Après quatre tomes dans la tête de Sam, celui-ci nous projette dans celle du prince Justin et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il vaut son pesant d'or. Justin est terriblement attachant et très humain, Sam, Ryan, Gary et Kevin sont parfaits et Tiggy reste le meilleur. C'était génial, j'ai adoré. Ce livre m'a fait un bien fou. Qu'est-ce que j'ai ri ! La plume de TJ Klune est extraordinaire, son humour est fantastique et ce livre est la digne suite des merveilleux Contes de Verania.
Et je sais pas vous, mais moi, j'ai vraiment besoin d'un sixième tome.

C'était drôle, frais et tout mignon. Camille et Juan sont joliment assortis et le deuxième est particulièrement attachant. J'adore sa mère, aussi. Et j'aime beaucoup l'évolution de la relation entre les deux hommes ; chacun respecte l'autre, même si Camille est franchement bourrin au début, ils ont leurs petites attentions (et leurs kinks haha) qui se manifestent au fur et à mesure... et les scènes hots (que j'ai espérées pendant de nombreuses pages) ont été à la hauteur de mes attentes. Une bien agréable lecture, en somme ! Il me tarde de lire la suite.

J'ai bien aimé cette petite lecture de Noël qui m'a fait voir tomber la neige avant l'heure. Red est socially awkward et c'est très drôle et j'aime bien Ivy aussi, même si l'écriture était parfois un peu brouillonne, l'ensemble un peu fouillis et que tout allait très vite sans trop de développement. J'aurais voulu qu'il y ait bien davantage de pages dans cette petite histoire pour tout étoffer, mais aussi pour pouvoir en profiter plus longtemps ! C'était très chou.

C'est beau, c'est doux et ça réchauffe merveilleusement le cœur ! Je voulais tenir jusqu'à décembre, mais je n'ai pas réussi, je l'ai dévoré et je ne regrette rien. J'ai adoré ce livre. Une vraie lecture feel good que je ne peux que recommander chaleureusement.

Je n'attendais pas grand chose de ce livre, mais j'ai été très, très agréablement surpris. Après des débuts un peu trop confus et rapides à mon goût, l'ensemble se rééquilibre et les sentiments, les peurs, les doutes des protagonistes deviennent beaucoup plus explorés. Il met en exergue, bien avant le coming out, l'immense difficulté qu'on peut avoir à s'accepter, à comprendre et envisager qu'on puisse être différent.e et que ce n'est pas "mal". Darek et Elliott sont attachants chacun à leur manière et leur histoire est vraiment belle. J'ai dévoré ce livre et je le recommande, tant aux amateur.rice.s de MxM qu'aux hommes qui se cherchent. Il met le doigt où il faut, sans forcément faire de concessions quant à la brutalité que peuvent rencontrer certaines étapes, et montre que finalement, tout ça, les doutes, les peurs, le stress, le coming out... eh bien ça peut mener à quelque chose de merveilleux et que ça vaut vraiment le coup d'être soi-même. Et ça, c'est vrai.

Mais naaan x) Qu'est-ce que j'ai ri ! C'était énorme (et franchement bien vu). J'ai adoré.

Excellent, vraiment. Si le premier m'avait déjà beaucoup plu, celui-ci m'a transporté. Il est délicieusement complexe, riche en rebondissements et peuplé de cet humour anglais que j'affectionne particulièrement. Hodder a réussi avec brio à puiser dans l'histoire et ses grands noms pour créer une aventure extraordinairement bien menée.

On m'a littéralement jeté ce livre en travers de la figure pour que je le lise et comme j'en suis ravi. Alex et Henry sont merveilleux, attachants et humains. Ils sont parfaitement assortis et on ne peut que leur souhaiter le meilleur.

Si j'ai beaucoup ri en lisant ce livre, il a aussi bien joué avec mes nerfs. Le dosage entre les moments de joie, d'espoir et d'amour, de peur, de doute et de désespoir, de politique et de tabloïds, de joutes verbales et de présentations PowerPoint était juste parfait. J'ai beaucoup aimé les échanges entre Alex et Henry et l'évolution de leur relation était à la fois drôle et adorable (notamment dans les surnoms dont ils s'affublaient eux-mêmes dans les signatures de leurs mails).

J'ai trouvé la fin plutôt abrupte, mais à la réflexion, ce n'est pas une mauvaise fin. Au contraire. Elle est peut-être nette, mais elle est juste.

Je ne sais pas ce que vaut la traduction française, mais l'original, c'est quelque chose. J'ai vraiment beaucoup aimé.

Woaw. Les contes classiques à la sauce Verania, c'est quelque chose, et quel bonheur que de les lire en anglais. J'ai adoré "Sam and the Beanstalk" et "The Good Boy", beaucoup moins "The Unicorn in the Tower", même s'il faut avouer qu'elle était bien bonne, celle-là. Mais alors, "David's Dragon"... ça, c'était splendide. Beau et fort à nous en briser le cœur. Si j'ai ri et eu de la peine en lisant les autres, celle-ci m'a réellement fait pleurer. Elle est magnifique. T.J. Klune est vraiment doué et j'ai une chose à lui dire : merci. Merci de me faire vivre autant de choses et avec une telle intensité à travers des histoires aussi magnifiques.

C'est agréable de relire cette belle histoire plus de vingt ans après l'avoir découverte. Elle est à la fois triste, touchante et vraiment adorable, avec des dessins d'un style original et sympathique. De quoi passer un bon moment, le sourire aux lèvres et, pourquoi pas, les larmes aux yeux.

Il n'y a pas à dire, j'aime quand Lupin joue au faiseur de miracles tout en restant l'air de rien ce charmant gentleman-cambrioleur. Quel filou il fait, je l'adore. C'est toujours aussi agréable de lire ses aventures.

Fascinant est le premier mot qui me vienne à l'esprit après avoir refermé ce livre. Il l'a été de bout en bout, au point qu'il m'était difficile de m'en éloigner, même momentanément. C'est une histoire d'une esthétique extraordinaire, d'une beauté macabre, cruelle et splendide. Un curieux mélange à l'effet impressionnant. J'ai vraiment adoré.

Excellent Pratchett, même s'il est plus court que les autres et magnifiquement servi par les splendides illustrations de Paul Kidby. C'est le premier des Annales que je lis en anglais et... ah ! J'ai adoré. Rincevent, le bibliothécaire, Léonard de Quirm, le Patricien... et bien sûr Cohen et ses barbares vétérans... on ne pouvait rêver meilleur mélange. Puis, outre l'histoire qui au demeurant est géniale, c'est un très bel objet-livre.

Plus je lis T. J. Klune, plus j'aime sa façon d'écrire, de penser les personnages, les histoires... tout, en fait. Ses livres sont un vrai bonheur et Le chant du loup ne fait pas exception. Il est prenant, intense même par moments, riche en questionnements, en recherche de soi, de sa place en ce monde, de sa valeur... Très vrai, en somme, même si l'univers reste fantastique et ça, c'est une chose que j'adore chez Klune : tout est vrai. Les personnages sont criants de vérité, les sentiments sont plus vrais que nature, tout est si savamment dosé... Moi qui désespérais de trouver enfin un bon livre avec des loups-garous, je suis comblé. Il me tarde de lire la suite.

Woaw... mais quelle claque ! Cette histoire est magnifique, d'une justesse stupéfiante et d'une douceur merveilleuse. J'ai tout, absolument tout aimé dans ce livre, il est fantastique. T. J. Klune a ma reconnaissance éternelle pour avoir écrit une si belle histoire : merci, vraiment, elle était exactement ce dont j'avais besoin.

C'est un réel plaisir de retrouver Nikolai dans une nouvelle duologie et qui l'eût cru, j'aime beaucoup Zoya. Elle apparaît ici beaucoup plus complexe et intéressante que dans la trilogie Grisha. D'ailleurs, je suis bien content que l'auteure ait abandonné la narration à la première personne du singulier. J'avais peur que ça soit la particularité de Six of Crows, mais heureusement, ça continue avec King of Scars. Ça ouvre le champ des possibles et hausse d'autant mon intérêt pour l'histoire dans son ensemble. Celle-ci est d'ailleurs très bien construite, riche en espoirs et en rebondissements. Peu à peu, les pièces se mettent en place et le puzzle se forme et le moins que l'on puisse dire, c'est que ça vaut le coup d’œil.

Quelle joie de redécouvrir Le Hobbit en langue originale ! L'anglais de J. R. R. Tolkien est un pur bonheur et confère un charme tout particulier à cette histoire que j'avais déjà tant aimée enfant. Qu'il est bon de retourner en Terre du Milieu en compagnie de ce cher Bilbo. Je me rends compte à quel point ils m'avaient manqué, tous, à quel point cet univers m'avait manqué. Malgré tous les excellents livres de fantasy que j'ai lu depuis et que je lirais encore, Le Hobbit restera toujours en haut de la pile. Avec Le Seigneur des Anneaux, évidemment.

Ainsi s'achèvent donc ces formidables odyssées de l'espace... Le moins que l'on puisse dire, c'est que le voyage vaut le détour. C'est à la fois effrayant et fascinant de constater la clairvoyance d'Arthur C. Clarke quant aux découvertes des années ayant suivi l'écriture de ses romans et autres nouvelles. J'apprécie aussi beaucoup son humour et son autodérision à ce propos. Il est sans nul doute l'un des plus grands auteurs de science-fiction dont la Terre peut s'enorgueillir et j'ai adoré 3001, même si j'ai trouvé la fin plutôt frustrante et que 2001 et 2010 resteront pour moi les meilleures de ses odyssées.

Il est toujours aussi agréable de parcourir le système solaire en compagnie d'Arthur C. Clarke, même si ce tome-ci est un tantinet moins captivant que les deux premiers. J'ai particulièrement apprécié l'escapade europienne et la découverte aux accents lovecraftiens (qui étaient très, très doux, mais tout de même). Quant à la fin, elle me laisse impatient : il me tarde de savoir comment tout cela se termine...

Un texte poignant et prenant qui fait profondément réfléchir. Une ode aux baleines, aux habitants de la mer et aux humains qui savent la respecter, une prière pour ceux qui ne la comprennent pas et une lueur d'espoir pour sa préservation.

Chouettes contes, avec des morales intéressantes et réfléchies. J'ai une préférence pour La sorcière de Duva et Un renard trop rusé parce qu'ils ont su me surprendre, mais ils sont tous réussis.

Je... je suis sans voix.

Dans son mot de la fin, T.J. Klune dit que lorsqu'il a commencé Le cœur de foudre, il n'aurait jamais cru que ça l'emmènerait aussi loin. Eh bien... moi non plus, je ne le pensais pas. J'ai ouvert ce livre, puis je me suis mis à lire et... j'ai tout bonnement été incapable de m'arrêter. Je n'ai jamais été autant aspiré dans une histoire qu'avec Verania. J'ai dévoré un tome, puis deux, puis trois et enfin, un quatrième et quel quatrième ! Et comme je lui suis reconnaissant d'avoir écrit cette saga ! Elle m'a fait un bien fou. J'ai aimé, j'ai même adoré les personnages, j'ai été ému aux larmes, j'ai ri (beaucoup) et j'ai tremblé pour eux (beaucoup aussi).

C'était extraordinaire, vraiment. Cette saga est fantastique, elle est exactement ce dont j'avais besoin. Jamais je ne me lasserai de la relire.

Décidément, c'est de plus en plus génial. Je ne me lasse pas de Sam l'Indomptable et de ses compères, j'adore sa relation avec Ryan (HaveHeart pour toujours) et j'adore l'évolution de l'histoire... Eux deux, Gary, Tiggy, Morgan, Randall, Justin... et d'autres... tous ont un rôle à jouer et comme ils le jouent bien... Ce livre m'a fait rire, comme les précédents, et comme les précédents, il m'a étreint le cœur et il m'a ému. Fort. Maintenant que j'ai terminé le 3e tome, je suis en proie à un sentiment curieux : je meurs d'envie de savoir comment cette saga s'achève, mais d'un autre côté, je ne veux pas qu'elle se termine. J'aime tellement ces livres...

Eh bien... quelle saga... le niveau est toujours aussi élevé, c'est toujours aussi délicieusement barré et graveleux, ça dégouline d'amour sincère, de vexitude et de gênance... et c'est ça qui est génial. Absolument tout ce qu'il y a dans ces bouquins est génial. Les personnages sont fascinants et terriblement attachants, l'humour est des plus efficace, les sentiments sont si vrais que c'en est beau... C'est excellent, vraiment, et je pèse mes mots. Sans parler du fait que le suspens est absolument intenable. La (très) digne suite du Cœur de foudre.

Eh bien, je dois dire que j'ai apprécié ce voyage auprès d'Alina et de ses camarades d'infortune, même si la fin que j'avais espérée aurait été un peu différente. Je ne suis pas déçu, pas franchement satisfait non plus, mais c'était une bonne fin, à sa façon. Grisha restera en-dessous de Six of Crows pour moi, mais c'est tout de même une très chouette saga. Je suis toutefois content qu'il y ait encore King of Scars, parce qu'il me tarde de passer davantage de temps en compagnie de Nikolaï.

Je... woaw. Ce livre est extraordinaire, on n'a jamais vu ça avant. Moi, en tout cas, je n'avais jamais lu une chose pareille. Il fait tellement de bien. Il m'a fait rire (beaucoup), il m'a ému aux larmes (souvent) et, fait surprenant pour un bouquin aussi barré et riche en humour graveleux (et pourtant jamais vulgaire), il est parfaitement bien écrit, l'histoire se tient (et elle se tient même bien), les personnages ont de la profondeur et leurs sentiments sont vrais. Je ne sais pas à quoi je m'attendais quand je l'ai ouvert, mais certainement pas à tout ça. Clairement, j'étais pas prêt. Est-ce que je regrette ? Évidemment que non. C'était génial, j'ai dévoré ce livre en un clin d’œil et je me sens tellement mieux maintenant. C'est un vrai remède contre le stress et les coups de cafard. Il est tout bonnement impossible à lâcher et le pire, c'est qu'il le sait.