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De nos jours, une loi stimule que pour le maintient de la prospérité du pays, tous les enfants qui entrent à l'école primaire doivent être vaccinés. Ce vaccin inocule une substance capable d'entrainer la mort à une date et heure précise programmée en amont. Un jeune sur mille entre 18 et 24 ans est concerné. Fujimoto, fonctionnaire est chargé de délivré ce préavis de décès aux familles, appelé Ikigami...
Tous ceux que j'aime finissent par s'éoigner de moi... J'ai beau le vouloir de tout mon cœur... Je me retrouve toujours seule... Est-ce que je serai encore seule... pour mourir ?
J'avais découvert ce tout premier manga en 2009, seul que je n'ai jamais lu jusqu'à ici et qui m'avait marquée par son thème original autant qu'horrifiant.
13 ans plus tard, je décide de le relire et de vous en faire part. Je ne me souviens plus des histoires mais je sais qu'elles m'ont touchées, toutes, et que j'en pleurais dans le métro en allant ou rentrant du boulot.
Voici donc le 1er tome que j'ai lu, savouré en attendant que ma grande passe son code...
Première histoire, qui plante le décor sans pitié, avec au menu le harcèlement scolaire, devenu si présent aujourd'hui. D'une violence sans tabou, d'une injustice absolue, je suis restée scotchée à devoir attendre un peu pour passer à la seconde...
La 2e histoire plus poétique artistique peut-être mais reste aussi violente que touchante. Ironique.
Salement ironique.
Un premier tome qui met facilement dans l'ambiance sans être celui qui est le plus marquant selon moi.
Les graphismes sont aussi réalistes que les histoires, aussi froids et prenants que le concept de départ : comment réagit-on si on apprend n'avoir que 24h à vivre ?
J'avais découvert ce tout premier manga en 2009, seul que je n'ai jamais lu jusqu'à ici et qui m'avait marquée par son thème original autant qu'horrifiant.
13 ans plus tard, je décide de le relire et de vous en faire part. Je ne me souviens plus des histoires mais je sais qu'elles m'ont touchées, toutes, et que j'en pleurais dans le métro en allant ou rentrant du boulot.
Voici donc le 1er tome que j'ai lu, savouré en attendant que ma grande passe son code...
Première histoire, qui plante le décor sans pitié, avec au menu le harcèlement scolaire, devenu si présent aujourd'hui. D'une violence sans tabou, d'une injustice absolue, je suis restée scotchée à devoir attendre un peu pour passer à la seconde...
La 2e histoire plus poétique artistique peut-être mais reste aussi violente que touchante. Ironique.
Salement ironique.
Un premier tome qui met facilement dans l'ambiance sans être celui qui est le plus marquant selon moi.
Les graphismes sont aussi réalistes que les histoires, aussi froids et prenants que le concept de départ : comment réagit-on si on apprend n'avoir que 24h à vivre ?
Dans ce manga dystopique, un jeune sur mille se voit condamné à mort de façon arbitraire, pour le bien de la nation, et reçoit l'ikigami. C'est angoissant et chacun réagit à sa manière. Un manga troublant...
L'intrigue est originale et prometteuse, j'ai bien envie de savoir comment ça va évoluer par la suite au niveau du protagoniste.
J'ai bien aimé la structure : deux histoires totalement différentes mais qui font toutes deux progresser le fil rouge. La seconde était un peu trop cliché à mon goût, en revanche j'ai apprécié la première, qui illustre bien la critique sociale du manga.
J'ai eu du mal avec le style graphique malheureusement mais l'histoire est suffisamment intéressante pour que je passe outre et que je lise la suite.
Un premier tome intriguant sur cette société japonaise où l'on sacrifie quelques citoyens au hasard sur l'autel de la tranquillité globale. À voir si ça ne tourne pas trop en rond et comment cela va évoluer, même si j'ai une idée sur la question.
Je trouve le concept de cette série complètement dingue. Il fallait vraiment y penser un monde où notre mort est programmé de cette manière. C'est une dystopie vraiment incroyable qui soulève beaucoup de questions éthique et morale .
Une série de mangas qui s'annonce vraiment intéressante, avec des concepts de moralité, des personnages tous différents, des histoires sur chacun à découvrir, et un système à analyser. Très bon !
Il m'aura fallu 10 ans pour lire ce manga dystopique au sujet bien sombre. 10 ans que j'y songe à reculons, contemplant les 10 tomes sur l'étagère de ma bibliothèque. Cette année je me lance et ce que je découvre est à la hauteur de ce que j'en imaginais en en repoussant si longtemps la lecture: des histoires dures et cruelles, beaucoup de pourquoi et comment devant l'inertie de toute une nation, l'espoir d'une prise de conscience collective et, surtout, une grande introspection personnelle devant mes propres choix de vie.
Les thèmes paraitront peut-être vus et revus: la valeur d'une vie par rapport à une autre, les avenirs volés, la manipulation collective, le dévoiement de l'éthique au profit du bien commun, le système oppressif et implacable dont on ne sort pas, etc. Mais le point de vue, celui d'un individu faisant partie de l'organisation, tout au bout de la chaîne, a le mérite de les aborder sous un autre angle. En même temps qu'on s'émeut pour les victimes de l'Ikigami on ne peut que se demander ce qui a poussé le personnage principal à exercer cet affreux métier et comment il fait pour le supporter.
Côté graphismes, Motoro Mase est loin d'être un champion du dessin, pourtant je trouve qu'il restranscrit bien les expressions de douleur et de désespoir par le biais d'une représentation assez réaliste dans ces moments. Il use (et abuse ?) de la hachure et des trames sur ses planches les plus dramatiques, en total accord avec l'aspect sombre et glauque de son Japon alternatif. Un Japon différent à tellement peu de choses de l'actuel, qui renforce cette sensation très dérangeante d'un glissement possible vers cette société morbide.
Bref, avant tout recentré sur l'humain, il n'y a pas à dire, Ikigami n'est pas un manga qu'on aborde à la légère.
Résumé
De nos jours, une loi stimule que pour le maintient de la prospérité du pays, tous les enfants qui entrent à l'école primaire doivent être vaccinés. Ce vaccin inocule une substance capable d'entrainer la mort à une date et heure précise programmée en amont. Un jeune sur mille entre 18 et 24 ans est concerné. Fujimoto, fonctionnaire est chargé de délivré ce préavis de décès aux familles, appelé Ikigami...
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