de toute émotion, qui n'embrasse jamais aucun garçon car elle considère qu'il s'agit d'un geste "intime" et que cela nécessiterait forcément d'avoir un attachement pour la personne...

Oui, sur le papier, c'était vraiment prometteur. Quelle ne fut pas ma déception de voir que les deux personnages se chantent déjà la sérénade à 30 % du livre et ne peuvent déjà plus vivre l'un sans l'autre. Le coup du "je n'embrasse aucun garçon" aura tenu à peine 20 % du livre. Intérêt retombé comme un soufflet.

En fait, j'ai eu l'impression d'avoir manqué un pan entier de leur relation. Je n'ai pas vu la transition entre leur rencontre et le moment où ils ne peuvent plus se passer l'un de l'autre et c'est malheureusement ce que je reproche à la plupart des romances actuelles.

C'est creux, ça manque de développement, les personnages se veulent avoir de "grands principes" qui sont vite balayés après un éternuement. Je désespère parfois de tomber à nouveau sur des romances cohérentes, bien construites et développées.

Ce n'est que mon avis, je vous encourage à vous faire le vôtre sur ce roman qui, vraisemblablement, a eu son succès, notamment à l'étranger.
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Une romance des plus plaisantes qui ne fut pas sans me rappeler un mélange entre Orgueil et Préjugés et La Proposition de Mariana Zapata.

Il faut dire que je suis très friande du cliché de la fille timide et "effacée" et du personnage masculin qui est tout son contraire et n'a jamais fait vraiment attention à elle alors, qu'à contrario, elle est amoureuse en secret de lui depuis le premier jour.

Enfin ça, c'est jusqu'à ce qu'elle apprenne, au détour d'une porte, tout le "bien" qu'il pense d'elle, à savoir : qu'elle finira vieille fille, qu'elle est aussi "insignifiante qu'un phasme sur une brindille" et qu'elle n'est pas capable de tenir une conversation normale.

J'ai aimé voir l'évolution de Daphné à partir de là : si elle s'écroule sur le moment, elle va dès le lendemain devenir beaucoup plus vindicative et dire au duc ses quatre vérités. Notre héroïne est vraiment "moderne" pour l'époque et c'est un point que j'ai trouvé tout à fait rafraîchissant.

J'avoue que j'aurais peut-être aimé que Anthony succombe "moins vite" au charme de Daphné, je trouve que l'on ne perçoit peut-être pas assez la bascule entre le moment où il ne s'intéressait pas à elle et le moment où il change de regard et la trouve "magnifique".

Néanmoins, je dois admettre que cette romance ne manquait véritablement pas de charme et qu'il y a de très belles déclarations d'amour qui ne manqueront pas de séduire les amateurs du genre. Une très bonne surprise pour ma part, qui mérite le coup d’œil !
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date : 09-03
Après avoir frôlé le coup de cœur avec Northman Rhapsody de la même autrice, j'ai eu envie de rattraper mon retard dans ses parutions. J'ai ainsi jeté mon dévolu sur Too Young for Me qui m'avait été maintes fois recommandée puisque je suis très friande des romances interdites avec une différence d'âge.

J'ai passé un très bon moment de lecture avec cette histoire qui m'a fait penser à deux romans que j'adore : Love Online de Penelope Ward (pour le côté "cam-girl") et Les règles de l'amour de Sara Cate (pour la différence d'âge et le club pour adultes). Too Young for Me était pour moi un savoureux mélange de ces deux romans-là.

Cela étant dit, ma préférence reste toujours à Northman Rhapsody et de loin mais les deux romans n'ont en même temps rien à voir et ne sont pas vraiment "comparables" dans le sens où les romances dépeintes ne reposent pas sur les mêmes bases : Northman Rhapsody dépeint les sentiments amoureux de deux personnes qui s'aiment d'un amour si profond qu'ils en souffrent tandis que Too Young for Me dépeint plutôt une romance fondée sur le désir et l'attirance physique avant tout.

Ce que je préfère fondamentalement dans une romance, c'est voir deux personnages tomber amoureux l'un de l'autre, voir les sentiments profonds qu'ils ressentent l'un pour l'autre, indépendamment de l'attirance physique qu'ils peuvent ressentir. Je l'ai forcément moins ressenti avec ce roman donc peut être qu'il me marquera moins, dans la durée, que Northman Rhapsody mais il n'en reste pas moins que j'ai tout de même passé un très bon moment de lecture.

J'aurais cependant peut être voulu avoir plus de passages avec le petit Cael (j'en suis même arrivée à vouloir un spin-off sur lui, c'est dire haha). Je ne pense pas que cela soit prévu par l'autrice mais qu'importe, il me reste encore beaucoup d'autres écrits de Milyi Kind à découvrir. Il me tarde déjà de plonger dans un prochain !
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date : 25-02
Wahou, quelle lecture. Je me suis faite complètement embarquer dans les flots tumultueux de Northman Rhapsody, en plein conflit nord-irlandais, en pleine guerre de religion. En plein dans un amour interdit qui transcende, broie, noie et incendie nos deux héros.

Northman Rhapsody dépeint l'amour le plus fort et le plus pure. Celui qui déchire l'âme, le corps et l'esprit et qui est presque physiquement et émotionnellement douloureux à lire. La plume de Milyi Kind est savoureuse, l'autrice ayant cette capacité à décrire les sentiments de ses personnages de façon si profonde et brute, comme je l'ai rarement lu.

Dans ce roman, nous avons principalement le point de vue de Keir, le personnage masculin et pfiou... j'ai rarement été dans la tête d'un personnage si fou amoureux que ça en transpire par tous les pores. C'est bien plus qu'une attirance physique, c'est la connexion de deux âmes. Deux âmes imparfaites qui ont besoin l'une de l'autre pour subsister.

Je n'arrivais tellement pas à lâcher ce roman que je l'ai dévoré en 24 heures (et me suis couchée bien trop tard) alors qu'étrangement, ce n'est pas un roman dans lequel les rebondissements sont "inattendus". On s'attend forcément à la tournure du roman (quoi qu'on se demande quand même tout du long de quelle façon cela va pouvoir se terminer).

C'est vraiment la tension entre Seena et Keir qui m'a fait tourner les pages de façon frénétique et tenue en haleine tout du long, en attente qu'ils succombent à cet amour hors normes.

Je suis une grande fan des romances interdites sous toutes leurs formes, bien construites et qui prennent leur temps, et je n'ai pas été déçue du voyage : Northman Rhapsody m'a donnée envie de découvrir tous les autres romans de Milyi Kind.
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Ce roman fut pour moi une véritable déception et alors même que Rebecca Yarros fait partie de mes autrices préférées (grâce à Chère Ella et à sa série des Renegades). J'étais absolument certaine d'aimer Fourth Wing, persuadée de sauter à pieds joints dans une valeur sûre. D'autant plus que tout le monde semble avoir eu un coup de cœur pour ce roman, que ce soit en France comme à l'étranger.

Sincèrement, je pense que ce livre est, et restera, ma plus grosse déception de l'année 2024. Autant si j'ai apprécié le début du roman qui me faisait penser à Tris dans Divergente qui débarque chez les Audacieux au lieu des Erudits (Violet qui débarque chez les dragonniers au lieu des scribes), j'ai vite déchanté après les 40 premiers pourcents. En effet, et alors que je me faisais une joie de découvrir LA fameuse romance dont tout le monde parle (et qui a fait aussi le succès de Fourth Wing si je ne m'abuse ?) je dois dire que je suis complètement tombée des nues face à la rapidité avec laquelle Violet et Xanden passent de : "je le/la déteste" à "je ne peux pas vivre sans toi".

Je suis désolée mais pour moi ce n'est pas ce que j'appelle un "slow burn", surtout pas quand on sait qu'on part sur une série de cinq tomes, cinq tomes messieurs dames ! Pour moi, un bon slow burn en Fantasy, c'est une romance qui ne s'installe pas dès le premier tome mais que l'on voit prendre forme et s'installer au fil des tomes. Là, très sincèrement, j'ai ressenti si peu d'attachements pour leur relation (parce que ça va trop vite bordel) que même les scènes de smut m'ont cringe comme pas possible (et je me serais bien passée de certaines descriptions pour tout dire).

Franchement, à part passer son temps à dire que Xaden est "trop beau, trop musclé" et qu'il lui donne beaucoup de palpitations, je trouve que Violet n'a pas très bien ciblé ses priorités dans un endroit où elle est supposée risquer sa vie à chaque instant (mais elle a d'autres priorités que d'essayer de tenir assise sur son dragon visiblement). Et vraiment, le nombre de fois où l'expression "Par mes Dieux" est utilisée, c'est indécent (il aurait peut-être fallu "doser" à ce niveau là je pense). Sans compter qu'elle était "soit disant" amoureuse de son meilleur ami depuis sa plus tendre enfance mais cela semble vite oublié (aaaah les pouvoirs d'un torse musclé et d'un regard ténébreux...).

Par certains aspects, Violet me fait penser à Feyre dans ACOTAR (et, croyez-moi, ce n'est pas un compliment dans la mesure où Feyre est loin de faire partie de mes héroïnes favorites). Je me suis très sincèrement forcée à terminer ce bouquin (parce qu'après tout, j'ai dépensé 30 euros dans la magnifique édition reliée) mais je vais m'appliquer à conserver mon argent pour les tomes suivants. Je passe mon chemin et vais essayer de partir en quête d'un vrai bon slow burn comme je les aime.
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Je suis ravie d'avoir pu découvrir ce roman sous les conseils d'une amie car je n'en avais jamais entendu parler et ce fut une belle surprise. Il faut dire que j'ai un faible pour les romances dans lesquelles les personnages ont eu un véritable vécu ensemble et notamment lorsqu'ils ont été mariés par le passé.

Il est difficile de ne pas être touché(e) dès les premières lignes par l'histoire de Lucy et Fisher et par le mal qui ronge ce militaire au fil des années : le syndrome post-traumatique. Ce sujet fut très bien abordé par l'autrice qui illustre bien le fait que, parfois, l'amour ne suffit pas : même avec tout le soutien et l'amour du monde, ce n'est pas toujours suffisant quand la personne concernée ne prend pas conscience par elle-même qu'elle a besoin d'aide. C'est une histoire d'autant plus touchante quand on sait que le père de l'autrice, vétéran du Vietnam, a été touché par un syndrome post-traumatique.

Dans la même veine, avec deux personnages mariés qui ont également divorcé, je dois dire que j'ai tout de même préféré le roman "Des lettres du passé" de Devney Perry (sans doute parce que Molly et Finn avaient deux enfants et que c'est un peu mon péché mignon les enfants dans les romances). Je dois dire aussi que j'aurais aimé parfois plus de développement/approfondissement dans le roman de Tara Sivec : j'ai trouvé notamment la partie "reconquête" de Fisher un peu trop rapide et "facile" à mon goût. À mon sens, quelques pages supplémentaires n'auraient pas été trop dans ce roman.

Cela étant, c'est un roman que je ne peux que vous recommander car il a le mérite de sortir des sentiers battus et de traiter de façon très juste et personnelle du syndrome post-traumatique.
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En tant que fan absolue de romances interdites avec différence d'âge, je ne pouvais pas passer à côté de ce roman de Lucia Franco dont j'attendais la traduction française avec grande impatience.

Je dois dire que j'ai passé un très chouette moment de lecture de par le plot plutôt original et prenant (une étudiante de 21 ans qui va devenir escort et s'enticher de l'un de ses "clients" qui a 52 ans). Ce qui fait surtout la force de ce roman, c'est le plot-twist totalement inattendu qui m'a fait refermer le livre la bouche grande ouverte tant je ne m'y attendais pas.

Malheureusement, j'aurais sans doute souhaité qu'après cette "révélation", les deux personnages éprouvent peut être des "remords" vis-à-vis de la situation, surtout lui qui est quand même adulte et ne se remet pas du tout en question, ce que j'ai trouvé un peu gênant quand on sait finalement qui il est vraiment...

Cela étant dit, cela reste un roman que j'ai apprécié découvrir (je réitère que c'est rare de ne pas voir venir quelque chose dans une romance donc c'est un point positif), et qui a même réussi à m'émouvoir sur la fin.

L'héroïne est, certes, particulièrement agaçante, mais je pense que je lui en ai moins voulu qu'au protagoniste masculin car on pourra dire qu'elle a encore "l'excuse" de l'âge alors que lui est censé être la personne la plus raisonnée et raisonnable des deux. Ce qui, à mon sens, n'était pas vraiment le cas dans cette histoire...

Je pense que j'aurais sans doute apprécié une plus grande "lutte" entre les deux, surtout après la révélation, et que les sentiments arrivent peut être un peu moins rapidement (surtout du côté de James, encore une fois, au vu des circonstances).

Malgré tout, c'est un roman que je ne regrette pas d'avoir lu et que je vous conseille même de découvrir si vous aimez les romances interdites avec différence d'âge car je pense qu'il en vaut le coup d’œil rien que pour son rebondissement inattendu.
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J'ai eu un véritable coup de cœur inattendu pour le premier tome de cette saga. Pour tout dire, je n'en attendais pas grand chose au départ car le résumé ne me parlait pas plus que cela. J'ai pourtant décidé de donner sa chance à ce roman car Danielle L. Jensen est une autrice dont on entend beaucoup parler depuis l'année dernière avec sa série adulte "Le Pont des tempêtes".

Si je m'attendais à ça... J'ai accroché dès les premières pages, complètement prise et embarquée aux côtés de ce peuple des Maarins. Par certains aspects, ils m'ont fait penser au peuple des Na'vis (Avatar), car ils ont eux aussi leurs propres divinités, leur propre langue, culture et distinction physique (leurs yeux).

Et surtout... le personnage masculin, Marcus, devra également se "servir" de Teriana pour parvenir à ses fins et conquérir les "Sombres Rivages" dont seuls les Maarins ont la connaissance.

Par ces aspects-là, la relation enemies to lovers entre Teriana et Marcus m'a fait penser à celle entre Jake et Neytiri dans Avatar et même certaines scènes en particulier m'y ont fait penser (quand elle traduit pour lui les discours de Marcus pour s'adresser aux peuples de l'Ouest notamment). Alors, la comparaison s'arrête-là, on s'entend, mais j'adore personnellement quand les deux personnages appartiennent à des camps ennemis et se servent chacun de l'autre pour parvenir à leurs fins, se faisant percuter par leurs sentiments au passage.

Pas un seul instant je ne me suis ennuyée dans ce premier tome, l'autrice sait nous tenir dans l'effervescence, nous donnant toujours plus envie de grappiller des chapitres supplémentaires. Et la suite promet d'être encore plus palpitante car de nombreuses questions restent encore en suspens :
Spoiler(cliquez pour révéler)
Lydia va-t-elle reparaître ? Comment va réagir Teriana en apprenant ce que Marcus a fait à sa meilleure amie ? Va-t-on revoir la tante et la mère de Teriana dans le prochain tome ? Comment va évoluer la relation amoureuse entre Teriana et Marcus alors même qu'ils subsistent tant de non-dits ? Quel est le mal qui ronge Marcus ?


La suite s'annonce donc encore plus passionnante et je suis ravie d'apprendre que la sortie du second tome devrait arriver assez rapidement (en mai, selon Amazon).
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date : 20-01
J'ai passé un très bon moment de lecture mais le "twist" de l'histoire est, selon moi, beaucoup trop facile à deviner dès le début. En fait, je me demande sincèrement s'il y a des lecteurs qui ont véritablement réussi à être surpris à la lecture de ce livre (et auquel cas, tant mieux) mais les "indices" disséminés par l'autrice sont tellement peu "subtiles" que ça m'a un peu fait l'effet d'un éléphant dans un magasin de porcelaine ou comme si l'autrice agitait un phare en mode : "Regarde, c'est ça le secret de Daisy Darker".

Spoiler(cliquez pour révéler)
En fait, j'ai compris dès lors que Conor est arrivé dans le manoir et qu'il est monté dans la chambre avec Daisy. Je trouvais ça vraiment étrange qu'il ne lui réponde pas et je me suis alors fait la réflexion qu'aucun personnage depuis le début ne s'adressait directement à elle. Et cela m'a paru d'autant plus flagrant quand Daisy a écrit "Bouh" sur l'ordinateur de Conor, je me suis dit que l'autrice prenait peut être un peu trop ses lecteurs pour des courges à ce moment-là 😂


J'ai été d'autant plus frustrée que ce roman est court et qu'il coûte tout de même 22 euros donc 22 euros pour tout deviner en moins de 50 pages, je ne pense pas que cela soit un achat tout à fait rentabilisé. Néanmoins, je garderai tout de même un souvenir plutôt positif de cette lecture car j'ai passé un bon moment dans sa globalité, je me suis vraiment attachée à Daisy (elle m'a fait de la peine, bichette) et j'ai adhéré à la plume de l'autrice également, dont j'ai relevé plein de jolies citations. Je pense que c'est une autrice que je relirais avec plaisir malgré tout, en espérant être davantage surprise avec le prochain. 😉
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Je me suis très franchement forcée à terminer ce bouquin parce que je le lisais en lecture commune avec une amie à la base (et que j'ai payé 24,90 euros le relié), sinon je l'aurais abandonné. Ce ne fut franchement pas une partie de plaisir pour moi cette lecture et cela tient en une seule raison : le personnage féminin. Mon enfer personnel.

Je suis désolée mais elle est censée être l'héroïne de cette histoire mais elle ne m'a absolument pas fait rêver. Toutes les pires décisions possibles et inimaginables, elle va les prendre. J'aime personnellement les héroïnes, badass, celles qui ont du caractère, voire presque les "anti-héroïnes", mais alors elle, c'était tout l'inverse : stupide, irréfléchie, naïve, niaise et j'en passe...

Pour moi, l'attachement aux personnages est la chose la plus importante pour me faire accrocher à un roman et là je dois dire que l'autrice a failli avec Evangeline Fox. De fait, je ne me suis même pas attachée/intéressée à la potentielle et future romance que l'on sent arriver dans les prochains tomes (de toute façon on voit si peu Jacks dans ce tome que c'était compliqué de s'y attacher aussi).

En outre, en dehors des petits dragons qui brûlent des saucisses sur le marché du village, je n'ai pas trouvé la magie incroyable non plus. Bref, je n'avais déjà pas accroché à Caraval dont je n'étais même pas allée au bout de la trilogie mais alors là je pense que j'ai encore moins apprécié ce livre-ci donc je m'arrête-là avec cette nouvelle trilogie et cette autrice qui n'est décidément pas faite pour moi.
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Je ne sais pas comment j'ai pu passer à côté de cette trilogie pendant toutes ces années (sans doute en raison de ces couvertures peu vendeuses) mais toujours est-il que je suis ravie d'avoir commencé l'année 2024 avec les Renegades car cette série était vraiment géniale !

Il faut dire que le concept de base de ces étudiants que l'on suit sur un paquebot était déjà ultra fun et a contribué a ce sentiment de voyage et d'évasion que j'ai ressenti tout au long des trois tomes. Pour être tout à fait honnête, je pensais, dès le premier tome, que mon tome préféré allait être celui sur Penna. Finalement, après en avoir tourné la dernière page, je dois admettre que mon préféré restera le tome deux avec Rachel et Landon. C'est clairement le couple qui m'aura le plus touchée, fait vibrer et globalement, c'était un tome aussi dans lequel on voyageait beaucoup plus que celui-ci.

En effet, ce troisième tome se passe en grande partie sur le paquebot, ce qui n'était pas pour me déplaire car je trouvais qu'il n'y avait pas tant de scènes que ça sur celui-ci dans les précédents tomes. Cela étant, je dois dire que j'ai été moins touchée par la romance entre Penelope et Cruz, sans doute parce que Cruz est un personnage que l'on n'a pas connu dans les précédents opus. De fait, je ne me sentais pas particulièrement investie dans son histoire personnelle et toute l'intrigue autour du sauvetage de sa sœur à Cuba.

En outre, on est ici face à une histoire "coup de foudre", Penna et Cruz développant rapidement des sentiments très forts l'un pour l'autre (en une soirée, pour être exact), et je dois dire que je préfère voir les sentiments naître au fur et à mesure et ressentir la petite pointe de frustration quand les personnages mettent du temps avant de succomber l'un pour l'autre (à l'instar de Rachel et Landon dans le tome 2), ce qui n'était pas le cas ici.

Je dois dire aussi que la Penna de ce tome n'était pas tout à fait celle que j'avais imaginé dans les précédents tomes (pour être claire, je ne m'attendais pas du tout à tomber sur le schéma de la fille sans expériences). J'ai également été assez frustrée par toute la partie avec sa sœur Brooke : j'aurais préféré que l'autrice s’appesantisse davantage sur celle-ci, au détriment de l'histoire de Cruz qui, pour ma part, ne m'a pas vraiment intéressée dans la mesure où, encore une fois, c'est un personnage que l'on ne connaissait pas avant ce tome.

Peut-être qu'au fond de moi, j'imaginais Penna faire sa vie avec un Renegades (Cruz, par exemple, ce qui aurait, de facto, permis de développer encore plus la relation entre Penna et Brooke, chacune ayant ainsi des choses à "pardonner" à l'autre). Je dirais même plus : j'aurais aimé que l'autrice face des Renegades une série plus longue, je pense qu'il y avait encore matière à faire de chouettes tomes et à développer encore plus certains personnages secondaires (Zoé, par exemple) même si je comprends que le concept des trois semestres sur le paquebot ne tiendrait plus (même si elle aurait pu faire une année supplémentaire avec des redoublants, par exemple).

C'est surtout parce que j'ai passé un si bon moment avec cette trilogie que je suis triste qu'elle soit déjà terminée. J'aurais prolongé le plaisir pour longtemps encore, je l'avoue. Même si ce tome-ci n'était pas mon préféré et que ce n'était peut-être pas non plus la Penna que j'imaginais au départ, je dois dire que la fin (et surtout l'épilogue) était particulièrement belle et clôt parfaitement le chapitre des Renegades.
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Wahou, ce deuxième tome a frôlé le coup de cœur, je ne m'attendais tellement pas à ça ! Pour tout dire, je partais un peu à reculons au début avec celui-ci car je voulais absolument découvrir l'histoire de Penna (du troisième tome donc) mais je râlais un peu en me disant qu'il fallait d'abord que j'en passe par ce deuxième tome. Et bien, maintenant, je me demande comment il sera possible que j'aime le troisième et dernier tome davantage que celui-ci.

Tout était absolument parfait dans ce tome, à commencer par la romance qui prend véritablement son temps (contrairement au premier). Landon va devoir sortir les rames pour reconquérir Rachel qui ne lui fait pas de cadeaux (à tel point qu'il m'a parfois fait de la peine, bichette). En même temps, j'ai aimé être face à une héroïne qui, pour une fois, n'est pas conciliante et reste droite dans ses bottes et ne lui pardonne pas facilement parce qu'il lui chante la sérénade.

J'ai aimé ressentir leur amour respectif dans leurs regards, dans leurs gestes (la scène où Landon met ses cornichons dans le burger de Rachel, sans qu'elle ne s'en aperçoive, parce qu'il sait qu'elle adore ça, c'est bête mais j'ai trouvé ça mignon). Honnêtement, j'ai même envie de dire que c'est le genre de bouquin que j'aimerais voir adapté (une série Amazon Prime intitulée "Les Renegades", ce serait cool, non ?).

En effet, il se passe tellement de choses, tellement de péripéties durant leur voyage... qu'on en prend, visuellement, plein les yeux. J'ai d'ailleurs trouvé qu'on voyageait encore plus que dans le premier tome entre le Sri Lanka, le Népal, la Corée... c'était vraiment hyper immersif et j'ai, de nombreuses fois, eu des sueurs froides pour nos deux personnages (coulée de boue / Himalaya).

Enfin, j'ai aimé voir qu'ils se soutenaient dans leurs projets respectifs, malgré tout : Rachel soutient Landon dans ses sports extrêmes et lui la soutient dans ses recherches pour retrouver ses origines en Corée. Ce fut une belle histoire d'amour, qui nous donne envie de nous tirer les cheveux parfois, certes, mais que j'ai trouvé en sommes plutôt réaliste et bien faite. Je me demande sincèrement maintenant, comment je vais pouvoir aimer davantage le couple du dernier tome.

Ce qui est certain, en tout cas, c'est que Rebecca Yarros est doucement mais sûrement en train de se faire une place de choix dans le classement de mes autrices préférées depuis Chère Ella.
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Ayant eu un gros coup de cœur pour le roman "Chère Ella", j'ai décidé de poursuivre ma découverte des récits de Rebecca Yarros avec ce premier tome de la série des Renegades.

Si cette série remonte désormais à presque dix ans, donc avec les codes et clichés de l'époque, je trouve malgré tout qu'elle a tout de même réussi le pari de se démarquer à sa façon et de rester tout à fait "dans l'air du temps".

J'ai particulièrement apprécié le plot de l'histoire et le fait que l'on suive une bande d'étudiants sur un paquebot (même si finalement, on ne les voit pas tant que ça dessus puisqu'ils font beaucoup d'escales durant ce semestre). La bande de potes m'a fait penser à celle de la série Outerbanks (la chasse au trésor en moins haha), ce groupe soudé qui traverse des tas d'épreuves, des amitiés qui se transforment en amour, des trahisons, des ruptures...

Et même si effectivement on devine assez facilement la tournure de l'histoire, j'ai quand même réussi à être surprise par un élément à la fin. Mon seul regret finalement dans ce premier tome, c'est que j'ai trouvé la romance beaucoup trop rapide. Je suis une friande des romances qui prennent leur temps, celles dans lesquelles on voit véritablement les deux personnages développer des sentiments amoureux l'un pour l'autre au fur et à mesure et là ce ne fut pas vraiment le cas. Après, je leur pardonne parce que je me dis qu'ils sont dans la fleur de l'âge, qu'ils passent leur journée en maillot de bain, que leurs cabines sont côte à côte... La tentation est grande, haha.

Je vais tout de même poursuivre la suite de la trilogie avec grand plaisir car, mine de rien, on s'attache à cette bande de potes et on a envie de tous les retrouver.

J'ai particulièrement hâte de lire le tome sur Penna car c'est mon petit coup de cœur de ce tome et le personnage que j'ai préféré. J'adore les héroïnes badass, un peu "garçon manqué" donc il me tarde d'arriver à son tome, je suis triste d'ailleurs que ce ne soit pas le prochain !
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J'attendais la traduction de cette série depuis si longtemps que je me faisais une joie de découvrir ce premier tome dès l'instant où j'ai appris qu'il allait sortir en français. Malheureusement, ce roman fut pour moi une énorme déception et je dois même dire que je me suis forcée à le terminer parce que je culpabilisais de l'avoir acheté...

Je pense que je m'attendais à une histoire peut être plus "mature", avec de vrais bikers bien comme il faut alors qu'au final on se retrouve avec un minot de 17 ans qui galoche la fille le premier soir sauf que, manque de bol, c'est sa prof d'anglais.

Et si, en soit, l'idée de suivre un biker au lycée n'est pas mauvaise et est même plus originale, c'était sans compter le cliché ambulant du personnage féminin qui fait preuve d'une immaturité sans bornes alors qu'elle est censée être plus adulte et mature que lui.

Franchement, ce roman est vraiment l'illustration parfaite de la raison pour laquelle je déteste le schéma prof/élève : la fille passe son temps à dire "Il ne faut pas, je suis ta professeure et tu es mon élève" mais deux secondes plus tard, dans la même scène, elle accepte qu'il lui fasse des choses peu catholiques entre deux étagères. J'ai vraiment du mal avec les héroïnes qui manquent de consistance et de volonté.

Sans parler que je ne comprends pas comment cette personne peut être professeure alors qu'elle laisse ses élèves lui dire en plein cours qu'elle est l'archétype de la fille niaise et intello et qu'elle rétorque simplement "c'est vrai". Vraiment, les dialogues dans ce roman étaient particulièrement lunaires (je passe le passage où notre cher biker adoré lui dit qu'il aime les bébés mais qu'il aimerait plus encore les lui "planter", au secours).

Je vais passer le fait que la romance est ultra rapide, qu'elle tombe amoureuse de lui en un claquement de doigts simplement en l'apercevant sur un parking, qu'il la considère déjà comme sa "femme" alors que ce n'est qu'un adolescent, que les scènes de smut sont particulièrement mal écrites, que le rebondissement final sort du chapeau et se résout en un chapitre, que l'épilogue se clôture sans se clôturer... Vraiment, cette lecture fut pour moi un gros flop et j'en suis la première attristée car j'attendais cette sortie avec impatience et que j'adore habituellement la maison d'édition Juno Publishing.
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Une histoire à la fois belle et terriblement frustrante. Il faut dire que j'ai toujours eu un faible pour les romances "impossibles" mais je dois dire que celle d'Emilie et Younes est tellement particulière et unique qu'elle en est difficile à oublier.

Au début, on peut penser que c'est parce qu'ils viennent de deux milieux complètement différents mais c'est beaucoup plus compliqué que ça, leur histoire n'est qu'une succession d'actes manqués, d'occasions ratées et c'est sans doute cela qui est le plus douloureux. Ils sont leur propre interdit. Cela se joue parfois à rien.

Vous allez être remplis d'émotions contradictoires face à cette histoire, je crois qu'elle ne peut laisser personne indifférent (en tout cas, les personnes que je connais qui ont vu le film ou lu le livre sont assez unanimes à ce sujet). Et le film est par ailleurs très fort pour nous tirer des émotions rien qu'avec la musique.

Mais au-delà d'une histoire d'amour, c'est avant tout une histoire de vie : celle de Younes, devenu Jonas, et jusqu'à quel point il s'est "fondu" dans cette nouvelle identité, au point d'en arriver à presque "effacer" le Younes de jadis.

Les mots de Yasmina Khadra sont empreints de nostalgie et de poésie, les pages se tournent d'elles-mêmes. Je vais m'empresser de revisionner le film à présent !
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Une romance tendre et attendrissante qui m'a réconciliée, je dois le dire, avec les comédies romantiques dans le milieu scientifique (je n'avais vraiment pas accroché du tout à The Love Hypothesis l'année dernière).

J'ai adoré le concept du site de rencontres qui repose sur l'ADN et propose des "matchs" en fonction de la compatibilité biologique entre les individus même si, in fine, le message de ce roman est justement de prouver que l'amour ne se calcule pas et ne repose pas toujours sur des variables bien définies.

Le seul petit point plus négatif que j'aurais à soulever est la rapidité avec laquelle les deux personnages principaux développent des sentiments amoureux. J'aurais aimé voir davantage les sentiments éclore sur la durée (#TeamSlowBurn, on ne se refait pas).

En fait, j'ai eu l'impression que dès que les personnages apprennent leur compatibilité respective de 98 % (je ne spoile rien, c'est dit dans le résumé), ils se rapprochent dans la foulée assez soudainement. C'est dommage car j'aurais voir le côté "ours mal léché" de River Peña alias Americano un petit peu plus longtemps.

Il n'empêche que j'ai tout de même passé un très bon moment de lecture avec cette histoire et que je lirai le spin-off sur la meilleure amie de l'héroïne avec plaisir lorsque celui-ci sera traduit en français.
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date : 11-11-2023
Six ans après ma lecture de Jamais Plus, j'ai plongé dans cette suite comme un élan nostalgique : celui de retrouver Lily et Atlas et de les voir enfin heureux.

Pour ma part, j'ai trouvé cette suite tout à fait convaincante et nécessaire pour clôre ce chapitre de la vie de nos protagonistes. L'histoire de Lily et Atlas est pour moi celle d'un amour qui s'est construit au travers des années, des souffrances et des obstacles. Un amour qui est né à l'adolescence pour se conclure à l'âge adulte. Atlas étant LE good boy par excellence, il est difficile, je pense, de ne pas tomber amoureuse de ce personnage (j'ai un faible pour les hommes qui cuisinent en plus, mais chut).

Malgré tout, même si j'ai dévoré ce roman en l'espace d'une journée, j'aurais aimé avoir davantage de moments Emerson/Atlas et la fin concernant le personnage de Ryle m'a parue assez... facile ? J'aurais aimé avoir plus de développement à ce sujet car cela reste tout de même un personnage central de cette duologie. Après, j'ai souvent été frustrée par les fins de Colleen Hoover et je reproche souvent un manque de développement dans les dernières pages donc ce n'est pas nouveau pour moi, dira-t-on.

Pour autant, cela restera tout de même un joli moment ainsi qu'une belle conclusion et il me tarde déjà de retrouver ces personnages à l'écran prochainement.
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J'étais vraiment impatiente de lire cette romance à tel point que je me suis jetée dessus le jour de sa sortie. Il faut dire qu'avec une couverture française magnifique et un résumé prometteur, je partais plutôt confiante, d'autant que j'avais déjà lu l'autrice et bien aimé son roman "Changement de marée". Malheureusement, j'ai décidé d'abandonner ce roman à 50 % car ce fut pour moi un condensé de tout ce que je n'aime pas dans une romance.

Premièrement, je n'ai pas adhéré au parti pris de la traduction d'utiliser le tutoiement entre les deux personnages dès le début de l'histoire alors que j'imaginais que le contexte de l'enquête mènerait à une sorte de distance professionnelle. Je veux dire, c'est un agent du FBI qui vient enquêter auprès d'une libraire pour une histoire de trafic de livres rares et il s'adresse à elle comme si c'était sa pote et qu'ils se connaissaient depuis toujours.

Mais bon, peut-être pouvons nous dire que c'était cohérent vis-à-vis de la rapidité de la relation entre ces deux personnages : on n'a pas le temps d'apprendre à les connaître ou de s'attacher à eux qu'ils sont déjà en train d'envisager de se mettre en couple alors même que le personnage masculin stipulait dès le début qu'avec son métier et l'enquête en cours, ce n'était vraiment pas le moment. Je me suis dit : "Chouette, on va avoir une romance avec de la tension, qui va prendre son temps...". Que nenni.

Ensuite, s'ajoute à cela le surnom "gitane" que le personnage masculin utilise à maintes reprises pour s'adresser à la fille du genre : "Gitane, va dormir", "Ouvre les yeux, gitane", "Ne commence pas, gitane", "Pardon gitane"... C'est juste TROP. La raison pour laquelle je ne supporte pas les surnoms dans les romances, c'est parce que j'ai l'impression qu'une fois que les personnages définissent un surnom, ils se sentent obligés de le balancer à toutes les sauces dès qu'ils s'adressent à l'autre personnage, comme si c'était son prénom. S'ajoute à cela le fait que plus de 90 % du temps, les surnoms utilisés dans les romances ne me font pas rêver non plus. D'ailleurs, je n'ai pas trop compris le choix du surnom dans ce roman, si ce n'est que, dixit le personnage masculin, "elle ressemble à une gitane". D'accord, mais pourquoi te sens-tu obligé de l'appeler comme cela 32 fois en tout et pour tout ? (oui, oui, j'ai vérifié sur ma liseuse).

Ajoutons à tout cela un parfait manque de communication, vous savez du style qui entraîne des quiproquos foireux parce que monsieur a dit au téléphone "ma chérie" a une autre fille, que sa dulcinée en face pense du coup qu'il la trompe, qu'elle décide alors qu'elle "ne veut pas faire partie de son tableau de chasse", qu'elle s'en va alors que finalement il était au téléphone avec... sa sœur. Là on touche vraiment du doigt le genre de manque de communication qui me hérisse le poil dans les romances. D'autant qu'au lieu d'essayer de la rassurer, alors même qu'il a vu qu'elle faisait une tête bizarre quand il a dit "ma chérie" au téléphone, il préfère mettre la main sur le combiné et lui dire "Je vais m'isoler, je reviens", pour aller terminer sa conversation aux toilettes. Mais pourquoi tu ne lui dis pas tout de suite que tu es au téléphone avec ta sœur, dediou ?? Vraiment, pour moi, c'est le genre de "drama" inutile que j'ai de plus en plus de mal à apprécier dans les romances.

Enfin, ce qui devait être pour moi un point positif c'est-à-dire l'âge des personnages (puisqu'ils ont la quarantaine et j'adore les romances avec des personnages vraiment adultes) n'a été que frustration pour ma part puisque, à aucun moment, je n'ai eu la sensation que l'héroïne avait réellement 40 ans. Elle m'apparaissait pleurnicheuse et assez immature si bien que j'avais juste l'impression de lire une romance avec un personnage féminin qui avait peut-être, à la limite, 19 ou 20 ans mais pas plus.

Je tiens à souligner que cela n'est que mon avis personnel et que j'encourage chacun à se faire le sien car je soulève-là des points qui ne me plaisent personnellement pas dans une romance, tout comme je sais qu'il y a des personnes qui n'aiment pas les slow burn et c'est ok. Cela dépend vraiment des goûts de chacun. Ce roman n'était simplement pas fait pour moi et j'en suis la première navrée.
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date : 31-10-2023
Clara Nové a ce don d'écrire des romances atypiques, qui sortent des sentiers battus et c'est pour cette raison que je me délecte de chacune des nouvelles sorties de cette autrice. Celle-ci n'a pas dérogé à la règle car aussitôt sortie, aussitôt engloutie.

Cette romance m'a énormément fait penser à Still Beating de Jennifer Hartmann qui avait été un coup de cœur pour moi l'année dernière. J'y ai trouvé de nombreuses similitudes et même si le personnage masculin n'est pas enchaîné (contrairement à Still Beating où les deux personnages sont enchaînés ensemble dans une cave) quelque part, on peut dire que Rage est enchaîné à sa façon dans cette ferme puisqu'il n'en est jamais sorti, en 20 ans d'existence.

Et c'est là d'ailleurs que se trouve toute l'originalité de ce roman : le personnage masculin. Ayant toujours vécu en autarcie dans cette ferme avec son frère, contraints par leur père de ne jamais en sortir et de ne jamais connaître le monde extérieur et la vie en société, Rage n'a ainsi pas la connaissance de certaines notions élémentaires comme la notion de ville, de nation, ce que signifie aller à l'école. Il ne sait ni lire ni écrire, ne sait pas ce qu'est une télévision et n'a même... j'avais vu une femme de sa vie.

Avant Alice. La prisonnière de son père.

J'aimerais également faire une petite mention spéciale au personnage de Hound que j'ai apprécié à ma façon dès le début, étrangement. Je dois dire que je n'ai pas vu arriver la "révélation" le concernant et expliquant son comportement particulièrement virulent envers Alice dès le début de l'histoire.

J'ai trouvé ce roman parfait dans ses imperfections. Parce que oui, il en a quelques-unes. Par exemple, le fait que l'on puisse avoir l'impression que le personnage féminin ne semble pas traumatisée plus que cela par la situation et qu'elle s'y adapte même plutôt facilement (là où dans Still Beating on ressentait vraiment le traumatisme des deux personnages). En un sens, ce roman m'a semblé plus "léger" psychologiquement parlant que le roman de Jennifer Hartmann, mais j'ai pris le parti de passer outre.

Auquel cas, cela aurait été la porte ouverte à d'autres réflexions du style : pourquoi le personnage masculin utilise parfois des termes alambiqués comme "ignominie" alors qu'il est si ignorant du monde extérieur, n'a jamais lu un livre de sa vie et n'a pas grandi auprès d'un père ayant l'âme poétique ?

Alors oui, j'ai décidé de passer outre ces détails. Je crois que ce roman est simplement arrivé au bon moment et est la preuve qu'on peut apprécier pleinement une histoire, sans forcément chercher à ce qu'elle soit la plus réaliste possible. Cela fait aussi partie de la magie de la fiction et du talent d'un auteur je pense, de savoir nous faire oublier des petits détails qui auraient pu nous faire tiquer dans n'importe quel autre roman.

Avec les romans de Clara Nové, je me laisse simplement porter par l'histoire, par l'instant présent. Et pour la quatrième fois, je peux dire que la magie a opéré.
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Je voudrais faire une mention spéciale à la nouvelle de Julie Will, Hunter or H(a)unted, parce que j'ai une affinité particulière pour les personnages de celle-ci : sincèrement, après ça, je le dis, ce serait criminel de ne pas consacrer un tome entier à Kent et Harper. Ce fut un plaisir de retrouver Kim Becker et Finn Bates mais découvrir plus en profondeur le personnage de Kent et le voir se faire prendre à son propre jeu... c'était savoureux.

En fait, j'ai juste envie de faire une déclaration à l'autrice : merci d'avoir l'audace d'écrire des histoires avec des personnages comme Kim Becker ou Harper : des filles qui sortent du lot, qui semblent si fortes à l'extérieur, parce que, à l'instar d'Harper, elles n'ont pas peur de revendiquer leurs envies et leurs désirs haut et fort, mais qui conservent malgré tout une fragilité que l'on ne peut percevoir que si l'on prête attention aux détails.

J'aime la complexité de ce type de personnage. Ce n'est pas juste : "bouuuuuh, Kim elle est méchante", c'est la complexité derrière que je trouve assez brillante et audacieuse de la part de l'autrice qui font, qu'en bout de ligne, ses histoires d'amour sortent du lot.

J'ai particulièrement aimé la construction de cette nouvelle qui alterne entre passé, au moment où Harper rejoint la colocation de Kent, et présent, lors de cette fameuse soirée d'Halloween qui va tout faire basculer. J'ai trouvé que cette alternance de temporalité permettait de bâtir sur la durée la relation entre Kent et Harper. In fine, même s'il s'agit d'une nouvelle, leur relation va prendre le temps de se construire jusqu'à l'explosion finale (et j'adore ça). D'ailleurs, je dois dire aussi que Julie Will a la particularité de très bien décrire les scènes spicy, le contrat est bien rempli à ce niveau-là haha.

Bref, je ne sais pas si je dois remercier l'autrice d'avoir à nouveau impacté mon sommeil (je me suis couchée vers 1 heure du matin alors que je travaillais le lendemain) mais je la remercie au moins d'avoir écrit ce spin-off de Out of Control. La fin me laisse l'espoir de les retrouver dans une suite et puis, rien que parce que Kim et Harper ne s'apprécient pas, ça mérite bien un tome entier ! 😆
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Ce fut une bonne lecture dans l'ensemble. Une romance qui se passe dans un parc d'attractions, c'est plutôt inédit et je dois dire que j'ai apprécié que l'autrice ne dépeigne pas non plus le monde "tout beau, tout rose" de ce genre d'endroits. Elle y expose aussi la dure réalité des conditions salariales des employés et je crois qu'on ne peut pas faire plus ancré dans la réalité quand on voit les grèves encore récentes à Disneyland Paris...

L'autrice y greffe également d'autres sujets comme le handicap ou encore l'autisme et j'ai trouvé ça très intéressant, notamment en ce qui concerne l'accessibilité de ces enfants dans ce type de parc. Et même si le schéma boss/employée n'est pas mon préféré, le fait de voir les personnages travailler pour une industrie qui fait rêver des millions de gens chaque jour était plutôt novateur.

Cela étant dit, je suis malheureusement restée assez extérieure à la romance qui, malgré des moments touchants et mignons, n'aura pas réussi à me convaincre tout à fait. J'avoue que j'aurais aimé plus de subtilité dans les mots parce que les phrases du type : "Il doit en avoir une grosse", "On va sortir la règle pour mesurer" ou encore "Il contrôle mon corps, tout comme il contrôle un conseil d'administration", ça ne me fait pas trop rêver, je l'avoue.

Je lirai toutefois le prochain tome sur le frère aîné, Declan, car je dois dire que l'autrice tease plutôt très bien son histoire. Affaire à suivre !
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date : 02-10-2023
Des paillettes dans un écrin de velours.

Si j'ai toujours été fascinée et attirée par l'univers du cirque, je n'avais encore jamais eu l'occasion de lire une romance qui le décrit aussi bien.

Par certains aspects, j'avais l'impression de regarder une comédie musicale à la Greatest Showman, j'ai joué le jeu d'écouter chaque musique, à chaque moment opportun. Et je vous conseille également de le faire pour que votre immersion soit la plus totale, d'autant plus que l'autrice m'a fait découvrir ainsi de superbes chansons et artistes comme Sub Urban.

L'histoire d'amour entre Phinéas et Lune prend le temps de s'installer comme j'aime, un beau slow burn qui prend forme sous le chapiteau du Carnie Circus Show.

L'autrice a vraiment réussi le pari assez fou de, au-delà de nous conter une histoire, nous faire vivre un véritable spectacle qu'elle a construit de toutes pièces en y incorporant des musiques que l'on ne connait pas forcément mais qui rendent ainsi son histoire et son spectacle encore plus singuliers.

Pour tout dire, j'ai lu ce roman il y a deux ans, et je me souviens encore aujourd'hui de certaines musiques puisqu'elles sont désormais dans ma propre playlist. Et deux ans plus tard, je le dis et le répète encore : j'attends toujours mon spin-off sur Carnie 🤭.

En attendant, installez-vous confortablement, prenez vos tickets pour le show car, c'est promis, vous allez en prendre plein les yeux. 🎪🌙
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